La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 359) - histoire érotique

Suite de l'épisode précédent N°358 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré –

Walter adresse un nouveau clin d’œil à Marie, assez satisfait de ses répliques et de sa dernière tirade déclamée de manière pesante sur un ton qui laisse transparaître la colère, alors qu’il affiche un rictus parfaitement pervers sur la mise en scène qu’il impose à Thaïs MDE, qui quant à elle n’en voit rien car elle a la tête baissée et les yeux remplis de larmes et presque fermés, ne sachant plus quoi faire ou quoi dire. Le Majordome, qui a baissé de 3 tons pour reprendre la conversation normale avec la cuisinière qui lui fait face, ajoute :

- Et bien, Marie, tu m’en diras tant ! Ce n’est pas très réjouissant tout cela, je comprends que tu sois en colère et courroucé. Je l’aurai été à moins à ta place, moi, qui t’avais confié cette petite chienne pensant qu’elle pourrait te donner un peu de plaisir et de délassement pendant ton temps de pause, je m’aperçois que j’aurais dû me méfier beaucoup plus de cette vilaine irrespectueuse. Cependant, je n’ai pas que cela à faire pour l’instant, je dois descendre sans tarder à l’infirmerie pour voir Mûriana MDE, notre infirmière qui a dû revenir de l’hôpital avec e6938 MDE. Je suis persuadé que si Monsieur le Marquis d’Evans m’appelle à la sortie de sa réunion de travail, IL tiendra à avoir des nouvelles fraîches sur l’état de santé de Son esclave.

Walter marque un temps de pause, qui pèse lourd sur les épaules de Thaïs MDE, toujours courbée vers le sol dans une vraie prosternation qui n’espère plus qu’un peu de clémence.

- Donc, pour en revenir à cette malheureuse insolente, tu exiges quoi comme punition, sachant que cela ne la dédouanera pas de la sanction supplémentaire que Monsieur le Marquis d’Evans pourrait bien vouloir prendre dès Son retour. Tu sais bien comment Notre Châtelain a horreur qu’on désobéisse à Ses ordres. J’ai toujours du mal à concevoir que cette bande d’esclaves ne comprennent pas cela comme une évidence première et soit en permanence en train de chercher des occasions pour se faire rudoyer et punir.
- Et bien, Walter, je pense effectivement que le Maître décidera de ce qui est opportun en temps voulu, mais d’ores et déjà, je te propose de prendre quelques mesures répressives en rapport avec les deux fautes commises … Un cri de trop parce que je lui imposai un « tout petit » poireau dans son trou (dit-elle en insistant ironiquement sur le qualificatif « tout petit », ce qui était loin d’être le cas) alors que cette bestiole à quatre pattes ne peut ignorer que ses orifices sont là pour servir avant tout et surtout pas lui procurer du plaisir non autorisé ou qu’elle n’aurait pas mérité par une attitude exemplaire. Elle sait pertinemment qu’elle peut être contrainte à porter autant de plugs qu’il plaira au Maître et aussi longtemps qu’IL le jugera nécessaire pour façonner cet orifice plus étroit à sa guise. Puisqu’elle a eu l’aplomb de refuser l’intromission du joli plug naturel végétal que je lui avais réservé par charité et grandeur d’âme, je te propose d’aller en chercher un autre poireau et de l’obliger à le garder jusqu’à ce soir bien enfoncé profondément dans son cul de sale petite chienne.
- Oui, c’est une très bonne idée, je vais pouvoir la balader ainsi accoutrée tout l’après-midi. Je suis sûr que cela en fera sourire plus d’un de la voir avec un vrai poireau entre les fesses, ce n’est pas pour rien qu’on utilise par métaphore ce gentil nom pour nos virils sexes d’hommes dans pas mal d’expressions argotiques. J’imagine déjà les commentaires salaces de tous ceux que nous allons croiser qui ne manqueront pas d’ajouter qu’ils auraient bien envie de « se dégourdir le poireau » (en référence à la masturbation) eux aussi ou de se faire « souffler dans le poireau » (en référence à la fellation). Je te propose même, ma chère Marie, pour rajouter à son humiliation qui se doit d’être totale, car il est temps de la mettre à sa place cette ex-chef d’entreprise qui est encore imbue d’elle-même, de marquer en gros ses fesses au marker rouge, en précisant la nature du délit et de la sanction infligée « indigne chienne punie par Madame Marie par là où j’ai fauté ».
- Ah, oui ! Walter tu as raison, ce sera parfait ainsi, il faudra juste veiller à mettre une chaine à travers la tige du poireau pour le maintenir en place, sinon elle risque fort d’y prendre plaisir et de le perdre en marchant si sa mouille vient lubrifier son trou dilaté et maintenu ouvert sur toute la longueur de la tige du poireau. Dans tous les cas, elle n’aura pas la possibilité de s’asseoir, mais je pense que ce n’est pas une faculté que tu comptais lui accorder pour la fin de la journée. Je vais aller chercher ce qu’il faut en cuisine, et aussi ce qui convient pour ma deuxième punition. Attends-moi, je n’en ai pas pour très longtemps pour trouver un beau spécimen blanc et vert de bonne taille.

Thaïs MDE est rouge de honte en entendant les propos de Walter et Marie. Elle s’imagine déambulant dans les couloirs du Château sous l’œil des membres du personnel excités qui effectivement ne manqueront pas de venir l’aiguillonner avec des propos des plus grivois et graveleux, tant les jeux de mots avec ce qu’elle aura entre les fesses susciteront de réactions. Elle espère plus de compassion des esclaves du cheptel qui, le plus souvent, gardent la tête basse et ne se hasardent pas au moindre commentaire pour ne pas risquer de se voir subir la même chose, voire pire encore. L’esclave-soumise n’avait pas trop mal supporté le « bain – bouillon de légumes » imposé par la cuisinière, car cela s’était passé juste entre elles deux et de fait dans une certaine intimité qui avait préservé Thaïs MDE, qui pour la première fois de sa vie se voyait pénétrée par de vulgaires légumes, du trop de honte de cette situation un peu hors du commun, même si elle avait l’habitude des jeux avec toutes sortes de sex-toys.

Mais là, l’idée de se balader pendant toute l’après-midi avec un poireau dans le cul, marquée au feutre rouge sur les fesses qui plus est, a fait virer la couleur de ses joues au rouge cramoisi. Et le pire, de cette situation qui va lui être imposée, elle en ressent une excitation qu’elle n’arrive pas à contrôler dans son bas-ventre et aussi autour de son anus, dont elle n’arrête pas de contracter les muscles et de resserrer la rondelle étroite qui en marque l’extrémité, comme si elle voulait tenter inconsciemment de se soustraire à ce qu’elle venait d’approuver librement, dans une totale acceptation. Elle s’en veut terriblement de ne pas pouvoir contrôler ses réactions contradictoires qui l’assaillent, d’être sans cesse confrontée à tant de choses qui si elles n’en étaient pas aussi dévalorisantes dans la manière dont elles lui sont assénées en serait simplement excitantes à vivre, ne serait-ce que pour l’étrangeté et la nouveauté des situations auxquelles Thaïs MDE est confrontée, devant sans cesse chercher à trouver le comportement adéquat eu égard à sa condition de chienne-esclave-soumise.

Reprenant un peu ses esprits pour essayer de chasser les larmes qui continuent de couler sur ses joues, mais aussi l’humidité qui coule dans son entrecuisse, ce qui lui fait honte de ne pas pouvoir contenir l’expression de ses désirs et pulsions charnels, Thaïs MDE se remet à penser à ses classiques pour se vider la tête. Elle se doute que Marie, la cuisinière dévouée de Monsieur le Marquis d’Evans, qui passe sa vie à régenter son petit monde dans les cuisines, avec perversité, voire un peu de sadisme parfois, ne doit pas du tout connaître les œuvres des grands écrivains français, surtout les plus anciens. Et pourtant, Thaïs MDE se rappelle que le premier a avoir joué de la comparaison du sexe phallique et viril avec un poireau est Rabelais dans son célèbre « Pantagruel », quand il se mit à parler d’un vieil homme qui est encore bien vigoureux pour son âge avancé et qui aimait jouer de la gaudriole, précisant de lui qu’il était tel le poireau avec la tête blanche et la queue verte (vert devant s’entendre dans ce cas-là comme au sens de jeune et dure pour une queue mâle et pour son homophone de couleur pour le légume utilisé par métaphore). Thaïs MDE se remémore aussi certains passages de littérature plus grivoises du XVIII° siècle où les littéraires du « roseau bandant » s’en donnait à cœur joie pour parler « du petit chose » comme l’avait si poétiquement nommé bien des années plus tard Pierre Perret dans sa chanson célèbre sur le « zizi » et qui fit tant jazzer à l’époque. Elle se met même à sourire de ses réflexions qui l’entrainent de plus en plus loin vers une réelle joyeuseté, ayant fini par oublier toutes les allégations erronées qu’elle avait dû supporter et encaisser sans rien dire, mais qui avait affecté sérieusement son égo blessé par tant de fausseté, même si elle acceptait toujours de reconnaître qu’elle avait failli et n’avait pas par deux fois respecté l’ordre explicite et l’interdiction de parler sans autorisation imposée à tous les esclaves du cheptel, en particulier à l’intérieur de tout le domaine.

C’est donc dans ce nouvel état d’esprit plutôt guilleret, mais presque par réaction nerveuse pour lutter contre la fatigue qui la submerge de plus en plus et pour pouvoir tenir le coup sans tomber dans le désarroi qui lui serait fatal et lui ferait perdre le peu qui lui reste d’énergie et de volonté, d’autant plus qu’elle ignore et craint encore ce que pourrait être la deuxième punition de Marie, mais aussi les suivantes que Walter devrait lui imposer à la suite. Emportée dans ses pensées de plus en plus égrillardes, sans même s’en rendre compte, Thaïs MDE lâche un petit soupir comme un rire étouffé que ne manque pas de relever aussi sec le Majordome qui attendait le retour de Marie partie en cuisine chercher le poireau, objet principal de la première punition et aussi le reste des accessoires dont elle avait besoin. Walter tire aussi sec sur la laisse à gros maillons de métal, faisant émerger Thaïs MDE de son état lubrique dans lequel elle s’était laissé s’envoler, et qui avait eu pour conséquence de faire croître l’excitation qui commençait à briller sur toute sa chatte onctueuse. Walter relève la tête de l’esclave-soumise et encore plus coléreux que jamais, il vocifère :

- Mais « c’est pas Dieu possible » ! Tu es une vraie garce ! Tu étais soi-disant là pour reconnaître ta faute et implorer Pardon, attendant de subir ta punition, et tu trouves à rigoler de la situation … Et ne me ment pas, cela se voit sur ton visage. Tu avais donc des larmes simulées de crocodile.

Thaïs MDE ne peut pas baisser la tête une fois de plus, car le Majordome lui tient la laisse juste sous le menton, l’obligeant à croiser son regard et appuyant presque à lui faire mal sous le menton avec le collier permanent de métal que l’esclave porte autour du cou qui appuie fortement sous la mâchoire du bas. La chienne-soumise baisse les yeux et plisse les paupières pour éviter de croiser le regard de Walter, car elle se rend compte qu’elle n’a fait qu’aggraver son sort par ce rictus nerveux. Elle ne saura jamais expliquer au Majordome que non elle n’avait pas de larmes de crocodile quelques instants plus tôt, mais qu’à force d’être malmenée et rabrouée dans tous les sens, elle était carrément en train de craquer nerveusement, sans pour autant qu’il y ait plus d’intentions malsaines ou peu serviles derrière son comportement qui souhaite toujours apprendre à devenir une meilleure soumise pour le Maître Vénéré.

- Et est-ce que tu auras le courage de me raconter la pensée qui t’a traversé l’esprit au moment où cela t’a fait rire ? Est-ce l’idée de savoir que tu vas être promenée toute l’après-midi avec un poireau dans le cul qui t’excite comme une vraie cochonne ? Tâche d’avoir au moins le courage de me dire la vérité, quelques soit les conséquences qui en résulteront, le mensonge te vaudrait une bien plus grande punition, car Monsieur le Marquis d’Evans n’aime pas qu’on lui désobéisse et il n’aime pas non plus qu’on lui mente, directement ou indirectement.
- Monsieur Walter, je suis vraiment désolée. Je ne sais ce qui m’a pris. A l’idée de la punition que Madame Marie avait décidée, avec tout le respect que je lui dois cependant, je me suis imaginée avec mon poireau dans le cul toute l’après-midi les couloirs du Château et j’ai repensé à Rabelais qui parlait du poireau comme d’une queue encore bien verte, mais aussi à cette maxime « Qui s’endort avec le poireau dans la main, se réveille le plafond refait ». C’est la vérité, je peux vous l’assurez, Monsieur W….

Thaïs MDE n’a pas eu le temps de terminer sa phrase que tirant sur la laisse sans le moindre ménagement, le Majordome à forcer l’esclave à se lever en la soulevant presque par la laisse et le menton. Il la plaque directement sur la table courbée à la taille et la croupe largement exposée. L’esclave est tétanisée de honte de s’être laissée submergée par ses pensées et aussi d’une crainte comme elle n’a jamais ressenti d’imaginer son séjour au Château de Monsieur le Marquis d’Evans interrompu aussi sec car elle aurait largement déméritée.

- Ah, l’immonde chienne ! Ta punition devait te faire honte pour avoir enfreint les règles édictées par Le Maître que tu es censée servir et Vénérer, donc respecter et nous aussi puisque nous sommes à Son service. Je constate qu’à la place, tu avais envie de rigoler, et bien on va voir qui va rigoler le plus maintenant …

(A suivre…)