Titre de l'histoire érotique : LE STAGE. (1/2) - histoire érotique

Négociation et Relation Client, j’étais loin de penser comment ma vie allait se trouver bouleverser.
À dix-neuf ans, je suis une jeune femme bien dans ma peau de blonde contrairement à ce que l’on peut dire sur celles qui ont des cheveux de ma couleur.
J’ai galéré car les patrons ou patronnes de sociétés qui prennent de leur temps pour que nous réussissions nos études sont rares.
Après bien des démarches j’ai trouvé un stage non loin de chez moi dans une entreprise qui fabrique des machines de haute précision à haute valeur ajoutée qui permettent d’équilibrer le commerce extérieur français.

Dix-neuf ans, blonde, grande, 1 mètre 89, 70 kilos, épaisse comme une liane, mais avec des seins assez volumineux, l’an passé j’ai postulé pour le titre de Miss Ile de France, mais j’ai fini quatrième au grand dam de maman qui me voyait déjà Miss France et pourquoi pas Miss Univers.
Après cet échec j’ai redoublé de travail pour obtenir mon diplôme et ce stage doit m’aider à le valider si mon tuteur est satisfait du mémoire que je dois lui rendre et qui sera présenté au jury de fin d’étude.

• Bonjour, mademoiselle Alexandra, je vous présente Josette, ma secrétaire qui va vous faire visiter l’entreprise, bureaux, atelier de fabrication ainsi que de montage.
Vous allez avoir la chance de mettre en pratique d’ici quelques jours ce que vos professeurs vous ont appris, car nous allons recevoir le propriétaire d’une des plus grosses entreprises texanes qui fabrique des pièces pour l’industrie de pointe des États-Unis, qui travaille pour la fabrication de la fusée Apollo.
Si nous empochons le marché, c’est cinq ans de travail assuré pour notre site parisien avec une possibilité d’implantation d’une unité aux USA près de Cap Canaveral.
• J’essayerais de me montrer digne de votre confiance monsieur Claude, mais je pense que ce sont vos vendeurs qui seront en première ligne, car je manque d’expérience, vous vous en doutez.
• Détrompez-vous, nous serons seulement trois, Josette ma secrétaire, vous et moi, car j’ai pour habitude de traiter moi-même ce genre de contrats de vente, il va sans dire que si vous sentez le besoin de m’apporter discrètement des points positifs à la réussite de la signature de ce contrat, je vous écouterais avec attention et j’espère que vous en ferez de même si le besoin s’en fait sentir.
Dernier point, quel niveau d’Anglais avez-vous ?
• Je suis parfaitement bilingue, maman est anglaise et avec papa quand j’étais enfant nous parlions une semaine une langue et vis et versa, ceci aussi bien en paroles qu’en écrit.
• Formidable, je sens que nous allons faire une équipe d’enfer vous et moi, il se peut que j’aie besoin de créer un poste dans votre domaine de compétence que vous pourriez intégrer dès vos études terminées.
Après la visite, Josette vous emmènera dans une boutique près d’ici où vous pourrez vous acheter une robe longue avec les accessoires tels que sac à main de soirée, je veux que vous soyez étincelante.
Je connais ce genre de gardien de vache, il est fidèle à la photo qui est montrée de l’homme américain dans le feuilleton Dallas, de jolies femmes à sa table et le contrat sera dans la poche, faîte vous belle bien que vous le soyez déjà.
Josette allé y Alexandra va vous rejoindre, j’ai une chose particulière à dire à notre stagiaire.

Josette sort du bureau et ferme le porte.

• Je serais assez bref, j’ai besoin de Josette pour prendre en note toutes les propositions dont nous discuterons afin d’établir un contrat en béton, mais en ce qui concerne la beauté Josette a passé son temps et je compte sur toi pour subjuger notre client, si nous échouons, je mets la clef sous la porte et je perds l’intégralité de mes biens.

Je suis fière de la mission que l’on me confie, dans la journée j’arbore un tailleur qui a coûté les yeux de la tête et le soir un fourreau qui met en avant tous mes atouts.
Je passe chez la coiffeuse pour remettre en place mon chignon qui fait de moi une jeune femme élégante tout au long de l’après-midi dans la salle de réunion ou Bill le Texan discute des spécificités de nos machines.
C’est drôle, je dis nos machines alors que je suis là depuis 3 jours.

• Qu’avez-vous prévu pour ce soir Claude, j’aimerais que nous passions une soirée parisienne, vous savez ?

C’était clair, il veut se retrouver dans un endroit entouré de jolies filles.

• C’est une surprise Bill, vous permettez que je vous appelle Bill.
• Faite Claude j’aime que le courant passe comme en ce moment entre nous.
J’espère que vous serez avec nous mesdames.
• Sans aucun doute.

Bill repart vers son hôtel conduit dans une limousine certainement de location pendant que je vais chez moi passer ma robe de soirée avant de passer chez la coiffeuse qui me refait une coiffure plus sophistiquée et le maquillage adéquat.

• Je m’amuse comme un fou Claude, j’ai toujours rêvé d’une soirée comme celle-là et vous me l’offrez, je peux vous parler un moment en tête à tête, allons au bar.

Je reste avec Josette à regarder le spectacle ou des femmes magnifiques dont je pourrais faire partie, étant aussi élancé qu’elles mais je me vois mal exhiber ma poitrine comme elles ont le courage de le faire devant des hommes comme Bill qui bave littéralement en les regardant.
Claude revient Bill étant allé vers la porte des toilettes et me glisse à l’oreille.

• Alexandra, allez jusqu’aux toilettes je vais vous y rejoindre dans cinq minutes.

Fidèle à ma parole je m’éclipse bientôt rejoint par le patron.

• Alexandra, il y a un grave problème, quand des personnes négocient des contrats aussi grands que celui qui est sur la table avec Bill, il est classique d’inviter des filles ayant peu froid aux yeux qui sont là pour amadouer le client et qui finissent dans leur lit.

Je le regarde incrédule.

• Tout est dans tes mains, l’avenir de nos 60 employés, il croit que tu es une de ces filles et m’a remercié d’avoir pensé à faire venir une escorte à sa table, il croit pouvoir t’emmener dans son hôtel.
• Si je comprends ce que tu dis, Bill le Texan me prend pour une escorte donc pour une pute, bonsoir Claude heureuse d’avoir commencé mon stage chez toi, j’espère que mon tuteur arrivera à faire comprendre au jury, pourquoi je leur présente un mémoire blanc.

Au moment où je tourne les talons, je le vois baisser la tête, 60 personnes au chômage, je reviens sur mes pas.

• D’accord je vais jouer le rôle, mais tu me promets sur ta parole d’homme du monde que tu m’embaucheras à la fin de mon stage.
• Promis, j’irai même plus loin, tu deviendras mon associée.
• Je vais jouer le rôle que tu m’assignes, n’est aucune crainte, j’ai déjà perdu mon pucelage et si je suis loin d’être une experte, je sais comment baiser se gros lourdingue qui frime dans ses bottes à quatre sous même si elles sont d’origine texane.

Je retourne à notre table prenant conscience que la situation a évolué, car Claude a fini par me tutoyer et accepté que je le tutoie, à partir de ce moment je semble m’intéresser plus étroitement à Bill le Texan qui aime les putes.
Ce qui est vrai, c’est que j’ai perdu mon pucelage lors du concours de Miss Île-de-France, c’était dans la loge où nous nous changions avant et après le défilé, j’étais restée la dernière prenant mon temps à retrouver mon costume de petite fille sage quand le producteur du concours est entré m’a invité à aller au restaurant pour se faire pardonner d’avoir fini quatrième à la plus mauvaise place.
Il était séduisant et sa chambre étant au-dessus du restaurant je l’ai suivi, il m’a déshabillé m’embrassant tendrement et d’un coup le grand mal que j’ai senti dans mon ventre, on fait que j’étais devenue entièrement femme.
C’était un bon amant qui m’a appris à être une femme prévenante au désir de l’homme, j’ai su comment le sucer pour qu’il rebande après m’avoir pris en levrette ou nous deux placés de côté avec lui derrière moi, a essayé de me sodomiser, mais j’ai refusé et il m’a respecté.
Bref, je suis loin d’être une pro comme doivent l’être les escortes qui se vendent depuis des années, mais je compte sur ma grande taille et mon petit cul pour lui donner le change, si à la clef j’obtiens un emploi en C.D.I., car je pense que Claude a été piégé et c’est trouvé contraint de me faire cette proposition à la limite du malhonnête.

• Claude, confie-moi notre contrat en l’état je me fais fort de lui faire signer avant la fin de la nuit.
• Je te fais confiance Alexandra, j’aime que tu m’appel Claude après ce que tu vas faire pour nous, je te revaudrais cela jusqu’à la nuit des temps.
• Respect, ta part du contrat en m’embauchant comme associé à 50, 50 il va de soi et je me fais fort de m’occuper personnellement de mes propres états d’âme.

Nous retournons vers la table ou mon Texan est revenu regardant les filles se trémousser comme si c’était la première fois qu’il en voyait.

• Mes amis, je vais rentrer, je suis fatigué.
• Je vous propose de vous reconduire chez vous, ma limousine est à votre disposition.
• Merci Bill, je vois que vous êtes un gentleman, partez devant, je vous rejoins, j’ai deux mots à dire à Claude.

Sur le regard étonné de Josette, il part vers le vestiaire récupérer son chapeau de cow-boy qu’il voulait garder en entrant.

• Josette donnez le contrat que vous avez été préparé avant de venir ici à Alexandra, elle va s’en occuper.

Je le récupère, je le plie dans mon sac et je suis notre client, mon client sous le regard encore plus étonné de la secrétaire.

• Où habitez-vous que je donne des ordres à mon chauffeur ?

Je lui mets la main sur le genou.

• Si nous allions plutôt dans votre hôtel !
• Je n’y vois aucun inconvénient, je l’espérais fortement vous êtes une jeune femme extraordinaire…