Titre de l'histoire érotique : APRES LA COPINE, CE SERA AU TOUR DU COPAIN...

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : APRES LA COPINE, CE SERA AU TOUR DU COPAIN... Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : APRES LA COPINE, CE SERA AU TOUR DU COPAIN...
Je dut remplacer au dernier moment un collègue au pied levé. Il avait prétendu devoir aller au chevet d’une tante souffrante. Mais je n’étais pas dupe. Il avait tout bonnement, envie de profiter en famille de la foire foraine établie depuis peu au parc des fêtes de notre ville.
En prévision d’une longue permanence, j’avais amené avec moi de quoi me faire patienter des heures. Un peu avant midi, j’avais appelé Gille. Une connaissance d'affaire. J’avais passé pas mal d’heures chez lui à effectuer des rénovations. Et il était temps à présent pour lui, qu’il passe à la caisse. Nous avions convenu pour la transaction, un rendez-vous pour l’après-midi sur mon lieu de travail.
J’étais dans la salle quand Gille fit son apparition. Comme il était très pressé, il s’est empressé de me donner ce qu’il me devait. Pour qu’il n’y est pas de différend entre nous, il a insisté pour que je les compte devant lui. Quatre mille deux cents francs, le compte y était. Alors que je fourrais la liasse en sécurité dans ma poche, je croisais le regard envieux d’un jeune homme assis dans un coin.
Pendant que je l’accompagnais jusqu’à sa voiture, Gille m’exposa un nouveau chantier en prévision. Ne pouvant pas m’en dire plus, il me demanda de l’appeler au cours de la semaine suivante, pour plus de précisions.
À mon retour je souriais tout seul, en pensant à la somme que j’avais en poche. Je croisais deux jeunes filles qui traînaient dans les coulisses. Sans aucun doute, elles crurent que le sourire leur était destiné. Elles me regardèrent, les yeux pétillants d’espoir. Puis elles s’échangèrent un clin d’œil complice et se mirent à pouffer, satisfaites de leur succès apparent.
Quelques heures plus tard, on vint m’informer que la répétition était terminée. Je profitais de ce que les personnes quittent les lieux par petits groupes, pour ranger le matériel. Une fois seul, il était temps pour moi de verrouiller les issues. Je m’assurais par la même occasion que plus personne ne traîner dans les lieux. Ceci effectué, je m’intéressais à l’éclairage. D’un pas décidé, je m’avançais jusqu’à l’armoire électrique. Mais alors que je m’apprête à actionner les commutateurs, je perçus des murmures venant de la loge, la seule pièce avec les toilettes où je n’ai pas pris la peine d’aller faire un tour.
J’ai tout de suite pensé à une étourdie. C’était fréquent chez nous. Je l’interpelai à haute voix, l’invitant de bien vouloir s’approcher de la sortie. Comme rien ne bouger je réitérais ma demande. Sans plus de succès, d'ailleurs.
Ma patience ayant des limites, j’ai décidé d’aller rendre une petite visite à mon importun. Pour lui faire part de mon mécontentement, à ne pas répondre à mes assignations.
Je parcourais la distance en moins de temps qu’il me fallait pour l‘écrire. Et là surprise, il n’y avait pas une, mais deux personnes. Une fille, un garçon, tout deux assis sur le bord de la table. Le garçon était Incliné sur la fille, les bouches jointes en un baiser vorace. Alors que la main du coquin fouillait l’entrejambe de la jeune fille. La jupe étant remontée me permis de loucher sur les jambes habillées de nylon noirs.
J’éprouvais soudain une certaine difficulté à respirer, quand la main fureteuse tira le collant vers le bas, découvrant un système pileux d’un noir anthracite dans lequel il avait infiltré un doigt. la chipie s’agrippa à son poignet, en commençant à se tordre avec une sorte de pleurnichement
Je commençais à avoir chaud. Pourtant dans le genre d’exhibition, je croyais avoir tout vu et ne plus guère pouvoir en être ému. Mais là c’était différent. Cela devait tenir à la fille. Il émanait d’elle quelque chose d’intensément pervers. J’avais la bouche sèche.
Avec une impression de soif intense. Mes yeux s’écarquillèrent en suivant la main conquérante du jeune homme. Si la gamine, le visage à demi enfoui dans le blouson du garçon, pouvait à la rigueur ne pas se savoir observée, ce n’était pas le cas de son compagnon. Qui lui, surveillait mes faits et gestes par l’intermédiaire du miroir. Me fixant avec un demi-sourire ravi aux lèvres.
Comme pour mieux exhiber sa copine, il écartait largement les cuisses de sa compagne, tirant sur le textile fibreux pour dégager au maximum les boucles sombres, modelant le renflement du pubis. Soulignant du bout de l’’index la coupure des lèvres. Docile, la gamine basculait sur la table, ses pieds chaussés de baskets en appui sur le bord du plateau, les genoux grands ouverts, mais les yeux fermés.
Ma longue expérience du genre m’apprenait que tout cela n’était pas innocent. Il se tramait quelque chose.
Sans me quitter des yeux, le garçon avait interrompu son manège, pour sauter sur ses pattes et avançait jusqu’à moi. Ce fut seulement à cet instant que je le reconnus. C’était tout bonnement le jeune type qui avait insisté à la transaction, entre moi et Gille. La gamine, les yeux grands ouverts, avait légèrement tiré sur sa jupe,
mais gardaient les jambes écartées. Elle avait une petite moue, gourmande et enfantine.
- Qu’en pensez-vous ? Cela vous a plu. Me questionna le jeune homme.
- Il serait malhonnête de ma part de dire le contraire.
- Vous voulez vous la faire . Je suis préteur…
- Ça peut se faire… oui… pourquoi pas… Si ta copine est d’accord… - Oh vous savez ma copine Magali est toujours partante pour une bonne baise, surtout si elle peut ramasser de la monnaie au bout. Vous savez les temps sont durs.
- Si j’ai bien compris le message. Si je veux consommer, il faut que je paye.
- Oui… vous avez tout pigé. C'est tout de même ma… - Bon arrêté ton discourt, le coupais-je. Dis-moi combien ?
- 300 balles.
- 300 balles. Ce n'est pas donné, dis-moi. Et j’ai quoi pour une telle somme.
- Tout ce que vous voulez…


- Ta copine est-elle une grosse cochonne ?
- Eh comment ! Vous pensez même pas ce qu’elle est capable de faire. Bébé… dit au monsieur comme tu aimes être une grosse cochonne...
La lumière crue accentuait les traits du jeune homme. Je sortis de ma poche la liasse de billets, en soutirai trois de cent francs que je tendis au garçon. Il fixait les billets, tout en faisant la moue.
- Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu en fais une tête… le compte n’y est pas .
- J’aurais dû en demander plus, si j’avais su.
J’eus un gros rire et lui frappai l’épaule.
- Il y en aura un petit un bonus si ta môme est vraiment une bonne cochonne, assurais-je.
Je m’approchais d’elle. Une âcre odeur de sueur fouetta mes narines. Je me grisais de cette délectable fragrance caractéristique aux jeunes filles. Magali me toisa avec un sourire d’une infinie perversité. Je pris dans ma main sa cheville et fis tomber sa basket. Elle se laissa faire, soumise à mes fantaisies. Son pied était adorable. À travers la transparence de son collant je distinguais ses ongles
délicatement vernis. Sa plante de pied était légèrement rosie par la transpiration. Une petite callosité était visible sur le côté.
Je portai ce superbe peton à mon nez, que je glissais entre ses orteils. L’odeur était très, très entêtante. Mais pour moi très, très supportable. Je bandais dur. Je donnai l’instruction au copain d’ouvrir le clic-clac.
Avec la force des bras, mais aussi parce qu’elle n’était pas très lourde j’ai pu passer ses jambes de chaque côté de ma tête. En appui sur mes épaules. Dans une posture de 69, debout. Mon nez à hauteur de sa fourche odorante. Dans l’action sa jupe s’était retroussé d’elle-même. Une odeur salée s'en dégageait. Mes oreilles bourdonnaient. J’ai enfoui ma figure entre ses cuisses chaudes et plongeais mon nez dans sa toison aux poils collés par la transpiration et la mouille plaquait par les mailles du collant. Elle se laissa aller. Creusant son ventre pour que son sexe s’écrase contre ma bouche. Je n’entendais pas ses gémissements, seuls les bruits de ma respiration.
Tout en dévorant son minou, je remuais mon bas-ventre d’avant en arrière. Une invite muette pour qu’elle s’occupe enfin de moi. Mais rien n’y fit. Elle restait inactive. Je mis ça sur le compte de la position renversée. Il avait fallu que je renouvelle à plusieurs reprises ma danse du bassin pour qu’elle comprenne, et s’attaque enfin à la fermeture Éclair de ma braguette. J’ai poussé un gémissement étouffé quand elle a entouré mon membre de ses doigts. Comme j’ai tressailli quand elle m’a frôlé les couilles, avant de reprendre ma verge.
Avec une émotion intense, je me suis senti encore gonfler dans sa main.
Nous avions pris la pose un petit moment. Moi lui suçant l'entrejambe à travers le nylon, elle à me branler. Son poignet avait trouvé le rythme approprié pour une bonne masturbation. Je m’entendais respirer plus fort. Machinalement elle ralentit sa manipulation.
- Non…, haletais-je, n’arrête pas… s’il te plaît.
Elle eut une très brève hésitation, puis sa main reprit du service, plus fort et plus vite. J’ai attendu de sentir les premiers picotements annonçant une éjaculation éminente, pour l’éjecter de mes épaules.
Elle se retrouva aplatie, les quatre fers en l’air sur le clic-clac. J’en profitais pour la débarrasser de son collant. Sans perdre une seconde, comme un mort de faim, je me suis jeté sur elle. Collant ma bouche sur son sexe odorant. Avec ma langue, j’ai goûté son sexe nu. Il s’en dégageait un goût plus acide que la moyenne. Après avoir exploré tout autour de la fente, je m’intéressais à l’ouverture. Plongeant la pointe de ma langue dans ce sillon acidulé et odorant.
Après en avoir apprécié le contenu, je remontais lentement en dessinant de petits cercles comme l’aurait une petite tornade.
Arrivée vers son bourgeon j'ai abandonné mes cercles pour lui lécher à petits coups. Elle se mit à gémir, à crier presque. Jusqu’à ce que je l’abandonne pour taquiner son anus.
- Ça te plaît, n’est-ce pas .
- Oh oui monsieur… Sa voix n’était plus qu’un souffle.
J’ancrais ma langue aussi loin que je le pouvais dans son sexe, la fis frétiller. La ressortais pour mieux l’assaillir de nouveau. Perquisitionnant l’intérieur, alors que mon index s’insinua lentement dans son rectum.
- Oh monsieur… plus vite, ordonna-t-elle, d’une voix éraillée par l’excitation.
Ma langue ne servait plus à rien d’autre qu’à lui donner du plaisir. J’en avais plein la bouche de son goût.
- Oh ! Oui… ronronna-t-elle. Que c'est bon monsieur...
Elle maintenait ma tête prisonnière entre ses cuisses. M’exhortant à lécher jusqu’à ce qu’elle jouisse. Quel fut mon plaisir de l’entendre jouir. C’est pour moi une récompense formidable, de faire prendre son pied à une femme. .
Le copain vint nous rejoindre sur le clic-clac. S’allongeant le long du corps de sa copine. Il s’était débarrassé de son pantalon et slip. Il se trouvait que la queue du gamin était à une portée de bouche. Elle sentait l’excitation d'homme. Je ne sais pas ce qui m’a pris. J’ai ouvert en grand ma bouche et je l’ai enfourné. Son gland entre mes lèvres souillait de sécrétion. Je le goûtai de ma langue. Ce n’était pas désagréable, au contraire. Tout juste un piment de plus. Je l’humectais de ma salive. Commençant à tourner la langue autour. Passant en dessous, à la lisière de la hampe, et petit à petit, je sentis la verge grossir, enfler, me remplir la bouche. Je m’enhardissais à aller plus loin. Sentant le gland contre mon palais.
J’avais transformé ma bouche en sexe. J’admis à cet instant que je trouvais du plaisir à contrôler ainsi celui d’un de mes semblables. Sachant très bien quelle caresse pouvait accentuer la bandaison. Le gamin soupirait, me pistonnant la bouche. Je serrais la hampe avec mes lèvres, comme l’aurait faite une chatte de pucelle.
Je l’humectais encore et encore de ma salive. Je sentais un goût saumâtre m’emplir la bouche. Soudain, il m’attrapa la tête. Balançant d’avant en arrière son bassin. J’avais une idée de ce qui allait m’arriver. Alors je reculais la tête, remplaçant la bouche par la main. Et je le masturbais. Je sentais au travers son érection des contractions saccadées. Puis le foutre fusa. À gros bouillons. Polluant le dessus du clic-clac.
Réflexion faite, tous deux avaient joui, il était temps de penser au mien. J’avais payé pour ça, non.
- Dans quel trou tu veux ma queue, jeune fille .
- Dans mon cul, répondit le jeune homme.
- Pardon, répliquais-je. Pas très sûr d’avoir bien entendu.
- Je veux que vous m’enculiez ! Me supplia-t-il.
Il se mit sur le dos, leva les jambes en les écartant, offrant son anus boursoufflé. Je me mis entre ses jambes, à genoux et je demandais à la copine :
- Aimerais-tu me guider...
- Ho ! Oui… super.
Elle se saisissait de mon sexe et le guida vers l'entrée lubrifiée de son pote. Il était prévoyant le coquin. Pendant que je m’occupais à faire plaisir sa copine, lui s’était enduit le cul de gel. Je mettais enfoui lentement, vainquant peu à peu la résistance naturelle des muscles. Quelle sensation. Lui aussi savourait. Pour preuve il ronronnait :
- Ouiiii... Ho ! que c'est bon.
Là, je commençais à aller et venir dans son fion. J’avais l'impression de ne faire qu'un avec lui. Des frères siamois. Relié grâce à ma queue.
Je ne devais pas l’écrire mais c'était formidable. La copine ne ratait pas une miette. J’accélérai petit à petit mon roulis. Le coquin ondulait sur ma queue, en geignant, en criant.
Je me démenais en lui à une cadence infernale, cherchant à le pénétrer le plus profondément possible. Je sentis une bouche embrasser mes testicules pendant que je me reculais, sortant ma queue au bord de l’orifice, pour mieux m’enfoncer ensuite. Magali me gratifia d’un bon anulingus. Il n’en fallait pas plus pour que le refrain de l’orgasme finit par monter timidement en moi. D’abord ce fut une chaleur. Puis des picotements. Ça montait, ça grimpait, ça arrivait, et brusquement, le plaisir m'emporta. J’expulsai ma semence en gueulant. Il tendit le cul au maximum pour recevoir mon plaisir. Il grognait comme une femelle.
Pour moi, ce fut si fort que j’eus une brève syncope. Je me laissais tomber sur le côté, et glissai hors de lui, le cœur battant, la tête vide. Épuisé. Gravé dans ma mémoire comme une faiblesse un peu… honteuse…

Les avis des lecteurs

Tout ce que j'aime merci beaucoup pour cette histoire je me suis bien branlé dessus

Superbe histoire

Histoire Erotique
Excellente histoire, j'adore !!



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