Titre de l'histoire érotique : Domination féminine 5

- Par l'auteur HDS Hujambo Korodani -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Domination féminine 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Domination féminine 5
Sur tout Moscou la nuit s'était déjà étendue, par endroit son corps opaque s’effaçait aux lueurs publiques et domestiques. Nous vivions fin mai. L'horloge géante du Kremlin indiquait 23H45. La télé LED constituait la seule source lumineuse et Sergueï Salniko commençait à somnoler dans sa chambre ; son sommeil fin restait en surface ; comme à son habitude, habitude qu'il jugeait néfaste, après avoir vu les soldes de ses différents comptes bancaires, il avait atterri poussé par l'ennui sur un site pornographique. Tout sur internet mène à la pornographie.

Le large écran plat et intelligent diffusait la vidéo sublime d'un homme accroupi tout en blanc vêtu. La lingerie fine blanche que portait l'homme intriguait Sergueï Salniko, sa position accroupie aussi, le gode noir virile qui transperçait verticalement ses fesses, ses cuisses recouvertes de bas blancs, sa hanche sous porte-jarretelles, ses escarpins noirs, une nouvelle fois ses deux fesses claires accroupies sur le gode sombre aux veines visibles, et en plein milieu de tout ça le gros plan immobile, comment l'oublier lui, le pénis en érection juste à l'endroit où aurait dû se nicher la fente rose d'un vagin ouvert et vulveux, comment oublier les bourses pendantes et lourdes prêtes à fournir en sperme le braquemart boursier, bourses qui dandinaient suivant les montés puis les descentes des fesses sur le gode éternellement tendu.

Toute cette harmonie érotique, testicules dodus dont il imaginait le jus, la verge désirante, le gode dans le cul, l'anus aux parois dilatées par le caoutchouc dur, la lingerie fine blanche, la voix mi-masculine mi-féminine totalement ambiguë de l'homme accroupi, causait ou provoquait un sentiment neuf en Sergueï Salniko, sans qu'on ne puisse savoir si c'était le désir d'être pris analemment ou celui de recevoir en bouche le gland chaud d'un autre homme.




Ce matin-là le soleil moscovite s'était levé à 4H. Quant à Sergueï Salniko, il se réveilla à 9H. Il ramassa la télécommande squattant le matelas. Il pressa un bouton : la lumière télévisuelle vint se dissoudre dans celle matinale qu’infiltraient les volets multi-lattes horizontales en bois. La télévision se mit à causer de la visite que Poutine avait rendu la veille au président Macron. La voix du reportage qui montrait les deux présidents Russe et Français en conférence de presse disait qu'ils s'étaient entretenus sur la lutte contre le terrorisme, précisément contre DAESH en Syrie, mais la voix russe passa sous off la conversation que les deux hommes à l'initiative macronienne avait eu sur le calvaire des homosexuels en Tchétchénie.

Sergueï Salniko abandonna le salon-chambre pour la salle de bain. Minuscule, elle possédait juste assez d'espace pour contenir une baignoire, un évier, un WC ; l'ampoule qui l'éclairait répandait une lumière jaunâtre qui laissait les endroits bas presque obscurs. Sergueï Salniko se dévêtit. Il enjamba la baignoire, s'assit, boucha le trou, fit couler l'eau moyennement chaude via le tuyau multi-gicleur, affaissa son dos contre la baignoire, laissa couler l'eau, laissa couler l'eau, laissa couler l'eau. Sensations plaisantes constantes que d'être là au présent avec l'eau chaude qui petit à petit monte, monte, monte, enveloppe le sommeil méditatif.

Il ferma l'arrivée d'eau : savonna ses courts cheveux blonds, son pubis poilu, ses fesses, ses cuisses, ses jambes, ses aisselles, sa poitrine, son visage, dans un ordre sans ordre qui tenait du jazz. Sergueï Salniko avait vingt cinq ans, mesurait 1m85 pour 80kg, son corps longiligne était menu de muscles secs et profonds, son visage portait des traits justes qu'éclairaient des yeux bleus, mais il était particulièrement fière de deux portions de son anatomie : son ventre et son pénis.

Debout, Sergueï Salniko dirigea le jet chaud sur sa ciboule. L'eau coula puis dé-savonna ses cheveux. La mousse glissa de sa figure, son torse, son ventre, son pubis, ses cuisses, ses genoux, puis fondit sur l'eau moussante montante. Après s'être bien rincé Sergueï Salniko ouvrit le bouchon. L'eau entama sa descente. Tout d'abord doucement, de manière presque invisible, l'eau diminua. Puis lorsque le niveau se trouva bas tout s'accéléra. On aurait dit que le dessous siphonnait plus ardemment. La baignoire cria. L'eau avait disparu.

Sergueï Salniko ramassa la pierre ponce puis se frotta les sous-pieds pour y décoller les peaux mortes. Lorsqu'il finit, il s’essuya avec une serviette blanche qui exhalait la lessive.

Sergueï Salniko avait fini de s'habiller. Comme habits il avait enfilé un jean bleu et un t-shirt kaki. Il ouvrit le capot de son ordinateur portable. Après s'être illégalement branché sur le wi-fi du voisin il se connecta sur son courriel criminel et lu ses messages. Après la lecture Sergueï Salniko sortit.Trois jours plus tôt il avait reçu l'e-mail d'un associé qui lui commandait une Lamborghini Gallardo d'occasion. Dès le lendemain il avait rodé aux alentours moscovites campagnards à la traque de l'italienne mais n'avait rien détecté. Hier il avait fait une rode au nord de Moscou, il avait déniché une voiture mais la datcha était habitée et appartenait à un membre du FSB les services secrets russes. Y'a les gens qu'on peut voler et ceux qu'on ne peut pas.



Au sud est de Moscou Sergueï Salniko habitait un quartier construit sous Khrouchtchev qui avait comme la plupart des quartiers moscovites été construit pour accueillir les millions de paysans russes qui avaient fui et qui continuaient de fuir la campagne pour la ville. Comme la plupart des quartiers dortoirs russes il portait les longs grands immeubles moches sans styles dans lesquelles les gens s'entassaient pour devenir dépressifs. En hiver les jeunes grimpaient sur les toits puis sautaient à l'élastique vers le vide en criant tout le morbide au fond d'eux. En été ils se musclaient dans la rue. C'était pour travailler ou pour shoppiner qu'on quittait le quartier. Il n'était pas rare d'y croiser des zombis errant en putréfactions. Les mordus du Krokodil.

Le Taurus, petit commerce du quartier, multitâche, était à la fois bar, restaurant, café, tabac ; on pouvait y manger comme y faire des paris sportifs. Sergueï Salniko pénétra Le Taurus. Après avoir salué le tenant à forte corpulence au comptoir, il s'installa sur une table. On lui servit son petit déjeuner habituel : vareneki (raviolis sucrés), sirniki (croquettes au fromage), kacha. Il accompagna son repas d'eau. Après avoir mangé Sergueï Salniko sortit du Taurus. Sur le chemin il croisa un non Slave. On aurait dit un européen de l'Ouest.

-Hello !
-Hello !
-I want buy drugs.
-I don't sell drugs !
-You know where i can buy drugs ?
-In the darknet.
-Fuck !

Le touriste s'en alla. Pas la première fois qu'un touriste lui demandait la drogue. Les peines pour trafic restaient si fortes que les dileurs préféraient vendre leurs marchandises sur le darknet. Sergueï Salniko se dirigea vers sa voiture.



Kostenevo petit village situé vers l'ouest de Moscou est traversé par la rivière Desna ; ses habitations toutes identiques et fastidieuses ont poussé après l'année 2000 pendant la période de forte croissance économique. Le village abrite les maisons secondaires appartenant aux riches businessmans qu'ils occupent lorsqu'ils vont à Moscou. Contrairement à la capitale russe la vie y est tranquille, sans bruit, sans stresse, avec une densité humaine agréable.

Alors que la voiture avançait dans la rue principale du village l'ordinateur posé sur le tableau de bord émit un tintement. Sergueï Salniko regarda l'écran. La cartographie logicielle affichait un point rouge dans un rectangle habitat. Sergueï Salniko tourna à droite. Il aperçut en vrai la maison contenant une Lamborghini Gallardo. Voyant sa cour clôturée vide, il déduisit qu'elle se trouvait stationnée au garage.

La maison cible ressemblait à toutes les autres : trois étages en béton peints en gris clairs, fenêtres aux vitres translucides ; comme les autres elle ne possédait aucune adresse physique visible, les rues du petit village ne portaient aucun nom. Étant tous très riches ces propriétaires d'un pays aux racines révolutionnaires et bolcheviques avaient construits toutes leurs maisons identiquement entre elles comme protections passives contre leurs ennemis potentiels, pauvres aigris, révolutionnaires revanchards, voleurs, assassins politiques ou économiques, qui se trouveraient confus au moment du choix, confusion qui pouvait sauver la vie des propriétaires en leur laissant de temps de fuir par les passages secrets dont fourmillait le village ou le temps de riposter en soutenant un siège ou en passant à la contre attaque. Sergueï Salniko enregistra la maison cible sur sa cartographie logicielle. Les hommes peuvent tromper les hommes mais ne peuvent pas tromper les algorithmes.

Après avoir scanné tout le village Sergueï Salniko ne trouva pas d'autre Lamborghini Gallardo. Il alla se garer hors village, près de la rivière Desna. Sur le darknet il fouina les informations sur le propriétaire qu'il voulait cambrioler ; il conclut que ce n'était pas un individu dangereux, c'était un dépouillable.

Sergueï Salniko descendit du véhicule, ouvrit le coffre arrière, ôta ses chaussures en cuir noir qu'il remplaça par les bottes en plastiques ; elles mariaient bien avec son jean bleu et son t-shirt kaki. Il sortit du coffre une canne à pêche rétractable et un sachet de plastique rempli d'appâts synthétiques. Il marcha une cinquantaine de mètre puis atteignit la berge. Il sortit un appât synthétique, le fixa sur l'hameçon, jeta l'hameçon dans la rivière puis planta la canne au sol. Sous le soleil son ombre indiquait 12H05.

Sergueï Salniko retourna vers sa voiture. Dans le coffre arrière il prit un vieux drap propre, un paquet de biscuits au beurre. Il ferma le coffre. Il ouvrit la porte passagère avant. Du tiroir il sortit un livre parmi la demi-douzaine qui s'y encombrait. À quelque mètre de la canne il étala le drap sur des herbes ensoleillées. Il allait s'allonger lorsqu'il remarqua son manque d'eau. Après être allé récupérer à la voiture une bouteille d'eau, il allongea son torse-nu sur le drap.

Le livre que lisait Sergueï Salniko causait bourse. C'était la bibliographie romancée d'un coursier qui avait fait fortune durant la crise des subprimes. Le ton ultra mégalo vous donnait envie d'escroquer toute la planète ! Sur la couverture un sous-titre disait que ce livre apprendrait à n'importe qui comment s'enrichir rapidement en devenant coursier ou en investissant personnellement en bourse. En pleine ubérisation mondiale le livre eut un succès planétaire. Cela faisait un mois que Sergueï Salniko avait commencé sa lecture ; il avait plus d'une dizaine de livre en lecture en cours qui parlait pour la plupart de développement personnel, de business, de richesses ; il alternait la lecture de ses livres selon le contexte, son humeur, son envie du moment. Entre chaque paragraphe il regardait la canne pour voir si elle avait bougé, entre chaque page il grignotait et buvait l'eau, tous les chapitres il se levait, s'étirait, enroulait un regard autour de lui, environ tous les quatre chapitres la nature l'obligeait aux pipis, alors pour se venger il se levait puis allait uriner dans la rivière, son urine formait une canne à bite.

Le sommeil était arrivé subitement. Sergueï Salniko dormait. Sous le soleil comme le reste de son corps ses tétons se dilataient. Un changement hormonale qui se diffusait en lui ressortait en crépitement épidermique et charnel. Il arrive sous le désir conscient qu'on force un rêve. Il ne se forçait même pas, lasse, son âme voguait librement. Il se souvenait, il rêvait, à la fois féerie et souvenir, elle se trouvait étendue sur l'herbe au parc GORKIY CENTRAL PARK OF CULTURE AND RECREATION. Elle lisait un bouquin sur une natte. Il imaginait un roman amoureux. Il voulait l'aborder. Tout cela ressemblait à l'introduction chiante d'un film pornographique. Il s'avança vers elle. Les ronflements réels l'expulsèrent du rêve.




Lazar Vostrikov était boy. La quarantaine, grand, légèrement bedonnant, il portait des courts cheveux grisonnants. Il lui manquait quatre dents devant, deux dents hautes et deux dents basses ; celles qu'il gardait avaient toute en parti été rongées par l'acidité éthylique. Sergueï Salniko le jugeait sale et pas fiable. L'autre homme s'appelait Ivan Bykov, la cinquantaine, PDG d'une banque russe, petit de taille, bedonnant, habillé simplement en pêcheur, il portait au bras une montre luxueuse en or que Sergueï Salniko avait tout de suite remarquée lorsque les deux hommes s'étaient serrés la main.

Tout à coup Ivan Bykov au milieu des deux autres pêcheurs tenant sa ligne comme eux fit sortir des eaux un poisson. C'était un tilapia. La bête vigoureuse s'agitait de toutes ses forces pour survivre.

-Des heures que tu pêches et t'as pas attrapé un seul poisson !
-J'ai pas de chance.
-C'est parce que tu-utilises un appât chimique. Les poissons de la rivière Desna sont malins ! C'est dans leur ADN. Depuis tout petit ils baignent dans une eau polluée, alors quand ils voient un appât chimique, il ne le mange pas parce qu'ils savent naturellement qu'il est dangereux.

Alors qu'Ivan Bykov décrochait le tilapia agité de son hameçon et que son boy Lazar Vostrikov lui présentait le récipient pour le mettre à l'intérieur, Sergueï Salniko réfléchissait. Se trouvait sous le siège de sa voiture un MP443 muni d'un silencieux. La luxueuse montre coûtant dans les 500.000 dollars valait-elle trois vie ? Il n'était pas obligé de les tuer et de risquer la perpétuité, il pouvait les braquer, mais Ivan Bykov possédait assez de fonds pour lancer sur sa trace autant de tueurs à gage qu'il voulait, et en plus il ne savait pas si c'était un homme dangereux ou le partenaire d'une mafia russe ou un de ces civils spoliables. Sergueï Salniko conclut que 500.000 dollars au vu de ses informations actuelles ne valaient pas le risque. Il se contenterait de la Lamborghini.

Ce fut au tour de Lazar Vostrikov le boy d'attraper un tilapia. Ensuite Ivan Bykov attrapa son deuxième poisson. Sergueï Salniko décida de prendre congé avec les deux hommes. Mais Ivan Bykov insista pour qu'il dîne chez lui : il argua qu'ils possédaient un poisson pour chacun d'eux, trois poissons que Lazar Vostrikov expert en cuisine poissonneuse cuisinerait parfaitement, trois poissons qu'ils dégusteraient en buvant du vin rare français ou de la Vodka aux choix. Malgré lui Sergueï Salniko accepta. Il roula derrière le 4X4 des deux hommes jusqu'à leur datcha.

La nuit s'était déjà étalée sur la bourgade riche. Il était 22H. Le soleil s'était couché à 21H30. Les trois hommes mangeaient depuis 20H le dîner s'étirait à la russe il pouvait encore s'étendre infiniment. La table sur laquelle ils dînaient était une modeste table ronde. Le salon possédait d'autres tables beaucoup plus vastes. Les murs d'aspects rustres étaient décorés par les peaux fauves bientôt disparues : lions, tigres, panthères, léopards, ours, un coin vantait deux défenses d'éléphant. Le plus impressionnant pour Sergueï Salniko restait l'ours entier empaillé qui semblait vivant et qui gardait la béante ouverte exhibant ses crocs.

-Il n'y a personne dans le village à part nous pour l'instant. C'est parce que c'est fin mai. Nous sommes les premiers à être arrivé cette saison. Début juin les autres arriveront de partout. Tu pourras causer affaire et remplir ton agenda. Moi hors du travail je ne parle pas business. Je trouve ça grossier ! T'as dit que tu travaillais dans quoi ? Demanda Ivan Bykov.
-Je dirige une start up. Une start up informatique. Il s'agit de mettre en contact les joggeurs entre eux. En même temps c'est aussi un réseau social. Plus tard j'ambitionne de vendre dessus des fournitures de sport. Dit Sergueï Salniko.
-Tu devrais faire pareil avec la pêche ! Ça marchera sûrement. Je serais ton client. Peut-être pas Lazar parce qu'il n'aime pas internet. Il est resté coincé dans sa grotte biblique !

Les trois hommes rirent. La seule start up que Sergueï Salniko dirigeait s'appelait Sergueï Salniko ; c'était un voleur, un escroc, un maître chanteur, bref, une crapule multi-criminelle motivée par le gain financier ; il payait un pourcentage de ses revenus criminels aux experts informatiques Russes qui lui louaient des logiciels permettant d'hacker à distance des voitures luxueuses ; il ambitionnait dans un futur proche de passer aux maisons intelligentes ; il vivait de coups montés et d'occasions saisies, une vie adrénaline, le crime n'était qu'un besoin d'adrénaline qu'il aurait pu épancher en devenant sportif de haut niveau, en misant au pocker, en allant à la guerre, etc. Son combat éternel était : plus jamais pauvre !

Vers minuit Sergueï Salniko annonça à ses hôtes qu'il s'en allait. Ivan Bykov une nouvelle fois essaya de le retenir et proposa de l'héberger. Sergueï Salniko résista. Ivan Bykov dit à Sergueï Salniko qu'il pouvait revenir pour une partie de pêche, qu'il le trouverait au village jusqu'au 15 juin. Sergueï Salniko remercia Ivan Bykov et Lazar Vostrikov. Après s'être serré la main les trois hommes se quittèrent.

Les phares s'allumèrent puis le véhicule avança lentement dans la nuit. Il ouvrit le capot de son ordinateur portable. Tout en virant il lança le logiciel géo-localisateur. Le logiciel indiqua la localisation mémorisée de la villa contenant la Lamborghini. Quelque instant plus tard il stoppa la voiture, éteignit les phares puis descendit du véhicule. L'obscurité régnait et seule la lumière stellaire adoucissait la nuit noire qui recouvrait tout le village. Il ouvrit le sac d'habits : se déshabilla, troqua jean, t-shirt, bottes en plastique, pour chemise noire, ensemble costume noir, chaussures citadines en cuir noir. Il ferma le coffre. Dans l'habitacle il récupéra les gants en cuir couleur peau humaine claire. Il hésita à prendre son pistolet muni d'un silencieux sous le siège. Vaut mieux être pris cambrioleur qu’assassin ! Il laissa sous le siège son arme. Il mit en bandoulière la sacoche contenant une console électronique permettant d'hacker et de configurer électroniquement toutes les voitures contemporaines. Il s'en servira pour ouvrir les portières du véhicule et pour le démarrer.

Sergueï Salniko approcha la barricade. Il glissa sa main dans la poche intérieure de sa veste, en sortit un faux billet de 5000 Rouble Russe (78,47euros) qu'il laissa tomber derrière la barricade. Après avoir mimé la récupération vaine du billet il enjamba la barrière. Il se mit à rechercher quelque chose au sol tout en guettant les alentours : que des maisons closes comme témoins, village vide, personne ne l'observait. Il se dirigea vers la porte principale. De la poche intérieur de sa veste il sortit une clé passe partout. La serrure accueillit la clé. La porte s'ouvrit. La nuit interne avala l'homme.

Du froc il sortit une petite torche puissance à la lumière modulable. « Il faut que je trouve le garage. Ça doit être au même niveau » Il avança en suivant le faisceau lumineux qu'il tenait, qu'il dirigeait et qui le dirigeait en retour. Un bruit derrière lui. Il se retourna. Quelque chose s'abattit sur sa mâchoire supérieur juste en dessous de la tempe. Il s'écroula K.O au sol.




Sergueï Salniko s'éveilla. Il constata que ses yeux, ses mains, ses pieds, sa bouche, étaient tous entravés. Comme sens libres il ne lui restait que l'ouïe. Par les frottements de sa peau sur la surface lisse et souple il sut qu'il se trouvait allongé sur une surface en cuir et totalement nu ! Sa langue poussait une chose ronde qui la bâillonnait. « Ivan et Lazar veulent m'enculer avant de voler mes organes ! » Il se calma. Il retrouva une sérénité que seul les personnes ayant une maîtrise totale de leurs émotions peuvent atteindre.

Il entendit des pas résonner au sol. On aurait dit des pas d'escarpins. Ouïe la résonance, la personne était derrière la porte. Les pas se rapprochaient. Ils s'arrêtèrent devant la porte. Il essayait de dominer les battements de son cœur en ne pensant à rien. Il ne voulait pas avoir peur. La porte s'ouvrit bruyamment. Les pas s’avancèrent vers lui. Son cœur battait sereinement. Il sourit intérieurement, fier de lui, fier d'être prêt à mourir avec le sourire, cela valait pour lui tous les trésors du monde ! Une effluve chimique dense et agréable se répandit à travers ses narines, le genre de parfum que porte les femmes. Il sentit une main se poser sur son genoux, la main qui se déplaçait lentement remonta la cuisse, atteignit l'aine, elle atteignit le pubis ; pour une raison inconnu il sentit l'intérieur de sa bite s'étirer. Les doigts saisirent la base pénal en englobant avec eux les testicules. Son pénis bandait complètement.

La main remonta le pénis jusqu'au gland. Elle frotta circulairement avec la paume plusieurs fois cet organe sensible. Ses caresses durcissaient encore plus le braquemart. Tandis qu'une main s'occupait du pénis une autre caressait le torse. L'agréable effluve féminine s'intensifia. « Quand je t'ai déshabillé j'ai remarqué que t'avais une grosse bite ! C'est ça qui t'as sauver.... » C'était la voix d'une femme. Il restait perplexe. Pas son pénis.

Elle s'assit sur ses reins. Par la sensation pénale et surtout celle glandale contre les fesses il sut qu'elle ne portait rien sous sa courte jupe. Elle débâillonna sa bouche, y introduisit les doigts qu'il se mit à sucer. Elle les retira un instant. Lorsqu'elle les remis sur son visage elle les étala contre ses narines. Ils exhalaient une odeur qu'il reconnu comme vaginale. Un moment elle s'amusa à lui faire renifler puis lécher ses doigts cyprinés.

La nuit avait totalement englouti le village. Les habitations jumelles entre elles subissaient l'obscurité silencieusement. On entendait que la faune nocturne. On aurait dit un village fantôme. Cette impression externe était accentuée par l'absence d'éclairage publique. Yeux bandés, bras et jambes liés, sexe en érection sous les fesses geôlières nues, le prisonnier ne savait pas si on le libérera. Il savait qu'elle le désirait sexuellement. C'était déjà ça.

Elle se leva. Il s’allégea du poids de son corps sur ses reins. Deux objets chutèrent sur le sol, le bruit qu'ils firent ressemblait aux escarpins. Pourquoi avait-elle ôté ses escarpins ? Il ne tarderait pas à le savoir ! Elle déposa les pieds près des deux côtés de sa tête de sorte que cette dernière se retrouva prise en parenthèses (o). Un instant il supporta les genoux de sa geôlière sur ses pectoraux. Elle s'assit sur sa poitrine. Elle s'accroupit sur son visage. « Lèche-moi la chatte... » Elle s'assit sur son visage. Il poussa sa langue hors de sa bouche puis l'enfonça dans le vagin. Alors que son nez s’étouffait sous les fesses sa langue léchait la fosse vaginales. Les lèvres buccales sous les lèvres vaginales s'allièrent toutes. Il l'entendait elle qui vibrait de tout son corps alors qu'une humidité sexuelle coulait sur son cou.

Elle ôta les fesses de son visage. Cela fit un bruit succion. Elle se leva, descendit du lit sadomasochiste. Elle tint en main son pénis durci. « J'ai envie de la sucer ta bite !... » Elle masturba le braquemart. « ...C'est la plus grosse bite que j'ai jamais eu entre les mains ». Il sentit la bouche chaude qui avalait son gland et la main qui serrait son long sexe. Alors qu'elle le fellationnait il avait l'impression qu'elle lui aspirait par la bouche toute volonté ! Il chutait dans un plaisir sans fin au milieu duquel il luttait pour ne pas éjaculer. Il serrait les fesses, les muscles pubiens, les cuisses, les jambes, pour boucher l'arrivée du sperme. Plaisantes contraintes.

Elle monta sur le meuble sadomasochiste. Elle s'accroupit au dessus du pénis en érection. Elle saisit le braquemart à la base puis frotta le gland contre sa vulve. Il kiffait la façon qu'elle avait de frotter son gland contre sa vulve, de l'humidifier avec ses sécrétions vaginales. Tenant toujours la base du pénis qu'elle serrait d'une main, elle s'accroupit dessus et entreprit de le chevaucher. Avec délice il sentit les chaires intimes de sa geôlière envelopper son phallus pendant que ce dernier trop long s'enfonçait dans son vagin. Heureusement pour l'homme elle possédait un vagin pas étroit qui ne lui faisait pas risquer la fracture pénienne.

Les fesses montaient puis s'abaissaient, montaient puis s'abaissaient, montaient puis s'abaissaient, laissant à chaque monté plus de marge mais à chaque descente moins de marge pénale. Il l'entendit qui faisait de plus en plus de bruit avec sa bouche. Il la rejoignit. Maintenant de concert leurs voix comme leurs sexes se trouvaient mêlés. Il serra les fesses, les cuisses, les pieds, les orteils, les mains, le ventre pour essayer de retenir encore un instant le jet condensé qui voulait fuir ses testicules ! Il éjacula un cri. Il sentit son sperme se répandre dans elle et autour de son gland. Elle aplatit son ventre sur le sien. Ses seins s’écrasèrent contre ses pectoraux. Elle déposa ses lèvres sur ses lèvres, enfonça sa langue dans sa bouche, l'embrassa amoureusement. Elle se redressa. Elle décolla son vagin de son pénis. Lorsque leurs deux sexes se séparèrent cela émit un bruit de succion. Le sperme coulait sur les testicules.

-Ça faisait longtemps que je n'avais plus joui sur une bite comme ça !
-Ha bon ?
-Oui.
-Content d'avoir rendu service ! Tu peux m'ouvrir les yeux alors ?

Elle le débarrassa du cache vue en cuir. Il se retrouva dans un brouillard qui petit à petit s'évanouit. Lorsque sa vison s’éclaircit il découvrit le visage de sa geôlière : un beau visage trentenaire, une chevelure blonde peroxydée longue jusqu'aux épaules, yeux jaunes, lèvres artificiellement gonflées qui lui donnait un peu l'air d'une poupée gonflable. Elle était sexuelle.

Elle posa la main sur ses testicules sans poils un peu gluants à cause du sperme qui s'y trouvait et qui peu à peu se fluidifiait.

-T'as aimé n'est-ce pas ?
Elle regardait ses yeux bleus.
-Oui.
Il regardait ses yeux jaunes.
-Et ça ?...
Elle glissa une main sur sa lune.
-J'imagine que t'aime !
Elle pressa du majeur son anus.

Sergueï Salniko ne put s'empêcher de rire. Il ne savait quoi lui répondre. Il ne s'était jamais fait sodomiser. Il ne savait pas s'il voulait se faire sodomiser ou pas, ne savait même pas s'il apprécierait ça ou pas. Il appréciait regarder les hommes en lingerie se faire goder par des femmes. Il appréciait ces spectacles dans la mesure où les attributs masculins se trouvaient mêlés aux attributs féminins dans un mélange transgressif excitant. Il ne trouvait pas les hommes sexuellement attirants, il ne souhaitait pas les sodomiser ou se faire sodomiser par eux. Il aimait voir leurs sexes en érection de préférence les gros pénis ! Étant lui aussi bien membré un sexe en érection était un miroir émotionnel pour lui à la vue d'un pénis dur il pouvait ressentir toute la charge érotique qui soutenait l'homme qui bandait. Peut-être était-il gay ? Il ne s'était jamais posé la question parce qu'elle ne l'avait jamais préoccupée.

Il sentit le doigt qui forçait contre son anus. Décidément elle avait l'ambition d'entrer !

-Détends-toi !
-C'est comme un réflexe.

Il se rappelait que durant son enfance sa mère avait l'habitude de le purger. Elle baissait son froc, elle le couchait sur ses genoux puis elle lui enfonçait la purge dans son cul. Inconsciemment comme un reflex corporel il serrait les fesses. Alors elle lui tapotait le cul en disant « laisse le ventre ! Ouvre les fesses ! Ne serre pas les fesses !». Elle enfonçait la purge puis la vidait dans son cul. À travers son intestin il sentait le liquide laxatif qui par un écoulement en jet se répandait dans son ventre. Maintenant on lui calait des doigts...

L'index féminin s'enfonça dans son anus ! Il faisait des va et viens et y formait des ronds. Des ronds artistiques. Le plaisir était agréable. Alors qu'elle labourait son cul d'un doigt, elle lui souriait. Il souriait. Il aimait ça. Alors elle lui introduisit un deuxième doigt. Son anus s'élargit comme un élastique. Il commença à triquer.

-J'ai un gode qui te fera plaisir !
-Si tu le dis !

Elle ouvrit un tiroir. Elle ôta sa jupe. Totalement nue elle enfila la combinaison en latex noir qui épousa son corps comme une combinaison sous-marine. Elle enfila un gode rouge aux dimensions rivalisant avec le braquemart du prisonnier. Elle enroula un préservatif sur le gode rouge. Elle approcha le prisonnier.

Il la vit qui s'avançait vers lui. Elle souriait. Elle avait entre les jambes ce gode rouge sous préservatif. On aurait dit un gland qui aurait eu toute la taille d'une bite ! Voir cette femme avec un sexe rouge impressionnant sous préservatif l'excitait. Il ne pouvait s'empêcher de bander. Elle, elle observait le vrai pénis en érection.

« Hum ! Je crois que t'aimes les transsexuels ! Je suis sûre que ça te fera bander de te faire sodomiser par un transsexuel ultra féminin et bien monté ! » Il rit. Il n'avait jamais vu les choses comme ça. Il s'imagina baisant avec un transsexuel. Oui, ça le ferait si le transsexuel avait une apparence féminine. Ou si c'était une femme qui portait un gode, c'était kif kif. La vie était ainsi faite que venant voler une voiture il découvre qu'il aime les transsexuels ! Tout lui semblait évident maintenant.

Elle monta sur le lit sadomasochiste. Il s'y trouvait toujours allongé pieds et mains liés. Il lui était impossible d'applaudir ou de serrer ou d'écarter les jambes. Elle rampa au dessus du phallus vivant tendu. Elle appliqua le lubrifiant sur le condom qui recouvrait le pénis artificiel. Elle appliqua abondamment de lubrifiant sur le cul prisonnier. Elle saisit le gode rouge sous caoutchouc d'une main puis elle le colla contre l'anus de l'homme attaché. Elle força doucement.

« Détends-toi ! Fais comme une femme qui accouche ! Pouf ! Pouf ! Pouf ! » Il rit. Elle rit. Ils rirent. Il pensa aux moines bouddhistes méditant. Il sentit le gode qui s'enfonçait lentement entre ses fesses.

« Regarde mes yeux ! J'aime fixer les hommes dans les yeux quand je les encule ! » Il la regardait dans les yeux pendant que le gode s'enfonçait lentement en lui. Elle manifestait la délicatesse des prudes mais ce n'était pas une prude. Il le savait que ce n'était pas la première fois qu'elle sodomisait un homme. Elle avait du s'exercer sur son mari.

L'anus du prisonnier s'habitua rapidement à l'élargissement que le gode de la geôlière lui imposait. Cette dernière experte en godage s'étant aperçue de la plasticité nouvelle de l'anus de son prisonnier accélérait progressivement ses coups de reins. Sous leur copulation de plus en plus rapide leurs visages s'étaient peu à peu rapprochés et le braquemart frottait douloureusement le ventre féminin. Elle lui saisit le gland d'une main puis entama la masturbation tout en poursuivant la sodomie. Comme il se sentit bientôt coulant entre les doigts féminins il ne put s'empêcher de coller ses lèvres aux siennes. Ils échangèrent un baiser passionné et brûlant.

Elle retira le gode des fesses mâles. Elle descendit le lit sadomasochiste. Elle remit le bâillon sur la bouche prisonnière. Elle lui banda à nouveau les yeux. Elle referma la porte derrière elle.

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Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : Domination féminine 5
Histoire sexe : Une rose rouge
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