Ronan et Gwénaëlle à Paris.

- Par l'auteur HDS Le Matou libertin -
Auteur homme.
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Récit libertin : Ronan et Gwénaëlle à Paris. Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ronan et Gwénaëlle à Paris.
Ronan :

A 22 ans, après trois années universitaires passées à Rennes non loin du domicile de nos parents, Gwénaëlle, ma jumelle et moi, nous poursuivons nos études dans la capitale. Même si nous avons choisi des branches différentes, nous nous sommes arrangés pour ne pas nous quitter. Grâce aux relations conservées sur Paris, nos parents ont trouvé à louer un petit appartement dans un quartier populaire où nous disposons chacun d’une chambre.

Nous avons hérité de nos père et mère un tempérament chaud qui, depuis le printemps de nos 18 ans, nous a toujours poussé à multiplier les expériences sexuelles les plus diverses. Ainsi, je sais que ma sœur (elle me l’a confié quelques temps après) a été initiée aux plaisirs saphiques par Hermine, une camarade de lycée, lors de notre voyage d’études en Italie. Plus tard elle a découvert combien faire l’amour avec un garçon pouvait être source de jouissances diverses. Quant à moi j’ai été dépucelé par la mère d’une copine lors de notre soirée d’anniversaire que nous fêtions dans leur résidence secondaire située sur le golfe du Morbihan. Ensuite, nous ne nous sommes plus privés pour faire des coquineries, soit chacun de notre côté ou lors de parties à quatre…

Très tôt vers la fin de notre adolescence, nous avions découvert la sexualité, notamment lorsqu’un jour, nous avions pu observer sans être vus, nos parents en train de faire l’amour sur sa table de la salle à manger. Depuis ce jour-là, chaque fois que cette opportunité nous était offerte, nous les observions. Chaque fois, nous étions très excités et nous avions pris l’habitude, Gwénaëlle et moi, de nous masturber jusqu’à la jouissance. Jamais nous ne nous sommes touchés mutuellement.

Ensuite, tout naturellement, ces masturbations à deux nous ont incité à poursuivre la découverte de la sexualité. Mais en fait ce n’est qu’assez tardivement que nous avons eu des relations sexuelles. Nos parents nous avaient mis en garde contre la transmission de certaines maladies et vivement conseillé de nous protéger, quelque soit notre partenaire. C’est ainsi que nous avons multiplié les expériences avec les camarades de l’université de Rennes.

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Après avoir pris nos marques, l’un et l’autre, nous avons recommencé notre chasse ! Si j’étais un hétéro inconditionnel, Gwénaëlle a jeté son dévolu sur une camarade qu’elle avait remarquée dans un amphi de la fac. Elle m’a alors avoué que, pour les garçons, elle verrait plus tard ! Elle avait envie de retrouver la douceur des étreintes féminines qui lui avaient tant manquées au cours de ces derniers mois où elle n’avait eu de relations qu’avec des hommes plus ou moins jeunes et qui s’étaient avérés être dominateurs ou jaloux…

Je ne sais pas ce que Gwenaëlle et Sophie avaient pu se dire avant que je la rencontre pour la première fois. Alors que nous avions prévu de nous retrouver tous les trois pour un petit diner au restaurant avant d’aller voir un film, Sophie est arrivée avec une autre fille, Amandine. Elles partageaient également un studio dans une commune de la proche banlieue.

Les trois filles étaient assez semblables. Toutes les trois avaient une silhouette longiligne agréable à contempler, assez grandes avec des formes menues mais quand même bien marquées et mises en valeur par des sweatshirts et pantalons bien ajustés. De longs cheveux plus ou moins foncés tombant sur les épaules encadraient un visage ovale à peine maquillé.

En attendant d’être servis, j’ai pu remarquer Gwénaëlle et Sophie, qui, assises côte-à-côte sur la banquette, n’arrêtaient pas de se frôler les mains, de se parler à l’oreille. Bref, je ne savais pas qui courtisait l’autre mais, connaissant ma sœur, je pense qu’elle avait déjà du poser quelques banderilles pour faire succomber Sophie ! De mon côté, j’ai entrepris de faire plus ample connaissance avec Amadine qui était dans sa première année d’études supérieures. Faute d’avoir trouvé une autre solution, elle avait été contrainte de se loger en colocation avec Sophie, mais soulignait-elle, elle ne partageait pas les goûts de cette dernière. Elle avouait franchement qu’elle était gênée quand elle avait ramené plusieurs fois d’autres filles avec qui elle avait passé des nuits assez tapageuses.

Le repas terminé assez rapidement, horaire du film oblige, nous nous sommes retrouvés tous les quatre dans l’obscurité des la salle, dans l’ordre Gwénaëlle et Sophie à ma gauche et Amandine à ma droite. Vers la fin du film, il y a eu quelques scènes assez violentes et Amandine s’est collée contre moi, prenant ma main dans la sienne pour la serrer. En me penchant vers elle, je lui dis à l’oreille :
- Ne crains rien, ce n’est que du cinéma !
- Je sais, mais je ne peux m’empêcher ! J’ai toujours eu peur de ce genre de scène car je ne peux manquer de penser que cela arrive dans la vie réelle !
- Hélas, la violence est partout dans ce monde !

Il était bien plus de minuit quand le film s’est terminé. En sortant de la salle, Amandine a glissé son bras sous le mien et nous sommes sortis derrière Gwénaëlle et Sophie, qui elles, se tenaient tendrement enlacées par la taille. En marchant, je sentais la hanche d’Amandine heurter doucement la mienne et la chaude rondeur d’un sein peser sur mon avant bras. Nous nous sentions bien ensemble.

Nous somme rentrés tous les quatre à notre appartement. Ma sœur et Sophie étaient de plus en plus chaudes à se rouler des pelles ou se peloter ouvertement dans le métro ! Je ne voulais pas qu’Amandine rentre seule chez elle car elle avait un peu de chemin à faire à pieds depuis le terminus de la ligne. J’offrais de lui céder mon lit alors que je coucherais sur le canapé. Ce n’est pas que je n’avais pas envie de lui faire l’amour car elle était désirable mais je ne voulais pas la croire fille facile, prête à coucher dès le premier soir.

Aussitôt arrivées, Gwénaëlle et Sophie se sont réfugiées dans la chambre de ma sœur d’où des éclats de rire et des gloussements sans équivoque n’ont pas tardé à fuser. Assis l’un à côté de l’autre sur le canapé, je bavardais avec Amandine et nous nous sommes confiés nos projets d’avenir… Elle devait rapidement terminer ses deux années de B.T.S. car ses parents ne pourraient pas financer de longues études. Elle nous enviait un peu de pouvoir poursuivre aussi longtemps des études supérieures. Nous nous sentions bien ensemble mais, une fois encore, je ne voulais pas aller trop vite même si Amandine me plaisait de plus en plus !

Lorsque je l’ai conduite dans ma chambre, nous nous sommes souhaité une bonne nuit en nous embrassant comme deux copains. De retour dans la pièce commune, j’ai pris une couette et un plaid et je me suis allongé sur le canapé. Quelques heures plus tard, j’ai été éveillé par Amandine qui avait froid. C’est vrai que je ne chauffe pas ma chambre… et elle ne portait que son soutien gorge et un tanga assortis. Elle grelotait littéralement, tremblant comme une feuille des pieds à la tête :
- Viens sous la couette avec moi, tu verras, tu ne tarderas pas à te réchauffer.

Nous nous sommes couchés l’un contre l’autre, Amandine lovée dans mes bras en me tournant le dos, nous nous sommes rendormis rapidement... Au petit matin, je me réveillai avec une érection impossible à dissimuler qui tendait mon slip et se trouvait logée entre les fesses d’Amandine qui dormait encore. J’avais un bras passé sous son cou et je ne voyais pas comment faire pour me dégager et chaque fois que je voulais prendre un peu de distance, j’avais l’impression que le petit cul d’Amandine se collait encore plus contre moi ! Soudain, une murmure :
- Fais-moi l’amour ! J’en ai envie, je suis si bien dans tes bras !

Comment résister à une telle invitation ? Pendant que je cherchais un préservatif et que je me couvrais, Amandine a fait glisser son tanga et, restant dans la même position qu’au réveil, elle m’a attendu :
- Viens, prends-moi à la paresseuse !

Je me suis glissé derrière elle qui a écarté ses fesses et une cuisse pour que je puisse la pénétrer ainsi. Lorsqu’elle a senti que j’étais engagé dans sa chatte, elle s’est reculée d’elle-même pour que j’entre complètement :
- Oh oui ! Prends-moi bien !

Et je l’ai prise ainsi, me glissant entre ses fesses menues et empaumant un sein encore maintenu par son soutien gorge. Qu’elle était étroite mais oh combien accueillante ! Sa chatte était littéralement inondée de cyprine ce qui m’a facilité la pénétration. Quand mon ventre a été collé contre les globes charnus de son cul, Amandine s’est poussée contre moi, violemment comme si je pouvais encore aller plus loin. J’ai passé mon autre main par-dessus sa taille et je suis allé la mettre par devant dans la fourche de ses cuisses. Une fois en place, j’ai massé son Mont de Vénus avec ma paume, faisant crisser doucement les poils de son pubis.
- Ouiii ! Continue ! C’est bon !

Lentement j’ai commencé les allers-retours en veillant à ne pas sortir de son vagin étroit. Elle accompagnait mes mouvements de petits cris et de soupirs discrets mais l’un comme l’autre, nous sentions notre plaisir monter rapidement. Je devais me retenir car je n’avais plus fait l’amour depuis plus de six semaines quand nous avions quitté la Bretagne. Je m’étais offert une belle partie de jambes en l’air avec une vague copine, l’un et l’autre un peu bourrés. Elle se sentait un peu seule et en manque de sexe, partie qui, au petit matin, nous avait laissés ivres de fatigue et de plaisir. Soudain, Amandine s’est pressée contre moi, projetant vivement ses fesses à la rencontre de mon pubis au moment où elle jouissait. J’ai immédiatement lâché deux ou trois gerbes de foutre au fond de la capote. Waouh ! Que c’était bon !

Nous sommes restés enlacés de longs moments à savourer notre plaisir commun ! Cette fille d’à peine 19 ans était une véritable bombe sous ses apparences sages. J’étais encore au fond de sa chatte quand elle a entrepris de masser ma queue par de savantes contractions de ses muscles intimes si bien que ma bite a rapidement retrouvé sa splendeur… Mais à ce moment là, Amandine s’est dégagée et m’a fait rouler sur le dos, mon sexe dressé vers le plafond comme un épieu sur lequel elle est venue s’emmancher après m’avoir enfilé une nouvelle capote ! Là, elle n’avait plus froid. Dans le clair obscur de la pièce, je la voyais désormais intégralement nue, ses petits seins bien ronds cependant et d’une blancheur laiteuse balançant doucement au gré de ses mouvements de bas en haut.

Je l’accompagnais en inclinant plus ou moins mon bassin pour que ma bite aille bien tout au fond de sa chatte qui continuait à pressurer mon gland par des douces contractions. Elle savait y faire cette coquine ! Mais là, c’est moi qui suis parti le premier, jouissant au moment où elle était totalement empalée sur moi. A-t’elle senti les jets de sperme frapper le fond du préservatif ? Toujours est-il qu’elle a joui aussitôt en poussant un grand râle et en s’affalant sur mon torse.

Nous étions encore dans cette position, les jambes emmêlées, quand Gwénaëlle et Sophie sont sorties de la chambre de ma sœur, tout juste vêtues d’une culotte des plus réduite pour passer toutes les deux dans la salle de bains. De nouveaux gloussements n’ont pas tardé à fuser au travers de la porte. Elles devaient être ensemble sous la douche… Après un copieux petit déjeuner pris assez rapidement, Sophie et Amandine nous ont quittés pour rentrer chez elles.

Nous nous sommes revus à plusieurs reprises au cours du premier trimestre. Quand je savais que Sophie viendrais rejoindre ma sœur, j’allais retrouver Amandine. Les uns comme les autres, nous étions libres de baiser comme nous en avions envie, cela d’autant plus qu’Amandine m’avait confié ne pas aimer s’exhiber devant d’autres personnes. Moi, cela ne me gênait absolument pas, avec Gwénaëlle, cela nous était arrivé assez fréquemment de faire l’amour avec nos partenaires du moment les uns à côté des autres.

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Quelques mois ont passé et nous approchons de la fin de l’hiver. Les relations entre Gwénaëlle et Sophie sont de l’histoire ancienne : Ma sœur a rencontré dans une boite où elle était allée danser un homme d’une bonne dizaine d’années de plus qu’elle et il semblerait que ce dernier la comble de plaisirs car elle découche assez régulièrement. Quant à moi, au retour de vacances de Noël, Amandine m’a annoncé qu’elle s’était fiancée avec un copain de sa ville. Elle m’a remercié de ce que je lui avais donné avant les vacances mais elle ne souhaitait plus continuer avec moi ! Sur le coup, j’ai été un peu triste car je m’entendais bien avec elle sur tous les plans et nous avions tissé une belle complicité sexuelle.

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Gwénaëlle :
Après les quelques mois de ma relation avec Sophie, j’a i rencontré Alan, un homme de 35 ans qui immédiatement m’a séduite. Grand blond à l’allure sportive, je dois avouer que nous nous sommes dragués mutuellement le premier soir si bien que nous nous sommes donné rendez-vous dans le même établissement le samedi suivant. Au petit matin Alan m’ayant fait une cour plus qu’appuyée, je me suis retrouvée dans son appartement au sixième étage d’un immeuble du XIIIème arrondissement. Je m’étais un peu fait prier car je ne voulais pas passer pour une fille facile mais j’avais tellement envie d’un homme que je me suis laissé emporter par cette envie… C’est vrai que plus de quatre moi sans avoir été prise par un mâle, un vrai (pas de ces jouets vibrants qui me satisfont quand je suis en manque) çà fait long !!!.

J’étais prête à me livrer entièrement à cet homme, sans complexe, totalement consentante à ce qui allait se passer ! Lorsqu’il m’a conduit dans sa chambre où nous attendait un grand lit bas, ma chatte était déjà toute liquide tant j’avais envie de sentir un sexe vivant en moi ! Alan a rapidement dénoué les codons de mon caraco et il l’a fait glisser sur mes épaules, dévoilant ma poitrine ronde présentée par un soutif à demi-bonnets qui a pris le chemin de la moquette aussi vite que mon caraco. Je n’avais plus sur moi qu’une minijupe plissée, un collant fin, mon string bon à tordre et mes chaussures à talons hauts. J’étais presque aussi grande qu’Alan.

Nous avons recommencé à nous embrasser comme dans la boite, collés l’un à l’autre, lui cherchant à insinuer une cuisse entre les miennes alors que j’ondulais du bassin pour faire grimper son érection que je sentais contre mon pubis. Nos mains sur les fesses, nous nous pressions l’un contre l’autre. Puis Alan s’est attaqué à ma poitrine en faisant rouler mes tétons sensibles entre ses doigts ! Waouh ! Que c’était bon ! Ma chatte ruisselait littéralement !

J’ai fait glisser le collant, le string et ma jupette et j’ai entrainé Alan sur son lit où je me suis offerte à lui, impudique, les cuisses ouvertes en grand sur ma chatte à la toison courte et taillée en cœur sur laquelle il s’est précipité pour un cunni magnifique qui m’a fait partir une première fois. Ensuite il s’est déshabillé (waouh, le beau mec, musclé, hâlé) et j’ai découvert ce membre viril qui faisait pleurer d’envie ma chatte qui n’aspirait qu’à une chose : l’accueillir ! Il n’avait rien de remarquable ! De grosseur moyenne et d’une vingtaine de centimètres de longueur, il me convenait tout à fait !

Alan s’est couvert aussitôt et d’une longue poussée, il est entré en moi, collant son pubis contre mien. Humm ! J’étais tellement humide qu’il est entré sans forcer. J’ai noué mes jambes sur ses reins pour ficher sa queue plus encore dans ma chatte brulante et l’y retenir. Je n’avais certes pas oublié combien faire l’amour avec un homme pouvait être bon, mais là, j’étais comblée au delà de toute attente ! J’étais tombée sur un baiseur attentif qui outre prendre son plaisir, allait m’en donner à satiété ! Alan faisait de longs mouvements de son bassin, sortant presque à chaque fois de mon sexe avant d’y replonger le sien d’u mouvement sec qui me faisait vibrer comme une corde trop tendue… si bien que je n’ai pas tardé à jouir une seconde fois, entrainant Alan dans mon plaisir ! Oh que c’était bon de sentir les jets de sperme même au travers du préservatif !

Ce dimanche matin là, nous avons baisé comme des fous ! Allan m’a prise dans toutes les positions les plus classiques du Kamasoutra en me disant que je n’en avais pas fini avec lui :
- Puisque tu es une chaude, je vais te faire connaitre de mes amis qui vont te baiser comme tu le mérites !

Je dois avouer que lorsqu’en début d’après-midi, il m’a déposé au pied de mon immeuble, j’étais vannée, ivre de jouissance répétées si bien que je me suis couchée jusqu’au lundi matin après être passée sous une douche tiède.

Depuis bientôt un mois, je passe une grande partie des weekends avec Alan, généralement j’arrive le samedi en fin d’après midi jusqu’au dimanche soir. Nous faisons l’amour comme des furies. Je n’ai jamais eu un amant aussi endurant ni aussi inventif dans ses caresses mais ce soir là, quand j’arrive chez Alan, je trouve la table dressée pour quatre personnes. Quand je l’interroge il répond en souriant :
- Il s’agit d’un couple d’amis que je vais te présenter. Ensuite nous sortirons mais avant je vais te montrer les habits que tu porteras ce soir !

J’ai à peine eu le temps de me changer, de me remaquiller et coiffer que ces amis arrivent. Il s’agit d’un couple qui doit avoir sensiblement le même âge qu’Alan. La fille est une grande blonde aux cheveux ondulés tombant jusqu’au creux des reins. De grands yeux verts, un petit nez mutin et une bouche un peu large aux lèvres artistement maquillées dans un visage à l’ovale parfait en font une jeune femme délicieuse à regarder. Elle porte une robe bustier très largement décolletée au point qu’on voit une grande partie du haut d’une poitrine opulente. Très courte, cette robe découvre la moitié de ses cuisses rondes gainées de soie arachnéenne. Ses jambes se terminent par des escarpins noirs à très haut talons qui, quand elle se déplace font à Karine une démarche ondoyante et sensuelle. Je pense aussitôt en moi-même que je lui ferais volontiers un peu de cour pour peu qu’elle partage mes penchants bisexuels…

Autant Karine est blonde, autant Sergio est brun et mat de peau. D’ailleurs son accent italien me confirme ses origines méditerranéennes. Grand également, il a un visage mâle avec des yeux noirs perçants. Son polo siglé d’une célèbre marque moule étroitement ses pectoraux et son ventre plat. Bel homme ! Sur de son pouvoir de séduction.

Le repas léger se déroule rapidement dans une ambiance chaude faite d’allusions coquines ! Ces trois là semblent très bien se connaitre. Nous quittons ensuite l’appartement d’Alan et dans la voiture de ses amis, nous nous dirigeons vers le centre de Paris où nous ne tardons pas d’arriver et de pénétrer dans un parking souterrain. Dans l’ascenseur qui nous remonte au niveau de la rue Alan et Sergio me bandent les yeux et me guident en me tenant chacun par un bras :
- Tu vas découvrir un lieu où tu vas pouvoir t’éclater. Laisse-toi guider !

En tendant l’oreille, j’entends Sergio parler avec un homme qui nous dit d’entrer. Entrer où ? Vous ne vous en doutez pas ? Mais si ! J’entre dans un club échangiste pour la première fois ! Je vais découvrir ce qui s’y passe ! Jamais je n’avais eu l’occasion d’y entrer ! Là en groupe, cela ne me posait pas de problème.

Les yeux toujours bandés, les deux hommes m’ont conduite vers le bar où ils m’ont retiré le bandeau. Quelle découverte ! Les deux serveuses qui officiaient derrière le comptoir étaient plutôt dévêtues : un haut en filet aux mailles assez larges découvrait en partie leurs seins et un minishort en tissu brillant moulait leurs fesses. Autour de nous il y avait une dizaine de personnes des deux sexes, plus ou moins vêtues et dans des poses plus que lascives.

Pendant que les deux hommes bavardaient avec le gérant du club, Karine m’a guidée pour parcourir les différentes salles où j’ai découvert toutes les installations. Quand nous sommes arrivées dans un petit salon libre, Karine m’a enlacée, collant son corps contre le mien en prenant ma bouche dans un baiser torride :
- Viens, j’ai envie de toi et comme je devine que tu aimes aussi les femmes, nous allons nous satisfaire mutuellement !

Ce programme me convenait tout à fait et il allait ouvrir une soirée dont je me souviendrais longtemps. Quand nous faisions l’amour, deux hommes se sont approchés de nous en masturbant doucement leur bite bandée à mort et quand nous avons joui, ils se sont invités dans notre duo ! Après un rapide cunni, ils nous ont baisées toutes les deux en levrette puis après que la jouissance nous ait emportés, ils nous ont quittés.

Raconter tout ce qui m’est arrivé cette nuit là serait trop long mais je vous laisse imaginer ! J’ai été baisée, rebaisée, enculée (c’est rare) par Sergio, j’ai sucé au moins une demi douzaine d’hommes qui ne se sont pas gênés pour cracher leur foutre sur mes seins ou dans ma figure. Pour une première, j’ai fait fort ! Mais cette nuit de folies sexuelles m’a tellement comblée que je n’ai qu’une hâte : recommencer !

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Texte coquin : Ronan et Gwénaëlle à Paris.
Histoire sexe : Une rose rouge
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