BELLES SŒURS. Claire. (2x4) - histoire érotique

Je m’appelle Claire jeune femme de 25 ans et je viens de finir des études qui vont me mener dans le lit d’un mec qui va me faire des gosses et qui va me cloîtrer dans un appartement comme c’est le cas pour ma belle sœur Natacha qui a été engrossé par mon couillon de frère.
Elle s’est trouvée enfermée plus vite quand mes parents ont su que c’était un héritier mâle qu’elle portait dans son ventre.
Moi j’ai en vue un commerce de meuble ancien avec un secteur décoration dans le quartier Saint Antoine avec un logement à rénover.
J’ai récupéré les gènes de mère pour les arts et surtout la décoration mais trop fainéante ma bonne fée s’étant penché sur mon berceau et si je le voulais je pourrais vivre au crochet de mes parents comme le fait Antoine mon frère avec sa femme et l’héritier de la dynastie.
Antoine a fini ses études et travail il est vrai avec père et semble doué pour faire fructifier notre patrimoine.
Je suis actionnaire de la société à hauteur de 20%, mon frère 20 aussi le reste étant à mon père qui a hérité de l’affaire à la mort du sien et de sa mère morte à quelques semaines d’intervalles.
J’ai encore mes grands parents maternels se sont retiré en Provence près de Grasse ou papy a un atelier de peinture, c’est loin d’être Picasso mais ses lithos se vendent bien et ils sont loin d’être dans le besoin.
Leur maison est un peu mon lieu de replis quand mère me met les boules, c’est là que j’ai connu Gaétan associé de mon père de plus de vingt ans mon aîné de passage dans la région et qui connaissait grand père du temps ou il avait un atelier à Montmartre.
J’aurais bien voulu connaître cette période mais j’étais trop petite et ils ont déménagés avant que j’aie eu le temps de grandir et de connaître cette période dont j’ai entendu père un jour dire que c’était un lieu de débauche.
J’avais besoin de me rendre à Grasse pour un rendez-vous chez le médecin et Gaétan avait besoin de consulté pour une légère foulure qu’il s’était faîte.
Je crois au destin et celui-ci a voulu que l’hôtel ou Gaétan était descendu étais à deux pas du praticien, entre les deux il y avait un bar à vin ou nous avons sympathisé.

• Je dois passer à mon hôtel quelques minutes, venez avec moi je vais vous donner ce que votre grand père m’a demandé et après je vous raccompagnerais.

Je dois reconnaître quand je le suis retrouvé dans l’ascenseur avec lui que je savais ce que j’allais faire, mes parents ayant toujours dans l’idée de me marier contre ma volonté avec le fils de la meilleure fortune possible, il est hors de questions si cela arrive qu’il me trouve vierge.
Aussitôt la porte fermée je lui saute au paf défaisant sa ceinture et prenant sa verge en bouche.
Je suis pucelle mais je connais tous sur du sexe des hommes même si je sens en moi que je suis attirée par d’autres manière de vivre mon amour.
Capote oblige, je me retrouve placé à quatre pattes mes seins plaqués sur le lit et je perds mon pucelage avec un grand soulagement que cela soit fait.
La capote remplie je récupère ce que j’étais censé venue chercher et sans attendre je remonte chez mes grands parents ou je fini mes vacances en pensant à mon avenir dans cette famille que je rejette de plus en plus.
C’est dans le quartier du Marais que je découvre ma vraie nature, Viviane m’y à aider, elle était à une terrasse de café ou elle lisait le dernier livre à la mode d’Amélie Nothomb et je m’étais assise à ses côtés.

• Vous aimez cet auteur ?
• J’en ai entendu parlé et j’aime me faire une opinion personnelle, c’est bien écrit mais c’est loin de ce qu’est ma vie et vous, l’avez-vous lu ?
J’aime pus la peinture que la littérature, je viens d’aller voir une exposition d’une femme qui a un grand talant.
• Vous avez aimée ?
• Vous voulez que je sois franche ?
• J’aimerais.
• Je pense que les tableaux qui sont dans cette exposition sont le début d’un travail plus profond et que celui qui a choisi les œuvres à présenter a été incapable d’accrocher les œuvres majeurs qui sont toujours dans l’atelier du peintre.
• Vous avez quelques temps à m’accorder je voudrais vous montrer quelque chose.
• Bien sûr je vous suis.

Elle m’a emmené dans un petit immeuble ou le rez-de-chaussée était constitué d’un atelier donnant sur un jardin d’intérieur.

• Voici mon atelier, quel toile auriez-vous choisi ?
• Pardon, vous êtes le.
• Peintre qui expose dans cette galerie, les toiles ont été peinte ici.

Incroyable quelle coïncidence je m’assoie à la terrasse d’un café et je rencontre celle qui a conçu les toiles que je viens de voir.
Je les regarde une part une.

• Celle là, celle là et celle là et pour finir le chef-d’œuvre qui ouvre la porte à une prochaine série de toile conçu vers la femme dans la vingtaine qui se profile dans ce tableau montrant une adolescente.
• Incroyable, je vous suis et je vais de ce pas faire porter ces tableaux à la galerie ou nous allons enlever ceux qui font honte à mon travail.
Ou avez-vous appris pour vous y connaître aussi bien.
• Mon grand-père est peintre en Provence et a eu un atelier à Montmartre.
• C’est incroyable, le monde est petit, ma maman avait un amant qui était peintre et qui est parti en Provence avec sa femme après sa mort, il s’appelais Marcel.
• Mon grand-père aussi.
• Tu pourrais être sa fille.
• Quand je vois mon père je suis certaines que si je faisais un test ADN j’aurais des surprises mais il est décédé et repose au Père la Chaise, Dieu est son âme.

Je suis retournée à la galerie le lendemain et avec Viviane contre l’avis du directeur de la galerie nous avons chamboulé les tableaux éliminant ceux qui étaient superflu pour la compréhension de l’œuvre.

• Retournons chez-moi je t’offre le thé, j’aimerais te proposer quelque chose.

Le thé bu elle s’approche de moi et me prends mes cheveux dans ses mains, je la laisse faire car son regard a changé, elle semble être passé dans un autre monde et quand elle déboutonne mon chemisier je reste médusé surtout que je suis nue dessous.

• Interdiction de bouger, je vais faire des croquis.

Deux heures, deux heures je pose en changeant de position et de plus en plus nue sans jamais avoir l’impression de l’être.

• Mon petit cœur, je suis monstrueuse quand je travaille viens dans mon bras que je me fasse pardonner.

C’est ainsi que je me suis retrouvé sa bouche sur ma bouche sa main effleurant mon sein dans un premier temps.
Je sentais que je trouvais ma route vers la plénitude sexuelle sans avoir rien calculer.
J’ai aussi dénudé sa poitrine légèrement tombante mais si douce.

• Suis-moi.

Nous sommes montés par une échelle jusqu’à une mezzanine ou elle avait sa chambre et son lit ou après m’avoir dévêtue elle m’a fait allonger, j’ai beaucoup aimé la douceur de ses caresses que j’avais espéré trouvé dans la chambre d’hôtel au moment de mon dépucelage.
Nous avons fait l’amour toute la nuit et au matin j’étais certaine que j’aimais les femmes et que j’étais lesbienne.
Dans les mois qui ont suivi j’ai été très souvent vu dans des bars du quartier principalement rempli de fille aimant les filles sans jamais à ce jour trouver la femme de ma vie bien que j’aspire à rencontrer celle à qui je dirais oui pour toujours.

Avec Viviane l’expo que nous avions chamboulée a été un vrai succès, par chance un journaliste parlant d’art avait vu la première mouture des œuvres accrochées et y est retourné après mes modifications et a permis qu’elle soit un vrai succès.
Elle prépare la suite depuis presque deux ans sans que moi-même je puisse les voir.
Nous faisons l’amour de temps en temps, j’ai fais le tour de ce qu’elle est capable de m’apprendre des plaisirs saphiques et en cherchant ailleurs j’aspire à découvrir de nouvelles choses ou simplement ma moitié.

Un soir du nouvel an de 2010 je fais la connaissance quelques minutes d’une jeune femme prénommé Natacha qui est venue avec Paulette une des jeunes femmes avec laquelle j’avais des rapports sexuels depuis quelques semaines.
J’ai vu cette jolie blonde une première fois sous le gros ventre de mon frère Nicolas dans sa chambre les cuisses écartées et son sexe sans protection au font de son vagin avant de la rencontrer dans la salle juste avant qu’elle parte Paulette ayant un repas de famille et devant la ramener.
J’étais contente pour mon frère d’avoir séduit et certainement perdu son pucelage lors de cette occasion sans savoir que quelques semaines plus tard je la retrouverais dans notre salon avec un gros ventre, mon frère ayant été assez malin pour sa première fois à réussir à l’engrosser.
Pour narguer mes parents et l’aidé j’ai dit ce que j’ai vu en entrant dans sa chambre déclenchant son entrée dans notre famille pour que mon frère l’épouse la perdant à jamais.
Elle a donné à mes parents et à son mari un héritier mâle qui fait le bonheur de mon père, elle vie après son mariage non loin de ma chambre avant que je décide de m’émancipé en achetant avec un compte ouvert depuis des années où nous étions une famille unis la boutique avec le logement allant avec.
Natacha vie là sortant peu et je la vois dépérir au fil des jours surtout que mes parents payent une nourrisse prénommé Vic pour élever leur petit fils.
L’an passé elle a semblé sortir de sa torpeur au mois d’août quand je l’ai rejoint au dessus de Nice dans la villa que nous possédons et ou elle est presque tout le temps au bord de la piscine.
J’adore sa ligne et sa toison blonde, attention celle de ses cheveux, elle semble si prude qu’en permanence elle garde son maillot de bain alors que je serais du genre à me foutre à poil pour lui montrer mes trois tatouages l’un sur mon mont de Vénus les autres identiques sur la pointe de mes seins.
Je les ais fait dans ma période gore sans les faire voir à quiconque dans notre famille certainement pour aller au fond de ma rebêlions contre eux
Cette année je suis venue un peu pour elle sans savoir que ce voyage allait chambouler nos vies définitivement, aujourd’hui mon père à emmené toute la famille sur son gros bateau à moteur avec sa cabine pour une sortie en mer qui va durer trois jours.
Ils vouaient que je vienne ainsi que Natacha mais elle a le mal de mer et malgré que son fils soit du voyage elle est restée, j’ai prétexté un mal de ventre dû à mes périodes pour rester.

Pour la première fois je me trouve seule avec elle et je vois ses seins car pour la première fois se croyant certainement seule elle a enlevé son haut de maillot.
J’arrive à sa hauteur et avant de m’asseoir sur le transat à côté du sien j’enlève intégralement le miens regardant ma belle-soeur mes yeux dans ses yeux…