Manon 4

- Par l'auteur HDS DXD -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Manon 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Manon 4
« J’en peux plus, il me rend dingue ! »
Ah, ok. C’était sérieux.

« Du coup si ça va mal entre vous, est-ce que t’es sûre que c’est le moment que toi et moi on baise ? »
« Il me rend dingue, parce que j’ai l’impression qu’il est de plus en plus mauvais au lit. Non faut vraiment qu’on se voie, sinon je vais craquer. »
Je souriais, à la fois flatté et excité. Manon était une amie que je connaissais depuis le lycée. Elle était vraiment sexy, assez grande, blonde, de beaux yeux bleus et un beau visage ainsi qu’un corps de rêve. Elle avait une belle poitrine (90c), et des fesses à croquer. Je n’y avais pas prêté attention pendant longtemps, parce qu’elle avait un mec. Mais il s’était avéré que son copain, Karl, était un très mauvais amant, et Manon, plus que lassée de ça, aimait le tromper de temps en temps avec moi, histoire de rompre la monotonie de sa vie sexuelle.

On était en plein dans les vacances d’été, et ça avait l’air de rendre plus exigeante encore Manon.

« T’as qu’à passer chez moi quand tu veux, et je m’occuperai de toi, lui dis-je. »
« Je passe ce soir. Répondit-elle. »
« Ce soir ? T’es pressée toi. »
« J’ai passé un mois et demi en vacance avec lui. J’en peux plus de me taper sa queue molle. Il m’en faut une bien dure. »
« A ce soir alors ! »
Je me réjouissais de la soirée à venir. Manon était toujours un très bon coup, car à chaque fois morte de faim du fait de la nullité de son mec. C’était on ne peut plus plaisant !

Le soir venu, on sonna à ma porte. J’allai ouvrir, et bien sûr, c’était Manon. Elle était vêtue de manière outrageusement sexy. Elle portait une brassière rouge, et un mini-short en jean. Cette tenue mettait si parfaitement son corps de rêve en valeur, dénudant ses hanches, ses bras, ses épaules et ses jambes, qu’elle avait certainement attiré tous les regards sur son passage pour venir chez moi.

« Salut, lui dis-je, tu vas bi... »
Je n’eus pas le temps de finir ma phrase : elle se rua sur moi, et m’embrasa très sauvagement, claquant la porte derrière elle. Surpris, je peinai à lui rendre son baiser, et eus surtout l’impression de me faire dévorer la bouche. Manon me repoussa dans le salon, jusqu’à ce qu’on arrive derrière mon canapé. Elle me poussa par dessus le dossier du canapé, et surpris, je basculai et m’écroulai dessus. Manon contourna le canapé, et vins se mettre à califourchon sur moi. Elle m’attrapa par le t-shirt, et m’obligea à me redresser. Elle m’embrasa à nouveau comme une folle, avant de me replaquer contre le canapé, frottant ses fesses contre mon sexe tendu à travers mon pantalon, me faisant encore plus bander, au point que ça en fut presque douloureux.

Sans plus de cérémonie, Manon m’arracha mon pantalon, puis mon caleçon, avant de se débarrasser de son mini-short et de son shorty et de s’empaler sur moi avec un petit cri de plaisir.

« Hmm… enfin une queue à la hauteur de mes espérances. Je te préviens j’ai très faim... »
« J’avais remarqué plaisantai-je. »
Elle eut un léger sourire, puis se mit à aller et venir sur moi, d’avant en arrière, bougeant ses hanches dans un rythme soutenu, me culbutant contre le canapé. Tout en me baisant, elle saisit mon t-shirt, et me le retira. Après quoi, je fis une tentative pour reprendre le dessus, mais elle me tint cloué contre le canapé, et accéléra le rythme de ses assauts, son bassin bougeant souplement. Je poussai un cri de plaisir, et elle même se mit à gémir à pleine voix. Elle glissa un doigt le long de mes pectoraux, puis abdos, et sourit « c’est si bon de baiser un mec musclé ! » en guise de réponse, je lui claquai les fesses. Alors, elle accéléra encore le rythme, tout en plantant ses ongles dans mon torse, me baisant si vite que le canapé grinçait sous ses coups de reins. Mon sexe s’enfonçait en elle à chaque coup, et elle venait cogner le fond de son intimité contre lui, nous arrachant des cris de plaisir à tous les deux. Je vibrais littéralement sous ses coups de reins, et Manon elle était tremblante de désir, mais continuait inlassablement de me baiser, avec toujours plus de force. Elle était ultra sexy dans sa brassière, rouge qui mettait en valeur son corps de déesse, et avec ses yeux bleus qui brillaient d’une envie qu’elle n’arrivait pas à combler visiblement. Elle me baisait comme une furie, me giflant de temps en temps, comme pour me stimuler, mais elle y allait si fort que tout ce que je pouvais faire c’était me laisser aller. Elle se pencha sur moi, et m’embrassa comme une folle, je voulus en profiter pour reprendre le dessus en la tenant par le dos, mais elle se redressa aussitôt. Se tenant par la tête, elle se mit à onduler du bassin, secouant délicieusement son merveilleux corps, me faisant un bien fou. Puis elle se remit à aller et venir d’avant en arrière comme une furie, me faisant complètement fondre. Je sentis l’orgasme approcher, et vis qu’elle en était proche elle aussi. Je tâchai de tenir le plus longtemps possible, histoire de profiter, mais quand Manon accéléra encore une dernière fois, je ne pus que craquer, et explosai dans un merveilleux orgasme en même temps qu’elle.

Elle s’écroula sur moi, hors d’haleine.

« Oh bordel, qu’est ce que c’était bon... »
« T’es satisfaite maintenant ? »
Elle me fit un petit bisou dans le cou.

« Oui. Désolée de t’avoir malmené... »
« Pas grave, j’ai adoré me faire violer comme ça ! »
Elle pouffa.

« Tu prendras ta revanche tout à l’heure. Mais t’as intérêt à assurer ! »
« Ne t’inquiète pas ! Je suis toujours prêt à rendre service au demoiselle en détresse… Surtout si elles sont en manque. »
« Je suis pas en manque. Je suis mal baisée, c’est pire ! »
« Allons dans ma chambre, et on va remédier à ça... »
Manon eut un sourire à la fois gourmand et incrédule :
« T’es déjà de nouveau d’attaque ? »
« Bien sûr. »
Elle parut ravie, et me tenant par la main, m’entraîna dans ma chambre, en courant presque. Une fois dans la chambre, je la poussai sur le lit. Elle tomba à sur le dos en riant. Je vins sur elle, presque tremblant d’impatience.

« N’oublie pas que c’est à moi d’assurer cette fois ! »
« J’oublie pas, fais moi tourner la tête beau gosse ! »
En guise de réponse, je la pénétrai d’un coup sec, lui tirant un gémissement de plaisir. Je me mis à aller et venir en elle, tout en l’embrassant avec passion. Je descendis le long de son cou, et lui retirai sa brassière, avant de lui masser les seins avec ardeur. Puis, j’enfonçai ma tête dans sa poitrine, tout en lui donnant des coups de reins circulaires qui la firent gémir d’aise. Après avoir bien dévoré ses seins, je m’en retirai, et me redressant, je me mis à accélérer le rythme de mes assauts, labourant Manon avec force. Ses gémissements augmentèrent à leur tour, m’encourageant à aller plus vite encore. Je frissonnai de plaisir, me délectant de la sensation de ma queue, la limant fortement, et me délectant de sentir Manon frémir à chaque aller-retour que je faisais. Elle finit par enrouler ses jambes autour de mes hanches, et me colla contre elle. J’avais moins d’amplitude, mais je lui donnais des coups de reins plus secs, tout en l’écrasant contre le matelas, et l’embrassant sensuellement, la rendant complètement folle. « Ooooh j’adore, continue comme ça, ralentis pas surtout, c’est paarfaiit ! » criait Manon. Je la regardai dans les yeux, et vis qu’elle semblait sur le point de chavirer. Je compris qu’il était temps de passer à la vitesse supérieure.

Je brisais l’étreinte de ses jambes, me redressai et la retournai, la mettant à quatre pattes. Puis, je lui donnai une claque sur les fesses, histoire de la stimuler, avant de la prendre en levrette. Je la tenais par les hanches, et me mis à aller et venir en elle très sauvagement. Manon était ballottée par mes coups de butoir, et tout en se tenant aux draps, gémissait à pleine voix. J’accélérai sans cesse le rythme, m’enfonçant toujours plus profondément en elle, jusqu’à cogner le fond de son intimité encore et encore, nous faisant trembler d’extase tous les deux. Manon se mit à secouer son magnifique postérieur histoire de participer un peu, et de rendre les choses plus délicieuses encore. Je dus serrer les dents pour ne pas gémir, tant ce fut bon. Après avoir profité un moment, je me remis à donner des coups de reins, et allai si vite que Manon ne put suivre le rythme, et resta paralysée par le plaisir. Stimulé par les sensations que je retirais de cette baise, j’accélérai encore le rythme, tout en massant et claquant les belles fesses de Manon. Celle-ci gémissait de plus en plus fort, et son corps se cambrait sous la pression. Je sentais qu’elle était proche de l’orgasme. Je lui administrai alors le coup de grâce : j’accélérai le rythme une dernière fois, tout en lui titillant le clito, la faisant littéralement hurler. Elle résista à ce traitement une longue minute, avant d’exploser dans un orgasme qui la fit s’écrouler sur le lit. Mais moi, n’ayant pas encore joui, je continuai à la baiser jusqu’à ce que je jouisse à mon tour.

Manon était étendue sur le lit, comme sonnée par ce qui venait de se passer.

« C’était excellent, vraiment parfait. »
« Je sais, dis-je d’un ton prétentieux, je suis vraiment super doué. »
Manon pouffa devant ma prétention, et se colla contre moi. Nous restâmes un moment étendus et somnolents. Au bout d’un moment cependant, le désir commença à revenir. On se mit à s’embrasser doucement, puis nos baiser s’intensifièrent, et Manon se mit soudain à accélérer le rythme comme une folle, avant de me pousser, et de venir sur moi.

Elle voulut s’empaler sur ma queue pour me chevaucher, mais j’estimai m’être suffisamment laissé faire, et la saisissant par les hanches, je la renversai aussitôt. Je la retournai, la mis sur le côté, et vins dans son dos pour la prendre en cuillère. J’enroulai mes bras autour d’elle, et massai ses seins avec vigueur, avant d’entamer de rapides va-et-vient circulaires tout en me collant contre elle, et lui embrassant la clavicule. Manon se mit à gémir et à se tortiller, et fier de moi, j’accélérai le rythme tout en resserrant mon emprise avec mes bras. Mais soudain, Manon se mit elle aussi à bouger tant bien que mal, donnant des coups de reins, participant à cette baise, et la rendant encore plus délicieuse. Je frissonnai de plaisir, et me mis à titiller le clito de Manon pour la stimuler encore plus.

En réaction, elle se dégagea soudain de mon emprise. Elle me fit rouler sur le côté, me mettant sur le dos, tout en restant empalée sur moi. Elle était maintenant au dessus de moi, et me tournait le dos. Elle se mit à me baiser avec vigueur, dansant sur mon sexe, bougeant son bassin comme si elle faisait une danse du ventre. Elle gémissait doucement tout en me baisant, et accélérait progressivement le rythme. J’étais un peu surpris par la tournure que prenaient les événements : d’habitude Manon se laissait plutôt faire, là elle semblait avoir envie de me baiser et de prendre les commandes. J’aurais bien repris le dessus, mais la vue de son fessier s’agitant sous mon nez, et les sensations de plus en plus incroyables qu’elle me procurait me donnait juste envie de me laisser faire. Manon se retournait de temps en temps pour me regarder, et me sourire tout en s’activant toujours plus. Je ne tardai pas à pousser des cris, ce qui la rendit fière d’elle même.

Elle finit par se retourner, pour me chevaucher de face. Elle se mit à aller et venir d’avant en arrière à un rythme effréné, me baisant comme une furie tout en me regardant droit dans les yeux, une lueur sauvage brillant dans son regard. Ses seins se balançaient au rythme de ses assauts, je voulus les saisir, mais elle m’attrapa les poignets, et me les plaqua contre le matelas, avant d’accélérer encore le tempo de ses attaques. Ses mouvements de hanches devinrent secs, elle me culbutait en m’enfonçant dans le matelas, et moi je ne pouvais que gémir devant son adresse. Elle se pencha vers moi et m’embrassa langoureusement, avant de descendre et de m’embrasser le cou, puis le torse, avant de se redresser, et de reprendre ses assauts, mais cette fois-ci en bondissant sur mon sexe, allant de haut en bas, me faisant bouillir de plaisir et m’offrant la vue incomparable de ses seins qui se secouaient de haut en bas. Je ne tardai pas à crier de plaisir, ce qui tira un sourire coquin à Manon. Elle se mit à se déhancher de droite à gauche, tout en me lançant un regard provocateur 
« Alors, tu aimes ce que je te fais ? Tu aimes comme je te baise ? Crie bien, que tout le monde sache que t’es à moi !»
Pour appuyer ses propos elle me donna un coup de rein plus fort que les précédents, et je poussai un grand cri. Elle me griffa le torse, et se déchaîna littéralement, allant d’avant en arrière, bougeant son ventre plat à grande vitesse. Elle devait vraiment être affamée pour me baiser comme ça, elle me violait presque ! Elle n’hésitait pas à me griffer, ou à me prendre le menton pour m’obliger à la regarder dans les yeux. Ses yeux bleus brillaient d’envie, ses joues rougissaient sous l’effort, et son souffle se raccourcissait. En même temps, elle tremblait de plaisir, et moi aussi. Je me dis que c’était peut être le moment de reprendre le dessus, et essayai de la renverser. En réaction, elle me mit une gifle et lança : « laisse toi faire je veux te baiser, je kiffe te malmener comme ça ! » et sur ce, elle accentua encore la puissance de ses coups de reins, me faisant tellement de bien que ma vue s’en brouilla. Ce qu’elle me faisait était tellement bon, que je décidai de me laisser aller, et me contentais de subir les puissants coups de reins de Manon, qui n’en finissaient plus. Le plaisir augmentait chez nous deux, nous gémissions de plus en plus forts, et nos corps se cambraient sous l’effet de l’extase qui montait et montait à chaque coup de butoir de Manon. Celle-ci sentit l’orgasme approcher, et entama alors le sprint final, et se mit à bondir et rebondir sur moi tout en enserrant mon sexe en contractant ses muscles vaginaux. Je poussai un véritable cri de plaisir, qui se transforma en hurlement lorsque je fus submergé par un terrible orgasme. Manon, jouit en même temps que moi, et après avoir poussé un grand cri, s’écroula sur le lit, tremblante de plaisir.

« Oh bordel… j’aimerais bien pouvoir faire ça tous les jours, soupira-t-elle. »
Je souris, et me dis en mon fort intérieur que c’était une bonne chose que Karl soit un si mauvais coup.

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Texte coquin : Manon 4
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