Titre de l'histoire érotique : L'étudiante nouvelle vie (3/3)

- Par l'auteur HDS BAGOU -
Récit érotique écrit par BAGOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 9 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 4.4
  • • L'ensemble des récits érotiques de BAGOU ont reçu un total de 47 000 visites.
Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : L'étudiante nouvelle vie (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 018 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(3.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(3.0 / 10)

Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : L'étudiante nouvelle vie (3/3)
Je reçus un coup de téléphone deux jours après. Elle serait de passage à l’université le lendemain. Je lui demandai de combien de temps elle disposait et si nous pouvions envisager une sortie ensemble : après avoir hésité sans doute (à en juger par le temps qu’elle mit pour me répondre), elle me dit qu’elle pourrait dégager quelques heures si elle s’y prend tôt le matin pour les formalités qu’elle comptait accomplir à l’université : un relevé complet de son cursus en préparation du dépôt de thèse qu’elle allait effectuer. Je lui suggérai de faire la demande le matin et de repasser dans l’après-midi pour récupérer le document (ce qui laisserait à l’administration assez de temps pour le préparer et le faire signer et à moi de me permettre de dégager la journée de mon emploi du temps). Content de ces dispositions, je pris immédiatement le téléphone pour appeler l’hôtel de * afin d’y réserver une chambre pleine vue sur la vallée (l’hôtel est à flanc de montagne) et partis quelques heures plus tard pour visiter.

Elle vint plus tôt que je n’espérais – dès 8 heures – alors que le personnel administratif de la faculté n’arrivait que vers 8h30. J’étais moi aussi déjà là et nous dûmes ressortir pour prendre un café dans les environs. Je la laissai ensuite s’occuper de son dossier et la retrouvai à 9h30 à l’endroit même dont nous avions convenu, sans que nous nous accordions sur l’heure. C’était bon signe me suis-je dit.

Je la laissai sortir par une porte secondaire de l’université et sortis moi-même en voiture par la porte principale pour la retrouver au pied de l’escalier de l’entrée secondaire en contournant un pâté de quelques bâtiments réservés aux classes de cours. Nous avions 4 à 5 heures devant nous dont peut-être une heure trente pour le trajet aller-retour à l’hôtel. Je lui klaxonnai en arrivant à sa hauteur, m’arrêtai quelques secondes et repartis sur les chapeaux de roue après qu’elle fut montée.

Pour éviter des questions du genre où allons-nous et autres interrogations, je lui mis le document de son projet de thèse entre les mains après l’avoir minutieusement étudié et annoté (ce dont je me m’atais occupé durant les trois jours précédents mais dont je fis le plus gros la veille au soir). Elle était surprise de le recevoir si vite et si abondamment annoté, ce qui lui fit dire qu’elle allait avoir du boulot pour le corriger, elle qui pensait effectuer le dépôt dans les jours qui suivraient son retour. Je lui laissai le temps de le feuilleter puis nous discutâmes du document tout en roulant ; elle ne cessant de repasser les pages pour me questionner sur le sens des remarques ou sur leur importance, moi répondant du mieux que je pouvais compte tenu de l’état de déconcentration dans lequel je me trouvais. Nous arrivâmes à l’hôtel avant même qu’elle ait eu le temps de lever le nez de son travail.

Mon stratagème avait fonctionné mais comment allait-elle réagir à l’arrêt, devant un hôtel, et si loin des lieux qu’elle fréquentait ? Je restais circonspect et attendis. Elle sortit et son regard se porta tout de suite au loin, sur la vallée en contrebas qui offrait un paysage féérique aux yeux. La montagne était derrière, aussi imposante que superbement dessinée, tel le dos de l’un de ces dinosaures en forme de gigantesques dents. Elle regarda des deux côtés et oh miracle ! Elle fut saisie de la beauté des lieux, oubliant l’incongruité de la situation : que venait-elle donc faire ici, elle, la femme mariée ? Je lui cédai le pas et entrâmes dans l’hôtel où me fut remis à la réception la clé de la chambre – un superbe studio donnant justement sur les deux paysages d’un côté et de l’autre, encore que la montagne nous fût en partie cachée par un mur aveugle de l’une des façades de l’hôtel sur lequel donnait de biais la fenêtre du studio contiguë à la porte. En face, la porte-fenêtre ouvrant sur un balconnet permettait au contraire d’avoir toute la vallée à nos pieds. Nouvelle surprise de ma partenaire en entrant dans le studio impeccablement conçu et meublé et, sublime récompense, elle vint déposer un baiser aérien sur ma joue.

Je la saisis prestement par le poignet avant qu’elle n’ait effectué un pas en arrière et passai mon autre main derrière sa nuque pour l’attirer à moi. Sa bouche s’ouvrit et vint se coller à la mienne. Le même baiser mouillé qu’au bureau nous unit pour de longues minutes, hormis que je débordais à présent sur les contours de sa bouche, sur son menton, son nez (que j’aspirai et suçais comme une tranche d’orange) avant de revenir à son palais à la rencontre de sa langue. Elle salivait déjà et me transmettait en partie sa salive que j’avalais goulument tandis qu’elle me massait de sa main tout le torse à même la chemise. Sans doute s’était-elle elle aussi préparée à cette rencontre et avait-elle reçu sa part de tension libidinale avant qu’on se retrouvât dans la chambre ?! En tous cas elle n’avait rien laissé paraître tout au long de la route et c’est quelque peu surpris par son entrain que je m’appliquais à lui prendre tout ce qu’elle offrait à ma bouche de la sienne.

Je me mis à la déshabiller fébrilement, comme à une première fois. Elle m’aida en enlevant sa jupe tout en se débarrassant elle-même de ses chaussures par de simples contorsions du pied, tandis que je m’escrimais à lui retirer le soutien-gorge après le chemisier. Nos bouches se retrouvaient par intermittence en des baisers plus frustes. Jupe, chemisier et soutien-gorge volèrent vers le fauteuil qui se trouvait au pied du lit. Elle était à présent en petite culotte, tandis que j’étais encore tout habillé. Je défis la ceinture, le bouton et la fermeture-éclair du pantalon qui tomba à mes pieds et retirai les chaussures aussi vite que ce me fut possible, pour paraître moi aussi en slip et en chemise. Nous nous mîmes à deux pour défaire les boutons de la chemise qui vola elle aussi vers le fauteuil tandis que je m’extirpai du pantalon entortillé sur mes chevilles. Tout comme elle, je n’avais plus que le slip pour tout vêtement. Je m’éloignais un peu d’elle pour l’admirer tout en lui tenant la main par le bout des doigts. Elle m’examina aussi, plus intensément que lorsque nous nous retrouvâmes à l’hôtel deux ans auparavant. Quoique d’âge respectable et ayant déjà perdu presque tous mes cheveux, mon corps restait musclé, servi par une taille supérieure à la moyenne, la pratique d’activités physiques régulières et un régime soft à base de légumes, de fruits, de viandes maigres et d’eau minérale que j’avais adopté depuis longtemps comme hygiène de vie.

Je l’attirai de nouveau et passai mes mains sur ses joues, en descendant par les côtés, sur ses épaules, ses bras, ses hanches … jusqu’aux chevilles en des gestes précautionneux auxquels je m’adaptai en me baissant au fur et à mesure. Je remontai par derrière en palpant d’abord les mollets, aussi doux que fermes au toucher. Je passai aux cuisses pour un traitement identique et plus appuyé, pour arriver aux hanches, que je triturai sans ménagement, au grand bonheur de ma partenaire si j’en jugeai par ses couinements presqu’inaudibles. Durant tout ce temps, elle resta debout, immobile, tout au plaisir que je lui procurais et à l’attente de ce qui allait suivre. Je passai derrière elle à présent et les mains posées à plat sur ses omoplates, j’entamai un massage ample pour enfin venir poser mes lèvres sur sa nuque que je mordillai légèrement. Elle se retourna tout d’un coup et vint poser ses lèvres sur les miennes. A elle à présent de me prodiguer caresses et palpations sur tout le corps !

Elle me prit le menton entre les dents, passa sa langue mouillée par en-dessous, la fit traîner le long de la mâchoire, remonta à l’oreille où elle l’introduisit pour un ballet de léchouilles qui produisirent un gargouillement comme quand on plonge la tête dans l’eau. Par une curieuse association d’idées, j’imaginais mon oreille être le sexe féminin et sa langue le sexe masculin et me laissait aller aux délices de cette inversion des rôles. Elle descendit enfin le long du cou où elle enfouit sa tête une poignée de secondes, puis bifurqua vers le torse. Elle embrassa, mordilla et suça mon sein droit en se laissant aller à ce jeu érotique de produire force salive puis descendit encore pour vriller sa langue dans le nombril.

Elle s’agenouilla enfin, passa sa main sur ma virilité à même le slip puis l’extirpa de sa camisole de force. Baissant la tête, elle porta à ses lèvres le phallus gorgé de sang, en érection. Je la relevai de suite pour réserver à une autre position les délices de la fellation et, la retenant d’une main tendue, je fis deux pas en direction du lit puis me baissai pour le défaire de l’autre main. Je revins aussi prestement que possible tout en me délestant de dernier vêtement qui entravait ma virilité. La prenant alors par les épaules pour la relever, je mis une main à sa taille et la soulevai précautionneusement pour la déposer sur le lit en position assise, les pieds sur la descente de lit. Je m’approchai, mon sexe à hauteur de sa bouche, et attendis : elle inclina légèrement la tête et posa ses lèvres sur la colonne de chair qui la narguait. Elle se mit à la lécher comme un cornet de glace de bas en haut, langue pendante ou rétractée mais toujours suffisamment lubrifiée par sa salive qui commençait à dégouliner en filet étroits sur ma verge. Je ne lui laissai pas le temps de la prendre en bouche, réservant encore ce plaisir pour plus tard : d’une légère poussée que j’appliquai sur son front, elle se laissa renverser en arrière sur le lit tout en reculant d’une coudée, tête dans le coussin vaporeux de ses cheveux. Ses seins, gonflés par le désir en dépit de sa position allongée qui leur donnait la forme de quelque fruit exotique, dardaient leurs tétons vers mes yeux envahis de brume par les sensations visuelles qu’ils m’offraient. Je parcourus son corps des deux mains pour m’agripper littéralement à sa culotte, ce vêtement qui, même dans les boutiques de lingerie féminine, nourrissait fantasmes et rêveries de la gente masculine. Elle souleva son bassin pour me permettre de le lui retirer et, le prenant en main comme un minuscule trophée, je le portai à mes narines pour humer son odeur, mélange de parfum suave, de sueur âcre et de sécrétions salées.

Je m’appuyai sur le rebord du lit et m’inclinai progressivement de façon à venir à hauteur de sa tête que je me mis à taquiner de la mienne dans un jeu enfantin qui préludait à nos ébats. Je frottai mes joues l’une après l’autre aux siennes, mon crâne, mon front, mon nez aux siens avant de venir prendre entre mes dents son petit menton rondelet en serrant imperceptiblement mes mâchoires jusqu’à la faire légèrement trembler. Je relevai la tête pour l’admirer, mon visage à quelques centimètres du sien. Je passai ensuite ma main, paume ouverte sur sa frimousse pour une caresse aérienne en pinçant son petit nez entre deux doigts à la renverse. De nouveau ma bouche vint se coller à la sienne, ma langue cherchant la sienne qu’elle rencontra sans que je n’eus besoin de le lui demander comme la première fois où nous nous embrassâmes. Ma langue s’enroula sur la sienne et la sienne sur la mienne comme deux bébés serpents qui s’ébattent dans l’eau. En vain je tentai de relever la tête : elle me retenait par les épaules des deux mains en cherchant à prolonger le baiser profond que nous nous prodiguions l’un à l’autre.

Nos bouches se séparèrent enfin. J’en profitai pour me relever quelque peu et entamer un nouveau périple de mes mains sur tout son corps, en commençant par le haut de la tête dont je massai tendrement le cuir chevelu. Je passai la main sur son front, sur les yeux que je couvris et découvris alternativement de la paume de ma main, son nez, ses joues, ses oreilles, sa bouche, son cou… Je descendis en d’infinies précautions sur sa poitrine. Ses seins s’offraient à mes mains tandis que j’étais à présent à califourchon sur son ventre, mes fesses posées à la naissance de la fourche de ses cuisses. Je pris ses seins dans mes mains et tout en les palpant avec une vigueur calculée, je les faisais remonter pour leur faire prendre une forme pointue et accentuer ce faisant l’érotisme qui s’en dégageait. L’envie irrésistible de les sucer – que dis-je, de les téter – me prit et j’y portai la bouche grande ouverte pour les gober puis les téter alternativement à la manière non d’un bébé, mais d’un chevreau qui, pour reprendre en bouche le téton qui lui échappe, donne des coups dans la mamelle de sa mère.

Je descendis ensuite sur son ventre puis, me déplaçant de côté en l’enjambant, je me mis en sens inverse de façon à avoir sous les yeux sa fourche et les cuisses qui la prolongeaient par-dessus, son fessier légèrement aplati par en-dessous. Je passai mes mains à plat sur ses cuisses en remontant vers la fourche à partir des genoux. Dans un mouvement dont je calculai mentalement l’effet, je me reculai sur son ventre de façon à poser mes propres fesses sur sa poitrine, à la naissance de ses seins. Je caressai ses cuisses par-dessus puis me penchai pour les caresser par-dessous en me relevant imperceptiblement et en me courbant. L’effet attendu se produisit instantanément : ma jeune partenaire souleva la tête et, arcboutée à mes hanches, se mit à me lécher les testicules et à les prendre en bouche. J’avançais le bassin d’un doigt tout en m’abaissant un peu plus de façon à ce qu’elle ait accès à mon anus et elle vint le lécher tout en mordant dans mon fessier offert. Je fis alors le mouvement de me relever et de poser sur sa figure tout mon arrière-train, en le faisant légèrement mouvoir dans le sens inverse du mouvement de sa bouche pour décupler l’effet de l’offrande réciproque. C’était divin !

N’en pouvant plus du traitement qu’elle infligeait ainsi à mes parties intimes, je me relevai et, venant m’accroupir entre ses cuisses, j’entamai à mon tour un frénétique cunnilingus. Relevant ses jambes jusqu’à former un angle aigu avec son bas-ventre, je me mis à lécher son anus et à y introduire ma langue en l’écartant des deux mains. Avec une appréhension sourde, je lui massai d’un doigt l’anus tout en revenant avec ma bouche à sa chatte dont je venais de goûter les secrétions, ce qui lui fit jeter un cri rauque dont je ne sus s’il rendait son plaisir ou s’il exprimait sa réprobation de cette pratique sexuelle qu’elle n’avait pas dû expérimenter. Je sus plus tard qu’elle n’avait presque rien expérimenté avec son mari de ce que je lui faisais, la fellation exceptée, laquelle le faisait venir rapidement à la jouissance pour la laisser elle sur sa faim. Elle n’eut pas la réaction que je redoutais, et je m’enhardis en y introduisant superficiellement mon doigt pour un massage de l’anus de l’intérieur. Longtemps je triturai ainsi sa chatte et massai son anus. En relevant enfin la tête, je la vis qui me tendait les deux bras dans un appel muet à la prendre.

Je remontai alors en tenant ses jambes toujours levées et, amenant mon sexe à hauteur de sa chatte, je la pénétrai en un coup de reins que je voulais aussi doux que viril de façon à lui faire sentir sans brutalité la puissance de mon désir d’elle. Elle émit un râle de plaisir et colla son bassin au mien dans une invite à accélérer. Je me mis alors à ramoner sa chatte en tous sens en la prenant par le bassin des deux mains pour la rapprocher davantage. Quelques minutes suffirent à ce rythme pour faire venir mon plaisir : j’éjaculai en elle d’un puissant jet. Je me laissai tomber sur elle dans une étreinte toute de tendresse puis je me retirai. Mon sexe n’avait que faiblement débandé et je vins le présenter à sa bouche pour la fellation que j’attendais et qu’elle m’offrit alors que mon pénis était encore tout barbouillé de nos semences mélangées. Je fis aller et venir ma verge dans sa bouche tandis qu’elle essayait de la retenir en fermant dessus ses lèvres. Sentant de nouveau venir ma jouissance, je me retirai et explosai sur ses seins d’un jet de sperme qui semblait bien moins concentré que d’habitude mais je savais d’expérience qu’il en était ainsi à la deuxième éjaculation.

Je m’allongeai de nouveau sur elle en me frottant à ses seins pour y coller mon torse à l’aide de ma semence et l’embrassais tendrement. Nous restâmes ainsi plusieurs minutes puis, lentement, je la délivrai de cette étreinte collante pour m’allonger à son côté. Elle s’était reculée jusqu’au milieu du lit et avait fermé les yeux dans ce qui ressemblait à un assoupissement. Je la laissai, tout à mon contentement d’avoir enfin pu réaliser un fantasme dont je ne doutais pourtant pas qu’il se réalisât.

Quand nous nous rhabillâmes, il était midi passé. Nous descendîmes et allâmes nous attabler au restaurant de l’hôtel pour le déjeuner. Nous sortîmes du restaurant vers 14 heures et au lieu de rentrer en ville pour son rendez-vous, je lui proposai une promenade en forêt tant pour nous détendre et respirer l’air pur que pour poursuivre la discussion que nous avions eue au restaurant. Celle-ci avait débuté timidement par une question elliptique de ma part sur sa vie nouvelle ; question derrière laquelle je cherchais à savoir en réalité pourquoi elle n’était pas heureuse en ménage. Elle me redit la raison principale pour laquelle elle a accepté de se marier. De fil en aiguille, on en vint à sa vie sexuelle et là, ce que je craignais se confirmait : elle n’avait qu’un simulacre de vie sexuelle. Son mari, traditionnaliste jusqu’au bout des ongles malgré une instruction élevée, ne connaissait du sexe que la pénétration vaginale sans préliminaires, la fellation exceptée qu’elle finit par lui refuser au nom du même traditionnalisme.

Son séjour à l’étranger lui avait permis à elle de s’instruire sur le sujet non seulement par internet (qui est une mine de renseignements), mais pour ainsi dire de visu, au contact de gens aux mœurs si différentes. Elle avait fini par laisser parler en elle la sensualité sans jamais pourtant aller jusqu’à connaître des expériences sexuelles avant son mariage, ni après, dans l’adultère. A ce mot je sursautai. Elle me fit un grand sourire et me dit : toi, c’est autre chose. Tu es mon premier et mon seul amour ; ce qui n’eut pour effet que d’accroître ma gêne. J’étais moi-même au fond en accord avec cette culture traditionnelle où les valeurs familiales avaient la prééminence. Mais, me suis-je entendu dire intérieurement, au moins je ne réduisais pas la femme à l’objet du désir et c’est par amour que je me suis laissé prendre. Je ne lui dis rien de ces pensées. Nous continuâmes à marcher en silence jusqu’à une heure tardive. Comment vas-tu expliquer ce retard à ton mari, lui dis-je. Elle me répondu par un silence que je ne voulais pas troubler et nous rentrâmes.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : L'étudiante nouvelle vie (3/3)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par BAGOU

Titre de l'histoire érotique : L'étudiante nouvelle vie (3/3) - Récit érotique publié le 08-06-2017
L'étudiante nouvelle vie (2/3) - Récit érotique publié le 30-05-2017
L'étudiante nouvelle vie (1/3) - Récit érotique publié le 22-05-2017
L'étudiante (5/5) - Récit érotique publié le 15-05-2017
L'étudiante (4/5) - Récit érotique publié le 11-05-2017
L'étudiante (3/5) - Récit érotique publié le 06-05-2017
L'étudiante (2/5) - Récit érotique publié le 29-04-2017
L'étudiante - Récit érotique publié le 27-04-2017
Tranche d'intimité - Récit érotique publié le 22-04-2017