LE COMPLOT. (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : LE COMPLOT. (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LE COMPLOT. (2/2)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

J’ai retrouvé Amour qui trainait sa misère devant chez moi et après qu’elle m’est reprise en main, j’ai retrouvé les plaisirs de la soumission que j’avais perdus, il y a quelques années en la fuyant.
Si j’analyse ce qui se passe entre nous, je constate que j’étais trop jeune pour céder complètement à l’amour sadique d’Amour.
Reste un obstacle, Carl, comment va-t-il réagir en voyant Amour qu’il connaît et l’évolution de la situation lorsqu’il verra qu’elle a réussi à me faire percer les lèvres vaginales et le clito pour y accrocher des objets que le tatoueur va me poser la semaine prochaine.

• Amour, tu es là comment es-tu arrivé chez nous ?

Elle lui explique, comment nous nous sommes retrouvés.

• Regarde ce qu’elle m’a fait accepter, je suis dans l’impossibilité de dire pourquoi je l’ai autorisé de me faire percer la chatte, j’espère que cela te plaira.
• C’est surprenant, mais si cela fait plaisir à ta copine, pourquoi pas. Je verrais lorsque la pose finale sera faite.

Dans l’attente de la suite les jours prochains, j’aurais aimé qu’elle évite l’ordre qu’elle me donne d’aller me faire baiser par mon copain même si les piercings vont me faire mal.
Mal, retour de ce mot pour moi après des années de vie qui immanquablement manquait de piquant.
Je reçois l’ordre lorsqu’il vient d’entrer pour prendre un bain et je file le rejoindre.

• Viens, ma belle, fais-moi voire tes piercings médicaux.

J’entre dans la baignoire. Et je vais pour m’asseoir.

• Reste debout, écarte les cuisses. Tu aurais pu me dire que tu aimais souffrir, moi qui prenais des gants avec toi, tu as envie que j’imite Amour.
• Embrasse-moi fort et après tu ferras ce que tu voudras de moi.

Ces lèvres sur mes lèvres échangées passionnément me rassurent sur l’amour que je lui porte et qui semble réciproque.

• J’aime beaucoup la place de ces piercings, cela fait mal.

En me disant cela, il attrape deux de ces petites barrettes de métal et tire dessus.
La douleur m’arrache un cri. J’essaye de le réfréner, mais il sort tout de même de mes lèvres.

• Regardez-moi cette petite salope qui gueule parce que je la touche légèrement, elle mérite une bonne fessée.
Fait moi voire ton joli petit cul.

La position était peu pratique, mais les coups répétés avec ses battoirs ont fini par me donner du plaisir après que mes fesses sont devenues bien rouges.
Je suis vraiment une salope qui s’ignorait dès qu’il arrête la main fatiguée, je regrette que cela ait été si court.
La fessée cela semble être son truc, car dans les huit jours qui ont suivi et que j’aille chez le tatoueur me faire mettre les pièces définitives deux fois par jour, j’y ai droit.
Ces huit jours ont eu l’avantage de décupler ma créativité, j’ai peint vingt toiles sorties de mon imagination.
Je voulais les proposer à l’américain propriétaire de la galerie où j’ai déjà exposé et tout vendu.

• Non, Vicky, j’ai un projet, mais qui aboutira dans quelques jours, je t’en dirai plus lorsque tout sera cadré.

J’ai attendu et tous les jours Amour a trouvé un motif pour que j’aille me promener sans ma culotte.
Je me rendais bien compte que c’étaient des prétextes, mais cela lui plaisait et je le faisais.

• Attention, je te surveille, fait bien ce que je te dis.

Son grand jeu était que j’aille dans le parc non loin de chez moi et sous prétexte de donner à manger au pigeon, je devais écarter les cuisses et ainsi faire voir à qui avait la chance d’être au bon endroit au bon moment mon intimité percée.
Je devais être dehors deux heures et aucun soupçon ne m’a effleuré, car Carl partait avant moi et revenait après.
Un moment j’ai eu un doute que ce soit lui qui me surveille, mais la distance qui semblait y avoir avec mes deux amours m’enlevait tout soupçon.
Huit jours après, j’avais mon rendez-vous pour que mes piercings médicaux soient remplacés par les pièces et le prince Albert définitif.

• Vas-y seule, Carl dort et je suis fatigué.
Prends ton temps, profite du soleil.

Je vais me faire mettre les objets. Les anneaux sont en place sans aucun problème sauf le gros anneau dans le clito qui me fait mal au moment où il me le passe.
Les pièces placées me déclenchant une douleur lorsque leur poids tend mes lèvres, mais lorsqu’il me demande de me lever et d’aller me regarder dans la grande glace placée à cet effet, le poids augmente et je comprends qu’il me faudra attendre un certain temps pour que tout rentre dans l’ordre.
Devant la glace, je peux admirer l’ouvre d’Amour et j’aime beaucoup la lune, le soleil, l’étoile et la terre qui constituait les pièces prévues pour maintenir ma nappe avec les pinces crocodiles en cas de grand vent.
Tout est art si l’on sait détourner les objets de leur but initial.
Je suis tellement impatiente de lui faire voir son travail que si allé trop vite ne m’entraînent des douleurs trop fortes, je rentrerais en courant.
J’ouvre ma porte et j’entre dans ma chambre.
Le monde me tombe sur la tête.

• Assieds-toi et regarde comme nous nous aimons.

Amour est en levrette, Carl lui entre dans le corps agenouillé derrière elle.

• Regarde comment mon amant m’encule bien, cela te fait plaisir de nous regarder.

J’ai envie de partir en larmes, mon monde s’écroule autour de moi ma petite lesbienne que j’aime temps est tout sauf suceuse de clito, à la manière dont Carl entre dans son rectum la pute que j’ai devant mes yeux aime se faire prendre par celui que j’étais prête à épouser et avec qui je baisais persuadé qu’il m’aimait.

• Laisse nous finir et je te raconterai tout et comment ta vie va radicalement changer.
Pour commencer, enlèvent tes affaires à partir de cette minute, tu seras toujours vêtue de ta nudité.
Carl reprend moi la chatte et fait voir à Vicky, comment tu me déclenches de grands orgasmes.

J’ai vu assise sur ma chaise Carl quitter l’anus d’Amour et lui reprendre la chatte.
Il l’a pénétré tantôt rapidement tantôt doucement comme j’aimais qu’il me le fasse et déclenché à sa salope une vague de jouissance incommensurable.
Malgré la légère douleur surtout sur mon clito, je me masturbe espérant que Carl vienne me prendre comme il prend Amour puissamment.
Carl donne un dernier coup de reins en avant et je sais que celle que je prenais pour mon amie reçoit à ma place les traits de sperme avant que je la ramasse dans la rue.
À ce moment, je comprends que chaque matin lorsqu’elle m’envoyait faire des courses, il la rejoignait et si j’avais suivi son ordre de prendre mon temps leur petit jeu allais durer longtemps, mais je me trompais.
Épuisé par l’étreinte, je les vois s’affaisser sur le côté.
Une fois de plus j’aurais dû me rebeller, mais je regarde ma chatte et la décoration qu’Amour m’a fait poser me rapproche d’elle.
Au bout d’un moment elle réagit.

• Carl, nous avions décidé avant qu’elle nous surprenne à terminer ce que nous avons commencé et décidé, il y a bien longtemps.
Après ta fuite de Châteaudun, tu aurais du mal à comprendre la haine que je t’ai portée.
J’étais la fille que tu avais éconduite de peur d’assumer ton moi profond et que nous sommes en ce moment en train de rétablir, tu es née pour m’être soumise, tu as voulu retarder l’échéance, mais j’ai su te rattraper.
Regarde ta chatte tout ce que tu as volontairement accepté que je te fasse, c’est une preuve d’amour que tu me portes.
Ma haine aurait pu se calmer si tu étais resté à Paris pour faire ta vie.
Il a fallu que lors d’un passage dans notre ville, tu viennes me voler le seul homme que j’aurais pu accepter en moi et arrêté de courir les filles étant souvent frustrées.
Un jour la feuille de chou local a fait un reportage sur la jeune peintre devenue célèbre partie de notre ville pour faire éclater son art à Paris et qui ajoutait que tu vivais à Montmartre au milieu des peintres de renom.
Sur le journal une photo de la place où tu avais travaillé.
Après, un voyage en train, je suis arrivé sur cette place qui m’a permis de te voir parler avec des peintres et de te suivre jusqu’à ta nouvelle adresse.
J’étais assise sur un banc face à ta maison lorsque j’ai vu Carl sortir.
Ma haine pour vous à ce moment était à son paroxysme. J’aurais eu un revolver, vous étiez mort surtout le jour où vous êtes sortie ensemble affichant votre amour.
Alors, j’ai décidé de séduire Carl ce que j’ai réussi rapidement, car lui aussi quoiqu’il t’ait suivi à Paris en pinçait pour moi.
C’est dans ma chambre d’hôtel que nous avons baisée la première fois et pendant les jours suivants.
Tu avais le pognon de la vente de tes tableaux et ton amant rechignait à te quitter pour venir vivre avec une fille sans le sou aussi j’ai échafaudé ce scénario pour vivre tous les trois et te redonner tes goûts que tu avais osé fuir.
C’est Carl qui a trouvé l’idée de te retrouver déguisée en une S.D.F et qui m’a aidé à me grimer avec du cirage pour paraître comme une souillon.
J’ai eu peur lorsque te voyant arriver derrière moi Carle caché derrière un arbre m’a fait signe de tomber que tout foire à cause de ce garçon qui voulait à toute force s’occuper de moi.
J’ai cru que tu avais compris que je te manipulais lorsque tu as regardé ma chatte trop bien épilée pour une fille ayant vécu quelque temps dans la rue.
Tu as compris, son absence était montée, il dormait chez moi.
Alors maintenant voilà comment va être ta vie.
Lèves-toi !

Je me lève comme un zombi pourrait le faire.

• Viens sur les genoux de Carl pour qu’il te fesse.

J’avance jusqu’à mon amant qui s’assoie au bord du lit et qui me fesse comme jamais je l’ai été.
Les objets attachés à ma chatte à chaque claque s’entrechoquent et le bruit qu’elles font plaise à Amour.

• Maintenant voilà la suite du programme.
Carl vient de réserver un local que nous allons transformer en galerie d’art pour y vendre tes œuvres.
Tu es d’accord.
• Oui.

Une nouvelle fois j’accepte de travailler pour eux, non pour nous.

• C’est bien, tu es une bonne fille, tu verras, ta soumission pour nous te tiendra en vie et ton cerveau sera entièrement tourné vers ta peinture.
Tu vivras au-dessus dans ton atelier, Carl va y installer un lit.
La femme de ménage aura interdiction de monter l’escalier, nous lui dirons qu’il est condamné, car une des marches est fragilisée.
Toi dans l’autre sens, tu en feras de même de neuf à onze où elle est là.
À oui, à part les fessées, on refuse de te toucher, ton sexe restera comme ton art, inaccessible financièrement parlant bien sûr.
Par compte, tu pourras descendre nous regarder baiser, cela te donnera de l’inspiration.
Aller file, monte chez toi je te porterais, un plateau pour ton déjeuné à partir de maintenant tu vas travailler, je m’occuperais de tes besoins en tableaux vierges et peintures.

Ma vie a été organisée comme Amour l’a souhaitée, pire même elle a fait une formation en piercing et a pris mon corps pour une œuvre d’art qu’elle module à sa guise.
Si quelqu’un de mes anciens amis me voyait, il aurait du mal à me reconnaître oreilles, nez paupières, elle m’en met partout, mais je sais que c’est par amour et je cherche même ou la prochaine fois, elle me le placera.
Les formes aussi, elle m’a apporté un bouquin où ils sont tous répertoriés chaque fois que je lui en montre un, c’est un autre quelle choisi comme pour me punir d’être une femme à succès.
À succès mais couvert par le mystère, à la galerie, chaque fois que quelqu’un cherche à savoir qui peint de telle merveille comme le disent les journalistes d’art dans les différents journaux ayant une chronique souvent tenue par de jeunes débutants qui peuvent choisir entre l’art et les chiens écrasés.
Le dernier titre, à la première page d’un des plus gros tirages, avait l’information plus que sûre que Vicky la jeune peinte à l’esprit noir, c’était retiré dans un couvent de carmélites et que les cordes qui entouraient son personnage féminin étaient celles de la corde qui sert aux nones pour faire sonner la cloche de leur couvent.
Il faut aussi parler du sexe, dans la partie supérieure de mon loft, je suis la seule à profiter de la vue alors que les amants diaboliques se contentent de la fenêtre du huitième.
Il mange dans la cuisine alors que mon plateau m’est servi sur la table où ils ont replacé des objets avec pinces de crocodiles et qui représente un dauphin, un hippocampe une crevette et espadon.
Un espadon avec une épée que je vois mal me caresser la minette à tout moment avec le risque d’être obligé de sortir de mon nid douillet pour me faire opérer la pointe entrée sur plusieurs centimètres.
Ma chambre à une fenêtre qui domine la salle de séjour et lorsque l’envie les prend de faire l’amour sur le sofa, je peux les regarder magnifiquement amoureuse de mes deux meilleur tortionnaire que j’aime.
Ce soir, la corde que Carl a enroulée autour du cou d’Amour et qu’il sert sans pour autant lui faire le moindre mal, à ce qu’il tire des deux côtés pour lui faire redresser la tête en arrière pour que sa queue entre dans son rectum en position de levrette va faire deux mieux quatre ou cinq voir une série magnifique d’œuvre que mon imagination aurait été dans l’impossibilité de composer.
Vous pourrez admirer un corps de femme à quatre pattes avec une cornette sur la tête et une corde tendue en arrière obligeant la femme à redresser sa tête comme le fait Amour en ce moment.
Bien sûr, personne ne verra l’homme placé derrière et la queue qui la laboure.
Juste la suggestion suffit à faire une œuvre énigmatique entretenant le fantasme qu’Amour et Carle ont su créer.
Notre couple à trois est en osmose eux baisant moi les peignant.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
On ne peux pas réussir à tous les coups.
Merci pour le mieux...
CHRIST71

Histoire Erotique
bof on a connu mieux de votre part .



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