Titre de l'histoire érotique : COLLECTION AGENT S69. Agent S69, engagement. (4/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION AGENT S69. Agent S69, engagement. (4/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION AGENT S69. Agent S69, engagement. (4/14)
Moi qui suis accro au sexe, je suis servi, sans parler de la vitrine d’Amsterdam ou j’ai reçu une douzaine de clients en passant par la salle de torture que je suppute être une salle de nos services.
Elle doit engager les nouveaux agents afin de savoir quand nous serons capables d’aller sur le terrain et si nous pouvions garder les secrets qu’immanquablement nous serons amenés à connaître.

Je finis d’apprendre à donner du plaisir à Virginie dans le lit qui semble être mon nouveau lieu de vie.
Les caresses sur mon corps, mes seins, ma chatte via mon nombril grâce à sa langue comparée à la verge de l’homme dans la pièce de torture qui m’a sodomisé me montrent toute l’étendue des jeux amoureux que je connais mal comparé à Virginie.
Un dernier baisé appuyé qui se prolonge après que nos corps ont vibré sous nos langues me montrant pourquoi le service est un service « S » comme sexe et qu’en son sein nous sommes des adeptes du 69.

• Viens visiter ton nouveau domaine, du moins dans les moments où tu seras hors de mission à l’étranger, car notre groupe est fait pour agir sur les terrains extérieurs.
Regarde comme cette pièce est belle, salle, salon et cuisine à l’américaine, avec une belle lumière.

Elle ouvre la baie vitrée donnant sur le balcon où nous sortons nues regarder la vue sur le bois de Boulogne.
À nos pieds sans pouvoir nous voir le balcon étant opaque les personnes passent sur le trottoir, l’appartement est dans un endroit remarquable, un peu loin de la fac mais pourquoi s’en plaindre.

• Viens, je vais te montrer la dernière pièce, c’est une chambre d’amis, il se peut que je te demande de recevoir des personnes parlantes des langues étrangères ou tu devras réussir à savoir ce qu’ils ont dans le ventre mais surtout dans la tête.
Comme pour tes missions à l’étranger tu devras leur cacher ton appartenance à notre service, séduire hommes ou femmes afin de les faire craquer.
• Si je comprends ici même, je dois transformer ce merveilleux appartement en un lieu de plaisir pour le bien du service.
• Non, pour le bien de la France madame, embrasse-moi.

Nos bouches trouvent qu’il y a un certain temps qu’elles se sont séparées et au milieu de la chambre nous roulons sur le lit afin que sa langue vienne redonner du plaisir à mon clitoris qui connaissant sa sensibilité est satisfait une nouvelle fois d’être sollicité.
J’en fais de même pour son bouton qui comme le mien coule, coule et coule encore.

• Regarde, mes collaborateurs t’ont apporté tes affaires pendant que nous étions sur le balcon, tu vas pouvoir les ranger comme tu le souhaites, mais avant je t’apporte au service pour te présenter à tes collègues, tu vas avoir des surprises.

Nous nous habillons, Virginie choisissant des affaires qui semblent loin de lui plaire.

• Je crois qu’après, je vais t’emmener faire les boutiques entre filles, les vêtements que le service t’a prêtés servent pour certaines missions et l’une des choses primordiales, c’est que nous soyons des femmes élégantes étant susceptibles à tout moment de partir en mission.

Nous quittons l’appartement, sur le palier elle me fait voie une boîte à la porte de l’appartement qu’elle me fournit.

• Regarde, je place mon index au centre sur la plaque.

Une lumière rouge s’allume dans la boîte.

• Tu places ton index !

Je m’exécute, lumière verte et j’entends l’ouverture de ma porte se déclencher.

• Je pense qu’à la porte d’entrée il y a le même système, s’il y a une panne de courant, je couche dehors.
• Non, l’immeuble est relié à un ensemble de sécurité, en permanence des générateurs de secours l’approvisionne en cas de panne générale dans le quartier, seul le système d’ouverture et de sécurité sera opérationnel les lumières ou autres appareils ménagers seront arrêtés afin de laisser aux voisins des autres immeubles que vous êtes-vous aussi victime de la panne.
Quand mes hommes t’ont amené après être passés par notre salle de test où tu m’as montré ta force de résistance, nous avons programmé les paramètres d’ouverture et nous les avons validés avant de te placer sur ton lit où nous nous sommes retrouvées.

Nous prenons l’ascenseur et Virginie appuie sur -1 et nous nous retrouvons devant une porte identique à celle des quais de seine, comme par magie les portes s’ouvrent, nous montons, nous assayons et sans avoir la sensation de bouger quelques minutes et les portes opposées nous permettant d’atteindre la salle où des hommes et des femmes travaillent.

• Suis-moi, je vais te présenter une partie de notre équipe.

Elle entre dans son bureau et tape sur son ordinateur, deux minutes et quatre hommes et deux femmes entrent.

• Bonjour à tous je vous présente Juliette, elle a passé les tests avec succès et nous avons décidé de l’engager, mais tu connais déjà certain de tes collègues, devant toi Robert acteur ayant suivi les cours Florent.
• Bonjour Robert heureuse de te connaître.
• Sa spécialité faire le mort, tu as eu un échantillon de son talent quand il t’a fait croire que vous étiez complice et qu’il a fini dans son frigo, rassure-toi, il y a une porte à l’opposé de celle où il entre et il a suivi la fin de ton audition en regardant par une vitre sans teint.
• Virginie, peux-tu me dire lequel de ces messieurs s’est permis de m’enculer avec sa grosse queue ?
• Valentin, ici présent, bien sûr, j’aurais dû les faire venir à poil tu l’aurais peut-être reconnu.

Je m’avance de lui le regardant fixement dans les yeux et je lui assène un marron qui le fait reculer de plus de deux mètres.

• À partir de maintenant monsieur Valentin on me prendra le cul qu’après avoir fait une demande en trois exemplaires à notre chef préféré, en attendant merci ta queue m'a fait énormément jouir.
• Valentin veux-tu que je te signe quelques exemplaires.
• Merci patronne, j’ai eu ma dose pour la journée.

Elle continue sa présentation.

• Les autres collègues, Marie, Véronique et leur chef Bruno tu les connais, ce sont eux que j’avais chargé de te contrôler et de t’escorter pour que mon poudrier arrive à bon port et qui ont visité ton appartement à la fac.

Nous éclatons tous de rire, Valentin un peu moins se tenant la mâchoire, j’ignorais que j’avais un poing qui pouvait faire autant mal.

• J’ai deux choses à voir avec toi, vous pouvez disposer, prévenez-moi si l’on a des nouvelles de l’affaire de Budapest ?

Je me trouve de nouveau seule avec ma chef maîtresse, va-t-elle vouloir s’occuper de ma chatte comme dans ma nouvelle chambre ?

• Juliette je voudrais que tu évites de massacrer tes collègues bien que quelques fois j’aurais envie de les remettre à leur place, non, je viens de parler de Budapest, connais-tu le Hongrois ?
• Non, mais je pense que ce serait un jeu pour moi d’apprendre des rudiments.
• Nous sommes au début d’une affaire à régler là-bas, tu as le temps d’apprendre tranquillement pour savoir te débrouiller, en attendant tu vas suivre le cursus de tout nouvel agent, tu vas intégrer une des deux unités d’élite française pour te familiariser avec toutes leurs méthodes.
Après cette formation accélérée, tu iras te former chez les commandos marines qui perfectionneront la femme de guerre que je souhaite que tu deviennes, je t’en dirais plus, plus tard.

Se désintéressant de moi elle appuie sur l’écran de son ordinateur et deux minutes après mon enculeur ouvre la porte.

• Valentin, je souhaite qu’il y ait une bonne ambiance dans mon équipe, montre à Juliette où se trouve son bureau et son ordinateur, présente lui Luc la science, demain matin je vous veux soudés pouvant faire mission ensemble.
• Bien patronne, si elle garde son poing au fond de sa poche, cela peut le faire.
Suis-moi.

Nous retournons dans la grande salle, pendant la demi-heure suivante j’embrasse au moins 10 femmes et le double d’hommes, je pose ma veste et mon sac à côté d’un bureau qui devient le mien.
Valentin est côte à côte avec moi et me montre le fonctionnement des différents sites où il me fait entrer avec mes propres mots de passe, tous différents je trouve un système pour tous m’en souvenir.
Et je découvre, Luc la science, il règne dans une salle attenante à celle ou Valentin me fait voir où ils m’ont amené après avoir été endormie en Espagne et où je vois l’autre pièce où Robert est sorti grâce à la porte me faisant croire qu’il était mort.

• Luc voici Juliette, elle entre dans notre groupe, dit-lui ta fonction parmi nous.
• C’est enfantin, tu as un problème, je suis là pour le résoudre.
Je te montre, ce pot de confiture, non mauvais exemple, c’est pour mon quatre-heures, maman me la mit dans ma sacoche.
Tiens ce pistolet, il ressemble à ceux que les policiers portent à leur ceinture, je l’ai modifié et dans sa crosse derrière ces vis il y a un émetteur G.P.S. qui peut être utile à double titre, tirer de vraies balles ou permettre de te localiser grâce au satellite ou il est relié et à ce petit poussoir que tu peux enclencher.
As-tu une question ?
• Oui, comment fonctionne l’ascenseur, on entre, il reste sans bouger et les portes s’ouvrent sans avoir appuyé sur le moindre bouton.
• Mystère, ceux qui ont conçu ce système, avaient une science que j’ignore, bien supérieure à la mienne, comme toi, je monte et quand les portes s’ouvrent, je suis dans mon immeuble où j’habite avec maman.
• Salut, la science, il faut que j’amène Juliette manger, quoi de mieux qu’un bon restaurant pour ressouder les liens.

Valentin me prend la main et me guide vers l’ascenseur, comme à son habitude les portes s’ouvrent et nous nous trouvons dans la cave d’un immeuble ancien avec un ascenseur ancien lui aussi, nous montons jusqu’au troisième, même système avec reconnaissance des empreintes digitales.

• Entre, tu es ici chez toi.

Il me prend dans ses bras, fini la peur du grand méchant loup, je fonds littéralement sous ce baiser, sans que nous nous séparions, il me guide jusqu’à sa chambre, j’aime qu’il me plaque au mur et me prend dans ses bras virils.
Nous tombons sur son lit, je sens sa verge le long de mon bas-ventre, je passe la main réussie à la sortir de sa cage et écartant largement mes cuisses il entre en moi ayant simplement écarté ma petite culotte.
Virginie va être contente, son équipe est profondément soudée…

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