SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (3/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (3/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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SEXE BOY DE LA MAISON DE RETRAITE. (3/6)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --


Sexe Boy le nom est lâché, depuis le décès de Constante ma compagne ayant vingt ans de plus que moi, mes déboires financiers m’ont obligé à quitter Paris pour m’installer près d’Auxerre dans une petite maison où j’ai enterré l’urne de ma femme dans un carré de fleur.
J’y fais entrer Gislaine une vieille dame qui passe devant mon jardin me faisant des compliments sur sa tenue et que j’invite à prendre le thé.
Au début, notre conversation anodine, tourne à des confidences assez osées.
Elle finit par me proposer 50 € pour me faire une fellation ayant toujours aimé le goût du sperme ce qui lui manque dans sa maison de retraite située à quelques centaines de mètres de là depuis le décès d’Arthur son mari.
En voulant faire une boutade, je lui rétorque que je suis d’accord pour 50 € la pipe et 100 € la baise, elle me prend au mot et me sort un billet qu’elle me met en main avant de baisser mon pantalon et de me faire une pipe à la hauteur de celles que me faisait Constance.
Le lendemain on sonne à ma porte, une vieille dame très digne vient me proposer des billets pour passer un moment intime avec moi.
C’est à ce moment que les choses bascules quand je la fais entrer et qu’à la fin de ma prestation elle emploie le terme de sexe boy.

Gislaine semble avoir parlé de celui qui s’est installé près de leur maison de retraite et qui est gérontophile car dans les jours suivants j’ai dû honorer plusieurs de ses dames toutes nostalgiques des queues qui les ont pourfendus souvent jusqu’à la mort de leur conjoint et malgré leur âge les ont laissés en manque de sexe.

• Bonjour Gislaine, je vois que vous venez me revoir, avez-vous gagné au poker ?
• Oui et voici l’argent prévu pour que je vous suce, êtes-vous content des clientes que je vous ai envoyées ?
• Oui, j’y trouve un intérêt mais surtout un plaisir dans le souvenir de ce qu’était Constance ma compagne à la fin de sa vie.
J’ai un seul souci, ces dames viennent sans rendez-vous et nous étions en plein moment d’extase avec l’une d’elles quand une autre à sonner pour quémander son plaisir.
• C’était peut-être le facteur.
• Non car elle est revenue une heure plus tard et m’a dit avoir sonné.
• Je comprends le problème, as-tu un numéro de téléphone ?

Ce tutoiement entraîne un pacte entre nous car à ce moment je deviens dépendant d’elle qui me promet que chaque femme avec qui elle parlera de mes prestations aura mon numéro et pourra m’appeler pour prendre rendez-vous.

• Oui, je vais te le donner, mais demande leur de m’appeler le soir entre 18 et 20 heures afin que je planifie mes journées.
• Ce sera fait, une dernière chose, que me donnes tu en contrepartie des clientes envoyées.

Je cherche mais je ne vois rien.

• J’ai une idée, mes enfants me laissent avec peu de ressources, le poker pour gagner de l’argent est aléatoire, si tu le veux je pourrais venir gratuitement une fois par semaine te sucer et ainsi chacun y trouvera son compte.

L’argent que je gagne grâce à elle en reconnaissant faire des passes m’apporte la source de revenus me permettant de rester auprès de Constance à temps complet et m’apporte le bien-être moral et physique que je trouve en honorant ces vieilles dames malgré l’usure du temps qui ride leurs corps mais que moi j’aime.
J’ai un instant l’impression que je viens de me maquer mais comment faire pour entrer en contact avec ses femmes alors que Gislaine est au centre de la place et a facile à sentir celles qui sont encore chaudes du cul.

• C’est d’accord, une fois par semaine tous les vendredis à 14 heures comme aujourd’hui par exemple.
• Impeccable j’ai déjà en vue plusieurs amies qui m’ont demandé à te rencontrer et je vais leur donner ton numéro.
• Eh bien, entre, je pense que notre contrat commence aujourd’hui.
• Très perspicace, mais laisse-moi passer il serait incongru que je te suce sur le pas de ta porte même si j’en ai énormément envie.

C’est ainsi que Gislaine entre et dès le vestibule s’agenouille pour me sucer la queue.
J’ai honoré plusieurs de ces dames depuis ce jour béni où nous nous sommes rencontrés et elle peut profiter longuement de ma verge et de mes couilles qu’elle gobe l’une après l’autre avant que je lui remplisse la bouche la tenant par les oreilles pour mieux lui faire faire une gorge profonde.
Elle finit par passer sa langue sur ses lèvres pour une nouvelle fois tout avaler.

• Aujourd’hui j’en ai eu pour mon argent, tu as pris ton temps bien que la quantité que tu m’aies déversée était inférieure à la semaine dernière mais je comprends que tes prestations avec mes congénères me privent d’un flot aussi important que la première fois.
À la semaine prochaine même heure.

Je l’aide à se relever.
Elle me tapote la joue.

• Travaille bien, je suis contente de te rendre service.

Elle sort dignement, qui pourrait penser dans le voisinage que cette vieille femme aux cheveux blancs certainement grand-mère vu qu’elle a des enfants vient de pomper une bite et de tout avaler.
Dans la semaine qui a suivi j’ai eu 13 clentes dont quelques-unes sont revenues deux fois à des jours différents.
13 mon chiffre portent bonheur car parmi elles 3 m’ont sucé et 10 ont demandé que je les baise.
1150 € la semaine c’est un bon rapport pour que je vive ma vie d’insouciance et surtout que je prenne le plaisir de voir les attribue de ces femmes que trop d’hommes ayant passé la cinquantaine ont tendance à ignorer alors qu’elles sont toujours de belles femmes du moins pour moi.

• Bonjour Gislaine, super semaine.
• Laisse-moi entrer.
• Tu es bien pressée, tu as soif de mon sperme.
• Non, il faut de nouveau que l’on discute.
• Je t’écoute.

Je referme la porte sur cette vieille dame indigne.

•Voilà j’ai réfléchi, je viens d’apprendre que notre maison de retraite augmente sa capacité à recevoir des personnes âgées en construisant un grand nombre de chambres supplémentaires dans une nouvelle aile de bâtiment.
J’ai une amie au service administratif qui m’a assuré que la liste d’attente était surbookée et que 70% sont des femmes donc des clientes supplémentaires pour nous si je sais m’y prendre.

• Et alors ?
• À partir de ce jour tes tarifs passent de 50 à 80 € pour une fellation et 150 € pour que tu les baises.
• Tu vas les faire fuir.
• Non, j’applique ce que j’ai appris dans ma vie professionnelle et nous serons gagnants à coup sûr malgré l’augmentation.
• Cela fait deux fois que tu dis nous, pourquoi.
• Tu es perspicace, à partir d’aujourd’hui tu appliques ce tarif et tu me rétrocèdes 20 € sur une pipe ce qui te fait gagner 10 € de plus et 30 € sur une passe de baise toi gagnant 20 €.

Très calculatrice Gislaine, à coup sûr très professionnelle dans sa vie.

• Viens me donner ma ration de sperme, sur ce plan-là notre contrat est toujours le même, j’ai pensé venir deux fois par semaine mais tes couilles risquent de s’assécher si je te fais trop travailler.

Sa bouche toujours aussi chaude et sa langue aussi agile me fait partir au moment où elle me prend les boules et qu’elles serrent pour en extraire ma sève.
Elle repart comme elle est venue en me souhaitant bonne semaine.
J’ai l’impression que même si je vais gagner plus, je viens de trouver un mac qui va s’occuper de ses affaires par ma personne interposée.
Ma semaine est terminée car le samedi et le dimanche je prends comme motif d’aller en famille pour recharger les batteries.

Lundi 14 heures j’ai déjà été sucé ce matin quand mon rendez-vous de 5 à 7 s’annonce.

• Bonjour monsieur et madame que puis-je pour vous ?
• Gislaine nous a parlé de vos prestations et nous aurions besoin de vous.
• Les hommes très peu pour moi je suis hétéro.
• Sans problème, moi aussi mais si nous sommes là c’est pour ma femme.

Que m’a concocté mon approvisionneuse ?

• Alors entré il faut que nous soyons discrets, les voisins pourraient s’étonner du grand nombre de visites que je reçois.
• Vous avez raison, soyons discret.
• Un thé ?
• Moi café, Valentine préfère du thé.
• Laisser là s’exprimer.
Valentine, prendrez-vous un thé ?

D’une toute petite voix la vieille dame car elle doit avoir entre 70 et 80 ans pour être large me regarde avidement mais semble avoir du mal à parler.

• Oui, Monsieur.
• Gislaine a dû vous dire que je m’appelais Christian.
• Non, elle nous a seulement donné vos tarifs et nous a dit que vous étiez très doux avec nous.

C’est vrai, depuis que j’ai laissé entrer Gislaine ici nous avons parlé baise et fric mais jamais de mon nom.
Je dois reconnaître que depuis que je donne mes rendez-vous par téléphone, elles se contentent de dire monsieur.

•Voici les 150 €, vous avez augmenté vos tarifs depuis que j’hésite à vous amener Valentine mais je comprends chacun doit gagner sa vie cela est normal et 100 € la pute s’était donnée.

Outre le faîte qu’il me traite de pute ce qui est devenu exact depuis que je reçois mes clientes tous les jours, il est étonnant que ce soit lui qui négocie pour sa femme.

• Il doit vous sembler étonnant que je parle pour Valentine mais ma femme est très timide et a du mal à parler des problèmes de notre couple depuis que j’ai déclenché du diabète.
Les médicaments que je prends m’empêchent de bander, j’ai bien essayé les nouvelles pilules qui nous ont bien aidés jusqu’au jour ou mon cœur a flanché et ou je me suis retrouvé à l’hôpital.
Depuis Valentine est privé de son jouet, voire de ses jouets favoris.
J’aimerais qu’elle devienne l’une de vos clientes mais à une seule condition, nous sommes tombés d’accord après de nombreuses discussions que je sois présent car je dois reconnaître qu’avant mes problèmes nous aimions aller dans des clubs échangistes où j’aimais la voir se faire prendre par d’autres hommes.
• Pourquoi avez-vous arrêté d’y aller, il doit bien y en avoir un à côté d’ici ?
• Vous avez vu le désastre que la nature a fait sur elle, vous la voyez habillée mais dès qu’elle aura enlevé ses vêtements vous allez voir comment ses seins se sont affaissés alors qu’ au moment où je l’ai connu elle était « Miss tee-shirt mouillée » et ce sont eux qui m’ont fait bander.

Encore un de ces messieurs qui privilégie le plaisir de ses yeux à ceux de ses sentiments, certes il doit avoir des problèmes pour bander mais c’est surtout le corps de sa femme vieillissant qu’il repousse.

• Ou cela se passe-t-il, voici l’argent ?

Il y a deux jours je lui aurais dit ici sur ce canapé, mais pour le confort de ces dames dont certaines avaient des difficultés avec la banquette j’ai aménagé à côté de la salle une pièce que je pensais transformer en bureau mais sûrement pas en baisodrome avec un lit prenant la moitié de la pièce.

• Venez Valentine, vous verrez que nous allons bien nous entendre, j’aime votre timidité.

Alors que je l’emmène vers le lit où je m’assoie je vois son mari nous suivre et s’asseoir sur la chaise que j’ai placée là car elle était déjà dans la pièce sans penser qu’elle deviendrait l’endroit où un homme viendrait regarder sa femme se faire sauter comme un candaulisme qu’il semble être.

• Décontractez-vous, je vous sens tendu, nous allons prendre tout notre temps, dites-moi ce que vous aimeriez que je vous fasse.
• Déshabillez-moi lentement, dans les clubs nous passions dans des vestiaires et j’entrais couverte d’un simple voile de couleur dans la salle, toute ma vie je me suis toujours déshabillée seule.

Eh bien, voilà, madame a des envies simples alors que son phallocrate de mari pense comme beaucoup d’autres que seul le sexe les intéresse.
Je tourne la tête vers son mari pour voir ce qu’il fait.
Il a ouvert son pantalon et se caresse la verge qui me semble vue de loin bien molle alors qu’au simple regard de chien battu de Valentine ma queue commence à se redresser.

• Allez, baiser là…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour je tee salue, ancien de la ROYALE comme moi, j'adore les histoires candaulistes, alors ne te gêne pas continue, c'est super, à bientôt.
Je suis de Vannes, voici mon site : www.lediuzet.com

cORDIALEMENT;
Marcel.



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