Titre de l'histoire érotique : Aurélie est prête à tout pour obtenir un CDI

- Par l'auteur HDS See You -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Aurélie est prête à tout pour obtenir un CDI Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Aurélie est prête à tout pour obtenir un CDI
Je vous rappelle, que comme pour ma précédente histoire, celle de mon dépucelage, ce sont des histoires vraies, tout ce que je vous raconte, m’est réellement arrivé, certains lecteurs en doutant, je tenais à faire cette petite mise au point.

Mon CAP en poche, je n’ai pas pu rester chez Marie et Pierre, chez qui j’ai fait mon stage pour mon CAP, et avec qui, j’étais si bien, à tel point que c’est eux deux qui mon dépucelée, voir le récit dans ma précédente histoire. Ils avaient pas besoin d’une employé, sinon ils m’auraient gardé, c’était dommage parce que le boulot chez eux me plaisait bien, et que j’adorai baiser avec eux.

Je suis resté trois mois au chômage avant de trouver un travail, pendant cette période je me masturbais tout les jours, deux fois par jour, vu que j’étais en manque de sexe. Le matin au réveil, je prenais le vibromasseur que m’a offert Marie en cadeau quand je suis parti de chez eux, et je me masturbais le clitoris avec, à toute vitesse en le mettant au maximum, je me faisais jouir en cinq minutes. Et je remettais ça le soir, mais là en prenant mon temps, le vibromasseur au mini, je commençai par me branler le minou en le faisant glisser doucement dedans, et en me caressant la poitrine, et après quand je commençai à me sentir bien chaude, je me touchai le clito en gardant le vibro dans mon minou, ou bien en me le fourrant dans le cul, il faut dire que j’étais devenu une sacré cochonne, Marie et Pierre avaient su me rendre très salope. Ma mère comprenait pas pourquoi j’avais souvent besoin de piles, je lui disais que c’était pour mon lecteur CD.

Au bout de trois mois j’ai fini par trouver du travail dans un magasin de chaussures. Dès le début de ma période d’essai, mon patron a exigé que je soit en jupe ou en robe, je ne devais jamais mettre de pantalon ou de legging. Un jour j’avais mi une robe un peu longue, juste au dessous du genou, il m’a dit que ça allait pas, et qu’il fallait qu’on voit mes genoux. Après deux ou trois semaines, il a commencé à me toucher les fesses. La première fois, je l’ai repoussé, mais il a recommencé. En fait ça m’excitait qu’il me pelote, il faut dire que pendant tout le temps que j’ai passé chez Marie et Pierre, après qu’ils m’aient dépucelé, on avait baisé tous les jours, et quand c’était le dimanche, et le lundi, même plusieurs fois par jour. Et à chaque fois qu’on baisait, j’avais des jouissances terribles avec eux, et là depuis trois mois j’avais pas baisé. Sauf une fois ou deux avec un garçon de mon age, mais ça avait pas été terrible. Il avait jamais baisé avec une fille, et la première fois que je l’ai sucé, il est parti dans ma bouche tout de suite. Il faut dire que pendant ma période de chômage, je vivais chez mes parents à la campagne, et vu que je n’avais pas encore mon permis de conduire, j’étais en apprentissage pour le passer, donc c’était difficile pour me déplacer. Deux fois j’avais été voir en train, Marie et Pierre, et là ça avait été super, comme d’habitude avec eux. Depuis j’ai eu mon permis de conduire, et je vais au moins une fois par mois chez eux, cela fait treize ans que ça dure.
J’ai donc laissé faire mon nouveau patron, ça m’excitait, et en plus quand je l’avais repoussé la première fois, il avait piqué une colère, et il m’avait dit que si je continuai comme ça à le repousser, c’était pas sur qu’il me garde. Souvent quand j’encaissai un client, il se plaçait derrière moi comme si il voulait vérifier ce que je faisais, et il me mettait la main aux fesses, avec le client en face de moi, je ne pouvais rien dire et faire. Après je partais ranger, ou arranger les présentoirs, mais si ça durait un peu, je commençai à mouiller.

Ce vieux cochon, cinquante ans à l’époque, était marié, mais sa femme venait rarement au magasin, sauf les samedi, pour les soldes, et pour la période des fêtes de fin d’année. Il était tranquille avec moi. Elle était pourtant pas mal, sa femme, elle devait avoir le même âge que lui a peut près, elle était assez grande et mince, toujours bien coiffée et maquillée, une belle femme quoi. Mais elle était pas marrante, plutôt du genre coincée, et il ne devait pas rigoler tout les jours avec elle.

Après trois mois, à la fin de ma période d’essai, c’était fin janvier, la fin des soldes, il m’a demandé si je voulais un CDI, nous étions dans la réserve. Je lui ai dit oui en le remerciant, alors il m’a dit :
– C’est pas comme ça qu’il faut demander, tu vas demander à genoux !
Je me suis mis à genoux devant lui, alors il a ouvert sa braguette et il m’a dit que si je voulais un CDI, je devais lui faire une gâterie. Sa bite était pas bien grosse et toute mole, elle a grossi un peu, et durci, quand je l’ai prise dans ma bouche. Je lui ai fait une bonne pipe, comme Marie me l’avait apprit. J’ai baissé son pantalon, j’ai pris ses couilles, et j’ai fait rouler ses noix dans ma main, j’ai pris le temps de bien le sucer. Il s’est penché un peu en avant, et il a ouvert mon chemisier, et il a mit sa main dans mon soutien gorge pour me peloter les seins. Au bout d’un moment, je sentais bien qu’il était pas loin de jouir, il a dit :
– Tu es une belle petite cochonne, tu suces bien, on voit que tu aimes la bite, tu suces vraiment comme une pute !
Il a tout lâché dans ma bouche en gueulant :
– Avale salope, avale mon jus !
Deux jours après, il m’a demandé de venir avec lui dans le bureau, pour que je signe mon contrat d’embauche. Mais avant que je signe, il m’a dit de me déshabiller, je me doutais bien de ce qu’il avait dans la tête, et je commençai à mouiller. J’ai posé ma jupe et mon pull sur une chaise, j’étais en soutien gorge, culotte et collants, il m’a dit :
– Enlèves tout salope, montre moi tes jolis nichons, ton cul et ta chatte.
J’ai fait ce qu’il a dit, et je me suis retrouvé a poil devant lui, il était assit derrière son bureau et moi j’étais debout devant lui. Je cachais mon minou d’une main et mes seins avec mon autre bras, il m’a dit :
– Allez, fais pas ta timide, mets tes mains derrière la tête et écarte tes jambes !
J’ai fait ce qu’il m’a demandé, ensuite il m’a dit :
– Tournes toi, je veux voir ton joli petit cul !
Je me suis tourné, et il m’a demandé que je me penche en avant et que j’écarte mes fesses. Ça a eut l’air de lui plaire, parce qu’il m’a dit :
– C’est bien, tu vas lire ça et après tu vas signer.
Il a montré le papier sur son bureau, c’était un contrat de CDI normal, bien sur c’était pas écrit que je devais être en jupe, que je devais sucer mon patron et lui montrer mon cul. Il s’est levé, et il est venu se placer derrière moi, contre mon cul, et il m’a dit de signer. Pendant que j’étais penchée pour signer, il a passé sa main entre mes cuisses et il m’a mis un doigt dans le minou, et ensuite il m’a enfilé sans ménagement, après avoir mi un préservatif, il a toujours utilisé des capotes pour me baiser ou m’enculer, il y a que pour les pipes qu’il ne mettait rien sur sa bite. Pendant qu’il me défonçait le minou, il a demandé si j’avais signé, et il m’a dit de lui passer le papier et le stylo. Il a posé le papier sur mes reins et il a signé sans arrêter de me baiser. Ensuite, il a reposé le papier et le stylo sur le bureau, et il m’a prise par les hanches et il a continué de me défoncer en grognant. Il m’a un peu peloté les seins et caressé le minou, même s’il ne me baisait pas bien, j’ai eu un peu de plaisir, tellement j’étais en manque de sexe. Il a finit par grogner et se vider les couilles en me disant :
– T’es bonne, putain t’es bonne, je sens qu’on va bien s’entendre tout les deux !
Quand je me suis rhabillée, il m’a dit :
– A partir de demain, tu ne mettras plus de collant, mais à la place tu porteras des bas et un porte-jarretelles, et tu ne mettras pas de culotte.
Vous imaginez comment c’était pratique, essayer des chaussures à des clients en jupe et la chatte à l’air. Plusieurs fois des clients on vu mon minou, et même certain m’ont donné rendez-vous après la fermeture du magasin, j’ai accepté plusieurs fois, ça me changeait du vieux salop, et ils baisaient mieux que lui. Je quittais ma culotte en arrivant, et je la remettais en partant. Un jour il a vu mon manège, et il m’a dit de garder ma culotte toute la nuit et de la lui donner le matin en arrivant. Il la gardait dans sa poche toute la journée, et il l’a reniflait pendant qu’il me baisait. Le vieux cochon me baisait tous les jours ou presque, sauf quand sa femme était là. Ces jours là j’étais tranquille, comme il pouvait pas me baiser, dans la journée il se branlait dans les wc, ma culotte était pleine de son jus quand il me la rendait le soir.

J’ai pris parfois du plaisir avec lui, mais pas souvent, il partait trop vite, surtout quand ça lui prenait de passer par la porte de derrière, pour m’enculer. Il ne m’a pas enculé tout de suite, mais il me baisait presque tout les jours. Cela commençait le mardi, après nos jours de repos, il devait être en manque, on recevait des colis pleins de chaussures. Il me demandait de les vider et de ranger les boites dans la réserve, et s’il n’y avait pas de client, il venait avec moi. Là, il remontait ma jupe, et il la faisait tenir remonté avec une pince a linge, devant et derrière, comme j’avais pas de culotte, il voyait mon cul et mon minou pendant que je rangeai. Si je devais monter sur un escabeau pour ranger, alors il en profitait pour me mater et il me demandait de bien écarté les jambes, il me disait que mon minou tout lisse, le faisait bander, j’avais pris l’habitude de le raser. Des fois il me touchait le cul ou le minou, et de l’autre main il se branlait, ensuite quand j’avais tout rangé, il me baisait debout, il me disait, regarde cette boite, là en bas, elle est pas bien rangée, ou autre chose, pour que je me penche, et là il me prenait les hanches et il m’enfilait. Ou alors, il me coinçait contre une étagère, et il me faisait mettre un pied sur le rayon du bas, et il me baisait de face, il était plus petit que moi, et j’avais des talons, alors il pouvait me baiser facilement, il avait du ventre et je sentais son gros bide contre le mien, parfois il essayait de m’embrasser, mais j’ai jamais voulu lui rouler un patin, il a plus essayé par la suite. Parfois j’avais du plaisir avec lui, et ce vieux cochon aimait bien m’entendre gémir ou crier, ensuite il était plus sympa avec moi, alors j’ai vite compris que je devais faire semblant de jouir.
D’autre fois, il voulait que je lui fasse une pipe, et il voulait pas que je me mette a genoux, je devais être toujours accroupi, comme ça il voyait mon minou, et il me demandait de me branler pendant que je le suçais, il me prenait la tête à deux mains, et il me baisait la bouche. Les autres jours il me baisait souvent dans le bureau, il me faisait venir en disant :- Allez, viens me vider les couilles, je sais bien que tu aime ça, petite putain !
Et il me baisait en me faisant pencher sur le bureau et il m’enfilait par derrière en levrette. Ou alors il me faisait coucher dessus le bureau sur le dos, et il me prenait en mettant mes jambes sur ses épaules. Quand ça lui prenait l’idée de passer ses mains sous mon haut et de me peloter les seins, alors là, j’avais du plaisir mais c’était pas extraordinaire.

Je lui avais demandé de manger sur place, parce que la boutique était loin de mon studio, et donc, j’avais pas le temps de rentrer, j’avais pu louer un studio assez rapidement après avoir trouvé ce travail chez lui. Il m’a donné son accord et j’emmenais à manger, je prenais souvent un sandwiche à la boulangerie, un jambon beurre, ou un saucisson beurre, j’adore ces sandwiches. Je mangeais dans le bureau, et ensuite je faisais un tour dans un jardin public. Un matin, cela faisait presque un an que j’étais chez lui, il m’a ordonner de venir lui vider les couilles, il disait toujours :
– Viens me vider les couilles cochonne !
Et il ajoutait toujours, salope, putain, garce, traînée, ça changeait tout le temps. J’ai vu qu’il avait ouvert mon sandwiche, et il l’avait posé sur le bureau, j’ai rien dit, parce que si je disais quelque chose, il m’engueulait, c’était un vrai con. Il m’a fait coucher sur le dos, sur le bureau, et il m’a ordonner de prendre mes jambes sous les genoux et de bien les lever, à ce moment là il a pris le beurre du sandwiche, et il a commencé a me graisser le cul avec, il m’a dit :
– Tu vas voir petite salope, je vais te foutre ma bite dans le cul, tu vas adoré ça, une traînée comme toi, ça doit aimer ce faire enculer, hein cochonne , tu t’es déjà fait enculer ?
Je sais pas pourquoi mais j’ai menti, en lui disant que non, et ça a eu l’air de lui faire plaisir, je crois que j’avais bien deviné ce que je devais lui dire, alors il m’a dit :
– C’est parfait, je vais te dépuceler le cul petite putain !
Il a continué de me graisser le cul avec le beurre, il en mettait bien partout, en me doigtant le cul, ensuite il m’a prit les cuisses et j’ai senti sa bite sur ma rondelle, et il m’a dit :
– Regardes moi, salope, pendant que je te fourre le cul !
Et il a poussé, c’est rentré tout seul, et il s’est retrouvé au fond de mon cul avec son gros bide qui touchait mes cuisses. Ça ne lui à même pas paru bizarre, de pouvoir enculer aussi facilement une fille soit disant vierge du cul, il était vraiment très con. Il a fait à peine deux aller-retour et il s’est vidé dans mon cul, en me disant que j’étais une bonne salope.
J’avais même pas eu le temps de faire semblant que j’avais eu du plaisir, et à chaque fois qu’il m’enculait, il jouissait très vite, mais je savais que dès qu’il me fourrait, je devais gémir et crier, et j’ai vite pris l’habitude de faire semblant, j’étais une excellente simulatrice avec lui. Par la suite j’ai acheté du gel lubrifiant, pour qu’il ne me saccage pas mon déjeuner, ce jour là, je n’ai pas mangé, parce que j’ai du jeter mon sandwiche, car il avait mis ses doigts dedans.

Ça a duré presque trois ans comme cela. Je me suis fait virer, le jour ou sa femme est arrivée au magasin, sans prévenir. C’était un jour en pleine semaine, il était tard, presque dix neuf heure, il m’avait pas baisé de la journée, parce que l’on avait pas arrêté d’avoir du monde. Il a fermé la boutique et il m’a commander de venir lui vider les couilles comme d’habitude. Il avait prit l’habitude de me tringler, moi à genoux, sur le fauteuil du bureau, ça lui allait bien, parce que je pouvais m’appuyer sur le haut du dossier, et lui, il tenait les accoudoirs pour m’enfiler. Comme à son habitude, il avait relevé ma jupe sur mon dos, et il m’enfilait le minou quand sa femme est arrivée. Je criais tellement fort, qu’on l’avait pas entendu, et en plus elle était passée par la porte de derrière, vu que la boutique était fermée. Normalement quand elle venait a l’improviste, c’était toujours en fin de matinée ou en début d’après midi, en trois ans elle était jamais venu a cette heure là. Je faisais tellement bien semblant de jouir, que nous avons rien entendu, soudain nous avons été surpris par une voix de femme :
– Qu’est ce que c’est que ça ?
Elle a dit cela en criant d’une voix aigu, comme si elle pétait les plombs, et elle a continué en nous engueulant, d’abord en s’adressant à son mari :
– C’est quoi ce travail, tu baises cette salope, cette traînée, heureusement je vois que tu mets une capote, espèce de salop, ça doit pas être la première fois que tu la sautes cette garce, et l’autre pute qui couine comme une truie, comme si tu pouvais la faire jouir, toi, tu as jamais réussi a me donner du plaisir, tu es un éjaculateur précoce, alors avec une pute comme elle, tu te vides les couilles c’est tout, tu crois pas que tu peux la faire jouir, elle se fou bien de toi en simulant, mais tu ne pers rien pour attendre, tu te rappelles que le magasin est à moi, et que si je veux, je peux divorcer et te fiche dehors, tu te rappelles de ça, salop, à partir de maintenant, tu n’aura plus d’employé, ou alors que des hommes, comme ça ,si tu veux les baiser, il faudra que tu vires pédé, en attendant c’est moi qui viendrait t’aider, et je te garanti que tu vas en baver, n’oublie jamais que c’est moi la patronne !
L’autre con ne savait pas quoi dire, il avait relevé son pantalon, et remballé son matériel dedans, il n’avait même pas enlevé sa capote, il restait comme un gamin que l’on fâche, la tête baissé et il disait rien. Dans la surprise de voir sa femme débarquer, il avait même failli se casser la gueule avec son pantalon sur les chevilles, c’était à mourir de rire, mais sur le coup j’avais pas envie.
Ensuite c’était à mon tour de me faire engueuler, elle m’a regardé, elle était rouge de colère, une vraie furie, j’ai bien cru qu’elle allait me sauter dessus, elle m’a dit :
– Et toi, la petite putain, c’est la dernière fois que je te vois ici, je ne veux plus te voir traîner autour de mon mari, c’est compris, je te vire pour faute grave, tu ne toucheras pas le chômage, comme ça si tu veux manger, tu seras obligée de faire la pute, cela ne va pas te déranger beaucoup, une vicieuse comme toi aura vite fait de trouver une autre bite pour se faire sauter. Dégages !
Alors là, je me suis défendu, il faut dire que je voyais encore assez souvent Marie et Pierre, et je leur avais tout raconté. D’abord il m’avaient dit de trouver un autre boulot, mais je leur avais répondu que j’étais bien payée, et que j’en avais rien à fiche que mon patron me baise, je m’en foutais vraiment. Alors Pierre m’a dit, que si un jour, ça tournait mal, que je pouvais toujours porter plainte pour harcèlement, et même viol, et que si j’avais besoin de lui, il fallait que je l’appelle, je me suis rappelée de tout cela, et j’ai dit a la femme de mon patron :
– Écoutez madame, si je me laisse baiser par votre mari, c’est parce que, pendant ma période d’essai, il m’a obligé, à le laisser me peloter les fesses pour avoir ce travail, et ensuite il m’a dit que si je voulais un CDI, je devais baiser avec lui, en plus il m’oblige à m’habiller en jupe courte et à ne pas avoir de culotte, je suis obligé de la lui donner le matin en arrivant, si vous fouillez ses poches vous la trouverez dedans, et en plus il me paye bien, vous voyez je fais déjà la putain avec lui. Je vais partir mais vous allez pas me virer pour faute grave, mais pour une autre raison, pour que je puisse toucher le chômage, sinon je vais chez les flics et je porte plainte contre votre mari, pour viol et harcèlement, et comme c’est vous la vraie patronne, c’est vous qui êtes responsable, et vous aurez des tas d’ennuis.
Ça l’a surprise, elle ne s’attendait pas à cela, elle est devenu toute pale, et très silencieuse, elle avait l’air de réfléchir, et ensuite elle a dit d’une petite voix toute gentille :
– Bon, écoutez, ma petite, je vais vous licencier pour motif économique, comme ça vous l’aurez votre chômage, mais vous me promettez, que vous ne porterez pas plainte.
– De cette façon, ça me va, je suis d’accord.
Et je suis partie, ça a été la fin de mon histoire avec ce patron, ce vieux salop, et j’ai du chercher du travail à nouveau.

Je suis resté quatre mois au chômage, avant de retrouver du boulot dans une boutique de lingerie à l’autre bout de la ville, et c’est là que j’ai fait la connaissance d’une fille qui était lesbienne et avec qui j’ai vécu pendant deux ans, mais ça c’est une autre histoire, par contre avec ma nouvelle patronne cela c’est très bien passé, c’est une femme très correcte.
Je vous raconterai sûrement la suite de mes aventures, dans d’autres histoires, avec l’aide de mon écrivain favori.

Cette histoire est réelle, elle m’a été racontée par une jeune admiratrice qui m’a demandé de l’écrire pour elle, d’être son nègre en quelque sorte, pour vous la faire partager.

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