Titre de l'histoire érotique : La culotte de Rose 4

- Par l'auteur HDS Accent -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique :   La culotte de Rose  4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : La culotte de Rose 4
- Voilà un étrange cadeau. Mon chéri , dis-moi ce que c’est.

Rose feint d’ignorer la nature de l’objet. Que fait la copie conforme, que j’ai vue dans son tiroir, si elle ne sait pas à quoi ça sert? J’ironise un peu et j’en profite pour égratigner la femme que je déteste dans notre entourage :

- J’aurais pensé que Claudine, ta cousine au courant de tout ce qui touche à ce sujet, t’avait instruite. Elle ne l’a pas fait ? Comme c’est étonnant. Tant mieux, il me reste des choses à t’apprendre. Après tout, n’est-ce pas le rôle naturel d’un mari ? Couche-toi et laisse-moi te faire apprécier cette « chose étrange. » , comme tu la nommes. Tu comprendras vite, de façon concrète, ce que c’est, à quoi ça sert et pourquoi je t’en fais cadeau. Touche-la : elle est lisse, douce au toucher. A quoi te fait penser cette forme ?

- Oh ! Paul, tu ne veux pas dire… Oh, j’ai peur de me tromper… Ton machin fait du bruit…C’est un poste radio ?

Franchement, elle se fout de moi. Je lui demanderais volontiers si elle écoute « radio-masturbation » sur son jouet sexuel absolument semblable au mien; et quel chant elle entonne lors de l’orgasme. Ne gâchons pas notre soirée par un débordement incontrôlé de bile. Mieux vaut agir en toute sérénité, malgré les tremblements nerveux de mes doigts, malgré une déception amère face à sa comédie dissimulatrice. J’entame la démonstration, mieux qu’un bonimenteur ne le ferait en public :

- Je l’enduis de ma salive. Ouvre tes belles jambes. Je le couche sur ta fente adorable. Tu sens, faut-il passer à la vitesse supérieure. Tu aimes ?

- Ouihihi ! Ça chatouille. Mon Dieu, il fait trembler mon clitoris… Oh ! Ah ! Il entre dans mon vagin. Paul, c’est fort, c’est bon… Ah ! Je pourrai l’utiliser ? Oh ! Encore ! C’est bon…si bon, continue, relâche, enfonce, plus loin, reviens, fais tourner la pointe à l’entrée, plus haut.

Rose oublie qu’elle a déclaré ignorer ce que c’était . Dans le feu de l’action, elle commande la manœuvre. Je suis heureux d’obéir à la succession des ordres gémis, saccadés, je redeviens l’ouvrier de son plaisir, son complice dévoué, apprécié. Il n’y a plus chez ma femme de honte ou le souci de ne pas me froisser. Elle est nature.

Rose fait des petits bonds, se tord sur le drap, tape des pieds, chiffonne le drap, soulève son bassin, geint. J’enfonce l’engin, je le fais aller et venir. Doucement, avec amour et précaution. Elle a eu le temps d’expulser l’œuf avant mon retour, le vibromasseur ne heurte aucun corps étranger dans le vagin. Son bassin se met à tourner autour de l’axe qui la pénètre. L’addition de l’action de l’œuf vibrant précédemment utilisé et des effets du vibromasseur a un résultat rapide. Rose, éclose, se met à gémir, serre ses poings, tourne de l’œil, s’ébroue et retombe inerte, cherche à retrouver un rythme de respiration régulier, son regard quitte les zones vagues, m’examine :

- Quel merveilleux cadeau. Ouf… je n’en reviens pas, j’ai chaud…Mon amour, vite prends-moi.

Ma petite queue achève l’ouvrage. Rose me serre à m’étouffer. A son retour sur terre elle déclare :

- Mon amour, c’est formidable. Mais avons-nous réellement besoin de ça pour atteindre l’orgasme ? Cesse de faire un complexe d’infériorité. Tu me suffis. Ta verge m’a bien fait jouir. Et puis n’est-ce pas trop long et trop gros. Je ne voudrais pas déformer mon vagin, car après tu t’y perdrais.

C’est pousser le bouchon un peu loin. Je ravale ma colère née de ce « après tu t’y perdrais ». Cette attention sonne comme une condamnation, appuie sur la taille réduite de ma quéquette. Son baiser sur mon gland est un geste de pitié plus que de vénération.

- Mon cadeau te déplaît-il ?

- Non, mais… Oh ! Tu es si gentil d’essayer de me combler. Embrasse-moi encore. Tu es chou, mimi ! Tu me gâtes trop.

Je la gâte trop ? Après un ou une aune autre qui lui a offert le modèle caché dans sa lingerie intime, au fond du tiroir. L’autre a-t-il aussi entendu ce « tu me gâtes trop »? Je relève à peine :

- Oui, mais je t’interdis d’utiliser ce robot sans moi. Je veux partager tes jeux, lire ton plaisir sur ta face, voir tes tétins se dresser partir en pointes dures. Je veux aussi voir ton visage se couvrir de sueur et rougir, comme ton cou et la plage supérieure de tes seins. Je veux voir dans tes yeux naître le trouble de la volupté, je veux les voir chavirer au sommet de la jouissance. Partage avec moi ces moments uniques. La vision de tes émotions, de ta transpiration, de ton émoi et de l’afflux de sang sur ton visage sera du pur bonheur pour moi si tu m’admets près de toi quand, toi et moi, nous provoquerons des orgasmes artificiels avant de faire l’amour comme aujourd’hui.

Elle a une hésitation. Est-ce que je ferais allusion à l’état dans lequel je l’ai trouvée plus tôt ? Elle se reprend :

- C’est évident. Tu regarderas. Je préfèrerais même que tu l’utilises sur moi et en moi. Montre-moi ce truc, c’est un ?

- Un vibromasseur. Je suis content de son aide. Nos rapports seront plus chauds.

- Ça compensera…

Sa phrase reste en suspens. Sans le vouloir peut-être, elle vient une nouvelle fois de me rappeler ma petite taille : je me perdrais dans son vagin agrandi, mais la taille de ce jouet compensera quoi ? La réponse va de soi : compensera mon manque de longueur et de volume. Elle a raison de se mordre les lèvres, j’ai compris l‘arrière pensée. D’ailleurs il y a un certain temps qu’elle le pense : son achat de vibromasseur en témoigne. Il y a un problème dans notre couple. Ai-je utilisé la bonne méthode pour le résoudre ? Nous verrons avec le temps, je n’ai pas la science innée, je tâtonne en espérant ne pas me tromper.

Nous utilisons assidûment ce substitut de verge pendant une semaine. Un soir je perfectionne les connaissances de Rose, je lui offre un œuf vibrant, le jumeau de celui qu’elle utilise en cachette. Elle ouvre de grands yeux, ne réclame pas de bouteille d’eau, me laisse introduire l’œuf dans sa grotte, rit, s’amuse de me voir commander les vibrations à distance. Je pousse son plaisir plusieurs fois au paroxysme, je la vois toute rouge et couverte de sueur : l’effet se répète, je tente un rappel à une situation antérieure, vécue huit jours auparavant.

- On dirait que tu viens de terminer un cross.

Rose tique, se souvient vraisemblablement de son alibi peu commun, me regarde et tente de déchiffrer mon message, puis elle trouve une réplique :

- Peut-être, mais c’est tellement meilleur qu’un cross ! Où vas-tu chercher ces idées géniales ? Quel bon mari attentif à mon plaisir. Viens m’achever, j’ai envie de toi et de ta petite queue. nerveuse

- Avec ces substituts, j’essaie de te faire oublier la petitesse de ma queue. Hélas !

Ma queue n’est plus « mignonne», elle passe à l’état ouvertement reconnu de « petite ». Le mot est lâché, je me sens petit. L’expression lui a-t-elle échappé dans un moment d‘euphorie ? A force de le penser, l’exprimer ne l’effraie plus, n’est plus tabou. Un jour, Rose pourra se vanter d’être réaliste, de dire les choses comme elle les pense, comme elles sont,, avec sincérité, à la manière de celles qui déclarent :

- « Moi, je suis franche, je dis tout. »

Elle ne sait pas combien l’énoncé d’une vérité peut parfois faire mal, lorsqu’en plus elle ne dit pas tout.

La crise économique du pays nous frappe. Rose perd son emploi. Elle s’ennuie à la maison. Je lui conseille de se trouver des activités culturelles ou sportives, de ne pas se morfondre entre quatre murs. Pourquoi ne pas devenir bénévole dans une association en attendant de retrouver un emploi rémunéré ? Un jour, elle me prend au mot et déclare radieuse :

- Mon chéri, j’ai trouvé de quoi m’occuper. J’irai à l’aquagym le lundi après midi, je ferai de la gymnastique rythmique le jeudi de quatorze heures à dix-sept heures avec le club local. S’il me reste du temps après mon ménage, je m’inscrirai au parcours de cross le vendredi après-midi.

Elle ne lésine pas, ne choisit pas, elle accumule les activités.

- Formidable. Tu ne te laisses pas abattre. Les recruteurs aiment les personnes actives. Tu retrouveras vite un emploi.

Merci mon amour. Tes encouragements me font du bien.

L’usage du vibromasseur ou de l’œuf s’avère inutile, ils dorment dans le tiroir de ma table de nuit. Il est vrai que les doubles, cachés à ma vue, peuvent reprendre du service en mon absence. Mais Rose redouble d’activité amoureuse avec moi. Nous vivons une nouvelle lune de miel.

- Tu es si gentil, si prévenant. Je t’aime chaque jour davantage. Aujourd’hui plus qu’hier et moins que demain.

Déclaration enfantine, mais toujours agréable à entendre. Les jouets de Rose disparaissent aussi. Elle les cache mieux peut être. Peu importe puisqu’elle m’aime.

Rose désormais est fort occupée. Elle a accepté la charge du secrétariat de l’association. Benoît, le coach sportif, chapeaute les trois activités auxquelles ma femme s’adonne régulièrement. Aussi en plus, le mercredi après-midi, Rose et Benoît confectionnent ensemble le rapport des activités passées et dressent le programme de la semaine suivante. Rose trouve pratique de rédiger ses textes et tableaux sur notre ordinateur. Benoît est une vieille connaissance, il est marié à Brigitte et père de deux charmantes filles de quinze et dix-sept ans. C’est un homme d’âge mûr, au contact sympathique, de caractère jovial, presque un père pour ma jeune épouse. Le maire s’est félicité publiquement d’avoir recruté cet oiseau rare, compétent et dévoué, pour la direction des loisirs de la commune. C’est un homme digne de confiance.

J’ai oublié un logiciel à la maison. Un saut en voiture va me permettre d’effacer cet inconvénient. J’entre chez moi. La clé de Rose est à l’intérieur, sur le barillet Bricard. Tiens, Rose est à la maison ? Ah ! Oui, c’est mercredi. Sur le dossier d’une chaise est suspendue une veste d‘homme, celle de Benoît certainement, sur la table sont étalées les chemises cartonnées de leurs dossiers. Dans son coin l’ordinateur dort, délaissé depuis peu. Où sont ma bénévole et le maître des loisirs communaux ?

Ni à la cuisine, ni dans les chambres, ni à la cave… Rose fait visiter le potager ou la dépendance peut-être : j’y élève quatre poules pondeuses et trois lapins d’un côté et j’y entrepose mes outils de jardinage et le fourrage pour mes volailles, un tonneau de céréales des bottes de foin et de paille. Derrière la bâtisse, je cultive quelques légumes. Rose admire le soin que j’apporte au bon alignement des plans de choux, oignons, haricots etc. A tout coup, elle montre avec fierté,à Benoît, mes travaux horticoles. Ce soir elle me dira que le coach a admiré mon jardin et mon gazon. J’aurai deux admirateurs.

Je traverse la pelouse en direction du jardin. J’entends un battement d’ailes de poule dans le poulailler. Les poules devraient être à l’extérieur dans leur parc. Que …? Sur la clenche de la porte pend un linge blanc, tiens, c’est une petite culotte de Rose. Bizarre. A quoi bon tendre un fil à linge le long de l’allée médiane si elle sèche ses culottes sur une clenche? Il y a une anomalie. J’avance à pas de loup.

Depuis la porte je … vois mal ? Rose est nue comme au jour de sa naissance, de profil, seins durcis,les yeux fixés sur une main droite velue, celle de Benoît, je suppose. L’homme, pantalon sur les chevilles, me tourne presque le dos, son bras passe entre les deux ventres et sa main fouine entre les cuisses de ma femme. Il fouille son sexe, se penche pour faire pénétrer son majeur le plus loin possible, s’amuse à faire couiner Rose. Un ordre agenouille sa proie, elle succombe à la caresse intime des doigts dans son sexe, il lui présente sa verge :

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