Soirée de St Valentin

- Par l'auteur HDS Dofra -
Récit érotique écrit par Dofra [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Soirée de St Valentin Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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Soirée de St Valentin
"Ce soir on se retrouve chez Darjeeling puis on va au Dorcel Store et on mange au resto tibétain. Interdiction de refuser. JTM"

Après avoir appuyé effleuré l'écran tactile de mon téléphone pour faire partir le SMS je me mets à angoisser. Que va telle me répondre ?

La réponse se fait attendre, la connaissant, j'en déduis que c'est bon signe, si cela avait été négatif, la réponse aurait été immédiate.

Je l'imagine en train d"hésiter, de peser le pour et le contre, surtout le contre. Au bout de cinq minutes toujours pas de réponse. Je stresse, me pose mille questions. Peut être est elle en pleine réunion ou alors en train de parler de ma requête à une de ses collègues?

Lassé d'attendre je me remets au travail sans être réellement concentré à ce que je fais. Je regarde les minutes s'egrainer implacablement. Plusieurs collègues viennent dans mon bureau, ils me trouvent quelque peu "bizarre", moi qui suit habituellement si jovial. Je prétexte un mal de tête passager et ils retournent vaquer à leurs occupations.

D'un seul coup mon téléphone vibre sur le bureau, mon cœur s'emballe. Je m'empare de mon smartphone, fais glisser mon doigt sur l'écran pour le déverrouiller et ouvre le SMS.

Je ne vois qu'un simple "Ok, jtm aussi"

Je suis fou de joie, prêt à crier mon bonheur et le faire partager à la planète entière.

Je réponds rapidement : "OK, 18h15 au magasin".

L'après-midi me semble interminable, mais finalement 18h00 finit par apparaitre en bas à droite de l'écran de mon ordinateur. Je sors avec empressement de mon bureau, Gilles le commercial vient à ma rencontre, il n'a pas encore ouvert la bouche que je lui lance :
- Gilles je n'ai pas le temps, on voit ça demain matin !

Il se contente de ma saluer de la main et me regarde partir en trombe. Je démarre ma petite citadine et sort rapidement du parking, il ne faut pas que je traine si je veux éviter les bouchons sur la rocade.

Il est 18h13 quand je m'engage sur la sortie qui mène au centre commercial, celui-ci est tout prêt désormais, je pense être devant le magasin pour 18h20.
J'ai un peu de mal à trouver où me garer sur le parking, mais finalement, j'aperçois une place libre, je m'y précipite avant que l'on ne me grille la politesse.
Enfin, il est 18h22 quand j'arrive devant le magasin, je suis un peu essoufflé et presque à l'heure. Je scrute l’intérieur du magasin pour voir si elle est déjà là. Effectivement, je finis par l'apercevoir en train de déambuler dans les rayons. Je viens à sa rencontre :
- Ça va, je ne suis pas trop en retard ?
- Non, je viens tout juste d'arriver.
- Tu as repérè des choses intéressantes ?
- Non, pas pour l'instant.
Je la laisse flâner dans la boutique, je la suis de près, regardant également toutes ses jolies parures. Je la laisse choisir, je sais qu'elle déteste que je lui force la main. Je me prends à l'imaginer dans ces sous-vêtements, tous plus sensuels les uns que les autres. je visualise son corps dans quelques ensembles, un certain trouble commence à m'envahir.
Elle vient enfin d’arrêter son choix sur un modèle, elle le décroche du rayon et me le tend :
- Tu en penses quoi ?
C'est un ensemble blanc ivoire, le soutien gorge est en dentelle. La culotte assortie en a également mais uniquement sur les cotés. Par contre le tissu est très fin, voir presque transparent.
- Oui, il est sympa... tiens regarde, il y a le boxer aussi, tu devrais le prendre également.
En fouillant pour trouver le boxer à sa taille, je tombe sur le porte-jarretelles assorti, je sais qu'elle ne veut pas en entendre parler, elle trouve ça vulgaire. pourtant j'adore, je trouve ça très sensuel.
Pour la taquiner, je lui en tends un et lui dit en rigolant :
- Tiens, j'ai trouvé ça, depuis le temps que tu voulais que je t'en achète un.
Elle vient d'abord me foudroyer du regard, puis étonnamment, alors que j'allais remettre l'objet du délit à sa place, elle m'interrompt dans mon geste :
- Attends, fais voir...
Elle me le prend des mais et le contemple longuement, puis finit par dire :
- Oui, c'est sympa... en plus c'est ma taille.
Je reste pantois, quelle mouche l'a piquée ??
Profitant de ce moment de grâce, je m'abstiens de tout commentaire susceptible de briser cet instant magique. Je la suis docilement vers la cabine d'essayage. Une vendeuse nous guide et nous indique où nous installer.
Au bout d'un moment elle tend la tête par le rideau pour m’appeler. Je m'approche nerveusement, impatient de pouvoir la contempler ainsi vêtue. Dès que Je pénètre dans la cabine je tombe littéralement suis sous la charme :
- Ouaa...
- Tu aimes... vraiment ?
- Mais tu rigoles, tu es superbe comme ça, je te jure...
- Ça ne fait pas trop... vulgaire ?
- Mais n'importe quoi... tu veux que je demande à la vendeuse ?
Elle acquiesce timidement d'un signe de la tête. Avant de sortir de la cabine, je la contemple une nouvelle fois de haut en bas. Elle est vraiment splendide. La transparence de la culotte laisse deviner le joli ticket de métro qu'avait façonné son esthéticienne le jour précédent.
L'esprit encore embrumé, je me mets en quête d'une vendeuse, je finis par en trouver une de disponible :
- Vous pourriez venir s'il vous plait, ma femme essaie un ensemble, elle aimerait un conseil
-oui, bien sur, je vous suis...
J'indique la cabine, la vendeuse y pénètre, je m'engouffre derrière elle. Elle la contemple un instant puis le verdict tombe :
- C'est impeccable niveau taille, non, il n'y a pas de soucis...
- En fait, c'est pas tellement par rapport à la taille, c'est juste que ma femme a peur que cela fasse un peut trop ...
La vendeuse devine aisément la fin de ma phrase et nous rassure :
- Honnêtement, c'est vraiment charmant, vous auriez pris un ensemble léopard, ou des couleurs plus vives, effectivement, l'effet rendu aurait pu être assez particulier. Mais là, un bel ensemble blanc, ça va franchement très bien à Madame, vous pouvez me croire, cela ne va pas aussi bien à tout le monde si vous voyez ce que je veux dire...
Je remercie chaleureusement la vendeuse qui nous laisse tous les deux dans le petit local.
- Alors, tu trouves vraiment que cela me vient bien ?
- Ah oui, je t'assure, t'es trop canon la dedans !!!
- Bon d'accord, je le prends.
Je jubile intérieurement, depuis le temps que j'attendais ça. Je suis comme un petit fou et incroyablement excité aussi. Le simple fait de l'avoir contemplé dans ce délicieux ensemble a provoqué chez moi un sérieux début d’érection. Heureusement que mon manteau tombe assez bas pour masquer tout ça !
On se retrouve à la caisse du magasin, la vendeuse scanne nos achats :
- Vous avez des bas pour le porte-jarretelles ?
Un peu pris au dépourvu, je regarde ma femme et me met à bredouiller :
- Euhh non... on y avait pas pensé...
- Venez, suivez moi, ils sont par ici. Alors pour aller avec des porte-jarretelles, nous n'avons que des noirs ou des couleur chair.
Je la regarde l'air perplexe, à vrai dire, je n'ai pas de préférence. Elle examine les deux pochettes et remet les noirs en rayon.
Nous sortons du magasin, elle vient m'embrasser pour me remercier du cadeau.
- Tu rigoles, c'est moi qui te remercie pour le cadeau, je t'aime tu sais...
- Moi aussi je t'aime.
Puis j'ajoute en lui chuchotant à l'oreille :
- Il n’empêche que tu es vraiment trop sexy comme ça, je ne te raconte pas l’érection que tu m'as donné dans le magasin.
- Tu es bête, me répond elle en m’assenant un léger coup de coude dans les cotes.
Je regarde l'heure à ma montre :
- Zut, il est déjà 18h55, on ne va pas avoir le temps d'aller au Dorcel Store, enfin, remarque, après le cadeau que tu viens me faire, je n'en ai plus vraiment envie. On va aller au restaurant tout de suite, comme ça on va rentrer de bonne heure à la maison.
Cette séance m'a ouvert l'appétit et nous nous régalons au restaurant tibétain. C'est la première fois que je l'y emmène et pour une première elle n'est pas déçue, elle a adoré également.
Nous rentrons enfin à la maison et montons dans la chambre. Alors qu'elle se déshabille pour se mettre au lit, je lui lance :
- Et si tu me faisais un petit essayage privé, tu m'as vraiment mis en appétit tout l'heure au magasin.
- Non pas ce soir, je suis fatigué.
Puis en prenant mon air de chien battu :
- Oh allez, pour me faire plaisir...
- Bon... d'accord...
Elle se met à nue devant moi, je mets aussitôt à admirer sa plastique, qui malgré quelques kilos en trop me plait et m'excite toujours autant. J'en profite également pour admirer de plus près le ticket de métro que ta fait l’esthéticienne la veille. D’habitude il est bien moins échancré, et je dois dire que j'ai une envie de mettre un terme à cette séance d'essayage et de lui sauter dessus immédiatement m’imaginant déjà ma langue gouter à la douceur de ses lèvres intimes.
Je la regarde enfiler son nouvel ensemble, elle commence par le soutien gorge qui met parfaitement en valeur son adorable petite poitrine. Elle enfile ensuite sa culotte blanche qui ne cache rien de sa fine toison. Elle finit par se saisir du porte jarretelles et le fixe autour de sa taille.
Je me suis installé sur le lit, je ne porte plus que mon boxer qui est maintenant déformé par une subite érection.
- Mets les bas aussi pour voir.
Elle se saisit de la pochette dans le sac et en extrait les deux bas. Elle vient ensuite s'asseoir sur le rebord du lit face à moi pour que je sois aux premières loges. Elle retrousse le premier dans sa main et le déroule délicatement le long de sa jambe. Je suis comme hypnotisé par cette fine étoffe qui escalade ses compas un à un.
Elle me sort de ma rêverie :
- Alors, tu en penses quoi ?
- Franchement... tu es vraiment sublime...
Je l'attrape alors et le jette sur le lit en rigolant :
- Ce soir, ça va être ta fête je crois...
- Ah bon, vraiment, me répond elle d'un air ingénu.
Je viens m'allonger au dessus d'elle mais sans la toucher, comme si je faisais des pompes par dessus son corps. Je viens l'embrasser tendrement, lance ma langue à la rencontre de la sienne. Je délecte de son cou et me met à suçoter le lobe de son oreille.
Je sens ses mains passer dans mon dos, essayant de m'attirer contre elle. Je résiste, j'ai prévu autre chose pour elle. Je reviens lui mordiller la lèvre inférieure et me mets à descendre pour explorer le haut de sa poitrine avec ma langue. Je poursuis un peu plus mon délicieux périple et suis maintenant en train de déposer une multitude de petits baisers sur le bas de son ventre juste au dessus de sa culotte.
Ma bouche se met ensuite à embrasser la fine étoffe, je continue à descendre inexorablement. Sa toison brune finit par transparaitre du tissu rendu humide par mes baisers.
Je suis enfin arrivé à son trésor, les effluves de ce parfum si particulier et enivrant pénètrent mes narines et mettent mes sens en ébullition. Je m'installe confortablement, chacune de mes mains posée sur ses cuisses, appréciant au passage la douceur de ses bas. Je lèche sa fente par dessus sa culotte. Au bout de quelques allers-retours, son slip vient se coller à son intimité rendant ce que j'ai sous les yeux encore plus excitant.
Elle commence à pousser des petits soupirs, sa respiration s’accélère et devient un peu irrégulière. J'ai envie de la mettre au supplice ce soir, de la torturer. J’arrête mes caresses buccales qui commençaient à la griser et vient embrasser le haut de sa cuisse. Je savoure chaque parcelle de sa peau laiteuse. Je viens ensuite me perdre sur le haut de son bas, je continue encore jusqu'à mi-cuisse, laissant une empreinte humide le long de cet écrin.
Je l'entends soupirer de nouveau, mais cette fois d'impatience :
- Tu veux que je reprenne ou j'en étais, lui dis je d'un air taquin.
- Oui... vas-y continue s'il te plait...
Je me remonte un peu et me remet face à son délicieux abricot. J’écarte un peu sa culotte et découvre enfin son joyau, on dirait un délicat bourgeon, gorgé de la rosée du matin.
Je passe enfin ma langue dessus de haut en bas. L’effet est immédiat, je sens son bassin se cambrer et l'entend pousser un lourd soupir. Son gout exquis a envahi mon palais. Je retourne butiner ce délicieux nectar. La douceur de ses lèvres est incroyable, ma langue glisse sans aucun obstacle sur sa peau si douce. Ma langue la lape inexorablement, sa main vient se poser sur ma tête, ses ongles se crispent sur mon cuir chevelu. Une de mes mains abandonne à contre cœur sa jambe si affolante et je viens plonger un doigt dans sa fente.
Son souffle est de plus en plus bruyant. Elle appuie l'arrière de mon crane contre elle, j’accentue mes caresses. Mon appendice buccale remplace mon majeur, s'insinuant au plus profond d'elle. Ma langue se hasarde aussi vers son clitoris, venant se perdre en bout de course dans son fin buisson.
Son bassin tangue sous mes caresses, j'essaie tant bien que mal de garder ma bouche soudée contre elle mais la manœuvre devient de plus en plus périlleuse. Je l'empoigne fermement par les cuisses pour ne pas pas me faire désarçonner. Elle enlève finalement sa main de ma tête et m'appelle à elle :
- Viens, je n'en peux plus, j'ai trop envie.
Je me faufile vers elle en enlevant mon boxer. Arrivé à sa hauteur, je l'embrasse goulument, lui faisant savourer son intimité. Elle part à la recherche de mon sexe et l'empoigne pour se l'y introduire et apaiser le feu qui la brule de l’intérieur. Je l’arrête dans son élan :
- Frotte la contre toi un peu avant.
Elle fait alors aller et venir mon gland sur son sexe. Elle le fait sauvagement, avec fougue, me faisait parfois mal et m'arrachant quelques soupirs. Je la sens s'ouvrir petit à petit à moi, puis quand l'envie devient trop forte, elle décide de me de m'engloutir et je viens mes perdre dans ses abysses. Elle ouvre grand ses compas et s'agrippe à mes fesses.
Je me mets à aller et venir en elle tout en lui dévorant le cou de baisers. Je sens ses ongles s'incruster et labourer la peau de mon dos. Je me cambre encore plus ce qui a comme effet d'accentuer l'ampleur de ma pénétration. Je la sens vibrer sous mes coups, son souffle s’accélère, il est ponctué de petits gémissements. Ses jambes gainées viennent m'entourer et me maintenir prisonnier de son étreinte si agréable.
Je me plante bien en elle et bascule sur le coté l'entrainant avec moi. Elle s'allonge sur sur moi. je lui enlève avec hâte son soutien gorge. Je sens ses tétons venir s'écraser et se frotter contre mon torse.
Elle enroule ses jambes autour des miennes comme le feraient des lianes. Elle agite son bassin pour faire coulisser mon pieu en elle, je reste passif, la laisser donner la mesure de notre concert nocturne.
Au bout d'un moment, je m'accroche à ses fesses et relève un peu mes jambes et tout en m'appuyant sur mes talons je reprends la main et me met à donner la rythme à sa place. Je vais et viens en elle, je suis tellement excité, c'est tellement bon de lui faire l'amour. Je sens l'excitation prendre possession de mon bas ventre. Je vais bientot lâcher les armes. J'ai pourtant encore envie d'elle, de profiter de son corps fabuleux. Je relève un peu son torse pour déguster sa poitrine. Ma langue s'aventure sur ses mamelons, s'amusant à le les titiller et les léchouiller.
Je retourne me perdre dans son cou, j'aspire et mordille le lobe de son oreille. Les mouvements de son bassin s’accélèrent, son bas ventre vient se frotter contre le mien dans un ballet torride.
Mes mains se crispent sur ses fesses, je lui assène encore quelques longs et profonds coups de rein, puis j’inonde sa caverne de ma liqueur. Elle s'agite encore un peu sur moi et je sens son visage venir s'écraser contre mon épaule.
Je lui chuchote tendrement à l'oreille :
- Tu es fantastique, je t'aime...
- Moi aussi, je t'aime...

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