La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°871)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°871) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°871)
Marion au Château – (suite de l'épisode N°868) –

Et sur Ses paroles, Walter frappa à la porte…

- Ah Walter ! Te voilà. (Se tournant vers moi) Toi, la chienne, va donc te mettre à genoux, mains sur la tête dans l’angle là-bas. (Puis reprenant Sa conversation avec Walter) Il faut que nous parlions. Cette chienne, qui est officieusement à Mon service depuis plus de trois ans, et officiellement depuis quelques mois, n’a pas pu recevoir de dressage digne de ce nom, à cause de la distance et de sa vie vanille. Maintenant qu’elle est « libre », il va falloir s’occuper d’elle intensivement. Elle est vraiment mal éduquée ! Elle jouit sans autorisation, crie pour un oui ou pour un non, c’est insupportable ! J’ai néanmoins besoin d’elle rapidement comme secrétaire de direction. J’aimerai avoir ton avis, mon ami.
- Monsieur le Marquis, j’ai bien une idée si Vous voulez bien me le permettre. Tout employé vanille a deux jours de repos, une mère peut avoir en plus son mercredi après-midi. Que cette demi-journée là et les deux jours de week-end soit consacré à son dressage, en plus du temps chaque soir, qui doit y être consacré. Ainsi, le reste de la semaine, elle pourra remplir sa mission.
- Très bonne idée ! Bien je te la confie jusqu’à demain. Tu sais ce qui l’attend comme programme. Mais auparavant, elle doit être punie pour avoir joui sans autorisation.
- Bien Monsieur le Marquis, dit le Majordome avec un sourire pervers. Je m'en occupe, vous pouvez compter sur moi, pour dresser cette petite chienne MDE !
- Bien ! Laisse-moi à présent, j'ai à faire !

Le Maître quitta Sa chambre sans m'accorder la moindre attention, le moindre regard. D'un claquement de doigts, Walter m'appela à ses pieds, où je me rendis évidemment à quatre pattes, il saisit ma laisse et m'entraina hors de la pièce. Nous parcourûmes de nombreux couloirs et escaliers de pierre, toujours en les descendant par des pentes étroites et assez abruptes en colimaçon. Me trouvant trop lente, il m’ordonna de me relever et de garder tête et yeux baissés.

- Voilà encore un point où il va falloir que je te dresse, chienne ! Tu dois être capable de suivre à n'importe quelle cadence, sur n'importe quel type de sol, et sur n'importe quel support ! Décidément il y a vraiment beaucoup de travail à faire avec toi !

Je me sentais humiliée par ses propos. Je n’étais quand même pas si nulle que ça ? Enfin, je savais que je n’étais pas une soumise parfaite, mais depuis que j’étais arrivée, on me disait quand même franchement que je ne valais pas grand-chose comme telle, et que je ne dépassais pas le stade d’une soumise novice. Ma nature commença à me pousser à me lamenter intérieurement. Je ne valais rien, je ne serais jamais la soumise que voulait le Maître. Je venais de foutre en l’air mon mariage pour tout Lui donner, et finalement je n’étais bonne à rien…

Walter sentait que je ralentissais. J’étais tellement perdue dans mes pensées que je ne sentais pas la tension dans ma laisse. En revanche, je sentis fortement le coup de fouet qui s’enroula autour de moi !

- Mais qu’est-ce qu’il te prend de rêvasser ainsi ? Tu te crois en club de vacances ici ? Tu te prépares à passer des heures douloureuses ici, si tu continues ainsi ! Monsieur le Marquis compte sur moi pour faire de toi une soumise parfaitement obéissante, et crois-moi ! J’y passerai le temps qu’il faudra, tu souffriras autant qu’il le faudra, mais je réussirai à te dresser ! Tu ne seras pas la chienne qui me fera échouer, crois-le bien !

Ces mots me percutèrent de plein fouet ! Qu’avais-je à me lamenter sur ce que j’étais actuellement ? Si le Maître m’avait choisie, c’est certainement que j’avais les capacités pour devenir celle qui voulait ! Et je n’étais pas seule et perdue, je pouvais compter sur la sévérité, la perversité, et la ténacité du Majordome et de Marie, la cuisinière ! Il fallait que je reprenne confiance en moi. Comme le disait souvent Monsieur le Marquis, on n’avance, on n’apprend pas dans la facilité, mais plus dans la difficulté. J’étais prête à faire tous les efforts possibles pour devenir ce que le Maître attendait de moi ! Je me redressais alors bien droite, en gardant cependant toujours la tête baissée, bien décidée à suivre assidument mon dressage ! Nous arrivâmes après de nombreux étages descendus, devant une épaisse porte rouge sombre toute en métal. L’atmosphère était pesante, peut-être due aux plafonds bas et sombres, et à la profondeur du souterrain où nous nous trouvions. Peut-être due à l’appréhension qui me saisissait malgré ma volonté de pouvoir tout subir pour devenir une meilleure soumise. Walter ouvrit la porte sur une salle immense. Les murs aveugles et les plafonds étaient noirs et possédaient des rideaux malgré les fausses fenêtres qui ne pouvaient donner sur l’extérieur ! Des draps de soie sur l’immense lit, l’ensemble dans des décorations sur les tons rouges bordeaux.

- Maintenant commence ton dressage de chienne ! Tu ne peux franchir ce seuil que comme une chienne c’est-à-dire à quatre pattes. Tu ne peux t’exprimer que par des jappements ou des aboiements, à toi de te débrouiller pour te faire comprendre, à condition que tu sois autorisée à t’exprimer, bien sûr ! Si tu peux boire ou manger, ce ne sera que dans une gamelle, à quatre pattes et uniquement avec ta langue, sauf contre ordre. Si tu es autorisée à te reposer, en aucun cas tu ne seras autorisée à utiliser le lit, mais la couverture posée par terre à son pied. Si jamais un Dominant souhait te mener dans ce lit, et qu’il s’endort, tu devras automatiquement redescendre et attendre à cet endroit son réveil ou un autre ordre venant de quelqu’un qui t’est supérieur. Comme tu as pu l’entendre, tu viendras passer ici des journées entières pour que ton dressage soit efficace le plus tôt possible. Et maintenant que tu sais à quoi sert cette pièce appelée à juste titre ‘’Salle de dressage’’, tu sais donc ce qui t’attend aujourd’hui !

Alors qu’il s’avançait dans la pièce, tenant toujours ma laisse et que je m’apprêtais à le suivre, toujours debout, il se rapprocha rapidement de moi et me gifla avec force.

- Quelle est la première règle que je t’ai énoncée en entrant dans cette pièce ? Ici tu n’es qu’une CHI-EN-NE ! Dépêche-toi d’en prendre la position ! Exécution !

Un peu étourdie par la force de la claque reçue, j’obtempérais néanmoins et me laissais tomber à genoux avant de me laisser retomber sur les mains.

- Bien, nous devons commencer cette séance par une punition me semble-t-il ! Position standard prosternée et dis-moi pourquoi tu dois être sanctionnée.
- Monsieur, je dois être punie pour avoir joui sans autorisation, dis-je d’une toute petite voix, après avoir pris la position exigée.

Un coup de fouet tomba sur mon cul, me faisant pousser un cri de surprise.

- Silence, chienne ! Et parle à haute et intelligible voix ! Si je dois te le répéter, tu recevras dix coups de fouet, juste pour t’apprendre à parler plus fort.

Je répétais donc plus fort ma phrase, visiblement toujours pas assez fort, la fois d'après ma voix n'était pas assurée. La quatrième fois fut la bonne.

- Il a fallu que tu répètes quatre fois. La première tu as eu un avertissement, la dernière était bonne. Il reste donc à te donner dix coups de fouet pour chacune des deux autres fois, ce qui en fait donc vingt ! Avance jusqu'à la croix de Saint André dans l'angle de la pièce.

Cette fois-ci je fis bien attention de me déplacer en quadrupédie. Une fois devant la croix, Walter me saisit par les cheveux pour me faire mettre debout et m'attacha face à la croix. Avant, il me bâillonna avec un foulard enfoncé profondément dans ma bouche.

- Je ne veux pas t'entendre et je ne veux pas avoir à te rajouter des sanctions. Je n'ai pas que ça à faire et tu m'as déjà fait perdre assez de temps !

Les vingt coups tombèrent rapidement, sèchement, avec force. Je n'aurai pas eu la bouche encombrée, je crois bien qu'on aurait pu m'entendre de très loin. Et pourtant, je devais bien avouer que mon bas ventre s’échauffait en même temps que mon dos, mes fesses et mes jambes ! Ce qui fut également remarqué par le Majordome à la fin de la fouettée.

- Mais regardez-moi comme elle mouille, cette salope de chienne ! On dirait bien que tu aimes le fouet, n'est-ce pas?! …

Pour toute réponse, je baissais la tête toujours attachée à la croix. Il passa sa main entre mes cuisses et commença à me doigter

- … Humm, c'est bien trempée et chaud là-dedans ! J'ai une idée pour ta punition... Tu devras secouer la tête, seule partie libre de ton corps, dès que tu sentiras la jouissance approcher. Est-ce clair ?

Je hochais la tête positivement. Après avoir sorti ses doigts de ma chatte, il me les fit lécher un par un afin de nettoyer ma propre mouille sur sa main, puis il m’enleva le foulard de la bouche et il me redoigta encore une fois pour de nouveau me les faire lécher longuement jusqu'à ce qu'il n'y ait plus la moindre trace de mes sécrétions intimes dessus. Il remplaça ensuite ses doigts par un petit god. Il s'activa à le faire aller et venir en moi, de plus en plus rapidement, le sortant parfois entièrement pour forcer ma petite rosette d'un coup et après quelques mouvements, puis le remettait dans ma chatte. De son autre main, il me fessait de temps en temps mais régulièrement, titillait mon clitoris... Je haletais de plus en plus. Le plaisir montait et devenait difficile à contrôler. Ne tenant plus, je me décidais à secouer la tête énergiquement, faisant comprendre ainsi au Majordome que j'étais sur le point de basculer. Il s'arrêta alors, s'éloigna un peu. Lorsqu'il vit que mon excitation retombait, il prit un god plus important que le premier. Il investit cette fois-ci plus longuement mon cul, mais en restant quand même principalement dans ma chatte. J'étais en feu ! Je voulais être baisée sauvagement, j'étais réellement en chaleur ! Très vite, je secouais la tête à nouveau. Une fois encore, il s'arrêta et attendit que la pression retombe. Il attrapa un gode, vibrant cette fois-ci et après un passage rapide dans ma caverne humide, il me l'enfonça sans préambule au fond de mes entrailles. Voulant à toute force être obéissante, je serrais les dents pour ne pas crier de plaisir. Je me contentais d'haleter. Mais les vibrations puissantes, combinées aux mouvements puissants que Walter imprimait au god, et sa main qui ne quittait pratiquement plus mon clitoris faillit me faire perdre la tête de plaisirs jouissifs, que je secouais vigoureusement, à en avoir mal aux cervicales. Il continua pourtant un peu et je faillis me laisser aller. Alors il arrêta tout et partit de nouveau quelques secondes. J'entendais de l'eau ou en tout cas un liquide tomber dans un seau ou une cuvette peut-être... et soudain je me mis à hurler ! Je venais de recevoir un seau d'eau glacée dans le dos !

- Ah j'ai oublié de te rebâillonner ! Je ne voulais pas t'entendre ! En attendant ce rafraichissement a du calmer tes chaleurs de chienne de rues ! Bien, maintenant passons au programme de dressage !

Il ne me détacha pas de suite. Je ne voyais rien de ce qu'il faisait. En fait, il était en train de former un parcours. Il posait à intervalle régulier différents bacs ou obstacles. Des bacs d'eau, de sable, de pierres, des mini-escaliers de trois marches à monter et descendre, des manches de style balai posés au sol, des barres placées à quelques centimètres du sol. Puis il revint vers moi et me détacha.

- N'oublie pas ce qu'une soumise doit faire après une sanction. Et estime-toi heureuse que je t'y fasse penser ! Mais je n'ai pas de temps à perdre à devoir te sanctionner une nouvelle fois.

Je me prosternais donc devant lui, cul bien relevé, reins bien cambrés, et je le remerciais d'avoir bien voulu daigner prendre de son précieux temps pour me sanctionner afin que j'apprenne à être une bonne soumise.

- Bien ça ira ! Maintenant place toi au niveau du plot vert à quatre pattes, évidemment ! Et exécute ce parcours. Pour le premier tour, tu peux prendre le temps que tu veux. Je vais te chronométrer. Exécution ! Mais avant je vais te mettre ce plug dans ton cul. Comme tu vois ce plug, pour son côté extérieur est terminé par une queue de cheval …

Il me positionna sans ménagement donc ce plug puis je me plaçais et commençais à avancer d'abord relativement vite, de mon point de vue de novice. Je me stoppais devant un premier manche à balai. J'essayais d'évaluer les distances où me placer avant et après, afin de ne pas avoir à passer dessus mais bien au-dessus. Je rapprochais donc mes genoux au maximum de mes mains, que j'essayais de mettre loin devant puis ramener mes jambes. Je dus mal calculer mon pied droit se posa dessus, me déséquilibrant, et me faisant tomber le genou gauche dessus. Je m'étalais par terre, lamentablement, sous les rires pervers de Walter, qui s'était installé dans un fauteuil, un verre dans une main, un chrono dans l'autre, et qui me regardait évoluer. Je me sentais humiliée et je tremblais lorsque je repris appuis sur mes mains. Le second obstacle, un bac à sable, me ralentit un peu mais se passa sans soucis. Le troisième fut plus difficile à passer c'était un petit escalier. La montée se passa sans problème, mais je m'étalais à nouveau sur la descente, m'égratignant légèrement le menton sur l'arrête de la dernière marche, toujours sous les moqueries du Majordome qui ne se gênait pas pour commenter avec des :

- "Quelle empotée!" … "Ça une chienne MDE?" … "Vraiment bonne à rien!" …, etc...

Propos tous humiliants, qui me laissaient partagée entre désespoir de pouvoir arriver à quoique ce soit et l'envie de lui montrer qu'il se trompait. L'obstacle suivant, un bac d'eau, fut facile à traverser, en revanche j'en mis partout ce qui me valut de nouveaux épithètes tels salle truie, souillonne, gorette... Ensuite venait une barre à deux ou trois centimètres du sol et évidemment je chutais. Celui qui arrivait juste après, je le redoutais ! C'était celui de pierre. J'avançais tout doucement pour essayer de ne pas me blesser les genoux, non sans mal. Les obstacles s'enchainaient tous les deux mètres. Il y en avait trois de chaque. Le parcours faisait une cinquantaine de mètres. Il me fallut une bonne grosse demi-heure pour le parcourir. J'arrivais avec plaisir à nouveau au plot vert.

- Eh bien ce n'est pas glorieux, dit Walter en se levant. Il va falloir s'améliorer ! Il te reste deux heures d'entraînement. Tâche de faire mieux ! Je vais t'y aider.

Et alors que je recommençais mon parcours, dès que je ralentissais un peu, souvent à l'approche d'un obstacle, un coup de fouet me tombait dessus.

- Je t'avais dit que je t'aiderai ! Me rappela-t-il sur un nouveau coup, d'un ton sadique. Allez, de la régularité ! Essaie au moins d'avoir l'air racée ! Ta démarche ne ressemble à rien ! Plus vite !

A chaque phrase, un coup tombait. À la fin des deux heures, j'étais épuisée ! Je ne tenais plus sur mes pattes de chienne. Je trébuchais sans cesse. Walter me fit terminer le parcours malgré que les deux heures eurent été finies. Malheureusement pour moi, à ce moment-là je n'avais passé que cinq obstacles. Arrivée au plot vert, je m’effondrai sur le sol. Il me redressa pour me faire mettre à genoux. J’ai du l’exciter durant ces deux heures à évoluer dénudée à quatre pattes car il sortit sa verge à demi-raide de son pantalon et m’imposa une fellation.

Je me mordillai la lèvre inférieure puis sortis la langue et lécha ce beau sexe de la base de la hampe jusqu’au gland. Je fis le tour du gland du bout de la langue puis le suçota sans m’arrêter de le titiller tout en aspirant ce gland violacé et gonflé. Je commençai à glisser sa queue un peu plus loin dans ma bouche, ma langue continuant de tournoyer sur cette verge aux veines saillantes et j’entamai un mouvement de vas et viens avec une régularité la plus concrète possible. Je n’allais pas trop loin. Water me laissait faire mais avait tout de même posé une main sur ma tête et me caressait affectueusement les cheveux, également avec une certaine régularité dans son mouvement du haut de mon crâne jusqu’à une de mes oreilles. Je sentais une savoureuse domination dans son geste caressant. Je posais une des miennes sur la base de son sexe que je le masturbais délicatement... J’étais toujours autant excitée, la chatte trempée. Au bout d’un moment, le plaisir ayant monté chez le Majordome, il prit ma tête et entra son sexe beaucoup plus profondément. Surprise et étouffée, j’essayais de me reculer mais la poigne était trop forte car ses caresses sur mes cheveux s’étaient transformées en une puissante étreinte contre son bas-ventre, puisqu’il avait positionné ses mains derrière mon crâne pour maintenir une forte pression contre ma tête tout contre Lui… Il resta un moment au fond de ma gorge. J’avais les larmes aux bords des yeux et commençais à haleter par un début d’étouffement. Toutefois, j’avais la chair de poule de me faire forcer ainsi ma cavité buccale et une forte chaleur monta de mon bas ventre. Il finit par faire quelques vas et vient profonds qui me faisaient encore suffoquer pour jouir au fond de ma gorge dans un flot de semence qui inonda ma bouche... Le jus du Majordome était épais et abondant, il avait giclé soudainement, dans de longs râles jouissifs et les jets jaillirent jusqu'au fond de ma gorge. J'avalais sans même réfléchir ces premiers jets de sperme et il finit de se vider dans ma bouche, je m'appliquais même à ne pas en perdre une goutte et à tout avaler, allant jusqu'à nettoyer son gland avec application...:

- Bien, bonne petite chienne avaleuse de sperme ! Mais il y a encore du travail en ce qui concerne ton dressage ! Mais aussi tu dois te reposer ! Demain tu commences les vraies journées de chienne soumise, avec les corvées. Et il y a du travail ! Puis tu auras ta journée de travail auprès de Monsieur le Marquis. Ensuite nouvelles corvées. Quelque chose se prépare, et tu devrais être surprise ! Rajouta-t-il avec un sourire pervers....

(A suivre …)

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