kary-16 - histoire érotique

Oui je me souviens très bien. C’était en juin, un samedi, pas longtemps après notre première expérience de yin et de yang. Madame avait couché chez moi, dans mon lit évidemment, et moi par terre. Ce soir-là je devais aller souper chez mes parents et Madame voulait absolument m’accompagner. J’étais morte de peur, quoique Madame m’ait prouvé à mainte reprise qu’elle faisait attention à moi et qu’elle me protégeait dans notre relation spéciale. Je vais vous raconter ce souper, enfin le souvenir que j’en ai.

Elle m’avait dit de la présenter comme son amie. Et quand je dis comme son amie, c’est en tant qu’amie de cœur évidemment. Ce soir-là en présence de mes parents je devais l’appeler par son vrai nom, Pénélope. Alors en début d’après-midi toute les deux habillé avec élégance, quoique je n’avais pas eu le droit de mettre une culotte sous ma jupe. Madame maintenait son contrôle sur moi, même en mode vanille. Nous sommes partis avec sa voiture direction, mes parents.

Je repense encore à la difficulté que j’ai eue pour appuyer sur la sonnette d’entrée. Les jambes tremblantes, le souffle court et le dos couvert de sueurs. Finalement le visage de ma mère est apparu dans le cadre de la porte.

-Allo Karine

Bonjour maman… Heu… Maman je te présente ma copine Pénélope.

-Enchanté Pénélope.

-Moi de même madame

-Allez entrer, voilà papa

-Allo papa… Heu… Voici ma copine Pénélope.

-Enchanté Pénélope… Venez-vous assoir.

Nous nous sommes dirigées vers le salon ou nous avons pris place, une à côté de l’autre sur la causeuse. Madame à prise ma main dans la sienne et m’a fait les yeux doux. Oui, cela était prévu, Madame m’avait averti que ce soir-là je faisais mon coming out. J’entendais les sons de la conversation comme dans un bourdonnement. C’était irréel... Mon père semblait un peu mal à l’aise, j’avais bien vu qu’il avait remarqué nos deux mains une dans l’autre.

-Alors cela fait longtemps que vous vous connaissez?

-Bien…

Pénélope a repris la parole immédiatement.

-Nous nous sommes rencontré dans un club, il y a de cela environ deux mois.

-Vous semblez être de très bonnes amies…

-Si l’on peut dire… J’aime tellement Karine, elle est mon petit rayon de soleil… N’est-ce pas Karine chérie.

-Heu… Oui Ma… Pénélope.

Je l’avais échappé bel, j’avais failli dire Madame, ouf. Mais j’étais rouge de honte, Madame m’avait bien spécifié que lorsque la soirée serait terminé mes parents sauraient que j’étais lesbiennes, En fait je ne le savais pas moi-même. C’est Madame qui m’a annoncé que dorénavant je serais lesbienne, sa lesbienne.

Je devais obéir à ses ordres. Elle me contrôlait à présent dans tous les domaines, ma vie vanille autant que ma vie clandestine. En apparence nous étions un couple de femmes heureuses et amoureuses, mais dans les faits elle me contrôlait toujours. Je n’en étais pas pour le moins malheureuse.

-Karine chérie… Tu ne nous avais jamais dit que… Que… Tu étais attiré par… C’est bien ce que je pense…. Heu…

-Bien… Oui maman… j’avais tellement peur de vous avouer ça…

-Chh… chérie si c’est ton choix, alors nous somme avec toi, ne t’en fait pas avec ça.

-Vous savez monsieur et madame Morin, Karine était très anxieuse de vous dévoiler son orientation sexuelle, mais je l’ai convaincu que le plus tôt serait le mieux et que des parents aimants ne s’en formaliseraient pas.

-Ho!... Chérie… Si c’est vraiment ton orientation nous allons l’accepter évidemment… C’est seulement que cela est très surprenant, tu n’as jamais fait preuve d’aucunes allusions pour… cela.

-Karine a fréquenté des bars de lesbienne en ville depuis longtemps, en fait s’était pour essayer de se convaincre qu’elle était hétéro, mais dans ses bars, sa vraie nature a pris le dessus.

-Pénélope… Quand même….

-Karine, aussi bien dire la vérité, au point où nous en sommes.

-Karine tu sais que maman et papa sont très ouverts, tu aurais dus nous le dire plus tôt.

-Vous savez madame Morin, Karine ne le savait pas vraiment elle-même avant de me rencontrer, n’est-ce pas chérie.

Et c’est là que Madame m’a embrassé devant mes parents pour la première fois. Pas sur la joue là, non, directement sur la bouche et goulument. Un éclaire de peur, de stress, de chaleur m’a parcouru toute entière. J’avais la vulve toute trempée. Je sentais ma figure se colorer en rouge écarlate. Ma mère et mon père on bien vu le sentiment de malaise m’envahir.

-Chérie ne soit pas si mal à l’aise, si ta copine désire te montrer de l’affection, c’est très bien… Tous les couples font cela… Vie ta vie comme tu l’entends, profite de chaque instant et nous nous allons essayer de t’appuyer dans tout cela, même si cela nous dépasse un peu pour l’instant.

-Karine ton orientation n’est pas une maladie, c’est seulement un état différent par rapport à d’autre personnes. Bien sûr pour nous c’est une surprise et nous ne nous attendions pas à de telle révélations, mais… C’est ta vie et nous devons l’accepter.

-Vous êtes vraiment des parents extraordinaires, je vous aime.

Je me souviens m’être levé et leurs avoir fait un très gros câlin. Je les ai serré très fort contre moi en leurs disant que j’étais la plus chanceuse des filles d’avoir des parents si compréhensif et si ouvert. Et c’est suite à ses quelques instant de tendresse familiale que Madame c’est approché de nous et à dit…

-Moi aussi je veux mon gros câlin.

Je me suis retourné, Madame avait un très grand sourire dans son visage. Je me suis prêté au jeu et je l’ai serré dans mes bras. Madame m’a tendrement embrassé et elle m’a dit

-Tu vois chérie je te l’avais bien dit que tes parents seraient tout simplement heureux pour toi. Comme tu me les avais décrits, j’étais certaine qu’ils étaient ouverts.

-Merci Ma…. Pénélope.

Encore une fois j’avais failli dire Madame. J’étais tellement conditionné à cela dans notre relation bdsm que c’est le premier mot qui me venait à l’esprit. Voilà, j’étais devenu en l’espace de quelques minutes une lesbienne affirmée. Il est évident que le déroulement de cet après-midi-là ne s’est pas exactement passé comme cela. Mais dans les grandes lignes c’est assez fidèle à la réalité. Tout s’est passé très vite et mes parents ont très bien réagit à la nouvelle. Il faut dire que j’ai des parents en or. J’étais heureuse et soulagé un peu aussi car ma sœur n’y était pas pour cette première rencontre. Imaginez un peut, le beau-frère, le neveu et la nièce, ouf.

Le premier contact de mes parents avec ma nouvelle réalité homosexuel c’est bien passé. Nous avons discuté d’un peu de tout, mes parents essayant de connaitre d’avantage Madame. Elle leurs a expliqué que nous nous étions rencontré dans un bar au centre-ville. Que nous étions tombé amoureuse l’une de l’autre. Elle leur a parlé de son travail, sa compagnie, ses parents etc…

Puis, un peu avant de souper elle m’a regardé d’un air autoritaire qui voulait tout dire. Je savais exactement ce que je devais faire sans tarder. J’ai donc été cherché mon sac à main et je me suis enfermée dans la salle de bain. Dans mon sac à main il y avait une petite boite contenant un œuf, un lubrifiant et une petite note de Madame.

« Allo ma petite salope d’amour

Tu vas lubrifier l’œuf, te l’insérer dans le vagin et tu vas enfiler la culotte qu’il y a dans ton sac pour que l’œuf reste bien en place. »

Tu ne voudrais pas qu’il tombe sur le plancher de cuisine devant tes parents, n’est-ce pas.

Allez, revient vite nous rejoindre

Maîtresse »

J’ai bien lubrifié l’œuf, j’ai écarté les cuisses et je l’ai fait glisser entre mes lèvres vaginales pour le faire pénétrer bien au fond de mon vagin. J’ai enfilé la culotte que Madame avait placée dans mon sac. Je me suis lavé les mains et c’est toute nerveuse que je suis retourné à la cuisine rejoindre mes parents et « mon amoureuse ». Madame m’a regardé et m’a fait un grand sourire sadique. Mon père s’affairait au BBQ, j’aidais ma mère à couper les légumes pendant que Madame pitonnait sur son cellulaire. Alors que j’échangeais quelques mots avec ma mère j’ai senti une intense vibration au creux de mon ventre. L’œuf qui était en moi vibrait. J’ai détourné la tête pour m’apercevoir que c’était Madame qui déclenchait ses assauts via une application sur son téléphone. J’avais tellement peur que ma mère se rende compte de cette vibration et que cela me place dans une situation embarrassante.

Madame c’est amusée tout le souper avec son jouet, en l’occurrence moi. Vers la fin du repas je m’étais habitué à toutes ces vibrations. Ma culotte était toute trempée et le sourire de Madame ainsi que son visage empreint de satisfaction me procurait une joie immense. Je me souviens d’avoir été très fier de faire plaisir à ma propriétaire. Oui, ma propriétaire, celle à qui j’appartenais et celle pour qui je devais faire tout pour son bonheur.

Sur le chemin du retour ce soir la Madame m’a obligé à la masturber pendant tout le trajet. Elle m’avait dit que je devais avoir eu beaucoup de plaisir avec l’œuf qui m’habitait encore, alors je devais la faire jouir pour la récompenser de ses bonnes grâces envers moi. Alors durant toute la durée du trajet j’étais accroupie, penché sur Madame qui conduisait pour masser et caresser son petit monticule de plaisir. Sa vulve est devenu si trempée. Observant les ordres de Madame je léchais de temps en temps mes doigts pour ne pas que le siège du véhicule soit inondé.

Arrivé chez Moi, dans le garage, avant de monter à l’étage Madame m’a interpelé.

-Vien ici petite salope.

-Oui Madame.

-Je me suis approché d’elle et elle m’a giflé à plusieurs reprises.

Slaccc! Slacccc! Slaccc!

Ouchh! Haaaaa! Ouchh!

-Kary tu dois comprendre que lorsque je suis avec Karine je ne veux pas que tu y sois toi…

-Oui Madame

-Je veux alors que kary soit muselé au fond de ton esprit, plus d’allusion à Madame pendant les moments vanille… T’a compris….

Slaaaacccc! Slaaac!

-Sniff! Oui Madame

-Toi, tu es mon esclave, ma chienne, ma salope et ma petite pute. Tu me dois obéissance sans hésiter et m’appeler Madame. Lorsque je suis avec Karine, elle est mon amoureuse, elle m’appelle Pénélope, même si elle m’est soumise aussi, tu comprends la différence.

-Oui Madame, excusez-moi Madame pour mon manque de contrôle.

À partir de cet instant j’ai compris que Karine et kary ne devait plus exister en même temps, mais que Madame pouvait, elle, imposer son contrôle en tout temps. Suite à cette soirée, qui pour moi a été une révélation, je me suis mise à éprouver de profonds sentiments face à Madame en tant que Karine et elle Pénélope. Même si c’est elle qui m’a orienté vers une situation homosexuel, j’y ai prise goût et j’ai découvert ma vraie nature insoupçonné jusqu’à lors.

Je dois vous dire dès maintenant que j’aime profondément Pénélope et la version Madame de celle-ci bien sûr. Cela fait déjà un an que nos chemins ce sont croisés. Notre relation est plus intense que jamais, je dois suivre des règles très strictes et relever des défis toujours aussi physiques et émotionnelles comme Madame sais si bien les inventer. Notre relation est complexe, mais merveilleuse. Depuis ce temps il y a comme deux personnes très différentes qui partages mon corps.

Il y a une autre journée donc je me rappelle très bien c’était en juillet l’an dernier je crois…