Baise furtive avec la copine de mon père.

- Par l'auteur HDS MiX -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Baise furtive avec la copine de mon père. Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Baise furtive avec la copine de mon père.
Souvent, quand ça ne va pas (peu importe la raison) je vais rejoindre ma famille. Je sais que mon père et mes frères sont toujours là pour me réconforter. Ils me sortent, m’emmènent voir un film, une expo. Parfois on va en boîte. 
La dernière fois que ça m’est arrivé, je n’avais vraiment pas le coeur à sortir. J’ai débarqué à l’improviste, mon père était avec une de ses copines du moment que je n’avais jamais rencontré mais qui était très sympa, très jolie et surtout très jeune (pas plus de 30 ans). J’ai l’habitude de voir défiler ces filles, je discute avec elles mais je ne m’attache jamais, je sais qu’elles ne font que passer. Celle là, plus que la précédente, était en fait un simple plan cul régulier. Grande brune super bien foutue, elle illuminait une journée assez morose et m’a donné la trique au premier regard. Elle n’était pas là pour trouver un mari, elle était là pour le sexe et n’en faisait aucun mystère. Nous étions seuls, tous les trois dans la grande maison de mon père. Mon jogging était légèrement tendu pas ma demie molle alors que je m’asseyais, jambes écartées, face à elle, sur un fauteuil du salon. Mon père cuisinait dans la pièce d’à côté. La soirée avait l’air d’avoir été prévue d’avance, elle ne portait pas de culotte et me l’a fait comprendre en décroisant ses jambes. Je ne portais rien sous mon jogging, il était à présent tendu.

- Tu as aussi un piercing ? - M’a-t-elle demandée, regardant mon entrejambe avec insistance en croyant me mettre mal à l’aise.
- Oui, tu veux le voir ?
Je m’approchais d’elle. Elle restait assise et a déballé mon matos avec un regard gourmand. Elle l’a mis en bouche, on sentait qu'elle savait y faire. Elle fit rentrer la moitié dans sa gorge pour la couvrir de salive et l'a branlé fermement en serrant bien mon gland dans la paume de sa main. Elle aimait ce qu'elle était en train de faire, ça se voyait à la façon dont elle jouait avec mon anneau du bout de la langue.
Il y avait des capotes à ma taille dans le tiroir de la table basse, elle le savait aussi bien que moi. D'un coup de main habile et habitué, elle a fait glisser le latex sur toute ma queue et je la lui ai mise.
Le jogging en cachemire simplement baissé sous les boules, je m’étais frayé un chemin dans sa chatte humide et je la niquait comme ça, en frottant mon pubis contre le sien.
Elle était excitée par la présence de mon père à quelques mètres, il aurait pu débarquer à tout moment. Elle entendait les bruits de la cuisine, se demandait si un calme passager voulait dire qu’il allait débarquer. Je mettais ma main sur sa bouche pour étouffer les cris qu'elle poussait à chaque fois que je tapais le fond. Elle avait la chatte humide, chaude et profonde, ma queue y pénétrait presque en entier. Elle me regardait droit dans les yeux pendant que je la pénétrait, une de ses mains agrippait fermement une de mes fesses. Nos corps paraissaient faits pour s'emboiter, ma queue dans son vagin, mon pubis taillé contre sa vulve glabre sur laquelle son clitoris formait une petite aspérité dure.
Le rapport dura dix minutes, jusqu’à ce qu’elle jouisse et pose une main sur son clitoris endolori par la stimulation. Je me désengageait d’elle avec à peine le temps pour retirer le caoutchouc et approcher ma queue de son visage en la frictionnant vivement. Elle était en train de me chuchoter “t’es fou” au moment où je larguais ma sauce sur son fasciés, lui faisant lécher mon gland et mon anneau pour qu’ils soient bien propres.
Elle se rua à la salle de bain, je remontais mon jogging et allait me laver les mains à la cuisine.
Une fois le repas terminé, Clara, c’est son nom, peut être prise de remords, attira mon père dans la chambre sans même lui laisser le temps discuter avec moi. Ses cris retentissaient déjà dans le couloir du premier étage quand je suis monté dans ma chambre après avoir fait la vaisselle. J'ai mis mon casque et me suis tapé une queue devant un porno et quand je l'ai retiré, ils baisaient encore et ça dura une bonne partie de la nuit. J'en suis venu à me demander s'ils ne le faisaient pas exprès, elle avait l'air de beaucoup aimer ça, peut être qu'elle était encore plus excitée par la situation de promiscuité entre nous trois. Les jouissements de Clara me donnaient la trique et m'empêchaient de dormir et, quand j'ai senti une accalmie et entendu leur porte s'ouvrir, j'ai attrapé une capote dans mon portefeuille et me suis rué dans le couloir. Clara s'y trouvait, nue, elle se dirigeait vers la salle de bain. J'étais face à elle, juste vêtu d'un t shirt, ma queue pointait dans sa direction. La porte de leur chambre était entrouverte, la lumière passait par la fente et éclairait la femme nue, j'entendais une voix au fond de la pièce lui dire "dépêche toi de revenir, j'en ai pas encore fini avec toi !" et elle était en train de lui réponde "j'arrive tout de suite" au moment où ses yeux se posèrent sur mon engin. Elle le regardait avec gourmandise, il était certes moins imposant que celui qu'elle venait de se prendre, mon vieux ne se gêne jamais pour le faire remarquer, mais il fait tout de même 18cm en érection, épais comme un rouleau d'essuie-tout (le carton hein !).
J'avançait dans le couloir en déroulant la capote sur ma queue. Elle avait un regard mêlé de peur et de vice mais se laissait toucher sans problème. Je l'ai prise en levrette contre le mur, sa chatte était, vous l'aurez deviné, déjà très ouverte, la porte entrouverte était juste à côté de nous. Elle faisait tout pour rester silencieuse mais respirer tout de même très fort, excitée par la perspective de se faire prendre en flagrant délit. Elle avait passé une main derrière elle pour me tenir les couilles et m'empêcher d'y aller trop fort, elle les malaxait généreusement puis, au hasard d'une de mes pénétration, elle saisit le bas de ma queue pour la désengager de sa chatte et la pointer vers son anus. Elle contrôlait la pénétration afin que mon membre, très lubrifié, n'y rentre pas d'un seul coup. Nous avions peu de temps, elle devait retourner dans la chambre au plus vite, de toutes façon je n'aurais pas pris beaucoup de temps à jouir, même dans sa chatte distendue. Elle serrait son anus sur ma trique, son orifice était fait pour donner du plaisir. J'y allais de plus en plus fort et, sentant le jus monter, j'assenais de ma main droite des claques bruyantes sur sa vulve jusqu'à ce qu'elle jouisse et que je remplisse la capote. Convaincue d'avoir réalisé la prouesse de se faire niquer à deux pas d'une porte entrouverte sans se faire entendre, elle me faisait signe de faire moins de bruit alors je finissais de remplir le caoutchouc mais je n'avais plus besoin de maintenir cette illusions excitante. Je me retirais de son cul avec précaution, la queue encore bien raide et, retirant la capote progressivement, je passais la porte de la chambre d'où elle était sortie pour achever de la retirer et la jeter dans la poubelle située à deux pas, dans la chambre de mon père qui me lança:
- Enfin, je pensais que t'allais passer le weekend à la regarder sans rien faire !
- T'es fou, je l'ai déjà baisée pendant que tu faisais la cuisine !
Ce faisant, j'achevais de faire glisser le préservatif hors de ma peau, le nouait et le jetais dans la poubelle.
- Quel saligot !
Saisissant un mouchoir dans une boite, j'essuyais une goutte de sperme restée coincée dans l'anneau en ajoutant : "Par contre, tu m'excuseras mais elle voulait faire ça par derrière"
Dans un ricanement il me répondit : "Tu respectes vraiment rien !" puis, pour je ne sais quelle raison, il ajouta, en parlant un peu plus fort et à l'attention de Clara:
- Quelle queue t'as préféré chérie?
Au loin, du fond du couloir, on entendit sa voit annoncer:
- Vous avez la même mais la tienne dure plus longtemps !

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