Psychothérapeute aux méthodes peu conventionnelles

- Par l'auteur HDS Franck Tizob -
Auteur homme.
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Récit libertin : Psychothérapeute aux méthodes peu conventionnelles Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Psychothérapeute aux méthodes peu conventionnelles
La période qui a suivi mon divorce, fut éprouvante. J'avais beaucoup  perdu confiance en moi. J'avais le désir de refaire ma vie, comme on dit, avec quelqu'un d'autre, mais en même temps je trouvais cette perspective effrayante.Une de mes amies, elle aussi divorcée, me conseilla de consulter une psychothérapeute.

- Tu sais, tu devrais aller voir Tania D., elle est très efficace, elle m'a évité une dépression il y a quelques années... Elle est un peu mystique, ses méthodes ne sont pas très conventionnelles, mais le travail que j'ai fait avec elle m'a vraiment changé la vie !
- Ah vraiment ? Mais c'est quoi ses méthodes ?
- Disons que, comme avec tous les psy, elle va te faire parler, rechercher et analyser les causes profondes de tes problèmes... Ça, c'est la partie intellectuelle, normale. Mais la différence avec elle, c'est qu'ensuite, elle va te faire travailler sur toi, physiquement.
- Comment ça physiquement ? En quoi ça consiste ?
- Je ne sais pas, je pense que c'est différent pour chacun. Disons qu'elle va te mettre en situation plus ou moins réelle, afin de dénouer les problèmes...
- Ah d'accord, je ne comprends pas très bien, mais je verrai...

Je pris donc rendez-vous avec Tania D. Son cabinet était en centre-ville, dans la partie médiévale. La salle d'attente était au rez-de-chaussée, minuscule, joliment décorée. Il y avait beaucoup de magazines de psychologie, et de voyage.

La porte s'ouvrit et je vis apparaître une femme absolument magnifique. Elle avait la quarantaine, était assez grande, la peau mate. D'après son allure, je présumais qu'elle avait des origines exotiques. Sa chevelure était très épaisse, légèrement bouclée, brune mais tirant sur le roux. Ses yeux noirs étaient perçants et très brillant. Son sourire flamboyant creusait des petites fossettes sur ses joues. Elle était vêtue d'un jean serré, d'un chemisier moulant qui mettait bien en valeur sa fabuleuse poitrine. Et elle était pieds nus... Ce qui la rendait encore plus sexy.

Son apparition a été pour moi un choc, je ne m'attendais pas à me retrouver face à une femme si séduisante, ce n'était pas l'image que je me faisais d'une psy. Elle m'invita à passer la porte, et je me retrouvais dans une sorte de vestibule tout en longueur, décoré de tapisserie et garni de bancs en bois alignés le long des murs. Une porte était ouverte, donnant sur un étroit escalier en colimaçon. Elle m'invita à descendre cet escalier, après m'avoir demandé de me mettre pieds nus. Je trouvais cette situation de plus en plus bizarre.

Son cabinet était une salle voûtée, sans fenêtres, richement décorée de tentures et tapis orientaux, d'icônes religieuses, de statues. Toutes les religions y semblaient représentées. De l'encens fumait dans un coin, un paravent chinois cachait un fond de la pièce. Elle s'installa dans un grand fauteuil de bois sculpté, me proposa de m'asseoir en face d'elle, me laissant le choix entre un fauteuil confortable, une simple chaise, un tabouret ou un pouf volumineux. Je choisis le pouf. Elle me regarda dans les yeux quelques secondes, comme elle était en hauteur par rapport à moi et que son regard si perçant, je me sentis tout petit et intimidé. L'entretien commença.

Je lui ai exposé les raisons de ma présence. Elle me demanda de raconter brièvement ma vie, puis me posa beaucoup des questions sur les conditions dans lesquelles je me trouvais alors. Elle me fit parler succinctement de mes expériences amoureuses, de mes ruptures, des problèmes et des bonheurs que j'ai pu vivre avec les femmes, cernant très vite le cœur du problème.

- Je pense que vous êtes une personne très sensible et émotive, que vous avez du mal à vous protéger. Les femmes vous attirent profondément, mais elles vous éprouvez de la méfiance à leur égard. Beaucoup de vos problèmes relationnels avec elles viennent de là, je pense. Vous devrez surmonter vos craintes, pour retrouver confiance en vous-même et en elles. C'est là-dessus que nous devrons tout d'abord travailler.

Fin de la séance... Deux semaines plus tard, je me retrouvais de nouveau dans son cabinet, toujours aussi impressionné par le charisme de cette superbe femme.

- Comme je vous l'ai dit la dernière fois, nous allons agir pour vous libérer de vos peurs. Pour cela vous ne devrez rien me cacher, me révéler vos plus intimes secrets, même les plus inavouables. Vous devrez mettre votre âme à nu, pour pouvoir avancer. Êtes-vous d'accord ?
- Euh, oui... Je crois que je suis là pour ça...
- Bien. Pour commencer, nous devons annuler vos mécanismes de défense, parce que vous ne devrez pas me mentir, ni vous mentir. J'utilise pour cela une méthode très simple. Allez derrière ce paravent, et déshabillez-vous complètement, puis revenez poursuivre cet entretien comme au jour de votre naissance, sans aucun masque.

Quel choc ! Je fus pris de panique et faillis refuser. Mais son regard hypnotique lisait en moi comme dans un livre ouvert.

- Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous juger, ni vous humilier. Nous devons juste créer des conditions nécessaires à la sincérité.

Terrorisé, je suis allé derrière le paravent. Puis nu comme un ver, mes mains cramponnées autour de mon sexe, je revins vers elle tout frissonnant.

- Détendez-vous, respirez profondément. Habituez-vous. Bientôt, vous trouverez ça naturel...

Naturel ?! Se mettre à poil devant sa psy, c'est naturel ?

- Retirez vos mains, montrez-moi votre sexe.
- Mais pourquoi ?
- Livrez-vous à moi, acceptez que je vous regarde tel que vous êtes. Je suis seulement là pour vous aider. Avez-vous peur ?
- Oui un peu... C'est gênant vous comprenez.
- Qu'est-ce qui vous gêne ? Avez-vous honte de votre corps ? De votre sexe ?
- Euh, non... Oui... Je ne sais pas...
- Ôtez vos mains s'il vous plaît.

Elle jeta un regard sur mon sexe tout ratatiné, comme si je sortais d'un bain glacé, puis elle me sourit, ses fossettes merveilleuses creusées sur ses joues.

- Vous voyez qu'il n'y a rien à craindre. Je vous félicite, vous venez de franchir une étape dans la lutte contre vos peurs. Vous êtes un homme, soyez fier de votre virilité, ne vous en cachez pas.

Je sentais des fourmillements sur mes couilles, je la regardais dans les yeux, n'osant pas apercevoir d'autres parties de son corps qui auraient pu me provoquer une érection.

- Asseyez-vous, je vous prie. Nous allons maintenant remonter aux origines, à votre enfance. Aux premiers rapports que vous ayez eu avec votre sexe. Vous rappelez-vous de votre première érection ?
- Non, j'ai l'impression que j'en ai toujours eu...
- Vraiment ? C'est intéressant. Trouviez-vous ça normal ?

Je rougissais alors que son regard fouillait au plus profond de mon esprit.

- Je me posais beaucoup de questions. Je me souviens en avoir parlé à mon père, à mes sœurs... Mais leurs réponses ne m'ont pas vraiment avancé, je voyais bien que je les gênais.
- Vous êtes-vous déjà masturbé ? A partir de quel âge ? Le faites-vous encore ?

Je rougissais encore plus, et une vague de chaleur envahit mon bas ventre.

- Oui... Le plus loin que je me souvienne, je devais avoir sept ou huit ans.
- Le faites-vous encore ?
- Euh oui bien sûr...
- Vous savez, ce n'est pas évident pour tout le monde, beaucoup de personnes en éprouvent de la honte. Vous êtes courageux de me parler de ça. A l'époque, trouviez-vous ça normal ?
- Non, justement, je pensais que je faisais une bêtise.
- Donc vous vous cachiez et aviez peur d'être découvert, n'est-ce-pas ? Tout ça est bien banal...

Elle me sourit d'un air bienveillant, jeta un coup d’œil entre mes jambes, elle réfléchit quelques instants.

- Pouvez-vous me dire quel est le fantasme qui provoque chez vous le plus d'excitation, et en même temps le plus de peur ?
- Être nu en public...
- Mais encore ?
- Avoir une érection incontrôlable... Et que des femmes se moquent de moi...
- Ah voilà ! Tout est lié, voyez-vous. La peur et l'excitation, votre virilité et les femmes...

Fin de la séance...Je rentrai chez moi, profondément troublé par ce qui venait de se passer. Je vécu les deux semaines suivantes dans l'appréhension, et en même temps dans l'excitation, à l'idée de retourner dans son cabinet, de me retrouver à nouveau nu devant ma psy. Cette pensée me provoquait à chaque fois une érection, et je me voyais bandant sous le regard inquisiteur de cette femme fabuleuse. J'attendais dans son cabinet, apeuré et terriblement excité. L'heure venue, souriante elle m'invita à descendre dans son salon.

- Comme la dernière, fois, je vous demande de bien vouloir de laisser tous vos vêtements derrière le paravent.

Je me déshabillai, et me retrouvai avec une érection des plus intenses. Je n'osais pas retourner vers elle ainsi.

- Avez-vous un problème ? Je vous attends.
- Oui, en fait... Je... Non je ne peux pas, ça serait déplacé...
- Je vois... Allons, venez vers moi, ce n'est pas grave, c'est naturel.

Je sortis de derrière le paravent, le visage écarlate, essayant sans succès de cacher ma gaule avec mes mains. Elle me toisait de la tête aux pieds, un sourire radieux illuminant son visage.

- C'est très bien, vous faites preuve de courage. Mais votre peur est infondée. Ôtez vos mains, je veux vous voir tel que vous êtes.
- Je m'exécutai.
- Vous êtes magnifique ainsi, soyez être fier de vous. Est-ce moi, ou la situation qui provoque chez vous cette réaction ?
- Oh je crois que c'est les deux...

Elle posait régulièrement et ostensiblement son regard sur mon sexe, pendant qu'elle me parlait.

- Parfait. Aujourd'hui, j'avais justement prévu de travailler sur le sujet du fantasme que vous avez évoqué la dernière fois, de le débloquer, de le résoudre pour que vous puissiez aller de l'avant, que vous puissiez construire autre chose. Je pense que c'est une étape nécessaire. Êtes-vous d'accord ?

Je ne comprenais pas vraiment le sens de ce qu'elle disait, j'étais tellement excité et mal à l'aise que j'étais incapable de réfléchir. Je ne pensais qu'à jouir, à être libéré le plus vite possible ! Donc j'acceptai, sans me douter de ce qui allait se passer.

- Très bien. Savez-vous que j'organise des stages de formation concernant mes méthodes de travail, destinées aux confrères que cela intéresse ?
- Non...

Mais pourquoi donc me parlait-elle de ça ?

- Parfois, je demande de l'assistance à certains de mes stagiaires, pour travailler comme aujourd'hui, sur certaines mises en situation. Deux personnes se sont proposées pour m'assister, et vont donc nous rejoindre. Je vois que vous paniquez, mais rassurez-vous, ce sont des psychothérapeutes comme moi, et sont très compétentes. Ne bougez pas, je reviens dans un instant.

Elle sortit de la pièce, me laissant seul avec ma panique. Mon érection devenait douloureuse, mon ventre était vibrant de peur, mon esprit complètement embrouillé. Je transpirais à grosses gouttes et frissonnait comme si j'étais fiévreux. En fait, je crois que j'étais vraiment fiévreux... J'entendis des pas dans l'escalier, et Tania réapparut, suivie par deux charmantes jeunes femmes aux pieds nus. Je me recroquevillai dans le pouf, essayant de cacher le plus possible mon sexe turgescent. J'aurais donné n'importe quoi pour être ailleurs !

- Je vous présente mes confrères Alice et Magali, qui ont accepté de travailler avec nous aujourd'hui.

Magali était de taille moyenne, très brune et frisée avec de grands yeux bleus. Elle portait une jupe, un débardeur moulant, et beaucoup de bijoux. Alice était une grande blonde aux cheveux très longs, qui portait un jean très moulant et une chemise blanche au décolleté renversant. Mais ces détails, je ne les remarquai que plus tard. Sur le coup, je ne vis que leurs beaux visages souriants tournés vers moi avec intérêt. Les trois femmes me toisaient de haut, puisque j'étais accroupi dans le pouf, au ras du sol, tétanisé. Mais Magali me tendit la main pour que je la serre, à une distance suffisante pour que je sois obligé de me mettre debout, ce que j'aurais dû faire normalement par politesse. Je devais saluer deux charmantes inconnues, qui auraient comme première image de moi un homme complètement nu et vulnérable, en pleine érection. Avant même d'entendre le son de ma voix, elles auraient la vision complète et crue de ma plus tendre intimité. Elles connaîtraient tous les détails de mon corps, tous mes défauts, pourraient graver dans leur mémoire la taille de mes couilles, la forme de ma bite tendue vers elles.

J'étais prêt à m'évanouir. Voyant que je n'osais pas bouger, Tania s'approcha, un sourire empli de compassion, pris mes mains dans les siennes, et m'attira vers elle, m'obligeant ainsi à être debout, mon sexe bien visible, sous le regard des deux assistantes qui faisaient tous les efforts possibles pour rester sérieuses. Elle garda ma main gauche dans la sienne, m'invita à serrer la main de Magali, puis celle d'Alice. Mon visage était écarlate et ruisselant, je vis les joues de Magali rougir à mon contact. Alice avait quant à elle l'air beaucoup moins troublé, mais très amusé. Puis Tania me positionna en face de son fauteuil, m'invitant à garder mes mains jointes dans mon dos. Elles s’assirent toutes trois en face de moi. La mise en scène était parfaite...

Pendant un moment silencieux qui me parut interminable, elles m'observèrent. Je sentais leurs regards indiscrets chatouiller chaque centimètre carré de mon corps dénudé. Je ne savais pas quoi faire de mon regard... Mes yeux ne tenaient pas en place, je regardais tour à tour une statuette, les seins d'Alice, la fumée de l'encens, les pieds de Magali. Quand je croisais le regard de l'une d'entre elles, elle me souriait gentiment, et lui rendait un sourire gêné et crispé. Je commençais à me détendre, lentement, à accepter cette situation, à la trouver presque normale en fait. Mais je n'en pouvais plus de bander de la sorte, j'aurais vendu père et mère pour que l'une d'elle s'approche et me fasse jouir.

- Bien... Mes amies, qu'en pensez-vous ?
- C'est très agréable à regarder !
- Oui, je trouve que c'est aussi très flatteur pour nous.
- Mais encore, physiquement parlant ?
- Je trouve que sa verge et très jolie...
- Et ses testicules très mignons…- Vous voyez, vous ne vous attirez pas de moqueries, mais simplement de la bonne humeur et des compliments. Vous ne devriez pas douter de votre virilité, votre érection n'est pas offensante pour nous, c'est même le contraire. Comment vous sentez-vous ?
- Euh... Tendu !

Elles se mirent à rire.

- Comment considérez-vous vos attributs ? Je veux dire avez-vous des complexes ?

J'étais déjà complètement nu, livré aux regards de ces femmes, et elle me demandait de me déshabiller encore plus que je ne l'étais. Je vacillai. Elles attendaient ma réponse me regardant dans les yeux. Je dû prendre la parole en rougissant, et dans ma situation il m'était impossible de leur mentir.

- Oui, en fait... Je ne me trouve pas très avantagé.
- C'est à dire ?
- Je trouve mes testicules petits, et mon pénis pas très gros non plus...

Alice se retint de rire, Magali plissait les yeux pour mieux jauger mes couilles.

- Bien sûr je m'attendais à cette réponse. Vous partagez la préoccupation d'une très grande part de la gente masculine. La taille de votre sexe. Qu'en pensez-vous mes amies ?
- En dehors d'un contexte pornographique, généralement les femmes sont plutôt sensibles à la façon dont vous assumez votre corps, à l'assurance qui se dégage de vous en quelque sorte, plutôt que par le volume de vos attributs...
- Tout à fait d'accord.

Leur réponse ne me rassura pas du tout. Je n'avais l'air ni sûr de moi, et aucune ne m'avait contredit quant à l'opinion que je me faisais de la taille de mon sexe... Sans doute étaient-elles d'accord avec moi. Je réalisais plus tard qu'en fait elles n'étaient pas là pour ça... Pas là pour me flatter, pour me mentir, mais pour travailler sur ma confiance en moi, pour m'aider à m'accepter même si je trouvais que j'avais un petit sexe. Tania repris la parole, son regard me pénétrant au plus profond, m'hypnotisant.

- Bien... Je vais vous demander maintenant de vous masturber.
- Non je ne peux pas faire ça !

J'étais suppliant, mais Tania avait un regard de fer et jouait de toute son autorité. Les deux autres me fixaient, d'un petit air enjoué, tâchant de garder une attitude professionnelle.

- Si, vous devez le faire. Vous ne craignez absolument pas d'être surpris en train de faire une bêtise, puisque je vous le demande. C'est une étape indispensable.

J'aurais voulu disparaître instantanément, mais au fond de moi, je ne désirais que de me libérer de toute la tension dont mon corps et mon esprit étaient submergés. Donc, je me mis encore plus à nu devant elles que je ne l'étais, en leur montrant comment je me caressais, habituellement en toute intimité. Je baissai mon regard vers leurs jolis pieds, et j'éjaculai presque immédiatement, répandant mon sperme sur le tapis. Des éclairs de plaisir me traversèrent de part en part. Puis je me sentis vide et ridicule. Je n'osais pas les regarder en face, alors que je continuais à tripoter bêtement ma bite dégoulinante qui devenait déjà toute flasque. Tania attendit que je sois calmé avant de prendre la parole. Je relevai la tête et vis les trois femmes souriantes qui me dévisageaient. J'avais la sensation qu'on frottait mes couilles avec des glaçons. Je ne pouvais m'empêcher de leur sourire bêtement.

- Comment vous sentez-vous ?
- Oh bien mieux... J'ai besoin de m'asseoir...
- Je pense que cette expérience vous aura été profitable. Maintenant que vous avez vécu en réel ce genre de situation, vos peurs devront maintenant diminuer. Qu'en pensez-vous ?
- Je pense que vous avez raison.

Fin de la séance... Magali et Alice me serrèrent la main et je les remerciais, puis elles s’en allèrent. J'avais remarqué qu'elles avaient regardé du coin de l’œil mon organe, qui était à présent tout ratatiné...

La séance suivante fut la dernière. Cette fois, la psy ne me demanda pas de me dévêtir. Elle m’interrogea sur ce que j’avais retiré de la séance précédente. Je lui avouai que ça avait été un grand moment de libération pour moi… Je lui faisais même part de mon désir de renouveler ce genre d’expérience. Elle me mit aussitôt en garde  : je ne devrais jamais imposer ma nudité à des personnes si cela me provoque de l’excitation, cela reviendrait à les prendre malgré elles pour des objets sexuels, c’est une agression. Ben oui quoi, ça serait de l’exhibitionnisme. Pour ma part, ce qui m’excite c’est d’être victime de voyeurisme…

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