LE MARIN. La Parisienne en vacances. (10)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LE MARIN. La Parisienne en vacances. (10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)

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LE MARIN. La Parisienne en vacances. (10)
C’est à Carnac que nous venons de rencontrer Benoît et Gislène qui nous ont demandé de les prendre en photo.
Préalablement alors que nous venons de donner du plaisir à Véronique notre belle salope venue passer des vacances pour prendre l’air du large, nous nous sommes cachés sous un dolmen et ces jeunes en voyage de noces ont baisé la jeune femme s’appuyant les seins sur un menhir.
Ils nous invitent à boire un verre à leur hôtel au centre-ville.
Nos amis parlent de nos couvre-chefs en termes erronés, car chez nous ce sont des bachis avec à leurs sommets le fameux pompon.

• C’est bien de nous le préciser, car le long de la côte, nous éviterons de faire l’impair.

Chacun de nous connaît les autres par les prénoms et le tutoiement devient la règle.

• Christian d’accord pour le nom mais les noms différents, peux-tu m’expliquer ?
• Oui, Didier vient d’être reçu à ses examens comme mécanicien, il doit avoir été bien classé, car embarquer sur le Victor est difficile. Nous partons dès le mois de novembre pour six mois autour du monde en accompagnant le porte-hélicoptères, navire-école Jean d’Arc.
• Toi aussi, moi c’est plus compliqué, mais je suis sorti de l’école, il y a un an et j’ai dans un premier temps embarqué sur la frégate lance-engins Suffren et c’est à Rio au Brésil que j’ai rejoint le Victor que nous appelons familièrement le Totor pour remplacer un mécanicien qui avait fait une connerie et qui était rapatrié vers la France pour être incarcéré.
• Et tu as voyagé.
• Oui, Rio, Panama, le Canal, Tahiti, San Francisco.
• Tu as vu les hippies.
• Je suis allé dans le quartier où ils s’étaient installés.
• Tu peux nous dire si leur slogan. « Faites l’amour, pas la guerre » en réponse à celle du Vietnam était bien leur raison principale.
• Plus que cela, chaque fois qu’elles voyaient, nos pompons, elles devenaient folles, nous baisions plusieurs fois par jour.
• Comme nous depuis que je t’ai rencontré.
• Et comme avec Gislène depuis que nous avons convolé et que je l’ai dépucelé.
Pas vraie chérie !

J’ai un doute sur ce que j’ai vu, si elle était vierge le week-end dernier, pourquoi a-t-elle accepté que Dider lui mette la main au cul.
Je veux approfondir ce mystère.

• Benoît, que faite vous ce soir, nous avons rendez-vous dans un restaurant du port de pêche de Lorient, je suis sûr que Louise et Gaëlle accepteront que nous vous ayons invité.
• Gislène, tu es partante.
• Oui, pour une fois que nous trouvons des amis sympathiques, j’aurais beaucoup de plaisir à passer cette soirée tous ensemble.
Je vous laisse, je vais me doucher et me préparer.

Je vois la jeune femme se lever et entre dans l’établissement.

• Ce qu’elle a oublié de vous dire, c’est que quelques minutes avant de vous croiser, je lui ai mis un petit coup de sexe dans sa chatte et qu’elle va aller nettoyer le sperme que je lui ai injecté.

Dans le même temps je comprends pourquoi il est légèrement lourd avec sa femme, il est deuxième ligne de rugby à Bègles d’où il arrive et où il va tenir un garage spécialisé dans les voitures américaines avec son épouse.

• Elle est de Bègles.
• Non, de Châteauroux, je l’ai rencontrée sur la plage de La-Teste-de-Buch qu’elle fréquentait avec ses parents.
Nous avons joué au volley et nous avons sympathisé. J’ai compris qu’aucun garçon s’était intéressé à elle comme moi avec aucune fille.
Notre amour est né et je l’ai épousé, je suis le plus heureux du monde.
Mais à bord de votre bateau, tu es aussi mécanicien, il marche comment ?

Je vois Didier, ce lever et lui aussi entrer dans l’établissement.
Je pense qu’il va aux toilettes et je continue à écouter et à répondre à Benoît.


• À bord, nous avons deux types de moteurs, des petits diesels qui font fonctionner des alternateurs qui nous servent à faire du courant quand nous sommes en escale.

Il mange mes propos et finit même par m’emmerder quand il veut tout savoir sur les 4 moteurs de propulsion Pielstick 12 cylindres en V de 2000 chevaux.
Je trouve bizarre le temps que met mon copain pour revenir des W.C, il finit par arriver semblant satisfait de lui et faisant tout pour passer inaperçu.
C’est quelques minutes après qu’elle réapparaît.

• Chéri, va te préparer pour que nos amis soient à l’heure à leur rendez-vous.
• Attends, Christian me parle des moteurs de leur bateau, c’est passionnant.
Tu te rends compte, à Rio, ils ont été obligés de débieller après une entrée d’eau dans un cylindre et il a nettoyé la chambre alors qu’il l’avait descendu à l’intérieur.
• La chambre, elle t’attend et la douche aussi.

Merci à Gislène de mettre de la distance entre son mari et moi car en repos parler boulot, j’ai du mal à digérer.
Il part et Véronique papote avec elle.
J’isole Didier et il m’explique que, quand je l’ai vu mettre la main au cul de Gislène, c’est en retour de la main qu’elle lui a mise et qu’il a voulu avoir le cœur net qu’elle l’avait bien fait.
Voyant qu’il semblait bien reçu quand elle est montée se doucher, il l’a suivie et prétextant qu’il ignorait ou la cuvette des W.C. pour le public se trouvait, il a frappé à la porte où il l’avait vu entrer.
Elle la conduit à la salle de bain où se trouvait leur cuvette et pendant qu’il se tenait la queue elle à fait couler son bain.
Une fois qu’elle a été dans l’eau s’étant dévêtue sans aucune pudeur devant lui elle a accepté qu’il lui passe la savonnette insistant sur l’endroit où il lui avait mis la main.
Il s’est désapé et il l’a rejoint dans la baignoire.
Elle s’est agenouillée et la prit en bouche.
Elle la fait bander à en éclater tellement ses seins appelait sa main. Il sait empresser de les attraper et à les malaxer.
Elle lui a demandé de les martyriser, car elle adorait un peu de rudesse que son mari semblait éviter de lui donner.
Il a fini par la faire s’appuyer sur le rebord de la baignoire et sans aucun refus de sa part, il l’a sexé jusqu’à lui déverser son sperme au fond du vagin.
Elle en voulait encore la salope, il a eu peur que son mari ne repère son absence, car sinon elle était partante de nouveau pour une petite partie de trou du cul.
Je lui demande de rejoindre Véronique pendant que je vais parler avec Gislène.
Quand je vois que Didier a engagé la conversation avec notre salope, je m’approche de celle que je suppute être une aussi grande salope sinon plus car elle le fait dans le dos de celui qu’elle vient d’épouser.
J’arrive à déambuler avec elle allant jusqu’à la voiture de l’autre côté de la rue.

• Gislène, je peux être franc avec toi.
• Bien sûr, pourquoi cette question.
• Je viens de parler avec le mousse qui m’a expliqué qu’il venait de te sauter dans ta baignoire.
Je l’ai vu au moment des photos te mettre une main au cul, il m’a dit que c’était toi qui la première l’avais faite.
J’ai du mal à croire qu’une jeune fille fut aussi jolie que toi puisse aguicher un garçon même si c’est un marin quelques heures après avoir convolé et faite dépuceler.
Je vais te dire ce que je pense, contrairement à ce que tu lui as fait croire, tu avais perdu ta virginité depuis longtemps quand il a cru que tu étais pucelle.
• Christian soit gentil, je le serais avec toi, ne dit rien à Benoît, il aurait du mal à l’accepter avec son éducation rigoriste, tu as raison, je l’ai abusé.

Satisfait de l’avoir percé à jour, j’attends ses explications.

• Je t’explique rapidement, car il va revenir bien que je sache que dans une salle de bain, il est pire qu’une femme en ce qui est du temps.
J’avais un peu plus de 16 ans quand l’appel du sexe m’a pris.
Conne lui j’ai grandi dans une famille catholique rigoriste, je me cachais pour assouvir mon envie, non mon besoin de sexe, j’ai commencé par mes doigts puis une carotte vite remplacée par un concombre avec lequel j’ai perdu mon hymen.
Un accident de légume ayant failli m’envoyer à l’hôpital me faire enlever le morceau qui s’était cassé dans mon vagin m’a fait prendre conscience des risques que je prenais même si mon plaisir était satisfaisant.
Je suis donc passé aux hommes dans le parc de Châteauroux où un soir où nous revenions du cinéma avec une copine l’un d’eux est sorti de derrière un arbre nous proposant de nous sucer.
• Et tu as cédé.
• Oui, avec envie et gourmandise, j’avais vu que chaque fois que je sortais avec Violaine jeune fille catho comme ses parents, j’ai réussi à faire croire au mien que nous allions ensemble au cinéma.
Tu te doutes que c’est les seins collés à un arbre que je me suis fait mon premier homme et que le plaisir qu’il m’a donné m’a fait aller de plus en plus souvent officiellement voire toute la production cinématographique de notre petite ville.
Quand tout à l’heure au milieu des menhirs, j’ai repéré que vous vous étiez caché sous le dolmen voisin, ayant entendu un léger bruit, j’ai retrouvé les sensations qui étaient les miennes quand je me faisant baiser dans le parc et que pendant qu’un me labourait les autres nous regardaient.
C’est par habitude du besoin de sexe qui me taraude que ton mousse m’ayant tapé dans l’œil, j’ai cédé et que ma main lui a tâté le cul sans que je puisse la retenir.
Tu vois, je te dis tout, soit assez sympa et si Benoît ignore mes turpitudes, je te récompenserais au cours de la soirée si nous trouvons une ouverture.
• Tu as oublié de me dire, comment tu l’avais abusé sur ton pucelage.
• Quand sur la plage, j’ai vu ce grand dadais, j’ai décidé de m’émanciper de ma famille.
Me marier m’a apparu la solution aussi, j’ai joué les pucelles pendant six mois jusqu’à l’autre soir ou après m’avoir passé la bague, j’ai fait celle qui souffrait quand il m’a pénétré.
J’avais eu six mois pour préparer ce qu’il me fallait pour l’abuser.
À l’hôtel où ma famille nous avait réservé une chambre et où je me suis habillée, j’ai demandé à tous de sortir souhaitant me recueillir.
J’ai place une fiole avec du sang récupéré lors de mes règles qui ont précédé mes noces sous le bord du matelas.
Je l’ai récupéré le matin et après l’avoir discrètement ouverte j’en ai vidé quelques gouttes sur le drap.
Les dames de services ont dû avoir une drôle de surprise quand elles ont refait le lit et qu’elles ont dû la trouver.
Retournons vers les autres, regarde Benoît vient de sortir, je compte sur toi…

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