Ma femme dominatrice m'offre à ses copines. - partie 7 - encore cocu!

- Par l'auteur HDS Luc54 -
Récit érotique écrit par Luc54 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma femme dominatrice m'offre à ses copines. - partie 7 - encore cocu! Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ma femme dominatrice m'offre à ses copines. - partie 7 - encore cocu!
Depuis une semaine ma femme se refuse à moi, j’ai droit à des baisers, on se caresse, mais elle me fait promettre de ne pas me masturber dans son dos. Nous aimons jouer, cad qu’elle devient par moment ma dominatrice et moi son soumis. Nous sommes un couple uni, la cinquantaine, et nous avons découvert nos fantasmes respectifs assez récemment. Nous avons décidé de les mettre en pratique depuis environ deux ans. Ma femme adore m’offrir à d’autres femmes et se régaler du spectacle. Je deviens alors un petit soumis avec lequel des maîtresses s’amusent. J’y trouve mon compte, j’adore ça. Le reste du temps nous sommes un couple ce qu’il y a de plus normal.
Ma femme a une amie, Béa, avec laquelle elle est très proche, c’est une libertine dominante qui nous organise des soirées coquines chez elle. Dernièrement ma femme m’a fait cocu avec un mignon jeunot de 25 piges pendant que Béa me fouettait devant elle et son amant.
Ma femme a manifesté le désir de refaire une soirée, mais avec deux gars. Elle veut être prise, soumise, baisée devant moi, pendant que Béa jouera la maîtresse de cérémonie.
- c’est pour ce week end, m’annonce-t-elle, ce vendredi matin au petit déjeuner. Nous allons chez Béa pour la soirée que j’avais demandée, tu te rappelles. Je vais faire la grosse salope, tu seras notre soumis cocu. Il y aura une surprise.
Elle me sourit elle n’en dira pas plus. Je suis aux anges, excité ; illico je bande, elle s’en aperçoit et rigole.
Samedi en soirée Béa nous accueille donc chez elle, une superbe maison avec une pièce équipée pour soirées coquines. Elle nous embrasse sur la bouche, nous roule une pelle appuyée à tous les deux.
Elle nous mène au salon et là, surprise, on retrouve Cathy, une autre amie de ma femme avec laquelle nous avions cet été joué une petite soirée, avec moi dans le rôle du soumis évidemment.
- eh oui, me fait elle, comme on se retrouve. Je suis la surprise de la soirée, ta femme m’a demandé de participer. Je vais m’occuper de toi avec Béa.
Sur ce elle vient nous embrasser. Tous les quatre nous rediscutons un peu du contenu que nous souhaitons vivre. Béa sera la dominante, elle a invité Steve, le jeunot qui avait déjà fait vibrer ma femme, ainsi que son copain Nico. Ils savent quel est leur rôle. Je serai le cocu soumis, à la merci de Béa et de Cathy, pour la durée de la soirée. Ma femme s’agite et reprécise qu’elle souhaite vivre une expérience nouvelle pour elle. Elle veut une domination soft de la part de ces deux mâles, devant moi.
Béa lui dit d’aller se préparer, elle lui donne un collier en cuir noir qu’elle devra mettre autour de son cou, pour marquer son statut de soumise. Comme l’autre fois on m’ordonne de mettre ma cagoule de soumis, mon collier et ma laisse. Béa et Cathy vont se préparer.
Elles reviennent bientôt. Béa a revêtu une combinaison en cuir un peu particulière. Son cul et sa chatte sont bien dégagés, ainsi que ses jolis seins. Cathy porte une nuisette bleue, transparente et un string. Ma femme revient se présenter, en soutien gorge et string noirs. Quant à moi, je suis à poil hormis mon collier et ma laisse. Béa nous emmène dans sa pièce aménagée, un immense lit se trouve au milieu, recouvert d’un drap noir, la lumière est tamisée, musique relaxante. Elle m’ordonne d’aller m’agenouiller dans un coin. Ma femme se met debout au pied du lit, Cathy s’installe dans un fauteuil. Béa va chercher les « garçons ». Ils attendaient dans une pièce à l’étage. Elle revient avec les deux mâles, Steve est un gars mignon, cheveux noirs, svelte et musclé. La surprise vient de Nico, c’est un superbe athlète, la cinquantaine. Ils sont en caleçon, Béa les tient par la main et les amène devant ma femme.
- Steve, toi tu la connais déjà cette chienne, Nico tu vas la connaître. Je veux que vous la baisiez ce soir comme une salope, devant son cocu de mari. Allez y franchement, faites la bien jouir. C’est moi qui dirige, tant que je ne vous dis pas d’arrêter vous y allez. (elle a mis un safeword au point avec ma femme et moi. Si l’un de nous deux prononce ce mot on arrête)Elle s’écarte et laisse le champ libre. Steve s’approche de ma femme et commence à la caresser, Nico passe derrière elle et lui prend les fesses, Steve s’attaque à sa poitrine. Ils se collent à elle, elle soupire d’aise. Cathy et Béa viennent vers moi, je bande dur déjà. Béa me prend par la laisse et me fait agenouiller devant le lit. Les garçons ont installé ma femme sur le lit, à genoux. Ils sont debout devant elle et sortent leur sexe. « Suce » lui fait Steve. Il la prend par la nuque et lui colle sa bite dans la bouche. Nico lui caresse la joue avec la sienne. Les gars sont bien membrés évidemment. A tour de rôle ils lui donnent leur queue à sucer, elle s’active en me jetant des petits regards. Nous sommes très complices dans ces moments là, j’ai également une confiance totale en Béa. Cathy, pour qui c’est une première, commence à être bien excitée, elle se trémousse et sa respiration s’accélère. Je regarde, passif mais heureux, ma femme s’activer sur ces deux bites dressées. Les gars suivent la consigne et commencent à la malmener un peu. Ils lui enlèvent le soutif et le string. Steve lui fourre de nouveau son membre dans la bouche et lui imprime le rythme avec sa main dans la nuque. De temps en temps il lui met une claque sur les seins. Nico, à genoux derrière elle lui caresse la chatte, lui claque son joli cul. Elle ondule de plaisir et d’excitation.
Béa tire sur ma laisse, je me relève ; Cathy me met une paire de menottes, je dois lever les bras et je suis attaché au plafond, juste au pied du lit. Une barre d’écartement est fixée à mes chevilles.
Ma femme est couchée sur le dos maintenant, cuisses ouvertes. Steve est en train de la lécher, deux doigts dans son minou. Nico s’est positionné au dessus de sa tête et lui a enfourné sa grosse queue. Il est en train de lui baiser copieusement la bouche. Elle se tortille dans tous les sens mais les garçons sont intraitables. Nico lui immobilise les poignets, Steve les chevilles et ils profitent allègrement de son corps. Elle grogne et crie, son plaisir monte.
Cathy est derrière moi, elle ne perd pas une miette du spectacle offert, elle me pince partout, me pétrit les nichons et les fesses. Béa ligature mes couilles et mon sexe avec une cordelette, comme d’habitude. Elle se saisit d’une cravache, tire sur le 1,5 mètre restant de cordelette. Je dois avancer mon bassin et là elle me cingle la verge tendue. Un sourire au lèvres elle me dit :- elle va se faire défoncer ce soir. Encourage un peu mes étalons, dis leur de bien baiser cette salope.
Timidement je fais : « baisez la bien cette salope », les paroles s’étranglent dans ma bouche.
Béa tire brutalement sur la corde, j’ai l’impression qu’elle va m’arracher le sexe. Elle maintient la tension et me cingle violemment le gland avec la cravache. Ça fait mal !
- je veux que tu les encourages, j’ai dit ; mieux que ça !
Submergé par la honte et la douleur je crie :- oui, allez y, baisez la bien cette salope- c’est mieux le cocu, me fait Béa dans un sourire.
Elle relâche la cordelette et vient me palper le sexe et les couilles, de temps en temps elle presse et une onde de douleur remonte alors dans mon bas ventre ; elle me sourit et me lèche le bas du visage.
Cathy me met des claques retentissantes sur le cul, Béa s’amuse de nouveau à tirer sur la cordelette, elle va m’arracher les couilles la salope. Je regarde ma femme subir les assauts des deux jeunes mâles. Ils ont inversé, elle suce Steve, Nico lui bouffe la chatte, je pense qu’elle a déjà bien joui.
Béa donne la cordelette à Cathy qui s’en donne à cœur joie, puis les filles prennent un fouet et un martinet. Cathy s’attaque à mon dos et à mes fesses avec le martinet ; Béa me fouette le ventre et la queue. Ma femme crie de plaisir. Nico est en train de la baiser en missionnaire, cuisses bien relevées, Steve lui promène sa queue sur le visage, elle la gobe tant qu’elle peut, la cochonne. Les coups me cuisent le corps, mais j’aime. Les femmes se déchaînent sur moi, le spectacle offert sur le lit est super excitant. Le bassin de ma femme ondule sous les coups de boutoir de Nico, Steve enfonce son sexe jusqu’à la garde, il lui pince les mamelons en même temps. Plusieurs fois ils se passent le relais, de temps en temps ma femme regarde vers moi. Ce soir elle se soumet à Béa et aux deux mâles, elle veut que je regarde bien comme elle se fait prendre.
- alors le soumis, ils la prennent bien, toi on va t’en mettre aussi, cocu, fait Béa bien fort pour que tout le monde entende, surtout ma chérie.
Et les coups reprennent de plus belle. Cathy tire sèchement sur la corde, mon sexe est étiré dans tous les sens, Béa me fouette le dos. Elle s’arrête et demande à Cathy de bien me faire cambrer en tirant sur la cordelette. Par derrière Béa me saisit la verge et me branle furieusement, en serrant très fort. Une quinzaine d’aller retour et elle me lâche. Cathy relâche aussi la tension. On me fouette de nouveau puis elles recommencent, Béa me branle de nouveau très fort mais pas longtemps. Je deviens fou de plaisir et de frustration. Entre temps elles me fouettent et échangent leurs places. Elles rigolent de ma déconvenue après chaque branlette.
Ma femme est prise en levrette maintenant par Steve. Comme la dernière fois il alterne les mouvements lents et les coups de reins rapides et violents. Ma chérie a le sexe de Nico au fond de sa gorge. Il lui baise littéralement la bouche, les garçon me regardent en train de me faire fouetter, ça les excite salement, ils redoublent d’ardeur.
Mes couilles sont gonflées, rouges, maintenues par la ficelle. Ma verge va exploser, Béa vise sans arrêt le gland avec le bout du fouet, Cathy me maintient cambré en tirant dessus. Puis je subis de nouveau une branlette. « interdit de jouir » me signifie Béa.
Sur le lit ma femme hurle sans s’arrêter « s’il vous plaît, non, non, oh oui, oui, encore, encore ». Béa me regarde au fond des yeux, me sourit et me fait un petit clin d’œil. Tout est OK, conforme au scénario prévu.
Elle ordonne à Cathy de me sucer, ça fait du bien, mais elle y va fort ; j’ai peur de jouir.
Béa va parler aux garçons, ils lâchent ma femme qui s’allonge et reprend un peu ses esprits. Béa la déplace de telle sorte qu’elle puisse fixer la cordelette au poignet de ma chérie. Les garçons la positionnent pour que la corde soit bien tendue et tire un max sur mon sexe. Puis Steve recommence à la baiser, Nico pose ses couilles sur et dans sa bouche, lui remonte les jambes. Chaque coup de rein du garçon se transmet au poignet de ma femme, elle s’agite de plus belle et involontairement elle m’étire mon sexe. Béa et Cathy sont contentes de leur invention, ça les fait bien rire. Avec un petit martinet en cuir elles me fouettent à tour de rôle ma queue.
- les garçons , vous la baisez encore un peu, vous lui jouissez dans sa bouche quand vous avez envie, ordonne Béa.
Le plaisir submerge ma femme, elle donne de violents coups sur la corde.
- elle va t’arracher les couilles, se marre Cathy et elle m’assène une suite rapide de coups de martinet sur ma tige.
Celle ci commence à bleuir sous le traitement. Béa s’approche et me triture les tétons, elle les pince et les fait tourner entre ses doigts, je gémis de douleur et de plaisir mêlés. Cathy s’acharne sur ma bite.
Pour rien au monde je voudrais être ailleurs. Mon plaisir et mon excitation sont au paroxysme.
Sur le lit les choses évoluent. Ils ont positionné ma femme sur le côté, ramené une jambe vers le haut et Steve la baise consciencieusement. Nico lui a tourné le visage vers nous et lui a mis la queue bien profond dans la bouche. Il fait des va et vient rapides puis se branle.
- Avale tout, lui ordonne-t-il.
Les coups de fouet ont cessé, Béa se met sur le côté et recommence ses petites branlettes. Elle observe ce qui se passe sur le lit et aussi mon état. J’ai compris : elle va me faire jouir en même temps que les mecs, la garce.
Cathy n’en peut plus, elle est debout à côté du lit et se masturbe furieusement. Le clapotis de sa chatte inondée se mêle aux râles de Nico qui éjacule dans la bouche de ma femme. Je la vois qui avale le jus tant bien que mal, la dose doit être corsée. Il se dégage et cède la place à son compère.
- va lui nettoyer la queue, ordonne Béa à Cathy qui ne se fait pas prier.
Elle va sucer doucement Nico, lui lèche le sexe. Béa observe Steve et me masturbe en conséquence. L’autre pousse un rugissement et agite son bassin dans la bouche de ma bien aimée. Il se dégage une fraction de seconde et une bonne giclée atterrit sur le visage de madame, le reste est bravement avalé. Béa accélère furieusement ses coups de poignets. Un plaisir douloureux monte de mes couilles ligaturées. A la première giclée Béa me lâche et gifle mon sexe à toute volée. Je hurle de rage et de frustration. Béa rigole et va voir sa copine, elle lui caresse le visage et lèche le sperme qui lui recouvre la joue, elles s’embrassent à pleine bouche, Cathy est invitée à participer, les garçons récupèrent. Je tremble de tous mes membres, toujours attaché, un filet de sperme s’écoule timidement de ma queue.
Les deux baiseurs sont affalés dans un canapé au bout de la pièce. Je suis toujours suspendu, mon sexe ficelé, avec mon orgasme raté qui me remplit de rage. Béa et ma femme se caressent tendrement sur le lit, elles tirent sur ma queue avec la cordelette, les salopes. Cathy vient me voir.
- tu veux que je te finisse un peu mieux, demande moi, allez.
Elle me caresse partout sauf mon sexe. Béa est en train d’organiser un tendre 69 avec ma femme. Mon sexe est toujours relié à son poignet avec la cordelette.
- alors je te branle ou non, insiste Cathy.
- S’il vous plaît maîtresse Cathy, faites moi jouir vraiment .
J’en rajoute un peu, des fois qu’elle change d’avis.
Elle me plante le doigt dans la raie du cul et commence à bien me masturber, lentement, en me serrant bien, attentive. Le plaisir arrive vite, Cathy arrête mais garde ma verge dans sa main et serre fort. Merde, elle me refait le sale coup. Du sperme s’écoule de mon gland, la chaleur monte dans mon ventre, c’est bon. Dès que ça se calme elle recommence.
- on va essayer de bien te faire juter mon petit cocu, me fait elle. Regarde ta maîtresse et Béa, elles se font du bien.
Effectivement Béa est sur le visage de ma femme et ondule du bassin. Elle se fait bien lécher par ma chérie à qui elle caresse la chatte, doucement, avec beaucoup de tendresse.
Cathy continue son manège avec moi, c’est plus qu’agréable, j’ai une espèce d’orgasme en continu mais en moins fort. Je m’abandonne complètement à sa caresse. Elle m’enfonce légèrement son index dans le cul et me masturbe maintenant carrément. Elle accélère et me chuchote : « donne ton jus, je veux le reste ». ça ne tarde pas, je jouis très fort, deux jets puissants se répandent sur le sol et Cathy continue à me branler encore un peu puis elle me termine en appuyant et en faisant sortir jusqu’à la dernière goutte. Putain que c’était bon, des ondes de plaisir parcourent encore mon ventre.
En même temps je perçois Béa qui s’agite furieusement sur le visage de maîtresse. Elle lui pétrit les seins de ses mains et retombe sur son amante. Les deux se collent de nouveau l’une à l’autre et s’embrassent fougueusement.
- les garçons vont encore te baiser un peu, tu veux bien ma chérie.
- Oui, répond elle dans un souffle en tournant ses jolis yeux vers moi.
Qu’est ce que je l’aime !
Béa ôte enfin la cordelette du poignet de ma femme et revient vers nous, les garçons grimpent sur le lit et recommencent à caresser ma maîtresse. Elle soupire de plaisir, me fait un petit coucou de la main. Ma verge durcit sur le champ. Les filles me détachent, je reste menotté, verge et couilles ligaturés. Je n’ai jamais eu d’érection aussi sensible, douloureuse mais en même temps terriblement excitante. Les filles me tirent sur le lit où les ébats ont déjà bien repris. Steve est couché sur le dos, mon épouse empalée sur sa queue en train de sucer Nico debout devant elle. Les garçons ne bougent presque pas, c’est elle qui pistonne à grands coups de reins son amant et qui plonge sa bouche sur le sexe dur du jeune noir. Elle gémit en continu, folle de plaisir.
- elle prend son pied, ça fait vachement envie, dit Cathy.
Je dois m’allonger sur le lit, à côté du trio de baiseurs.
- le cocu soumis, maintenant je vais t’enculer bien profond, ça va te faire du bien tu verras, dit Béa. Pense au safeword, me chuchote-t-elle à l’oreille, rien qu’à mon intention.
J’apprécie avec reconnaissance l’attention dont elle fait preuve. Cathy s’agenouille au-dessus de mon visage et me donne sa chatte bien juteuse à lécher. Elle est terriblement excitée et s’agite rapidement sur moi. Elle jouit sans retenue, plusieurs fois. A côté de moi ma femme continue à baiser comme une dingue, la cadence s’est ralentie mais elle part dès que Steve bouge un peu. Ils changent de position, c’est au tour de Nico, il la met en levrette, la fait se tourner pour lui faire poser sa tête sur mon ventre. Elle m’enserre la taille de ses deux bras et me serre fort pendant que l’autre la pénètre durement et la pistonne impitoyablement. Steve, debout, présente sa bite à Cathy, toujours en facesitting sur moi. Elle ne se fait pas prier et commence une fellation appliquée. Pendant tout ce temps Béa en a profité pour insérer deux doigts dans mon cul. Je les accepte sans broncher, c’est agréable, j’ai un peu l’habitude maintenant. Puis elle m’invite à bien remonter mes fesses et mes jambes, Cathy, tout en suçant consciencieusement Steve, m’attrape les chevilles et me maintient bien écarté. Quelque chose d’inconnu, de gros, me pénètre la rondelle. J’ai toujours la belle chatte de Cayhy sur mon visage mais je sens que Béa m’encule doucement avec un gode ceinture. J’en ai la certitude lorsque je sens ses deux mains prendre appui sur mes cuisses. Elle me laisse le temps de m’habituer, ma femme se fait bien baiser, je le sens aux mouvements de sa tête sur mon ventre, elle me griffe le creux des reins puis ça s’arrête.
- hé, le cocu, je te signale que Nico va enculer ta femme.
C’est Béa. Ma femme pousse un cri, de plaisir, de douleur, un peu des deux, puis je sens de nouveau sa tête osciller sur moi ; doucement d’abord puis de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Elle feule de plaisir. Nico fait varier la cadence, Cathy s’agite de nouveau sur ma bouche en suçant Steve, des jets de mouille me coulent dans le gosier. Béa commence son va et vient dans mon ventre. Un gode est un peu plus gros que ses doigts mais c’est fait avec tact et douceur. Je n’ai pas mal, une chaleur bienfaisante prend naissance dans mes entrailles.
- le cocu, tu me sens bien dans ton cul ? s’enquiert Béa.

C’est dit dans l’esprit de circonstances, avec des mots crus, mais je sais aussi que Béa veut savoir comment je supporte. Je grogne un « merci maîtresse », étouffé par le minou de Cathy. C’est le feu vert pour Béa, elle accentue ses mouvements et me baise bien le cul.
Steve embarque Cathy et l’installe sur le canapé pour la prendre tranquillement, je pense furtivement qu’elle l’a bien mérité. Je peux de nouveau voir ce qui se passe.
Ma femme, agrippée à moi, se fait défoncer le cul par Nico, elle hurle de plaisir, son regard rivé au mien. Béa accentue aussi ses coups de reins, elle me fixe, me sourit avec son clin d’œil que j’aime bien. Nous sommes au diapason, tous, avec comme seul souci de se faire plaisir, mais également de faire plaisir à l’autre, dans un respect mutuel.
Béa me saisit la verge et me branle en même temps qu’elle me baise. L’orgasme me transperce rapidement, j’éjacule magnifiquement, fier de moi face aux deux jeunes étalons. Je continue de jouir dans mon ventre grâce à Béa qui continue ses coups de boutoir. Je pense que ça ressemble à l’orgasme féminin. Nico, dans le cul de madame, jouit aussi. La tension retombe doucement, on reprend notre souffle. Béa sort de mon cul et ôte son gode ceinture. La coquine avait un double, une bonne bite artificielle enfoncée dans son vagin. Elle a joui en même temps que moi, je pense, sacrée nana ! Nico embrasse ma femme avec tendresse et s’en va tranquillement. Cathy est prise en levrette par Steve sur le canapé, elle nous jette des regards reconnaissants, heureuse d’être bien baisée.
Ma femme se couche contre moi, ses yeux plongent dans les miens, des larmes lui embuent le regard. Ma cagoule doit un peu ternir le côté romantique de la scène, je m’en fous, je la caresse, pas besoin de parler. Béa se pelotonne derrière elle et lui masse doucement le dos. L’éternité nous appartient pour un court instant.
L’orgasme strident de Cathy nous ramène à la réalité, nous rions entre deux caresses, nous sommes vidés, c’est un moment de partage intense. Nous restons tranquillement là, des papillons plein la tête. Cathy vient nous rejoindre, Steve s’est éclipsé aussi, comme la dernière fois. Nous prenons Cathy au milieu de nous, ma femme lui fait plein de doux câlins, des sourires, encore des sourires.
Je dois tout cela à mon épouse, à ses copines, surtout à Béa. Les femmes m’enlèvent ma cagoule de soumis, je redeviens un mec « normal ». Béa nous invite à la douche, elle va commander le dîner, elle veut que nous restions.
Nous voici à table tous les quatre, les jeunes mâles sont repartis. Cathy entame le sujet et veut savoir quelles sont les relations entre Steve, Nico et Béa. Elle les a recrutés via internet. On pourrait les qualifier d’escort boys, nous dit elle. Ils louent leurs services à des dames, des groupes de dames, pour des moments agréables. Chez Benia ils viennent à titre amical, pour s’amuser car ses soirées sont toujours très spéciales et sortent de l’ordinaire. En riant Cathy nous fait savoir qu’elle aimerait passer une soirée avec ces deux messieurs, quitte à payer.
- et vous deux, mes chéris ?, questionne Béa en s’adressant à ma femme et à moi.
On se regarde, c’est ma femme qui commence. Elle me serre fort la main et nous explique que pour elle ça a été fabuleux, exactement comme dans son fantasme, elle remercie Béa et se jette à mon cou. Elle niche sa tête dans le creux de mon épaule.
- mon chéri, mon chéri, tu ne peux pas savoir comme c’était bon, merci, merci. Pardon pour ce que je t’ai fait subir ce soir, croit elle utile d’ajouter.
Je redresse le tir tout de suite et je la rassure ainsi que les deux autres femmes. C’est vrai qu’au début, pour la première fois, j’étais réticent ; mais ce soir c’était pour moi le sommet. Jamais je n’aurais pensé aller un jour aussi loin dans mes envies les plus profondes. Je ne suis plus jaloux ou fâché du plaisir qu’elle s’est prise, au contraire, la voir se faire baiser, les mots crus, les humiliations, les petites tortures infligées m’ont amenés à un degré de jouissance que je n’aurais jamais pensé atteindre un jour. J’exprime ma gratitude à Béa et à Cathy pour ce qu’elles m’ont fait vivre. Cathy nous apprend, qu’à part un trio avec un couple et la soirée chez nous cet été, cela a été une première pour elle. C’est absolument génial cette façon de faire du sexe comme elle dit. Elle n’a qu’une envie, c’est de recommencer.
Béa, toute libertine dominatrice expérimentée qu’elle est, avoue qu’avec nous c’est quelque chose de très spécial. Elle dit être tombée amoureuse de notre couple, pas de l’un ou de l’autre, mais de notre entité couple. Elle me dit que je suis le soumis idéal, amoureux, que j’ai de la chance de pouvoir partager ce que je suis avec la femme qui m’aime et qui en profite bien également dans son envie de dominatrice.
Ma femme rajoute que ce n’est pas tant le fait de baiser avec deux mecs super doués qui lui ont causé le plus de plaisir, mais surtout de le faire sous les yeux de son mari attaché, fouetté, soumis à deux dominas bien salopes (comme elle dit, en riant).
Nous allons enfin nous coucher, j’ai mal partout mais je suis super bien. Ma chérie se love dans mes bras, m’embrasse tendrement et me murmure « s’il te plaît mon chéri, fais moi l’amour ».
Je ne sais pas si je vais y arriver encore ce soir mais je suis le plus heureux des hommes !

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