Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (18/20)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (18/20) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(18.0 / 10)

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Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (18/20)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Nous sortons, dehors c’est le capharnaüm, des fourgons de police attendent, je monte aider par un gendarme qui place son bouclier pour que nous soyons épargnés par les flashes des appareils photo et que l’on protège notre anonymat, nous sommes des victimes.
Lorsque les cinq filles sont à l’intérieur, Noémi me regarde et me dit.

• Léa, pourquoi le flic t’a demandée à lui montrer les filles qui étaient retenues ici ?
• N’ayez pas peur, votre calvaire est terminé, vous allez savoir pourquoi dans quelques minutes.

Des cris de joie remplissent le fourgon, ils s’arrêtent et nous entrons dans un commissariat.
L’inspecteur remarque que nous avons toujours les menottes.

• Bande d’incapables, enlevez-moi ces menottes, ces filles sont libres, vous croyez qu’elles n’ont pas eu leur dose de soumission.

C’est à ce moment que Lucas me rejoint, il attendait dans les bureaux.
Je lui saute au cou et nous nous embrassons sous les applaudissements de toutes les filles.

• Lucas, mon chéri, l’inspecteur de la brigade de la répression du proxénétisme est-il là ?
• On est en Belgique, il n’a pas le droit d’intervenir hors du territoire français, nous allons le voir bientôt, il est parti régler votre arrivée en France.
Nous allons être conduits en France tout à l’heure, ils souhaitent vous soustraire à la presse et que votre identité ne soit pas rendue publique.
• Pourquoi ne m’as-tu pas dit que la police nous libérerait ce soir !
• Parce que, je ne le savais pas.

L’inspecteur belge vient vers nous.

• Merci pour votre aide toute la bande est arrêtée et va être envoyée devant la justice.
• Pourquoi, êtes-vous intervenu ce soir ?
• C’est grâce à vous Léa, tous les renseignements que vous nous avez apportés ont permis à nos deux polices de mettre sous surveillance un maximum de personnes.
• Les policiers qui surveillaient vos beaux-parents à Sète, ceux qui surveillaient votre mari à Valenciennes et ceux qui suivaient un dénommé Hugo en Belgique, ont signalé que tout ce petit monde faisait mouvement vers la Belgique, nous en avons déduit que quelque chose d’important se préparait. Lorsqu’ils ont passé la frontière, nous avons repris la filature, ils sont arrivés au club où vous travailliez, nous avons fait intervenir les forces en alerte et coffré tout ce beau monde d’un seul coup.
• Merci d’avoir fait aussi vite pour nous sortir de là.
• Les premiers renseignements donnés par celle qu’ils appelaient maman Claude, confirment qu’ils s’étaient réunis après votre rébellion et la décision qu’ils venaient de prendre de vous envoyer tapiner en Afrique.
• Maman Claude est ma mère, pouvez-vous faire quelque chose pour elle ? Quelque part c’est la plus ancienne victime de ces monstres !
• Lorsque vous ferez votre témoignage, toutes les filles doivent faire une déclaration précisant que votre maman vous a toujours bien traitée, cela l’aidera.
• Merci, avant que vous ne nous emmeniez, parmi les personnes arrêtées, il y avait deux hommes que j’ai déjà rencontrés.
• Le patron de l’hôtel de Sète et un jeune homme qui nous a rendu service avec sa jeune épouse pendant le week-end ?
• Pourquoi étaient-ils là ?
• L’hôtel où vous étiez descendu faisait partie des endroits que l’on surveillait, la police française n’a pas fini ses investigations là-bas.
• Le jeune homme était un rabatteur, la jeune fille était leur proie, il lui a fait croire qu’ils étaient mariés alors que la cérémonie était bidon entièrement montée avec des comparses.
Elle devait être potentiellement l’une de vos remplaçantes, ils étaient certainement dans l’hôtel pour vous surveiller tout en prenant du bon temps, elle se croyait en voyage de noces.
• Quand allons-nous partir vers la France ?
• J’attends une camionnette qui vous apporte vos valises, je vous demanderais d’être indulgentes pour le rangement, mes hommes ont rarement l’occasion de vider des armoires avec de petites culottes !

Nous éclatons de rire, à l’évocation de ces images très suggestives.
Nos rires redoublent lorsque six hommes pénètrent dans le commissariat avec nos valises, l’inspecteur nous dirige vers une salle de repos où nous pouvons nous changer.

• Aurions-nous la possibilité de nous faire retirer les colliers, marque d’infamie de nos proxénètes !
• Noémie, je suis d’accord, mais j’aimerais tous les récupérer en souvenir de chacune d’entre vous.
• On va faire sauter les rivets proprement.

Nous nous changeons en triant nos affaires, nos colliers nous sont enlevés proprement et l’inspecteur pousse la gentillesse jusqu’à mettre des étiquettes.
Après un café et des petits gâteaux, nous montons dans un mini car de la gendarmerie.
Je dois quitter Lucas qui est venu avec sa voiture, j’aurais pu partir avec lui, mais je ne veux pas quitter les filles avant d’être en France.

Trois jours après notre retour en France, la police a fini d’enregistrer nos dépositions, nous avons été autorisés à repartir chacune chez nous.
Pendant ces trois jours, j’ai rencontré Armel, la jeune fille qui était programmée par Pierre pour être la prochaine victime de ses bordels belges.
Lorsque j’étais sur un poney avec ces deux jeunes, l’amour qu’elle lui portait alors qu’elle croyait être sa femme était beau à voir.
Le cynisme de ce jeune homme capable d’amener à la prostitution une aussi jolie fille sans aucun scrupule m’horripile, il a de la chance d’être protégé derrière des barreaux, je serais capable de l’émasculer.
Nous prenons le train pour Paris, Lucas reparti le lendemain de notre libération pour faire tourner son entreprise bien légale celle-là ne pouvait pas venir nous chercher à Valenciennes, car il avait une réunion essentielle pour développer son entreprise.
Je dis nous, car j’ai amené dans mes bagages Marjorie et Armel. Elles n’avaient aucun point de chute et risquaient de retomber dans de sales pattes.
Il est là sur le quai beau dans son costume trois-pièces de P.D.G. lui donnant un charme fou, très chaste, il me dépose un léger baiser.
Les filles ont droit à un baiser sur la joue, ne pas toucher les filles, ce beau mâle est pour moi et moi seule.

• Lucas, conduit nous faire les boutiques, nous arrivons avec juste ses vêtements sur le dos.
• Je croyais qu’ils vous portaient vos bagages.
• Nous avons tout jeté, nous ne pouvions pas voyager nues sinon nous aurions même jeté ce que l’on a sur le dos, la seule chose qui va rester de ces semaines voire des mois pour d’autres, ce sont les colliers que j’ai dans ce sac.
• J’aurai bien aimé te voir arriver nue !
• Pervers !

J’ai toujours dit que l’on reconnaît l’homme à sa voiture, Lucas gentleman jusqu’au bout des doigts m’ouvre la portière de sa 508 Peugeot.
Les filles sont impressionnées par l’intérieur tout cuir du véhicule.
Je venais souvent à Paris faire des achats rives gauches, je veux changer intégralement ma vie, nous nous arrêtons dans un quartier de la rive droite, où de nombreuses boutiques avec des vêtements féminins nous tendent les bras.
Jusqu’à la fermeture, nous remplissons des sacs avec petites culottes, sous-vêtements sexy et autres robes, tailleurs pour moi et tenues jeunes pour les Filles.
Ajoutez quelques jeans pour les trois et des chaussures, j’oublie quelques pull-overs légers en cas de rafraîchissement de la température.
Lucas ne va bientôt pas avoir assez de bras pour tout porter, il a de la chance à mesure qu’un modèle nous plaît, nous abandonnons nos anciennes peaux.
Nous avions récupéré nos papiers par la police trouvée dans notre maison de Valenciennes, Pierre avait un coffre secret dans le chalet près de la piscine.
Il gardait de grosses sommes d’argent qui ont été saisies.
Nous faisons tellement chauffer ma carte bancaire que Lucas doit sortir la sienne lorsque j’atteins le plafond de la mienne, nous entrons même dans une pharmacie pour acheter des brosses à dents.
Dans une parfumerie, nous remplissons un sac de produits de beauté.
Nous repartons, je m’aperçois que je ne sais même pas où Lucas nous emmène.
Je me souviens qu’au restaurant à Sète, il m’a dit avoir une entreprise en banlieue.
Nous reprenons l’autoroute A6, c’est à Viry-Châtillon devant un portail et un grand mur qu’il arrête la voiture, où nous entrons dans une propriété idyllique.
Nous seulement la maison est spacieuse, mais la terrasse fermée débouche sur un beau jardin qui surplombe un lac.
Sur la terrasse un Spa occupe un côté.

• On peut, il fonctionne !
• Tu es chez toi, il est à température !

Le temps de nous mettre nue, nous entrons dans l’eau, nous nous sommes déshabillées très naturellement sans penser que nous pouvions gêner Lucas.
Nos pratiques de liberté vestimentaires dans les chambres après le travail ont fini par nous imprégner.
Une question se pose pour moi, les pratiques lesbiennes avec Marjorie.
N’ayant jamais léché la vulve d’Armel malgré l’envie que j’en ai eue lorsqu’elle a écarté ses cuisses pour entrer dans le Spa, gênerait-il Lucas ?
Le repousserait-il de moi ?

• Lucas, rejoins-nous, l’eau est bonne !

Je le vois gêné de ce déshabillé devant nous, après quelques minutes il revient encore recouvert de son caleçon, il me rejoint et je le reçois dans mes bras, son corps sans le vouloir s’appuie sur ma jambe et je sens son sexe dur.
Ce sont les poupettes qui vont débloquer la situation, alors que mon homme me prend la bouche avec envie, elles se sont rapprochées et leurs regards semblent figés.
Armel a le même regard qu’à Sète, avec celui à qui elle se croyait mariée, d’un coup elles franchisent la barrière et leurs bouches se rejoignent.
Le bouillonnement de l’eau m’empêche de voir ce qui se passe en dessous de l’eau. La voracité de leurs baisers me fait penser que leurs mains ne sont pas inactives.
Inactives, celles de Lucas ne le sont pas non plus, l’un de mes seins sent la pression qu’il lui fait subir. Mon téton atterrit entre son pouce et son index et subit un pincement qui le fait durcir encore plus.
Je sens qu’il n'ose aller plus loin dans ses gestes. En même temps que, je saisis sa verge, je lui attrape la main et la dépose sur ma chatte.
Un moment timide, ses caresses se transforment en pénétration lorsqu’il enfonce délicatement deux doigts en moi.
Du côté des filles, les affaires avancent aussi, les bouches sont toujours soudées, mais le corps de Marjorie est venu recouvrir celui de son amie.
Enfin, je vais jouir par la simple caresse des doigts de celui qui m’a libéré de mes chaînes…

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