De connivence (première partie)

- Par l'auteur HDS Trial -
Récit érotique écrit par Trial [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : De connivence (première partie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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De connivence (première partie)
De connivence première partie

Désir de femme enceinte

*Lundi, première séance : Elle vient pour une fracture de la cheville gauche. Elle me tend la main, sa paume est un peu moite et c’est drôle mais j’ai immédiatement l’impression qu’elle vient de masturber un homme…
Elle est irlandaise, rousse élancée aux yeux verts comme il se doit, bref super mignonne. Elle a 27 ans, trois enfants : 4ans, 2 ans et en est au 7eme mois de grossesse du suivant–Je craque volontiers pour les ventres enfruités, je les trouve hyper sexy ! Apres m’avoir expliqué son accident qui à entrainé une opération avec pose de plaque, je réponds à toutes les questions techniques qu’elle n’a pas pu poser à son chirurgien.
-Ca va pour venir avec les cannes ? -Oui, oui nous avons un voisin à la retraite qui est toujours prêt à me rendre des petits services… si je déboutonne un peu mon corsage rajoute-t-elle en riant. Je pense que cette fois elle est même allée un peu plus loin. J’espère avoir droit un jour au même traitement, d’autant que ses mamelons saillants sous la blouse me font penser qu’elle ne porte pas de soutien-gorge !
Pendant le traitement on à bien le temps de discuter en kiné. Je lui pose des tas de questions sur ses enfants, les mères adorent raconter leurs enfants ! Puis la conversation dévie sur son mari. Ils se sont connus à 14 ans et ne se sont plus quittés - un premier amour aussi fort, ca doit être génial – Mon imagination lubrique les visualise encore adolescents nus au soleil, leurs corps s’enlaçant inlassablement avec l’insouciance de leur âge, la premières paume de main sur ses seins, la première fois qu’elle a tenu la queue chaude entre ses doigts, qu’elle a posé ses lèvre sur le gland, qu’elle a vu le foutre jaillir en son honneur, la première pénétration enfin, quand ses nymphes ont résisté, un peu, à la pression du pieux intrusif ! Ils se sont mariés il y a 5 ans. Il s’est engagé à lui procurer un train de vie confortable tant qu’elle se maintiendrait attirante et disponible à ses caprices. - Il est devenu industriel et parcourt le monde une semaine sur deux. –Mais quand on se retrouve c’est un festival des sens, s’empresse-t-elle d’ajouter! C’est déjà la fin de la séance, on a pu regagner pas mal d’amplitude mais j’ai déjà hâte de la revoir.

*Mercredi : Elle porte une mini-jupe sur un leggings. Quand je reviens, après m’être lavé les mains, le leggings à disparu, dévoilant des longues jambes très blanches.
-Il va bien ce bébé ? -Il commence à tirer sur le ventre mais contrairement aux grossesses précédentes il me fait mal tout en bas. Je vais vous installer sur la table en demi-assis, ce sera plus confortable. En montant sur la table elle écarte légèrement les jambes et de plus la mini-jupe remonte sur les cuisses. -Vous ne portez jamais de slip ? c’est sorti comme ça sans réfléchir -J’avais un leggings en venant mais il me comprime trop la taille, même la jupe me gêne ajoute-t-elle en descendant l’élastique sous le ventre. -J’espère que je ne vous choque pas, j’en serais absolument désolée. -Oh non j’apprécie au contraire votre naturel ! Elle ne cherche absolument pas à cacher son intimité. J’ai ainsi pu apprécier un sexe totalement glabre. Le sillon est bien dessiné, le capuchon du clitoris est bien visible et le mont de vénus très plat, -En plus j’ai parlé de vous à mon mari et il a parié que vos doigts me toucheraient autre chose que la cheville avant la fin des séances ! -Et vous êtes partante ? -Il me semble que nous avons un bon feeling.
Elle me déconcerte par sa franchise !

* Vendredi : Sa cheville allant beaucoup mieux, elle m’a demandé de lui masser le ventre. Ok on va voir si ça peu vous soulager. Elle s’est soulevée pour ôter sa jupe. Tout le bas du corps est nu, exposé, exhibé! -Montrez-moi ou vous sentez les tensions. Elle me décrit une large courbe partant du flan gauche, passant au dessus du mont de Venus et remontant de l’autre côté; -Classique. Elle a aussi des tensions dans les adducteurs (l’intérieur des cuisses). Je pose mes mains sur le ventre et commence des larges mouvements circulaires puis je la masse longuement de la taille vers le pli de l’aine, tout en souplesse. En bas de la courbe je ne suis qu’à quelques cm de sa fente mais, même si elle est exceptionnellement exhibitionniste, aucun vrai kiné ne ferait de geste déplacé sans l’accord explicite du patient. Trop souvent il aura mal interprété la situation et ça se retourne contre lui avec toutes les conséquences !
-Le bébé bouge beaucoup, il semble apprécier me dit-elle –Et vous-même ? -Vous avez des mains magiques et très douces mais qui provoquent des tensions supplémentaires. -Ah bon dis-je surpris. Elle pose deux doigts en fourche sur son sexe, puis les écarte découvrant un des plus beau clitoris que j’ai vu. Il brille dans la lumière de fin de journée. Il est effectivement sorti de son capuchon et me nargue de plus d’un cm. -Vous pensez qu’il faut aussi le masser ? –Il provoque en tout cas une tension dans tout mon corps que je souhaiterais relâcher. -Dans ce cas je crains que mes doigts ne soient trop impatients. Que diriez-vous d’essayer avec ma langue ? –Je vous en prie essayons cette méthode ! Cette fois c’est clair ! La suite s’est déroulée tout naturellement. Elle s’est laissée couler vers moi tout en écartant généreusement les cuisses. Un agréable parfum poudré accueille mon approche, ma langue quant à elle se délecte de ce petit goût épicé propre aux rousses. Je comprend maintenant que les femmes apprécient sentir grossir une queue dans leur bouche : ce clito qui se développe contre ma langue engage le combat, la rigidité du cobra contre la vivacité de la mangouste. Très rapidement elle m’a tiré la tête contre son intimité. Complètement désinhibée cette femme m’utilise au mieux pour son propre plaisir. Elle s’est laissée aller jusqu’à avoir un orgasme sans retenue… -It was realy great, fantastic… me dit-elle tout en essayant de retrouver son souffle. Je crois qu’en effet ce super-orgasme l’a comblé, mais j’espère secrètement qu’un jour nous pourrons aller plus loin

La semaine suivante, son mari pouvait l’accompagner. Il souhaite assister, pour autant qu’on ne change surtout rien à nos fins de séances.
J’ai commencé par la cheville. Peter s’intéresse à mes prises de mains et reproduit les mouvements sur l’autre pied. –Bon on va s’occuper de bébé à présent: le mouvement circulaire sur le ventre. Moïra se soulève pour enlever sa jupe, s’exposant sans pudeur. -Il faut toujours tourner dans le sens des aiguilles d’une montre. Il y a juste un petit truc au croisement des mains. Il s’en sort bien. Je lui montre ensuite l’assouplissement des flans : la main part loin en arrière, près de la colonne, et descend en pétrissant souplement tout autour de bébé. Là c’est plus technique aussi je pose ma main sur la sienne pour le guider. -C’est à la fois un mouvement du poignet et de la souplesse dans votre main. –C’est bien de se faire coacher ainsi, continuez. Et là je l’ai pas vu venir ! Une fois en bas ses doigts suivent le sillon et nos 4 doigts se retrouvent dans le vagin. Restez sur ma main, cette fois c’est moi qui vous guide. Je regarde Moïra qui affiche un grand sourire…c’était prémédité…d’autant qu’elle a remonté son pull et dévoilé sa superbe poitrine de femme enceinte. Peter me révèle un à un ses points les plus sensibles et la façon de les aborder. -Je te laisse continuer seul. Il se redresse. Sa main empaume un sein, le flatte, l’entoure, l’écrase, le cajole ; les doigts titillent le mamelon, le tordent, le pincent, l’agacent, la langue le redresse, l’enroule, le lèche, l’aspire ; les dents mordillent, cisaillent …puis tout se mélange. Ce ne sont plus que soupirs, halètements, petits cris… et c’est le magnifique chant de l’orgasme…
Je l’entends descendre sa braguette. Il pose sa main sur la tête de son épouse et la force à engloutir jusqu’à la garde un membre de bonne proportion. Manquant s’étouffer elle le repousse violement des deux mains mais il tient bon. Le fait qu’elle se débatte semble l’émoustiller en tout cas car il éjacule rapidement tout au fond de sa gorge. Il ne débande pas pour autant le bougre. Il revient vers moi et je le laisse prendre place entre les cuisses de son épouse. Il s’enfonce en elle d’un coup .Cette fois, le plaisir de Moïra semble exponentiel elle recommence à haleter et même à anhéler. -Tu aime la sodomie me demande-t-il tout d’un coup? –Je n’ai pu la pratiquer qu’une fois ou deux de façon incomplète, car ma femme trouve que c’est trop gros. –T’aimerais réessayer ? –Bien sur si votre épouse est d’accord ! –Pas exactement, j’ai toujours eu le fantasme de me faire prendre pendant que je baise ma femme; je ne me sens pas pédé pour autant, je crois que je recherche simplement une sensation supplémentaire. -Je me vois dans la même situation, ma queue bien au fond de sa chatte, j’ai l’impression qu’effectivement un gode dans le cul augmenterait encore mon érection. –Il faut tout essayer dans la vie non ? Il me tend une capote, je l’enfile puis me positionne derrière lui, le prend par les hanches et pose ma verge brulante sur ses fesses. Le fait qu’il la baise en même temps a pour conséquence que les fesses s’écartent et se resserrent alternativement. Le gland à présent posé sur sa rondelle se fait ainsi aspirer en cadence. Quelques minutes sont nécessaires avant que l’entier de ma verge ne soit en lui ! Nous nous synchronisons. Quelle sensation ! A chaque poussée dans le corps de son épouse son anus m’enserre violement la verge Je vois le visage de Moïra face à moi. Ses beaux yeux verts quémandent toujours plus de plaisir. Les cuisses écartelées par nos poussées combinées semblent appartenir à un pantin. Elle laisse échapper non pas un cri, mais un son rauque, profond, viscéral. Ses yeux se révulsent tandis que nous éjaculons de concert… Nous nous désaccouplons. Pour moi l’expérience fut double, J’ai pu enfin enfiler l’entier de ma bite dans un cul bien serré, mais ce qui m’a le plus excité c’est cette contriction-relachement sur ma verge ! Je pense que cette impression là je ne la retrouverais jamais en sodomisant une femme…ni un homme d’ailleurs, il faut être trois… -Comment c’était pour toi Peter ? –Super sensation j’ai eu l’impression que ca rendait mon sexe deux fois plus puissant; ça m’a donné une pêche d’enfer, and you Darling ? –D’abord deux visages amoureux penchés sur moi, ensuite la violence de la pénétration puis enfin vos orgasmes simultanés c’est super, hyper, méga jouissif…moi je recommence tout de suite… -hélas ma chérie nous ne sommes que des hommes et après cela il nous faut un peu de temps pour récupérer.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
une très belle histoire, bien écrite et excitante.

Histoire Erotique
Très bon, une vrai femme moderne Moira



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