BELLES SŒURS. Natacha. (1x4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : BELLES SŒURS. Natacha. (1x4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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BELLES SŒURS. Natacha. (1x4)
Je m’appelle Natacha et je suis mariée avec Antoine depuis deux ans.
Nous nous sommes connues chez lui pour le réveillon de la Saint-Sylvestre.
J’avais vingt ans et j’étais vierge quand j’ai accepté de suivre mon amie Paulette bien loin de mon milieu car je suis de famille modeste.
J’habitais chez mes parents dans un appartement propre mais vieillot vers la place d’Italie alors que la soirée avait lieu Porte de Saint-Cloud dans un appartement où il y avait au bas mot 7 à 8 pièces sans compter l’étage où se trouvait les chambres de bonne.
J’étais mal à l’aise quand j’ai remarqué un garçon un peu bouboule qui semblais aussi perdu que moi.
Le buffet froid avec comme principale boisson du champagne me montrait que ces jeunes qui nous recevaient avaient beaucoup de moyens.
La moyenne d’âge était de vingt-cinq ans et du haut de mes vingt ans j’étais certainement la plus jeune.
La sono diffusait des danses modernes qui me laissaient froide car j’étais un peu fleur bleue et je préférais la valse ou les paso-dobles.
Dans les danses plus modernes j’aime le rock mais un rock à la pépère sans tournoyer autour de mon partenaire.
Quand Antoine a fini par osé m’inviter alors qu’il regardait intensément dans ma direction depuis de longues minutes j’ai accepté en ayant assez de faire tapisserie.

• Je m’appelle Antoine, je vous ai vues arriver avec Paulette qui est en fac avec ma sœur Claire.

J’ai compris un mot sur deux chaque fois que nous revenions poitrine contre poitrine quand il tirait sur mes bras, j’ai loupé certains mots quand il m’a fait faire une pirouette mais j’ai compris assez de mots pour comprendre la phrase ou il me disait que sa sœur s’appelait Claire.
Pour ma défense je dois dire que la sono devait réveiller toutes les personnes âgées du voisinage.

• Moi c’est Natacha, il y a longtemps du côté de mon père nous étions d’origine Polonaise, le père de mon père est venu dans les mines du nord de la France au moment des grèves.
• Allons dans ma chambre en tout bien tout honneur je vous le promets, nous serons plus tranquilles pour nous parler j’aimerais mieux vous connaître.

Pourquoi l’ai-je suivi, c’est drôle mais j’étais en confiance avec ce garçon un peu pataud moi si méfiante d’habitude.

• Es-tu le fils de la maison ?
• Oui mes parents sont partis chez mes grands-parents maternels en Provence à Grasse et ont laissé notre appartement à ma sœur pour qu’elle organise ce réveillon.
Attends, je reviens j’aurais dû apporter du champagne, j’ai vu que tu en buvais et tu semblais aimer.
• Chez mes parents pour les fêtes nous avons l’habitude de boire des vins pétillants, le champagne est trop cher pour nous.
• Quand nous étions jeunes avec ma soeur mais parents nous faisaient boire du Champomy nous faisant croire que c’était du champagne grâce aux bulles.

Il me quitte quelques minutes et reviens avec deux coupes et une bouteille, il me sert et nous trinquons.

• À la fin de l’année Natacha, il reste vingt minutes avant 2010, je suis contente de commencer la nouvelle année dans mon repaire en tête à tête avec toi, toutes ces personnes me prennent la tête.
• Tu es un solitaire.
• L’argent aide dans la vie mais la petite surcharge pondérale que je trimbale depuis ma jeunesse me fait louper toutes les occasions que j’ai eu de rencontrer une jeune fille.
Regarde-toi, tu es mignonne comme un cœur avec tes boucles blondes, je pourrais avoir du sentiment pour toi mais je suis sûre qu’avant la fin de la nuit tu retourneras chez toi et que tu m’oublieras.

« Cinq, quatre, trois, deux, un, bonne année 2010 »

Dans les pièces adjacentes tous les invités se souhaitent la nouvelle année, les verres tintent assez fort pour nous parvenir.

• Bonne année Natacha.
• Bonne année Antoine.
• On s’embrasse c’est la tradition.
• Oui, on s’embrasse par tradition.

Comment me suis-je retrouvée avec la langue de ce garçon qui si je l’avais rencontré au bahut m’aurait presque répugné étant amoureuse de garçon plus près de Johnny Depp voir de sa femme Vanessa Paradis que d’Obélix ?
Comment mes affaires se sont envolées certainement à cause du champagne et que j’ai senti un objet dur au bas de mon ventre me déchirer me faisant légèrement pousser un cri couvert par la musique ?
J’ai senti une légère chaleur dans mon ventre en même temps que le bruit de la porte de la chambre.

• Pardon.

J’ai compris que c’était une voix féminine mais sans voir qui s’était recouverte par la masse de celui qui venait de me prendre mon pucelage et de décharger sans que je ressente le moindre plaisir.
J’ai senti le poids d’Antoine se retirer et du liquide sortir de ma chatte blonde.

• Tu étais pucelle, excuse-moi, regarde ma verge elle est recouverte de ton sang, tu aurais dû me prévenir.
• Aucun problème, il fallait que cela m’arrive un jour alors autant que ce soit avec un gentil garçon comme toi.
• Merci, je me souviendrais toute ma vie avoir eu la chance de t’enlever ton hymen.
• Retournons danser et allons souhaiter la nouvelle année avec les autres Paulette doit se demander où je suis passée.

Moment sordide du rhabillage, je prends conscience que contrairement à mes envies et surtout mes goûts j’ai complétement foiré ma première fois.

• Bonne année Natacha, ou étais-tu passée ?
• Laisse tombée Paulette, tu vas mettre ton amie mal à l’aise.
Bon année Natacha, je suis Claire la sœur du garçon avec lequel tu étais dans sa chambre, excuse moi de vous avoir dérangé.

Le « pardon » c’était la sœur de celui qui venait de faire de moi une femme, jeune fille un peu plus vieille que son frère mais complètement différente morphologiquement parlant car fine et élancée avec une chevelure brune et des seins comme j’aurais aimer en avoir.

• Tu viens Natacha, je suis crevé et demain midi je mange chez ma grand-mère, je devrais dire tout à l’heure je mange chez ma grand-mère.

C’est sans revoir Antoine certainement dans sa salle de bain que j’ai quitter son domicile sans savoir que je reviendrais dans les semaines suivantes avec mes parents.

• Merci d’avoir accepter de nous recevoir, mais nous avons un problème de familles à régler.
• Nous vous écoutons.
• Notre fille est enceinte et c’est votre fille qui lui a fait cet enfant le soir de la nouvelle année.
• Nous vous arrêtons tout de suite, votre fille a couché avec un galant et comme elle a vu que nous avons de gros moyen cherche à se faire épouser, elle est mignonne mais nous avons d’autres projets pour notre fils.
• Demander à notre fille comment est faîte la chambre de votre fils, vous verrez qu’avant que les choses se fasse elle a eu le temps de voir des détails.

J’ai parlé du papier à fleur et du couvre lit que nous avions laissé et sur lequel j’ai perdu mon pucelage quand un fait décisif c’est produit.

• Père, mère, Natacha dit la vérité, je suis entré dans la chambre d’Antoine pour lui souhaiter la bonne année pensant comme à son habitude il avait fui la fête et quand j’ai ouvert la porte il était couché sur elle la culotte au bas des pieds et lui faisait l’amour.
J’ai eu le temps de voir sa queue sortir du vagin et je me suis faîte la réflexion qu’il était inconscient de la baiser sans capote mais j’étais contente je savais que lui aussi venait de perdre son pucelage.
• Excusez nous mademoiselle, attendons Antoine il va arriver dans 5 minutes et s’il confirme que tout ces biens passé comme cela il assumera son geste, il aurait pu plus mal tomber, vous êtes ravissante.
• Adrien un peu de tenue, mais je dois reconnaître que tu as un peu même beaucoup raison.
• Je confirme, Natacha est jolie comme un cœur, il va peut-être échapper à la grosse Bertha avec laquelle vous vouliez la marier pour augmenter vos fortunes personnelles.
• Tais-toi Claire, arrête d’être rebelle, nous ne sommes pour rien si la famille de mon mari avait des biens que nous savons faire fructifier.
Antoine te voilà, reconnais-tu cette jeune fille ?
• Oui, je l’ai rencontré le soir de la nouvelle année.
• Et ?
• Et quoi.
• Que c’est-il passé ?
• Bien je suis un garçon.
• Tu t’étais protégé ?
• Nous avions un peu bu, tous ce que je reconnais c’est qu’elle était vierge ma queue était.
• Évite-nous les détails tu veux, maintenant il va falloir que tu répares Natacha est enceinte.
• Mère tu l’emmènera chez ton gynéco pour qu’il fasse ce qu’il faut, ont est au 21ème siècles.
• Tu nous déçois mon fils ton père et moi t’avons élevé avec des principes, il est hors de questions que cette jeune fille avorte.
• Garde le Natacha, mon frère à fait la connerie de sa vie suivant les concepts de leur morales, tu vas pouvoir vivre dans la luxe comme moi, tu verras maman sait très bien organiser la vie des autres.
• Claire tu me fais honte quitte cette pièce.
• Nous nous rêverons dans les heures prochaines, je serais contente d’être ta demoiselle d’honneur.

Claire à quitter le salon ou nous avons été reçus me faisant un petit geste de la main me montrant toute la sympathie qu’elle a pour moi.
Le plus rapidement possible pour tous mettre en place et je me suis retrouvé à la mairie et à l’église voisine ou je me suis retrouvé la bague au doigt.
Corentin est né avant terme de plus de deux mois du moins c’est la version officielle du médecin, l’argent sert à cela et nous avons emménagé dans ce grand appartement à l’autre bout d’un couloir ou vive mes beaux parents sauvant ainsi l’honneur de la famille.
Dès mon accouchement j’ai pris en cachette de ma belle-mère la pilule aider par Claire qui cachait les tablettes chez elle en toute impunité ses parents étant interdit d’entré dans son domaine.
Pendant ces deux ans Antoine m’a fait l’amour de temps en temps aussi mal que la première fois sans que mon corps ne vibre.
En ce moment je suis au bord de la piscine dans les hauteurs de Nice ou les beau-parent ont une villa aussi spacieuse voir plus que l’appartement parisien.
Mon fils et toute la famille sont partis sur le bateau de mon beau-père.
Je me fais bronzer pour la première fois me croyant seule les seins nus quand Claire ma belle sœur arrive et se dénude à mon côté.…

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