Joêl et à nouveau un gros apéritif - histoire érotique

Suite à cette soirée, la semaine au taf se passa sous le regard salace de Joël. Je sentais ses yeux se poser sur mon anatomie. La différence avec « avant » était que désormais il ne détournait plus le regard quand je le surprenais… Cette situation au travail m’incommodait, j’en parlais à Serge il organisa un diner au resto avec Joël.
Quelques jours plus tard, le vendredi nous nous retrouvions tous les trois à diner. Un peu à l’écart nous pûmes nous dire certaines choses sans risquer d’être entendu par nos voisins. Au final Joël accepta de retrouver une attitude moins provocante au boulot, en contrepartie, il gagnait un droit de cuissage sur votre servante… Mais il devait se soumettre à certaines règles. La première étant de passer par Serge s’il voulait me rencontrer. J’étais devenu en peu de temps un objet sexuel que Serge partageait volontiers et cela m’excitait terriblement. Par ailleurs, le restant de ma vie n’avait pas changé, mais en matière de sexe, j’étais livré à mon homme, qui décidait pour moi, et aux fantasmes masculins en général. Fantasmes qui souvent au départ me rebutaient, provoquaient de la honte en moi et qui au final me procuraient une jouissance que je n’avais jamais connu jusqu’ à aujourd’hui.
Soulagé de pouvoir retourner au taf avec un peu plus de sérénité, je m’absentais aux toilettes et laissait Joël et Serge ensemble. En sortant des toilettes, Joël me repoussa à l’intérieur, tout en vérifiant que personne ne le voyait faire. Sans demander son reste, il me retourna, remonta ma jupe et baissait ma culotte. Rapidement, il me pénétrait avec sa queue. Joël me prit la chatte sans ménagement, faisant claquer mes fesses contre ses hanches. Le visage presque collé au miroir des toilettes, il me regardait dans les yeux pendant qu’il me défonçait. Je ne pus lui cacher que je prenais aussi un plaisir presque aussi intense que le sien. Lui car il rêvait de cette situation depuis le premier jour où il m’avait rencontré, moi à l’idée de me faire prendre alors que peut être, quelqu’un attendait pour aller pisser un coup, l’oreille collé à la porte devant le bruit que nous faisions.
Il éjacula de longs jets dans ma bouche et j’avalais. Je pensais à Hector.
En sortant des toilettes, un homme... Qui attendait patiemment son tour…Joël remercia Serge, paya l’addition et nous quittâmes le restaurant, un regard me déshabillait en quittant les lieux… Je compris que le coup dans les toilettes était en fait une passe. Bizarrement cela m’excita. Mais qui étais-je ?!!! Je me dis à moi-même que la prochaine fois nous irions dans un resto gastronomique, puis je le dis à Serge. Il rigolât. Et moi aussi d’ailleurs.
Au fil du temps, je compris que le kif de Joël était d’aller dans un lieu public, et de me démonter dans un lieu discret. Concrètement, il appelait Serge, lui demandait si il pouvait m’emmener diner ou pour sortir. Par la suite, il me prenait dans sa voiture, une ou deux fois dans une ruelle je le suçais, ou dans des toilettes de restaurant.
Un soir cela se passa différemment, il m’emmena dans un cinéma x, un lieu carrément glauque. Rapidement je compris que l’idée ne venait pas de lui mais certainement de Hector.
Je me retrouvais assise dans une salle relativement granfde avec Joël et quatre autres mecs, tous des blacks, à regarder un film porno. Au départ nous n’étions pas réellement proche, Joël sortit sa queue et commença à se branler en me regardant. Il me demanda de commencer à déboutonner mon chemisier. Il prit ensuite ma main et mit son sexe entre mes doigts. Je commençais à doucement le branler. Notre manège ne passa pas inaperçu bien évidemment. Qui plus est, j’imagine qu une femme dans un ciné x est une denrée rare et attire inévitablement les convoitises. Doucement les autres hommes se rapprochèrent. L’un deux vint s’assoir à côté de moi. Je le vis sortir un engin énorme et commencer à s’astiquer. Joël s approche alors de mon oreille et me demande de le chauffer avec ma main libre. Je me retrouve donc avec mes deux mains bien occupées, branlant doucement ces deux queues. En voulant plus, l’inconnu commence à me fouiller mon inimité, remonte sur ma poitrine, puis finit par amener mon visage à son entrejambe. Je tente alors de le sucer, mais c’est plutôt dur, son gland rentre juste dans ma bouche, je n’ai jamais vu un truc pareil...
Je vois les autres hommes se rapprocher et se placer devant moi, se masturbant en me voyant tenter de sucer l’autre gars.
Joël me relève, me demande d’enlever mon pantalon, et m’amène dans une pièce attenante. Dedans il y a une croix et attaché à cette croix des menottes. Je me laisse attacher les poignets. Rapidement on me relève les jambes et je commence à subir les assauts d’un premier male, visiblement en manque de sexe. Je prends cher pendant quelques secondes, des râles de plaisir commencent à monter dans ma gorge. Un autre lui succède pendant une minute, puis Joël, qui prend son pied grave. Je dois encaisser ensuite une énorme queue, qui me fait presque mal. Mais pas de pitié, je me fais limer comme une chienne. Pendant vingt minutes, cinq mecs prennent le relais dans ce qui doit avoir l’air d’un trou béant désormais. Et j’adore ça.
Alors que c’est reparti pour un tour, je devine que la porte qui se trouve derrière moi s’ouvre, et j’entends des personnes entrer. J’entends la voie d’Hector, et là je sais que je n’en suis qu’ à l’apéritif, et que pourtant je ne boirais qu’en fin de séance. Je suis à nouveau dans un scénario qui va prendre une ampleur de folie.
Hector vient me saluer alors que je me fais secouer violemment, me demande si j’aime ce qui se passe autour de moi. La voie entrecoupée de soubresauts causé par les coups de boutoirs que je reçois, je réponds par l’affirmative.
En tournant la tête je devine que la pièce se remplit doucement. Peu à peu, je vois des hommes prendre place, commencer à se dessaper. Les sexes durs se dressent autour de moi.
Les hommes se motivent, font des compliments sur mon anatomie, et rapidement tous les hommes ont la main sur leurs sexes et se masturbent. Je ne veux pas compter mais je pense qu’il y a au moins quinze males en rut autour de moi.
Hector dépose sur un tabouret non loin de moi un récipient avec des préservatifs en veux-tu en voilà, du gel intime, je vais prendre cher, mais à priori en toute sécurité, lol…On me détache, et on me rattache, mais cette fois on dirait que je vais me faire prendre par derrière. Les débuts sont difficiles, les gars y vont doucement, puis la cadence augmente. Je sens le gel couler le long de mes cuisses, mon sphincter n’ayant plus la capacité de le retenir. J’entends les hommes s’invectiver pour avoir la jouissance de m’enculer. A mes oreilles, on me susurre : « tu la sens ma queue, espèce de petite pute », « tu encaisses grave, salope », je vais te repeindre après » et j’en passe. Je note en passant que Hector aime toujours autant la photo… Je sens la compétition entre mecs, c’est à celui qui me fera hurler le plus, ou à celui qu’ira le plus fort dans mon culJe pense me faire prendre ainsi pendant vingt minutes. On me détache, je peux voir le visage de tous ces hommes qui viennent de me prendre. Mon fondement est anesthésié, j’y passe la main, je pourrais y rentrer le poing.
Hector pose son reflex, s’approche de moi avec un instrument que je n’ai jamais vu. Il me dit que c’est un bâillon bouche ouverte. Je ne connais pas mais je devine. Il m’aide à le mettre en place. Il précise que je ne devrais avaler que lorsqu’ il me le demandera.
On a la délicatesse de poser un coussin au sol pour mes genoux, puis l’un après l’autre les sexes se vident de tout le plaisir engrangé dans ma bouche, certains jets sont si violent qu’ils atterrissent sur mon visage car mal contrôlé. L’odeur âcre de tout ce sperme envahit mes narines. On fait une pause pour que j’avale, le liquide menaçant de déborder. Il y en a encore assez pour me remplir la bouche une seconde fois. Hector lui-même se vide en moi, reprend aussi sec son reflex. Je me demande si certains ne sont pas passés deux fois dans ma bouche... Peu importe ; je me rends compte que j’aime de plus en plus avaler du sperme. J’aime surtout leur regard plein de jouissance lorsque je déglutis, et le gout ne me rebute plus comme les premières fois.
Puis comme tout a une fin, la pièce se vide, Joël est parti. Reste Hector et moi, je lui fais part de ma surprise de ne pas avoir vu Serge. Ne t’inquiète pas me dit-il, il était bien sûr au courant, je lui ai envoyé quelques photos et vidéos avec mon smartphone, il m’a dit apprécier le spectacle.

N’hésitez pas à laisser des commentaires crus, Serge adore ça.