La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 179)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 179) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 179)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --


Histoire écrite par esclaveCyriliaMDE (suite de l'épisode N°176) - Réunion d'esclave au château -

Toujours dans mes souvenirs, je manquais presque de ne pas remarquer que Walter s'était arrêté sur le devant d’un box. Heureusement, je m'étais reprise au dernier moment et me stoppait à deux pas derrière mon guide. Celui-ci, surpris que je me sois autant rapprochée s'était retournait, mon regard l'évitait malgré la tête droite que je devais tenir comme une belle pouliche que j'étais. Il accrocha alors la longe avec laquelle il me menait, pour avoir les mains libres et aller voir l'autre esclave dans son box. Curieuse, mon cou tourna légèrement sans m'offrir plus de vision. J'entendais cependant les paroles du vicieux Majordome de Monsieur Le Marquis d’Evans.

- « Bien, tu es plus réveillée que ta sœur, s'exclama-t-il alors que j'entendais les bruits des talons de l'esclave piétiner sur le sol. Chhhht voilà, toi aussi tu as eu une sacrée nuit à ce que j'ai compris, mais aujourd'hui est un jour important. Allez pressons …

Walter sortait, suivi alors d'une ravissante jeune femme harnachée de la même manière que moi à ceci près qu'elle était de couleur bleu-marine. Dans la pénombre de moins en moins présente, je percevais déjà ses traits reconnaissables parmi tant d'autres. L'espace d'un instant, fugace, nos regards se croisent et je sens machinalement le bord de mes lèvres se tirer même si mon mords paralyse toute expression faciale. Je la reconnais, c’est émeline, ma sœur de soumission. Elle est placée à coté de moi, traînée, elle aussi, par une longe identique à la mienne. Paradant presque, nos pas se synchronisent de manière presque naturelle. Mais je sais qu'il nous reste encore une personne à récupérer, trois coups de fouets avaient retenti, cela signifie 3 esclaves à réveiller. Et je sais très bien qui nous allons récupérer sans même que je ne tourne le museau pour l'entrapercevoir lorsque nous stoppons une fois encore.

- « Déjà prête ? Et bien et bien, je suis gaté aujourd'hui dites moi. Les trois debout et prêtes à être amenée à la douche. Le planning s'annonce très bien ! Allez pouliche, va rejoindre tes copines » dit Walter sur un ton malicieux

Le troisième esclave, mâle celui-ci en la personne de philippe, apparaissaient lui aussi harnaché comme nous mais dans une couleur verte foncée. L'espace d'un instant, nous nous regardons sans que Walter ne le remarque ou ne le signale. Il faut dire que cela ne dure que quelques instants, mais nous retrouver ainsi, tout les trois, menés par la même personne, me réchauffait le coeur. Nos pas cadencés, comme ceux de soldats, en talon aiguille, nos plugs ornementaux à la couleur de nos chevelures balançant aux rythmes de claquement du bois, nos corps souillés d'une nuit de débauche et de soumission, nous paradons fiers de ce que nous sommes. Nous sommes les trois pouliches de notre Vénéré Maître, Monsieur Le Marquis D'Evans. Il nous avait choisi parmi les autres esclaves de Son cheptel. Etait ce Son plan depuis le début ? Il savait le lien qui s'était créé entre nous et Il savait combien nous étions attachés les uns aux autres. Nous sortons alors hors de l'écurie, nos pas marquant l'herbe légèrement gelée, nos tétons pointant pas le froid et l'excitation. Walter ne manque d'ailleurs pas de faire un petit commentaire à se sujet :

- « Il fait frais ce matin, n'est ce pas, mes jolies, s'amusa-t-il alors que la buée s'échappe de chacune de nos respirations »

Avec un brin de sadisme, il nous fait passer devant la grande terrasse de la face Sud, à la fois pour exhiber nos corps meurtri par les tribulations de la veille mais aussi pour nous faire rester un peu plus longtemps dans le froid qui cuit les nombreuses surfaces de peau à l'air libre. Du ciel dégagé orné des couleurs pastel du matin apparaît enfin l'astre doré réconfortant. Ses timides rayons, passant au dessus de la cimes des arbres de la majestueuse foret du domaine, sont cependant réconfortants. Chaleur, lumière, ils semblent alors réveiller une beauté en nous, laissée en sommeil à cause du froid. Vu la saison, il doit être 8h voir presque 9h, et déjà certains des Invités de Monsieur Le Marquis sont devant la grande baie vitrée du première étage, profitant du soleil, de la chaleur et du spectacle que nous leur offrons. Nous sentons leurs regards sur nous et surtout nous sentons Son regard sur nous. Malgré l'engourdissement et le sol à peine stable, nous ne fautons pas, nous ne devons pas fauter. Nous nous devons d'être Sa fierté aujourd'hui, on nous l'avait fait comprendre dès le début, dès notre renaissance…

Flashback :
Je me souviens encore de ce moment. La nuit avait été difficile, à cause de mon corps endoloris par les multiples assauts de la Dame Blanche, devenue l'espace d'une nuit, Dame Christine, l'avide Veuve Noir, s'amusant avant la vermine prise dans sa toile que j'étais. De plus, Madame Marie m'avait prévenue que je n'étais pas différente des autres esclaves. A l'aube, j'étais dans les cuisines, où je déjeunais très frugalement, dans une gamelle, avant d'être désignée pour la préparation du petite déjeuner avec deux autres esclaves mâles et femelles. Malgré la veille, on ne m'avait pas autorisé à me laver autre chose que les mains et les bras, continuant de profiter des arômes des trois Moires mêlées à celui de ma propre jouissance et solidifiés sur mon corps. Puis ce fut à Walter, qui n'avait pas oublié qu'il me devait une punition, de mettre sa touche personnelle au parfum que j'étais devenue. Après 10 coups de cannes, pour me rappeler que ma place était à 4 pattes aux pieds de mon Maître jusqu'à ce qu'il dise le contraire, il m'offrit l'honneur de le libérer de sa tension et de sa semence. Artiste dans l'âme, il prit soin de bien étaler sur mon visage tel un peintre projetant sa peinture, un sourire sadique légèrement sur mon visage. J'étais excitée par cette nouvelle fragrance, mais ma pauvre ''nouille'', comme aimait l'appeler mon Maître, ne réagissaient plus. Le traitement d'hier l'avait épuisée. Cependant, plus que la senteur, plus que la collante et avilissante essence sur ma peau, plus que mon postérieur brûlant de la correction, rien n'avait pu me réveiller et m'exciter autant que les quelques mots du Majordome lorsqu'il se servit de moi.

- « Hmmmm oui … quelle belle petite pute tu es … hmmm oui c'est bien comme ça … tu es une vraie chienne … une souillon … n'est ce pas, petite salope … ?
- Oui Monsieur Walter, dis-je alors avec une voix proche du gémissement de femelle. Merci Monsieur Walter de marquer la petite chienne lubrique que je suis

Les mots étaient ma source de jouissance, une jouissance de l'esprit, une jouissance dans l'accomplissement de son avilissement, une jouissance de soumise. Et je n'étais pas au bout de mes surprises aujourd'hui. Ma punition accomplie, j'avais été menée par mon superviseur à travers des couloirs luxueux, contrastant avec ceux réservés aux esclaves domestiques. En effet, alors que l'un était étroit bondé d'esclaves nus et serviles, l'autre était quasiment vide si ce n'était quelques Invités, habillés de robes de chambres en soie importées du japons à en juger à la coupe et aux motifs. L'un était minimaliste, des murs blancs et un plancher en carrelage de terre cuite, l'autre avait des couleurs chaudes et royales et un sol en marbre d'Italie, des tentures de velours de riche facture. L'un n'avait que pour ornement que la peinture blanche monotone, l'autre était un paradis pour les collectionneurs d'Art et de Tapisserie. Des œuvres faisant plusieurs mètres de long que j'ai eu l'opportunité, pendant un instant, de voir, décrivant des scènes où des soldats du XVIIIe siècle, portant les couleurs coloniales, étaient en train d'assiéger un camp défendu par des soldats en tunique rouge, agitant un drapeau blanc. Le point focal était cependant porté sur un homme au tricorne, portant une cape noire, et regardant telle un conquérant, du haut de son cheval. A ses coté des hommes aux couleurs bleues claires, presque pastelles, l'accompagnaient, des Français. J’ai pensé un instant et aucun doute de me tromper qu’il s’agissait d’une des batailles pour l’Indépendance de l‘Amérique ayant reconnu l’homme à la cape noire comme le Général et Marquis de Lafayette. (voir les Origines de la Saga …) Oui magnifiques œuvres d’Art, ces tableaux relatant des faits historiques …

- « Cesse de rêver, dit alors mon guide

Je détournais le regard pour regarder devant moi, ma laisse souffrant d'un à-coup, laissant l'image dans mon esprit ahuri par la beauté des lieux. A quatre pattes, je sentais encore plus le royaume de Monsieur Le Marquis m'écraser par son goût et sa prestance, par son grand luxe étalé sans compter. Proche du sol, les murs semblaient plus hauts, me rabaissant presque à la position d'un enfant devant lever les yeux pour découvrir ce qui l'entourait. Les peintures, que dis-je, les fresques exquises, les sculptures issues de l'imagination d'artistes envoûtants, une esthétiques réfléchie, entremêlaient habilement la Noblesse de la Famille D'Evans et les images de plaisirs les plus excitantes. Les Armoiries de mon Maître, placées régulièrement mais subtilement, me remplissaient aussi d'une certaine fierté. Avoir l'honneur d'être l'esclave d'un tel homme me stressait positivement pour ne faire aucune erreur. Je ne savais pas vers quoi l'on me menait, mais peu m’importait, j'étais prête à l'affronter, déterminée. Le trajet fut long pour arriver devant une porte, en somme toute simple comparée au luxe du reste de la Demeure. Je supposais que nous étions à l'extrémité Ouest du Château, loin de toute activité. Une porte lourde massive, et d’un vernis sombre, au vu des gonds et rivets qui l'ornaient. J'avais encore plus l'impression de me retrouver dans une autre époque. Nulle poignée si ce n'est deux volumineux anneaux de fer forgé et torsadé noirs. Le Majordome poussa les deux battants pour me faire découvrir une pièce grande, encore baignée de pénombre. L'odeur qui en provenait était unique. Pas de parfum, seul le bois et le verni, peut être aussi une odeur de pierre légèrement humide, arrivaient à mon flair. Les ténèbres des lieux n'étaient troublées que par trois rayons de soleils devenus multicolores après avoir traversé les vitraux de la pièce. Ceux ci semblaient neufs ou très bien entretenus, une merveille pour l'amateur d'église que je suis.

- « Allez va te mettre devant l'autel en position N°1, tu ne parles pas et tu ne bouges pas, c'est claire petite pute ? »

Je ne faisais pas l'erreur de la veille et hochais simplement la tête. La laisse se détache pour me laisser avancer, tel un animal, et m'installer sur une marche devant l'autel qui semble aussi vénérable que la bâtisse dans laquelle nous nous trouvons. Les pierres sont froides et inconfortables mais je reste immobile, à genoux, tête baissée appuyée sur le marbre blanc et béni. Ma chevelure tombe alors devant mes yeux me rappelant le plaisir de l'avoir, le plaisir d'être une femelle à Son service. Les secondes passent et s'écoulent pour devenir des minutes puis des dizaines de minutes avant que la porte ne s'ouvre encore. Le même ordre fut intimé à l'esclave qui vint alors me rejoindre. Ma position et mes cheveux ne me permettaient pas de le voir plus haut que son bassin. C'était un mâle, de toutes évidences, mais son corps glabre ne laissait rien voir de son age. Je voyais cependant que son corps était tout aussi excité que l'était mon esprit dans cette position. Ainsi installée, l'inconfort de mon plug, toujours bien ancré en moi, me faisait constamment serrer les fesses ce qui provoquait un plaisir troublant. Toutefois, tout n'était pas rose. Mes jambes ainsi pliées sur le sol froid étaient devenues de plus en plus douloureuses et tremblantes. Je rêvais de changer de place, de bouger un peu mais j'avais reçu l'ordre de ne pas le faire. J'espérais n’avoir pas à tenir trop longtemps. Je respirais fort à cause de la souffrance quand je sentis alors le coude de mon voisin.

- « Chuhhht

Un son simple de sa bouche, un simple contact, qui m'indiqua sa présence et troubla ma bulle de douleur pour me faire comprendre que je n'étais pas seule ici. Cela m'aida à tenir quelques minutes, qu'il fallut pour que la porte se rouvre encore. Cette fois, il y avait deux personnes de plus. L'esclave arrivant reçut aussi l'instruction de se placer à nos cotés, dans la même position. Tout les trois, têtes contre l'autel, moi au centre, je voyais alors que l'esclave était une femelle, elle aussi glabre que nous. A l'entrée, des voix se faisaient entendre mais l'acoustique et les échos transformaient les mots en un brouhaha incompréhensible au dessus de ma respiration tremblotante. Puis les pas se rapprochèrent de nous.

- « Position N°2 tournée vers Moi les chiennes »

La voix impérieuse sembla tous nous provoquer la même réaction. Notre cœur sembla faire un bond dans notre poitrine. C'était notre Maître en personne, Monsieur le Marquis D'Evans qui était présent dans cette chapelle. Il était devant nous, deux personnes à ses cotés, Walter et une femme nue, tête baissée. Les bottes de Monsieur le Marquis passaient devant nous comme s'Il nous passait en revue, et nous, nous les suivions du regard comme hypnotisés par elles. Sa présence et le changement de position, à quatre pattes et croupe relevée, balayaient la douleur dans mes jambes. Cette fois bien à l'intérieur de l'édifice, en parfaite position acoustique, Ses mots résonnaient avec clarté, décuplant la puissance de Ses paroles et leur impacte sur nous, pour mieux nous marquer l'esprit de Sa supériorité.

- « Bien ! … (Il laissa un ange passer alors qu'Il s'immobilisait et d’une voix fière continua) … Comme je vous l'ai dit, Mes petites pouliches, j'ai eu l'idée brillante d'organiser une compétition en Ma demeure. Ce sera une compétition de pony, une course, mais pas seulement. Vous allez devoir passer bien des épreuves et prouver à Mes Invités, triés sur le volet pour cette occasion, que vous êtes de bons esclaves … non … que Je suis un bon Maître … Vous êtes Mes esclaves ce qui signifie que Vous devez être irréprochables. Vous n'aurez aucun traitement de faveur si ce n'est que vous serez entraînés toutes les après-midi après vos corvées du matin et votre pitance. Mes Invités auront tout droit sur vous et attendez-vous à être fortement sollicités par Ceux-ci. Vous allez être en compétitions avec certains de leurs pouliches et aucune règle n'interdit l'usage intensif des corps des participants. C'est là toute la beauté de cette semaine. Vous devrez être endurantes et surtout serviles comme jamais vous l’avez été ! Si l'on me rapporte que l'une d'entre vous a été décevante, il vous en cuira à toutes. Je suis clair ?
- Oui Maître, nous répondîmes tous en chœur, nos voix cependant effacées par le charisme de notre Seigneur.
- Bien … Ceci étant dit, aujourd'hui est pour certaines d’entre vous, leur premier jour ici, mais étant donné les circonstances exceptionnelles, je vous considérerai toutes comme des débutantes, des pouliches vierges et pures qu'il faut ''débourrer'' pour leur nouvelles attributions. Laetitia va vous habiller et vous préparer pour votre ''communion''. Elle vous expliquera ce que j'attends de vous. Rappelez-vous que je veux que vous soyez irréprochables … Walter, mon cher, il me semble que nous ayons à faire, continuons…
- Oui Monsieur le Marquis, répondit le Majordome avec un immense respect, alors qu'ils tournaient les talons »

Les deux hommes s'en allèrent pour nous laisser avec esclaveLaetitia qui malgré son âge, non loin du mien, était notre aînée en tout point ici. Cela faisait longtemps qu'elle avait eu l'honneur de servir le Maître en réel, et cela bien avant nous. Elle savait Ses préférences et les attitudes à avoir dans cette demeure, elle était notre objectif à atteindre. : La perfection absolue pour Lui. Elle vint se placer devant nous pour nous dire de nous relever. Être debout ... quelle sensation de plaisir intense pour mon corps endolori et engourdi. Pour l'une des rares fois dans cette demeure, je levais la tête pour voir mon interlocutrice. C'est alors que je pouvais apercevoir les visages des personnes à mes cotés. Le mâle était plus petit que moi, peu costaud et les quelques cheveux blancs dans sa chevelure châtain frappaient mes souvenirs. Sans jamais l'avoir vu, je le reconnaissais, esclave6934MDE (philippe), mon frère de soumission, que j'appelais même affectueusement Grand Frère. Si lui était là je n'osais penser à la femelle partageant notre sort. Me tournant rapidement, je rencontrais les yeux verts et légèrement émus de esclaveEmelineMDE. Mon cœur battait fort à cause de l'émotion. Non pas que je n'étais pas heureux de voir enfin à quoi ressemblait esclaveLaetitiaMDE, au contraire, j'étais intimidée par sa tenue parfaite, sa prestance dans la servitude et sa remarquable beauté. Cependant, esclave6934 et esclaveEmeline avaient été, du premier jour de ma soumission, ceux avec qui je m'étais liés. Ils m'avaient conseillés et aidés dans les moments difficiles. Ils m'avaient soutenus dans les moments de doutes et écouté quand j'avais besoin de me confier. Une réunion de famille en quelque sorte. Mais pas le temps de nous parler malheureusement, esclaveLaetitia nous faisait signe de la suivre, avec une voix des plus douces.

- « Le Maître veut que vous vous laviez tout d'abord

Elle pointa alors trois petites bassines d'eau avec du savon et un gants de crin. Sous l'insistance de notre Grande Soeur, nous nous dépêchons de faire disparaître de nos corps toutes les marques de la veille, du moins celles qui n'étaient pas dans notre chair. Je notais d'ailleurs que je n'étais pas la seule à avoir eu une soirée sportive. Les traces qui apparaissaient sur mon frère et ma sœur de soumissions étaient autant d'indices qui faisaient naître dans mon imagination des scènes de débauches et de stupres délicieusement perverses. Les marques d'irritation sur le torse, l'extérieur des bras et l'extérieur des cuisses de e6934 me le faisaient imaginer saucissonné, sans défense après qu'on se soit amusé avec sa délicate rondelle, comme le laisser supposer le plug dans son fondement. Mais son fessier n'avait pas été laissé en reste. Portant des sortes d'hématomes rouge, je l'imaginais se faisant fesser par une main ferme ou un paddle bien dur. Nettoyant mon visage, je supprimais le rideau de senteur qui m'avait empêché de percevoir, le délicat mélange d'urine et de sperme qui se dégageait de son parfum. La scène prenait un sens encore plus théâtrale. Mon Grand Frère, attaché retourné pour qu'on le pénètre pendant qu'il suçait une autre personne. Incapable de bouger, gémissant alors qu'on le chevauchait comme un cheval à bascule avant de jouir en lui et sur lui, encore et encore. Pour finir et le remercier, ou pour marquer leur femelle, les Dominants auraient honoré leur poupée de chair de leur champagne dorée. Une délicieuse soirée, à n'en point douter !

L'exercice devint plus intrigant lorsque je l'appliquai à émeline. Contrairement, à e6934, ses envies et ses plaisirs étaient éloignés des miens. Mais ce n'était pas un examen, juste une occupation, ou plutôt un jeu motivé par mon excitation mentale qui ne redescendait pas depuis ce matin. Sur ma Petite Soeur, je trouvais aussi des marques de cordages. Ceux ci étaient plus artistiques, formant des losanges réguliers, passant sous sa poitrine pour mettre en valeur ses deux ravissants lobes comme savaient le faire les œuvres des experts en shibari. Sur ses fesses apparaissaient des striures, faites par une badine fine mais sévère et je ne sentais sur elle l'odeur caractéristique de la semence. Ce qui termina de donner des munitions au canon de mon imagination fut lorsque je la vis frotter avec insistance sur l'intérieur de ses jambes, son dos et son visage. Je me la représentait alors attachée avec ces cordes délicatement mais fermement nouées, entravant juste un peu sa respiration, remontant ses seins que ses Dominateurs caressaient et titillaient vicieusement. Ses mains immobilisés dans son dos à en juger les marques sur ses bras et avant bras. Sa fleur intime, son petit trou et sa bouche, assaillis, vaincus par des membres virils et infatigables. Ils la saillirent fougueusement avant de déverser sur son corps blanc rougi par le plaisir et la sévérité, leur semence avant de laisser leur placer à d'autres Invités… Comment pouvais-je savoir qu'on s'était amusé avec elle plusieurs fois ? Je ne le savais pas, mais l'imaginer épuisée et ses orifices inondés était le minimum que je pouvais lui souhaiter dans l'état où j'étais …

La tentation était d'ailleurs bien grande de passer le gant avec insistance sur mon sexe, et ce malgré la sensation désagréable du crin sur une peau sensible. Mais je sentais encore la douleur de ma traite de la veille me rappeler mes devoirs d'esclave. Il valait mieux laisser cette zone tranquille. Propres, nous nous séchâmes, chacun avec une serviette bien trop petite pour couvrir nos corps d'adultes. C'est à ce moment que notre Grande Soeur Laétitia déposa devant chacun d'entre nous un morceau de tissu blanc.

- « Enfilez cela en vitesse et suivez moi

Curieuse et excitée, j'obéissais, impatiente de savoir qu'elle délicieuse épreuve Monsieur le Marquis d’Evans, notre Bien Aimé Maître qui nous faisait le privilège de nous soumettre …

(A suivre ...)

esclaveCyriliaMDE

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
toujours aussi excitantes vos histoires, ça me donne envie de m'essayer au SM, une envie d'être à la places de vos esclaves



Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 179)
Histoire sexe : Une rose rouge
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