Une fille stakhanoviste

- Par l'auteur HDS Jpj -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Une fille stakhanoviste Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Une fille stakhanoviste
Cette fille était d'un grand classicisme. Elle ne suçait pas, elle n'aimait pas non plus se faire pourlécher la minette.
Jamais non plus elle ne mettait le nez dans le polochon en présentant ses fesses pour levrette ou enculade.
C'était une fille qui manquait singulièrement de fantaisie.

Quand je passais ma main entre ses cuisses pour caresser son minou, elle saisissait mon poignet pour m'écarter en murmurant, mon bitmini est à vif, tu me fais mal, s'il te plaît cesse.

Néanmoins elle aimait mes caresses sur ses seins et bandait instantanément, dés que ma main balayait son poitrail, de deux tétons roses dressés. Et elle ronronnait. Elle aimait aussi que l'on passe à sa taille, sur ses hanches, sur ses cuisses, et surtout sur leur intérieur.

Son plaisir le plus fort était que l'on glisse une main à son cou, quatre doigts à sa nuque et le pouce en retour sur sa gorge, la paume sur son épaule au dessus des clavicules.
Sa tête alors partait en arrière, yeux extasiés et doux râle de princesse enfin réveillée par prince charmant d'un enchantement envouté de mauvaises fées.

Elle aimait aussi mêler ses sourires à ceux de son fiancé du jour en longs palots sensuels et interminables. Elle savait jouer des langues et des échanges salivaires pour exprimer son appétence à communion éventuelle plus profonde, plus sexuelle, manifestement ardemment souhaitée.

Et moi, ce que j'aimais bien chez cette fille-là, était d'être, ce jour-là, justement le fiancé choisi.

C'est toi que je préfère, fais-moi donc danser
C'est toi que je préfère, la vie est courte il faut en profiter

Elle habitait une piaule de résidence étudiante en lointaine banlieue presque rurale. Je logeais en ville en loft sous les toits escalier interminable et vue imprenable sur les tuiles ocres, urbaine.
Elle disait, viens chez moi le weekend, ça nous fera villégiature et je viendrai dans ton atelier de peintre, verrière sous les toits, la semaine.
On était comme en ménage. Sauf qu'il y manquait plein de jours, plus de moitié, où elle vaquait manifestement à d'autres activités avec probablement d'autres fiancés. Suputais-je, inquiet.

J'étais à la fois jaloux et frustré mais néanmoins bien content de ces libertés qui me permettaient de vivre encore quelques longues sérénités de garçon célibataire qui lit son bouquin, écoute ses disques et vague-à-l'âme tranquillos en son chez-soi.
Un peu comme une ultime période de garçon libre.

Ce fut bonne époque dans ma vie.

Faut dire que je n'aurais pu être l'unique amant de cette fille. Elle était partenaire amoureuse insatiable et moi je n'avais pas l'endurance requise. Il n'empêche que les nuits que j'ai passées avec elle sont à tout jamais les bornes, millages, de ma vie.

Elle, dormait toujours toute nue.

Nombre de filles se vêtent pour dormir, plus ou moins chastement.

Le plus souvent, elles portent teeshirt-culotte, tout simplement, comme relicat de vêture du jour. Mais ce sont bien des habits affectés exclusivement à la nuit et qu'elles remisent sous l'oreiller, en boule, en vrac. Les T-shirts sont amples, descendant bas sur leurs cuisses, comme de petites robes de filles sages. Ce sont sont des habits de garçon qu'elles ont chipés dans des vies antérieures et je suspecte qu'elles y trouvent nostalgie romantique en s'endormant, le nez dedans.
Les culottes, elles, n'ont rien d'afriolant, ce sont de vieilles culottes, rebutées depuis longtemps, aux élastiques détendus, au coton épuisé par des centaines de lavage. Des culotttes qui ne tiennent pas à la taille et dont les échancrures permettent à la main les visites les plus audacieuses, les plus osées. Des culottes qui ont une tendance toute naturelle toute normale à se retrouver au fond du lit au petit matin, sans que l'impétrante l'ait le moins du monde, voulu.

D'autres aiment les pyjamas. De fin coton, le pyjama est un deux pièces assez lache qui ne colle pas trop au corps. Le haut, comme une veste boutonnée haut, jusqu'au col, esquisse à peine la poitrine comme invite à une approche de la main en exploration, simple curiosité de garçon. Le pantalon taille basse, remonté haut d'un élastique tiré aux hanches montre vulve moulée à la fente profonde sous pubis, velu ou non, proéminent. Sacrément impudique, le pyjama, tant il est fin.
Le pyjama invite à jouer des mains à travers l'étoffe et aussi à suggérer des positions permettant les choses lors qu'il n'est juste que tiré bas sous les fesses. Cuiller, levrette, ... Enfin comme si ça s'était fait par inadvertance, sans vraiment l'avoir cherché, sans vraiment s'être dévêtue. Mais, maman, j'avais mis mon pyjama.

Les chemises de nuit de la tradition, de toutes sortes, sont toujours de tissu épais, bien pliées sur les oreillers. Elles sont vêtures de nuit des filles de bonne famille, sages et prudes. Elles les attrapent furtivement avant de s'enfermer dans leur salle de bain et reviennent drapées du cou jusqu'aux chevilles avec un petit sourire timide de fille.
Le coton ne laisse rien voir de leur touffe même en contre-jour de lampe de chevet. La coupe est droite et l'on ne voit rien de leur taille fine, de leurs hanches larges et encore moins du volume pourtant imposant de leurs beaux nibars lourds sur le devant.

Mais nous les garçons, on sait. On sait que les chemises remontent, elles, aux aisselles découvrant au cœur des cuisses ouvertes des filles de bonne famille le centre d'intérêt universel.
Nous, ces filles-là on les appelle les camisardes. Et on les aime bien surtout quand la camisole est blanche. Et elle l'est toujours...

Elle, cette fille dont je vous parle aujourd'hui, n'est pas pareille. Elle dort nue, toujours. Et moi itou : on était manifestement faits pour nous entendre, elle et moi. Comme qui dirait, un destin malin faisait qu'à chaque pas, qu'à chaque étape du chemin tout se passait bien.
C'est ce qui fut. J'vous raconte ?

La première fois qu'elle a dormi dans mon lit, elle ne le voulait pas.
Elle m'avait dit je veux bien monter chez toi, discuter, boire un thé cardamome, mais pas plus, rien de plus, non. Rêve pas, j'suis pas fille coucheuse. Ton lit est surement attrayant mais tu ne m'y feras pas tomber.
Finalement, tard, elle s'y était glissée, sous couette chaude ; mais avait gardé sa culotte. Un grand slip blanc haut sur ses hanches. Déterminée à ne pas.
Moi je dormais et sa culotte a filé toute seule sur ses chevilles à fond de lit dans son inconscience dormitive.

Elle aimait dormir toute nue, sont comme ça, les filles, en tous cas celle-là.

Au matin elle s'était coulée contre moi, bras jambes en araignée emmêlés à moi, octopus. Son ventre contre le mien tout dressé. Ses cuisses levées et son cœur tout trempé. Auriez-vous pu résister ?

Ensuite on a continué.

Elle est restée chez moi et moi je suis allé chez elle. Pour dormir ... enfin pour rester ensemble toute la nuit durant, jour après jour. On était bien. On aimait ça, être ensemble tous deux.

Elle m'a dit, moi, le matin quand je me réveille, je pense que le soir je vais emmêler mes jambes aux tiennes et rien que ça fait le bonheur de ma journée.

Elle était néanmoins un peu spéciale.
D'un gars on aurait dit qu'il était précoce. En rigolant un peu. On est moqueurs, nous les gars, surtout d'un congénère.

Mais chez elle, ce n'était pas désagréable.
Elle me disait alors, stop, chut, calme toi, je suis venue, je suis bien, je profite. Laisse moi profiter. Tranquille, l'ami.

Heureusement, ça ne durait pas et très vite elle marquait à nouveau appétence et montrait au partenaire par des mouvements de bassin son intérêt à poursuite du limage amoureux.
Elle levait haut les cuisses et serrait mes hanches de ses talons comme montés d'étriers.
Moi je cherchais, d'un gland explorateur, le col dur de son utérus pour m'y abouter et y gicler ce que j'avais à donner.

Enfin, si elle m'en laissait, cette fois-ci, l'opportunité le temps...

Ses intérieurs étaient diablement actifs. Non seulement elle mouillait comme une jeune mariée mais en sus, si j'ose dire, ses villosités vaginales ondulaient en contractions préhensiles comme aubade en bon accueil à ma queue. Depuis le gland décapuchonné jusqu'à la base de la hampe.

Mes fantasmes n'avaient pas temps de tourbillonner qu'elle était déjà à ses battements d'harmonie, à l'accord de ses consonances, à sa résonance intime. Et elle partait dans ses intimités tumultueuses en bonheurs préhensiles de ma queue pour la serrer pour la traire.

Et moi j'étais tout bête, n'ayant pas eu, en concordance, les épanchements spermatiques à même de m'apaiser et surtout de la satisfaire. Je savais néanmoins que ce serait pour bientôt tant mon scrotum était serré sur mes couilles gonflées en attente.

Ses cuisses alors retombaient, ses jambes esserraient les miennes, pieds flex encadrant les miens et son sourire dans mes yeux comme une sorte de merci qui disait, attendons le prochain emballement en espérant qu'il sera le bon, de ton côté.

Elle m'embrassait à bouche que veux-tu cherchant mes dents mon palais ma glotte même, de sa langue violeuse toute mouillée de salive. Elle avait les muqueuses généreuses. Et moi j'aimais ça. Surtout que contre mon pubis je sentais, contrastant avec la douce chaleur de son intimité vaginale, la fraîche moiteur de sa touffe épaisse, trempée comme une éponge, pressée contre moi.

Elle ne parlait pas et quand la pause avait été suffisante, elle remontait ses cuisses, crochait ses petons et repartait dans des ondulations internes sur les gammes hautes et des mouvements de bassin lents en accompagnement coordonné.

Je savais qu'il me fallait être attentif si je voulais prendre la cadence et pouvoir participer.
Mais quand on est jeune on est con. Et j'étais comme un apprenti rockeur qui cherche à entrer dans le rythme et veut enchaîner les passes en harmonie avec sa partenaire. Excuse-moi, partenaire.

En réalité, j'étais, par principe tout excusé car la fille ne cherchait pas aboutissement orgasmique qu'elle savait fin du jeu mais plutôt insatisfaction frustrante qui ferait que le garçon y reviendrait. Tant et plus. Pour son plaisir.

Et moi, j'étais ce mec-là, que la fille pressurait avec délicatesse pour le maintenir toujours sur le fil.
Les nuits passaient ainsi en dizaines de sprints qui n'avaient aboutissement que pour elle et me laissaient éreinté et frustré mais prêt à recommencer.
Elle était fille généreuse et savait qu'il fallait, à la fin, apaiser.
Ou alors calculatrice, comprenant que sans satisfaction ultime du garçon, il n'y reviendrait pas et qu'elle aurait perdu son partenaire.

Toujours est-il qu'en fin d'étape, avant de passer le portail, à l'extrême, elle poussait à fond jusqu'au bout pour donner orgasme salvateur.
Moi j'étais en actions de grâce et donnais, donnais, donnais.
Elle cuisses ouvertes telle parturiente en délivrance recevait à fond sans compter.
Il est étonnant d'observer que tant de retenue décuple les capacités du garçon. Et aussi que celle qui en a été toute la nuit l'artisan se plaît à recevoir l'entière offrande au creux de ses intimités. Sans en rien en vouloir perdre, cuisses hautes puis pieds au mur pour bien tout garder.

On en était là, elle et moi, nuit après nuit, noyés dans les sécrétions de tous ordres, vaginales de cyprine et autres mouilles et coulettes, spermatiques fluides ou visqueuses selon l'humeur du moment.




Cette fille me plaisait bien et finalement j'ai décidé de la garder.

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