Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (20/20)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (20/20) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (20/20)
Le Spa est resté en service, il me tend les bras, j’y entre avec délice, je regarde, mon doigt ou ma bague brille de tous ses éclats.
C’est dans cette position que Lucas me trouve lorsqu’il arrive entièrement nu lui aussi.
Prestement il saute près de moi, me donne mon premier baisé du matin, je viens me coller à lui, quel homme, il bande encore, je glisse une jambe par-dessus et je m’assieds sur ce sexe qui semble m'attendre.
Il m’entoure les seins qu’il commence à malaxer comme j’aime.
Je me soulève légèrement et m’empale sur sa verge, il lâche mes seins pour prendre mes hanches et comme si je ne pesais rien, il me fait monter puis descendre sur son pieu me remplissant divinement.
Moi qui avais peur d’entrer dans la chambre, aux mains de mon étalon, je suis une poupée de chiffon qu’il module suivant mes envies, mais surtout les siennes, j’aime être sa chose.
Que voulez-vous que je fasse avec un tel membre dans ma petite chatte !
Oui, je jouis une nouvelle fois et mon utérus est content de se faire asperger.

• Chérie, j’aime bien jouer avec toi, mais notre société a besoin de nous, avant de te récupérer à Paris, j'ai parlé à nos employés de ta venue, ils sont tous impatients de te connaître.
• Déjà, même si j’ai accepté ta bague, tes employés vont-ils accepter une nouvelle patronne.
• Reste toi-même et ils vont t’adorer.

Nous sortons du Spa, je nous essuie et lui sers son café réparateur de tous nos ébats, quelques tartines, l’homme est à nouveau un homme.
Nous passons dans la salle de bains, il y a deux lavabos et rapidement je suis prête à le suivre.
Avec son accord, j’ai opté pour une tenue sportive, jeans, basket et pull marinière, je ne voulais pas arriver comme la maîtresse femme qui vient en leur sein pour les diriger.
Je laisse un mot aux filles qui dorment encore leur disant « à ce soir » et leur souhaitant une bonne journée.
L’entreprise est à quelques kilomètres de sa maison, lorsque nous arrivons, Lucas m’entraîne dans la salle de repos où quelques personnes sont regroupées, une jeune femme me donne un bouquet de fleurs, ce geste me va droit au cœur.

• Léa, je te présente Agnès, ma secrétaire ainsi qu’une partie du personnel.

Je fais la bise à Agnès et je serre la main aux autres, Lucas doit me quitter pour une réunion.
Agnès et le contremaître me font visiter, je vous promets que j’ai tout compris, demain c’est moi qui gère la boîte !
Non, je ne comprends qu’une explication sur deux, mais je suis contente, je pense avoir fait bonne impression.
Dans les jours qui suivent un grand travail m’attend. Lucas souhaite m’épouser dès que mon divorce sera prononcé et les bans publiés.

C’est fait très rapidement, beaucoup de personnes à la suite à l’affaire ont eu de belles promotions, ils n’avaient rien à me refuser.
Un mois après tout est prêt.
La noce est inoubliable pour moi, non seulement j’épouse Lucas, mais toutes mes amies sont là.
Lucas a souhaité faire le repas là où il m’a demandé en mariage.
La robe de la mariée est sobre, tailleur beige classique, hélas, j’ai déjà eu droit à ma robe blanche avec un homme que je préfère oublier.
Quelques semaines sont passées chacune d’entre, nous sommes retournées vers leur famille.

Lucas, mon mari, est tout le temps aux petits soins pour moi et surtout depuis que mon ventre s’arrondit, notre fils doit venir au monde à la mi-juillet.
Qu’est-il advenu de tous les proxos et de toutes mes amies !
Mes beaux-parents sont morts, le lendemain de leurs arrestations se sont suicidés comme les espions en avalant du cyanure qu’ils avaient toujours sur eux.
Pierre mon mari attend son procès dans une prison française, ressortissant français il a été extradé, Lucas a un ami qui a pu lui amener des renseignements.
N’ayant pas d’argent, pour pouvoir cantiner, il est la carpette de bon nombre de ses copains de cellules, si vous passez dans sa cellule ce que je ne vous souhaite pas, vous aurez son cul pour deux cigarettes où il avalera votre sperme pour une tablette de chocolat, nous sommes vengés, il est la pute de son centre pénitentiaire.
Hugo, Olga, les deux maîtresses des bordels de Bruxelles et Anvers, le jeune homme avec sa fiancée de Sète ainsi que toutes les gardes-chiourmes étant ressortissants belges sont incarcérés en Belgique dans l’attente de leurs procès.
Ma maman est toujours poursuivie pour les mêmes motifs que les autres, après l’audition des prostitués même celle qui se trouvait à Anvers et à Bruxelles au moment des arrestations ont témoigné en sa faveur.
Certaines filles ont voulu me prouver leur reconnaissance pour les avoir libérées, elles ont su que c’était ma mère à qui j’avais été enlevée avant de la prostituer, elle a pu assister à mon mariage.
Le patron de l’hôtel de Sète lui aussi a été extradé, il est poursuivi pour proxénétisme aggravé, il a été prouvé que l’établissement qu’il dirigeait recevait des prostitués.
J’ai appris par Lucas et son ami que j’avais eu une chance, je ne dirais pas de cocu, n’ai-je pas épousé Lucas !
J’ai eu une chance que Lucas soit mon voisin de chambre et que je décide de passer par le balcon pour lui demander de l’aide, sur la porte de ma chambre, Pierre avait installé un simple système de sonnette si je l’avais ouverte la nuit, la réception était prévenue et j’aurais été arrêté par mes tortionnaires.

Quelques jours après la mort de mes beaux-parents, j’ai été convoqué par leur notaire, j’ai été étonné qu’il me parle d’Arthur, mon fils.
Il m’a expliqué qu’ils les avaient reçus quelques jours avant leur mort et qu’ils l’avaient fait légataire de tous leurs biens.
Le tribunal dans le rendu de jugement pour mon divorce a déchu Pierre de tous ses droits parentaux sur ses deux enfants.
Entendue que je suis seule chargée de leur éducation, je suis en charge de tous ses biens jusqu’à sa majorité, il hérite de la maison de Sète, de trois hôtels à Nice, Paris et celui de Sète ainsi que de deux coffres-forts l’un à Paris, l’autre à Montpellier.
Je suis assisté de l’avocat ami de Lucas qui m’accompagnera à l’ouverture de ces coffres.
Pour Montpellier, nous y sommes allés le lendemain.
Lingots d’or, des bons au porteur, des grosses coupures en euros constituent un magot plutôt important, leur mort arrête toute la procédure pour proxénétisme et les biens ne peuvent être saisis.
Nous sommes allés quelques jours plus tard à Paris ouvrir l’autre coffre qui recelait la même quantité de biens.
Le culte du garçon seul habilité à hériter était vraiment ancré dans les gènes de ces gens qui n’hésitaient pas à vendre les filles et même leurs filles pour leur simple profit.
Même si les impôts vont se gaver sur cet héritage, il va rester à Arthur assez d’argent pour vivre jusqu’à la fin de ses jours sans se sentir dans l’obligation de faire travailler des filles dans des maisons.
Pour ma part, puisque Pierre n’a jamais divorcé avant que je ne le fasse, il y a quelques mois et que j’épouse Lucas, que nous étions mariés sous le régime de la communauté, je reste propriétaire de tous nos biens.
La maison de Valenciennes que Lucas vient de réussir à vendre un bon prix, la couverture médiatique sur notre affaire ayant attiré des acheteurs un peu glauques, dans la corbeille est tombée un hôtel à Valenciennes qui leur servait lorsqu’ils voulaient ferrer une fille, nous l’avons mis en vente, mais les clients ne se bousculent pas et nous l’avons mis en gérance.
Les trois bordels de Gand, Bruxelles et Anvers, Lucas m’a proposé de tenir en tant que « madame Léa » celui de Gand en souvenir de mes premières passes.
J’ai immédiatement demandé le divorce, bien sûr, il plaisantait et nous venons de signer pour un bon paquet d’euros, la vente groupée de ces trois lieux de prostitution.
C’est un groupe financier qui souhaite les réhabiliter dans la légalité avec des filles entièrement consentantes et des contrats en bonne forme.
Il paraît que cela existe en Belgique !
J’ai accepté cette vente à la seule condition que dans les trois maisons, la roue avec cravache de Gand, la machine à bites de Bruxelles et la machine à gorges profondes d’Anvers restent en place.
Bien sûr, avec un panneau expliquant à quels usages des malades les avait construites et la date où des filles téméraires s’étaient rebellées contre des phallocrates qui les opprimaient.
J’oubliais, moi aussi je suis allé dans des banques, l’une à Valenciennes regorgeant d’argent et lingot, contrairement à son père, Pierre n’avait pas confiance en la bourse et je n’ai trouvé aucun titre au porteur.
Nous sommes redescendus à Montpellier dans la même banque que celle où je suis venue pour voir le coffre de mon beau-père, en me voyant l’employé a cru que je voulais ouvrir le coffre de mon fils, quand je lui ai montré mes papiers, il s’est excusé !
Même résultat qu’à Paris, je suis assise sur un pont d’or.
Que sont devenues les filles ?
Avec l’aide des deux polices belge et françaises, nous les avons toutes retrouvées, je leur ai fait parvenir 100 000 € à chacune avec une lettre d’explication, j’ai rédigé 42 chèques et signé 42 lettres, ayant pris en compte toutes les filles des trois bordels qui avaient été prostituées par Pierre.
Le jour de mon mariage avec mon grand amour, toutes mes amies de galère étaient là.
Noémi et Annabelle, Marjorie et sa maman, Nadège, Alice, Christine, que la police des Pays-Bas a arrachée à sa vitrine.

Noémi et Annabelle vivent ensemble avec leurs enfants dans un hôtel de Sète où la sonnette a été débranchée.
Pas la peine de vouloir réserver le 30, 31 août et le 1er septembre chaque année l’hôtel est complet entièrement retenu par 6 filles, non-erreur 7, elles ont pris sous leur aile une jeune fille qui si la « roue » n’avait pas tourné dans le bon sens auraient rejoint notre servitude.
Nadège et son fils n’ont pas voulu quitter Valenciennes, si vous allez prendre votre train, vous la verrez servir des consommations à des honorables clients, dans le café-restaurant que je lui ai offert.
Alice, je me suis vengé, je rigole, elle gère l’hôtel de Nice avec un bail jusqu’à l’âge de sa retraite, Christine celui de Paris dans les mêmes conditions.
Je n’ai pas parlé de deux personnes, Marjorie qui vit à côté de chez nous à Paris, sa maman vit avec elle le temps de repartir, la police la retrouver dans un bordel en Afrique où elle avait été expédiée.
Tiens, parlons-en !
Pierre venait d’acheter ce club africain, il est tombé dans mon portefeuille. Lorsqu’elle là appris, la maman Marjorie m’a proposé de devenir madame !
Elle souhaitait surtout retrouver un de ses clients, un membre influent du gouvernement en place dans le pays qui avait flashé sur cette femme blanche lui qui est passablement ébène.
Puisque j’en suis aux petites confidences, Marjorie m’a dit qu’elle appréciait surtout la taille diamètre et longueur de la virilité de cet homme, il était considéré comme le fiancé de madame !
Ne voulant pas m’encombrer de ce bordel, je lui ai vendu pour 1€, l’acte notarié m’a coûté plus cher.
Marjorie vie donc dans un pavillon que je lui ai offert ou dans quelques années elle pourra installer son cabinet de gynécologie ses études qu’elle a reprises étant terminées.
Avant que ma grossesse soit avérée, nous faisions des travaux pratiques sur nos intimités bien utiles pour elle.
Elle vit avec Alain, son copain, responsable de la brigade de répression du proxénétisme, elle me racontait son aventure lorsque les forces de police nous ont interrompus en Belgique, Marjorie et Alain m’ont raconté la suite.
Lorsqu’il l’a vue tomber, il n’a pas pu la laisser au sol, lorsqu’il l’a relevée, il ne s’est pas rendu compte qu’elle s’appuyait exagérément sur lui, il l’a raccompagnée jusqu’à l’hôtel où elle était descendue pour le week-end avant de repartir pour Gand.
Comme il avait été affecté par ses supérieurs à sa protection rapprochée, lui prendre la bouche dans un baiser langoureux et lui faire pénétrer sa bite dans le vagin ne pouvait pas être plus rapproché.
Il ne s’était pas senti hors de la déontologie mais plutôt dedans.
Armel vit toujours chez nous, elle est devenue ma gouvernante lorsque j’ai récupéré mes enfants.
Le travail avec Lucas où je m’invertis de plus en plus ne me permet pas d’être autant que je le voulais avec eux, elle est très heureuse que dans quelques jours, je mette au monde l’héritier de Lucas, car elle adore les bébés.
J’ai choisi le prénom, même le papa ne le sait pas encore.
Il s’appellera Pascal en souvenir de celle que je n’ai pas connue, mais qui, hélas, grâce à elle j’ai connu mon mari, j’espère que Lucas sera sensible à mon idée, je lui dois bien cela, il me rend tellement heureux.
Avant qu’Armel s’en occupe, je tiens à allaiter mon bébé et je serais quelque temps auprès d’elle, avec Lucas, nous avons souhaité que les trois enfants aient leur avenir assuré, le notaire s’est tiré les cheveux afin de trouver des équilibres avec tous nos biens.
J’ai tenu à ce que Pierre ne puisse essayer de récupérer une partie de sa fortune à sa libération dans quelques années.
Il pouvait tenter de récupérer une partie des biens accumulés depuis notre mariage jusqu’à notre divorce.
Nous avons organisé mon insolvabilité au profit de nos trois enfants.
Préalablement j’ai investi sur ma cassette une grosse somme pour réaliser le projet de Lucas, qu’il avait dû abandonner, car l’investissement risquait de mettre en péril son entreprise à court terme.
Je suis très fière que cet investissement qui a déjà créé 50 emplois.
Après notre mariage, maman est allée vivre dans la maison de Sète chez son petit-fils, dans la salle à manger j’ai encadré 7 colliers.
Chacun des cadres à son nom. Noémi, Annabelle, Marjorie, Nadège, Christine, Alice, Léa et Armel.
Vous allez dire qu’Armel n’a pas eu de collier et c’est vrai, considérant que la petite fait partie des nôtres, j’ai fait fabriquer un collier blanc couleur de sa pureté.
Maman est la seule à avoir gardé son collier mais toujours caché par un foulard, si les filles chaque année viennent à notre rendez-vous en cadeau de bien venue, je leur offrirais un lingot d’or à chacune.
Maman souhaite venir pour être présente à la naissance de son petit-fils n’ayant pas eu le bonheur de serrer les deux premiers sur son cœur.
Elle retournera après rapidement à la villa pour préparer notre venue, si fin août ou au début du mois de septembre, vous passez à Sète, que dans une piscine vous apercevez 6 à 7 filles nues, arrêtez-vous !
Il y aura toujours à manger et à boire et si vous avez un peu de chance une des filles vous offrira son corps simplement par plaisir.

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