Femme BCBG, escorte, non, pute… (111)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Femme BCBG, escorte, non, pute… (111) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Femme BCBG, escorte, non, pute… (111)
Je viens de revenir de chez Livia pour retrouver ma chambre chez Virginie et attendre l’arrivée de toute la bande qui revient de Saint-Palais sur mer.
La motarde m’a quitté pour faire la cour à Illy la jeune femme de l’agence immobilière qui m’a fait visiter la villa voisine de celle de ma marraine et que j’ai décidé d’acheter.

Quand j’entre, des bruits de voix et surtout une à l’accent très particulier me fait comprendre avec qui Virginie avait rendez-vous.

• Vladimir, c’est vous, Virginie, est une cachottière, j’ai reconnu votre voix avant de passer la porte.
• Virginie ?
Non, je suis venu voir Valérie.

À quel titre Vladimir est-il à Paris, le fait que ma marraine l’ait fait venir chez elle me trouble, est-il là en client ou en ami ?
Un autre détail me trouble, ils sont nus tous les deux et la verge que me présente Vladimir même si elle est au repos à des dimensions moins imposantes que celles d’Adonis mais bien suffisantes pour satisfaire ma salope de copine qui a toujours le chic pour en trouver d’un calibre assez impressionnant.

• Je vous taquine Magali, votre amie m’a dit son vrai prénom dès que nous avons correspondu pour organiser mon voyage.
Aussi et si tu le veux bien, je vais te tutoyer, car cette particularité de votre langue me plait tellement que j’aime tutoyer tous mes amis.
De plus, j’ai cru comprendre que je devais dire Christine pour vous, excuse-moi, pour toi.
D’ailleurs, je dois dire que je préfère Virginie pour notre amie et Christine pour toi, ce sont des prénoms bien plus sages.
• Viens m’embrasser ma grande, je vais te cajoler pour que tu retrouves ta sérénité après l’homme que tu as rencontrée et qui s’est permis de te faire marcher, l’organisation m’a mise au courant
• Aucun problème, j’ai déjà oublié et mon compte en banque a grossi malgré la contrariété que j’ai eue, cela compense et aplanit le traumatisme.
• Je savais que tu étais assez aguerrie pour supporter ce genre de client, j’ai donné des ordres de lui refuser tout contrat s’il sollicite une de nos filles.
Que penses-tu de ma petite motarde à chevelure blonde, elle déménage, je vois qu’elle t’a déjà convertie à son sport préféré et je suis sûr qu’elle t’a aussi fait voir ses talents avec les femmes ?
Si tu tombes amoureuse, fais attention, elle fera de toi une vraie petite gougnotte comme elle a essayé avec moi.
Pourquoi l’as-tu laissé repartir sans lui dire d’entrer, je lui aurais fait la bise et j’aurais aimé la voir rougir devant la bite de Vladimir ?
• Ma chérie, tu veux déjà me prendre comme cobaye, tu es surprenante.

Ma chérie, c’est la première fois que j’entends un homme dire ma chérie à Virginie, a-t-elle trouvé son autre moitié comme moi un moment de ma vie avec Pierre mais hélas pour rapidement m’apercevoir que c’était aussi une moitié de bite qu’il m’offrait.
Ce qui est sûr, c’est que si c’est le cas, Virginie en a trouvé une qui fait une demi-foi en plus la moyenne nationale française.
Après les mois que je viens de passer à faire la pute, les verges que mes yeux, ma bouche, ma chatte ou mon cul ont pu voir me permettent de faire une comparaison objective.

Je diserte sur les vits et c’est le moment où la sonnette de la porte du jardin se fait entendre.

• Christine sauve nous, même si ta tenue est spéciale, elle est plus décente que la nôtre et j’ai oublié que nous recevons des invités.
Vladimir arrête de me faire tourner la tête.

Je vois partir en se dépêchant les deux amants, car quand l’on appelle chérie une femme tous les deux à poil, c’est que l’on a franchi un degré d’intimité avec l’autre sexe.
Sans oublier que je connais très bien Virginie, elle a déjà tout fait pour s’approprier la verge qui même si je l’ai vue au repos à défoncer tout ce qu’elle a bien voulu lui proposer.

J’arrive à la porte du jardin et le couple que je découvre si je ne l’ai jamais-vu, peux difficilement être confondu.
Un papa français et une maman indochinoise ce sont les parents d’Anne et d’Aline.
Je comprends pourquoi elle a fui vers sa chambre avec Vladimir quand elle me rejoint ayant passé un maillot de bain.

• Bonjour, je pense que vous êtes Christine, mes filles m’ont beaucoup parlé de vous, elles font beaucoup d’éloges envers madame Virginie et vous.
Madame Virginie, nous avons amené ce que vous nous avez demandé, pouvez-vous nous aider à décharger.

La voiture du couple est devant la maison, c’est un pick-up Ford et sur le plateau arrière se trouvent de nombreux plats de la cuisine traditionnelle indochinoise.
Je retiens les noms de soupes, Lap sans savoir ce qu’il y a dedans, plus connu des nems aux poulets, aux crevettes et beignets à l’ananas.
J’oublie le riz collant comme elle ajoute avec son joli petit accent.

• Bonjour Hubert et Vi, je vous remercie d’avoir préparé le repas pour tous nos amis ce soir, je vous ai donné du travail.
• C’est un plaisir pour moi de vous faire connaître les spécialités de mon pays surtout après ce que nos filles vous doivent, sans compter Sindy notre poupée. Nous avons hâte de la revoir après ce mois à la mer dans votre villa mademoiselle Christine. Elle a dû beaucoup grandir.
Grace à vous notre vie est réussie, car nos filles ont une vie harmonieuse si vous connaissiez mon parcours et ce que j’ai fui grâce à Hubert qui a pris tous les risques pour me sortir de mon pays en guerre et de la condition dans laquelle mes parents m’avaient placé.

Cette confidence bien sincère même si j’en connais tous les détails de ce qu’a été sa vie me plonge dans un torrent de doute à avoir accepté de renvoyer ses filles faire les putes sur un bateau même en compagnie de milliardaires.
Elles ont gagné en une soirée cent voire mille fois plus d’argent qu’elle en aurait gagné dans toute sa vie dans le bordel d’où Hubert l’a tirée.
Ce que j’apprécie, c’est son accent chantant quand elle parle dans notre langue.
Alors que je fais une rotation avec les plats que nous installons sur les tables que Vladimir a placées comme pour mon anniversaire près de la piscine, Virginie me fait signe de la suivre.

• Christine, quand j’ai décidé de demander aux parents de nos filles de nous faire découvrir les saveurs de leur pays, j’ai téléphoné à Odile pour leur dire d’être en tenue correcte en arrivant et à Anne et Aline de leur présence.
Pas d’imper, tant qu’ils seront là, car ils ont accepté à la seule condition de pouvoir partir de bonnes heures pour nous la réouverture, est mardi alors que pour eux c’est demain.
• Comme d’habitude tu penses à tout et je jure de bien me tenir maîtresse.

Un grand éclat de rire nous prend et quand ils reviennent accompagnés de Vladimir, les parents de nos petites se mettent à rigoler avec nous ce qui bride les yeux de Vi.
Nous avons à peine terminé et quand j’enlève ma combinaison et que je suis nue dans ma chambre pour mettre mon maillot, je m’aperçois que je l’ai oublié à Saint-Palais.
En fouillant un tiroir, j’en trouve un que j’avais mis dans ma valise quand j’ai quitté l’appartement lors de mon divorce, je devais le mettre quand j’avais seize ans et grâce aux ficelles, j’arrive à le mettre, mais il a sur ma chatte rassée une première fois au laser le format d’un timbre-poste.
Quant aux bonnets recouvrant mes seins, ils sont de taille A jusqu’à 13 centimètres alors que les derniers que j’ai achetés avant que Virginie me les confisque étaient d’un bon D.
Ma fente est juste recouverte ainsi que mes aréoles.
Je suis plus dénudée que nue.
Voyant le ridicule de mon maillot qui peut faire penser que je refuse ma condition de femme ayant la trentaine, je vais dans l’armoire de Virginie et elle me prête sans que je lui demande un joli Bikini dans les tons vichy comme les femmes en portaient dans les années 60.
Quand je me regarde dans la glace, je suis tellement bandante que j’ai envie de me passer deux doigts sous le tissu léger, car il est bon de se faire du bien.
C’est le moment où j’entends un concert de Klaxons.
Je sors en courant, ils sont tous là.
Je me garde bien de les citer, j’en oublierais certainement quelques-uns.

• Christine devine ce qui nous est arrivé.

Fabienne vient de m’interpeller.

• Je conduisais ta voiture quand nous avons crevé, nous étions les dernières de la file et il était impossible à l’un des garçons de venir nous dépanner.
Une voiture qui passait, voyant quatre filles en panne à une borne d’appel d’urgence quand nous allions appeler, s’est arrêtée.
C’était deux beaux gosses qui dès que je les ai vus, mon fait mouillé.
La roue changée, nous leur avons proposé une petite gâterie entre les portières ouvertes des deux voitures, j’en ai sucé un pendant qu’Ophélie et Katia faisaient le guet, Aline s’est occupée de la bite de l’autre dans leur voiture et toutes les deux ensemble nous avons avalé leur sperme.

Catastrophe, Virginie qui avait bien dit de faire attention, c’est le moment où elle prononce le nom de sperme que Vi sorts de la maison venant voir ses filles et sa petite fille.

• Pardon madame, que dites-vous, Aline a avalé du sperme.

Un petit moment de solitude pour Fabienne qui promptement essaye de ramer pour s’en sortir.

• Non, Madame, vous vous trompez, elle a dit qu’elle avait avalé du suprême.
• Du suprême, ah bon, vous me ferez connaître, ce doit être bon, je demanderais à Aline où je peux en trouver.
• C’est de la soupe au poulet.

Heureusement qu’elle est facile à convaincre, car pour sauver Fabienne et les filles, j’ai jouées sur les subtilités de notre langue dure à comprendre.
Elle entre dans la maison, quelques minutes après Aline vient nous voir.

• Maman est devenue folle depuis que nous sommes partie en vacances, Fabienne, elle me soutient que tu as dit que j’avais mangé du suprême de volaille, elle souhaite que je lui donne ma recette.
• Aline, il faut éviter dans certains moments de contrarier ses parents.
File sur Internet, note la première recette de suprême de volaille que tu trouves et donne-lui, après, nous t’expliquerons.

Katia arrive vers moi avec Ophélie, je leur donne une grosse bise, une phrase me taraude l’esprit.

• Les filles, confirmées moi, lors de la crevaison, vous vous êtes contenté de faire le guet.
• Non, je me suis fait enfiler et Ophélie aussi, je me suis fait prendre entre les deux gars qui m’ont fait beaucoup de bien pendant qu’Ophélie après avoir sucé ses faits enculés.

Adieu, vaches cochonnes et couvées, les filles en me disant cela viennent de perdre des fortunes que j’étais en train de monnayer avec Boris lors de notre voyage la semaine prochaine à partir de mardi en Russie.

• Mais non, tu es bête, nous sommes restés des filles sages et nos pucelages sont toujours là.
Mais dit moi Christine, pourquoi parles-tu de mon pucelage, je pense que tu parles de mon cul, car la partie avant de mon anatomie est loin d’être vierge, tu as des vues dessus…

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