LA DUCHESSE DE L’AUTOROUTE. (3/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : LA DUCHESSE DE L’AUTOROUTE. (3/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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LA DUCHESSE DE L’AUTOROUTE. (3/14)
« Combien prends-tu pour baiser », c’est par ces mots que je change de condition, je m’appelais Henriette femme de Pierre retraitée des plates-formes de forages en mer du nord décédé me laissant sans presque un sou et m’obligeant à vivre dans une voiture pourrie dans laquelle j’ai la totalité des affaires qu’il me reste ?
Fantine la serveuse du restoroute vient de me donner les renseignements nécessaires pour que je franchise le pas de ma déchéance.
J’ai garé ma voiture entre deux camions et comme elle me l’a dit je m’appuie sur l’aile avant.
Les autres soirs les chauffeurs me laissaient tranquille et mieux d’après-elle, me surveillaient pour que rien ne m’arrive.

• 20 € mais je ne fais que des pipes.

Ma situation financière est au plus bas et malgré que je souhaite garder ma dignité je me trouve dans l’obligation de lui répondre ce chiffre.
Cette après-midi de retour de Chalon où je me suis rendue pour voir si l’ANPE avait un travail pour moi j’ai dépucelé un jeune garçon tout d’abord en le suçant pour la première fois de ma vie avant de me planter sa queue dans la chatte lui enlevant sa virginité et avec en prime pour moi un orgasme pour mon plus grand bonheur.
Alors quand je prends l’argent que cet homme dans la force de l’âge me tend bien que je le devine plus que je ne le vois dans la nuit la masse des deux camions, je lui sors la queue.
La verge que je mets dans ma bouche est de grosseur supportable, j’avais peur de trouver des queues démesurées comme il en existe et que j'ai eu l’occasion de voir qu'elles existaient à ma télé où un documentaire était diffusé interdit à des moins de 16 ans.
Elle est assez longue pour que je mette mes deux mains dessus et que je les fasse coulisser.

• Putain t’es bonne toi, je vais décharger et te remplir la bouche.
Ah.

J’ai un haut-le-cœur quand une grande quantité de sperme envahit ma bouche mais ignorant si je peux cracher ou si je dois avaler je déglutis voulant satisfaire mon premier client.
C’est fade et j’ai la bouche un peu gluante comme si j’avais mangé des pieds de cochons panés dont je raffole, c’est même un peu chaud et je devine dans ma pénombre que l’homme rentre sa queue.

• Tu es là tous les soirs.
• Je change d’air d’autoroute tous les soirs à cause des bleus demain je serais peut-être près de Mâcon.
• Côté direction Paris ou Lyon.
• Pourquoi ?
• Si tu es direction Lyon à partir de 22 heures c’est l’heure à laquelle je commence ma tourné et tu me soulageras une nouvelle fois, je serais un de tes clients attitrés.
• Ok.
• Et Lolo tu laisses la place la Duchesse elle est pas là pour faire la causette avec toi, mon poireau a envie de se faire dégorger, il y a 15 jours que je roule et c’est la première pute que je trouve depuis mon départ.
Duchesse, à la cibi un gars a dit que c’est comme cela que tu t’appelais, tu prends combien pour venir dans ma cabine te faire enfiler ?
• Je fais que des pipes, pas les passes avec ma chatte, c’est 20 €.
• Dommage j’étais prête à mettre 50 € pour te baiser dans le vagin.
• Non c’est 20 €.
• Ok, va pour cette somme, dépêche-toi je vais me mettre en retard sur mon tableau de route, avec les GPS ces putains de patrons nous pistent et savent si nous nous arrêtons plus que nécessaire.

Deux, il va falloir que je compte le nombre de sexes que ma bouche va faire entrer dès ce soir mais les billets que je glisse pliée dans mon sac me diront pour combien je suis devenue une prostituée.
Il doit être minuit quand le dernier client me quitte et que chancelante ayant mal à mes mâchoires je rejoins la station et où je peux me laver les dents.
Dans la toilette je compte les billets, 20, 40, 120, 200, 220, 240.
J’ai l’estomac rempli de sperme mais je suis fière d’avoir soulagé 12 gars qui doivent conduire ou dormir maintenant le bas-ventre soulagé.
Je me fais payer un café par une jeune femme qui me semble hors d’état de reprendre la route, pendant que je bois ma tasse en carton les volets ou travail Fantine étant baissée jusqu’à ce qu’elle arrive demain matin elle prend trois rasades dans une fiole en argent.

• T’en veux c’est du whisky, je me suis arrêtée pour faire le plein mais ces fainéants sont déjà partis se coucher.
• Ou vas-tu ?
• À Dijon chez ma sœur mon mari Pierrot m’a virée car il dit que je picole et que je suis bourrée, il était plus bourré que moi ce con, j’ai pris l’autoroute à Tournus et comme une grande je suis arrivée jusqu’ici, je suis forte Machine.

Elle en tient une sévère et si les gendarmes font un contrôle elle sera bonne pour une amande et un retraît de permis sans parler de la cellule de dégrisement sentant l’urine, ils l’ont dit à la télé.

• As-tu tes clefs de voiture ?
• Bien sûr, je suis peut-être un peu bourrée mais je sais bien que je les ai mises dans ma poche, regarde Machine elles sont là.
• Tu as déjà joué à qui réussit à faire disparaître des clefs.
• Non cela se joue comment, j’adore jouer, surtout à des jeux ou si on perd on a un gage, avec mon mari c’est toujours moi qui ai ce gage, l’autre fois il m’a fait mettre nue puis j’ai mis mon petit tablier de cuisine et il a fallu que j’aille chez le voisin chercher un œuf.
Le voisin m’a enculée sur sa table de cuisine et Pierrot m'a foutu une rouste phénoménale à mon retour le cul rempli de sperme.
• Parce que tu l’avais trompé.
• Pas du tout, tu comprends rien Machine, la rouste je l’ai eue car j’avais oublié l’œuf.
• Tient tes clefs ont disparu.
• C’est vrai, tu es forte comment t’as fait et où elles sont, je dois repartir chez ma sœur.
• Viens dormir avec moi, je voyage moi aussi et je dors dans ma voiture, j’ai de la place pour deux.

En effet, petit à petit ma voiture s'est vidée, il me reste l’appareil pour faire des fondues que personne ne veut m’acheter et ma valise de vêtements.
J’arrive à la faire venir jusqu’à ma voiture après avoir ouvert le hayon puis la faire s’allonger sur la couverture, ses seins sont très beaux sans soutien-gorge et il m’est impossible de dire quel âge elle a, elle porte un string dont la ficelle lui passe entre les fesses.
Je me déshabille, tire les petits rideaux que j’ai installés et je m’allonge à son côté après avoir refermé le hayon et enclenché les sécurités des portes.
La lune qui s’est levée envoie de la lumière par le pare-brise avant où il faudra que je mette aussi des rideaux mais cette lueur a comme utilité de me montrer mon invitée qui dort le pouce dans sa bouche.
Je suis peut-être la Duchesse depuis ce soir ou j’ai sucé 12 bites mais plus sûrement sœur Teresa car par ma bonne action j’ai évité un accident sur l’autoroute en direction de Dijon, sans le savoir j’ai peut-être sauvé des enfants.

Le jour est là quand je sens une main sur ma chatte, je voudrais ouvrir les yeux mais j’ai peur de faire fuir ces deux doigts qui s’attaquent à mon clitoris, encore un endroit de mon corps très peu utilisé tout au long de ma vie de femme mariée, Pierre aurait dû me forcer à des jeux pervers alors qu’il est allé les faire avec l’autre putain.
Je suis bien et je me demande même si je suis venue sur cette autoroute c’est pour me punir d’avoir été une épouse vertueuse alors que Pierre quand il était sur sa plate-forme vivait avec des femmes, l’une d’elles lui a-t-elle ouvert les portes des plaisirs interdit, C’est bizarre car dans ces années-là je me contentais du peu qu’il me donnait alors que maintenant dans cette voiture la main qui me caresse la chatte m’ouvre à 50 ans à des plaisirs nouveaux que j’ai hâte de découvrir.
Le bruit d’un camion qui démarre à nos côtés m’oblige à interrompre le moment de plénitude que je vivais, un regard d’un côté et de l’autre et je constate que le premier camion est à trois emplacements de nous et à quatre de l’autre, laissant ma voiture à la vue de la maréchaussée.

• Mademoiselle, il faut bouger et aller nous garer près de l’entrée du Restoroute, pour vivre heureuse restons cachées.
• Putain ma tête, si j’ai les yeux en face des trous je vois que j’ai dormi dans ta voiture, euh.
• Dis-le, Machine c’est comme cela que tu m’appelais cette nuit.
• Je m’appelle Juliette, Juju pour les intimes, ta pas une aspirine.
• Attends, je m’habille et je bouge la voiture et après je m’occupe de toi, au faîte Machine c’est Henriette.
• Tes vieux-on pas ratés à ta naissance.
• Alors continue à m’appeler Machine.

Une fois prête, je sors par la portière arrière et pendant qu’elle remet ses vêtements je me glisse au volant et je retourne vers le restauroute.

• Bonjour Henriette je vois que tu t’es fait une copine, elle a une sale tête je pense qu’elle a besoin d’une bonne douche, toi aussi d’ailleurs.
• S’il vous plaît aurez-vous un tube d’aspirine que je l’avale et un double café noir.
• Vous en teniez une sévère à ce que je vois, vous avez conduit sur l’autoroute dans cet état.
• Oui et grâce à Henriette qui a joué au jeu des clefs cachées j’ai dormi avec elle dans sa voiture.
• Vous pensez reprendre la route après.
• Oui pour Dijon je rejoins ma sœur et mon connard de beau-frère, d’ailleurs je vais faire demi-tour et rentrer chez mon mari, mon bof est encore plus con que le mien, du moins ils font la paire.
• Si tu as caché ses clefs, garde-les, évite qu’elle reprenne le volant elle doit encore être à 2 grammes à cette heure.
• Prends ton café et laisse-moi boire le mien, je sais où on va aller.
Fantine hier j’ai fait 12 fois 20, je crois que l’on a droit à un bon lit, ce sera la première fois depuis le jour où je suis arrivée sur l’autoroute il y a plus d’un mois.
• Tu vois ce que je te disais, calcul bien si tu avais accepté la deuxième formule tu aurais au bas mot 600 plaques.
• On verra ce soir.
• Je vois que tu y prends goût, allez emmener là se coucher elle dort debout.

C’est comme cela que je nous dirige vers l’hôtel voisin qui a un accès par l’autoroute…

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