Titre de l'histoire érotique : Je suis une femelle salope 2 - Mon histoire

- Par l'auteur HDS Perruche77 -
Récit érotique écrit par Perruche77 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Je suis une femelle salope 2 - Mon histoire Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Je suis une femelle salope 2 - Mon histoire
JE SUIS UNE FEMELLE SALOPE 2 – MON HISTOIRE Je me rappelle, il y a longtemps, en robe de chambre caché sous le bureau de mon père, m’être caressé le petit trou avec un doigt, me l’être introduit et l’avoir reniflé ensuite avec curiosité et délice. Ce fut mon premier attouchement anal. En vieillissant, je prenais de plus en plus de plaisir à me toucher l’anus et à m’introduire les objets les plus divers : règle, crayon, doigt bien sûr. J’aimais autant sentir un objet franchir la barrière d’entrée que le sentir dans mon ventre.
Plus tard, lorsque je commençais à me caresser le sexe, cette pratique ne m’a pas quitté, bien au contraire, et je trouvais beaucoup plus agréable de me caresser le sexe avec quelque chose dans l’anus que sans. Ma première éjaculation eu lieu en me branlant simplement mais très vite j’ai accompagné mes branlettes de sodomie avec des objets plus gros qu’un simple crayon. Je ne connaissais pas l’existence des godes mais mon goût pour les légumes m’a vite conduit à les utiliser avant de les manger. Très timide avec les filles, je n’osais les aborder pour leur proposer un câlin et comme je me satisfaisais très bien tout seul, ma foi, tout allait pour le mieux.
Pendant les vacances, nous habitions près d’une ancienne usine désaffectée et je pris très vite l’habitude d’y aller tous les jours me branler. J’aimais bien à l’époque m’introduire un morceau de bois poli enduit de moutarde comme lubrifiant. La sensation (légère) de brûlure plus l’intromission me donnait des jouissances très agréables. Le reste de l’année, je me caressais chez moi en rentrant de l’université.
Un jour, j’ai découvert le plaisir des dessous féminins et me travestissais de temps en temps avec culotte, bas et chemise de nuit. Ainsi vêtu, je me branlais dans ma chambre. Ayant rendu visite à une voisine pour je ne sais quelle raison, je réussis à lui subtiliser une culotte sale ; la révélation, cette odeur, moi qui étais encore puceau.
Lorsque j’ai commencé à travailler, l’argent ainsi gagné m’a permis de rencontrer des femmes malgré ma timidité, je veux dire des prostituées, mais pas pour baiser, pour me faire engoder avec généralement une belle courgette ou une belle aubergine. Je me rappelle par exemple que j’allais souvent voir une prostituée aux alentours de Rambouillet, nous nous rendions dans un petit bois, je me déculottais et elle me pénétrait pendant que je me branlais.
Une autre variante était de me branler sur le levier de vitesses de ma voiture, une Simca 1100 pour les plus vieux lecteurs, dont le pommeau de levier était une boule assez large. Je me déshabillais dans un chemin peu fréquenté et je m’empalais dessus.
Un après-midi, en sortant du travail, je pris une jolie blonde en stop dans Paris et assez facilement, elle accepta de me faire monter chez elle. Sitôt arrivé, je lui demandais si elle voudrait bien me sodomiser avec un gode mais avec un sourire, elle me répondit qu’elle avait mieux et exhiba une belle queue de sa culotte : j’étais tombé sur un travesti. Ce fut ma première enculade par une vraie queue et un souvenir magnifique. Je renouvelais l’expérience un soir avec un travesti brésilien ; heureusement le SIDA n’étais pas encore là.
Je découvris dans une revue le fist et l’envie me pris d’essayer. Chose faite avec une prostituée dominatrice qui me rentra sa main dans le petit trou couché sur une table gynéco : le pied, je jouis comme jamais. Depuis c’est devenu un must pour moi.
Ce fut ensuite ma première séance de soumission avec une domina parisienne, rencontrée par minitel. Je me rappelle que j’étais terrifié en montant l’escalier et avait l’estomac noué en rentrant. Elle me fit déshabiller, mettre à genoux, lui lécher la chatte, me pissa dessus, tout en me caressant partout mais surtout dans la raie avec une cravache. Elle me finit avec un gode. J’étais tellement impressionné que c’est le lendemain seulement que je me suis aperçu qu’elle ne m’avait même pas touché vraiment avec sa cravache. Seul le mental avait agi. Je l’ai revu à plusieurs reprises, les plaisirs ont varié, les coups sont venus, les pinces aussi puis elle a disparu un beau jour sans prévenir.
Après cette Maîtresse, j’en rencontrais quelques autres, ponctuellement, pour me faire fister et/ou me faire administrer un lavement car j’avais découvert cette pratique qui me plaisait et me plaît toujours d’ailleurs. Une parmi elles me fit sucer pour la première fois un homme, je me souviens encore de cette odeur de pisse mais aussi de cette sensation agréable de fermeté alliée à la douceur du membre. Elle pratiquait la scato de temps en temps avec moi.
Ayant répondu à une annonce de massage, je rencontrais une fille en banlieue ; elle me massa quelques minutes et devant mon air déçu, elle entreprit de me goder. Voyant mon plaisir, elle me raconta qu’elle aimait fister les hommes et exerçait en tant que Domina. Ce fut le début d’une longue histoire car nous nous voyons de temps en temps depuis plus de quinze ans. Selon les séances, ses désirs et les miens, elle me donne la fessée, m’administre un raclée au martinet mains liées au mur, me bat avec des orties, me fait lui lécher l’anus, me donne à un soumis qui m’encule, et à chaque fois, me finit avec un fist magistral. Un fois, j’ai même été pris par un soumis lui-même engodé par elle. Une fois elle m’a filmé en train de me faire culbuter par un soumis devant une amie à elle. Une autre fois, je lui avais trouvé un second soumis, je l’ai sucé et elle m’a fisté devant lui.
Entre-temps, j’avais perdu mon pucelage et m’était marié et je dois dire que j’adore faire l’amour avec une femme, par devant comme par derrière, ma femme m’ayant de plus fait découvrir la feuille de rose qu’elle me fait de temps en temps. A cette occasion, elle me fait pratiquement hurler de plaisir tellement j’apprécie.
Depuis quelques années, j’alterne les séances de fist avec domina avec des rencontres avec des mecs rencontrés sur le Net. Quelquefois cela se passe à l’hôtel, quelquefois chez eux, c’est selon leur dispo. A l’hôtel, je les reçois dans la chambre, nu allongé sur le lit et je joue la pute. Je les caresse, on s’enlace, s’embrasse, je les suce puis ils me culbutent et me pénètrent, et jouissent en moi, toujours protégés bien sûr. Une fois, j’ai fais jouir mon partenaire avec mes lèvres, une autres fois rien qu’en lui bouffant les couilles pendant qu’il se branlait, j’en avais mes mâchoires cassées mais lui avait visiblement apprécié. J’ai rencontré un type qui voulait me lécher la rondelle, ce qu’il a fait de belle façon, un autre a voulu que je me travestisse avant de me prendre, un dernier que je lui bouffe le cul pendant qu’il se branlait. Tout m’est plaisir. En général je me gode après que le partenaire a joui mais ce n’est pas une obligation, l’important pour moi est de sucer une belle queue et de la sentir aller et venir entre mes fesses. J’ai même réalisé un de mes fantasmes, me donner à deux mecs. L’un actif et l’autre plus passif. A la fin, je chevauchais l’actif tout en suçant l’autre et une fois que le premier ait joui, le second m’a pissé dessus.
Mon fantasme actuel serait de me donner à une bande de mecs, de les sucer tour à tour et de me faire défoncer par tous ensuite, un gang bang ou un tournante selon les goûts.
Je précise à nouveau que tous les rapports, anaux comme buccaux, se font avec protection.

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