Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Un couple dans le parc (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE.  Un couple dans le parc (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Un couple dans le parc (1/1)
Depuis la première fois où assis sur ce banc mon cerveau s’est connecté avec ces femmes que j’entendais parler par télépathie expliquant ce qu’avait été leur vie suivie de ma fuite quand j’ai compris que l’étrange phénomène fonctionnait avec les hommes en voulant à mon fondement.
Chaque fois que je m’assois sur ce banc, j’attends pour voir si c’était exceptionnel ou si je pourrais recevoir à nouveau les pensées les plus secrètes de personnes se promenant.
Cela a failli fonctionner une fois quand une grande femme rousse vient s’asseoir, la connexion se fait, je suis certain que ce jour-là, je suis privé d’une histoire croustillante, le début est prometteur, car elle pensait à la bite de son dernier amant.
Pas par l’homme qui a interrompu le processus, il était blanc alors que ses premières pensées se tournaient vers une grosse et grande bite noire.

Je lis un livre érotique où une salope aux cheveux roux suçait et se faisait sucer me faisant bander malgré le passage des passants autour de moi, j’ai les jambes croisées pour éviter le scandale dans le parc.
C’est à ce moment qu’ils arrivent, elle reste une belle femme qui a dû faire tourner les têtes, lui aussi vieux, marchant s’appuyant sur une canne avec des lunettes noires sur les yeux dissimulant une partie de son visage.

« Veux-tu t’asseoir quelques minutes Joseph ? pour une première sortie après ton accident cardiaque. »
« Non, continuons jusqu’au prochain banc. »

J’ai cru qu’ils m’échappaient alors que j’avais connecté en même temps que j’entendais les mots murmurés à la distance d’où ils étaient.

« Regarde, asseyons-nous maintenant, sur le banc vide une famille avec deux enfants vient de s’installer ! »

Ils s’assoient, l’homme regarde fixement devant lui, il a parlé du banc, c’est donc qu’il est voyant alors qu’il me donne l’impression d’un aveugle se promenant au bras de sa compagne.
Une fois assis, il pense à sa vie et comme l’autre fois j’arrive à tous capter.

« J’ai eu de la chance de rencontrer Joséphine quand nous avions vingt ans, elle a été une femme merveilleuse, c’est grâce à elle que j’ai fait la carrière m’amenant au sommet de la banque où j’étais entré, elle a été derrière moi pour m’encourager allant même jusqu’à me faire travailler le soir pour que je grimpe les échelons. »

Avant qu’elle s’assoie, je capte les pensées de la vieille dame, il est étrange qu’au même moment où son mari pense les débuts de leur vie commune, elle refasse sa vie.

« J’ai bien failli le perdre ce coup-ci, je suis rentrée juste à temps du marché pour appeler les secours son cœur ayant flanché.
Ça me rappelle le moment où je l’ai connu, il a toujours cru que c’est par les maths que je lui faisais travailler le soir qu’il a grimpé dans la hiérarchie.
Je dois plutôt dire merci Geneviève, la femme du patron dans ces années-là, paix à son âme.
La première fois, suite à un cocktail d’entreprise où j’étais invitée, elle a voulu que je vienne passer un après-midi pour prendre le thé, j’étais loin de penser que je finirais les cuisses écartées pendant qu’elle me brouterait la minette.
Avec elle j’ai appris ce qu’une femme peut faire à une autre femme, autant Joseph aimait jouer au mâle viril, autant Geneviève était douce et savait me caresser. »

Je referme mon livre, la vie de ce couple me procure bien plus de plaisir que l’histoire un peu étrange qui y est racontée.
Un moment, il pense en même temps et je suis incapable de suivre ce qu’il leur est arrivé, je sens que, ce qui revient au cerveau de Joseph est plus croustillant que les galipettes entre les deux femmes.

« Si Joséphine avait su que j’ai sucé mon patron pour devenir responsable de la chambre forte, elle aurait divorcé, tout a commencé au cocktail où lui et sa femme Geneviève nous avait invités.
Elle discutait avec Geneviève, un verre en main et semblait bien s’entendre, quand Robert m’a proposé d’aller chercher un cigare dans son bureau, m’isolant des autres invités, j’étais loin de penser qu’il avait des penchants pour les hommes.
Moi non plus d’ailleurs, j’avais failli avoir une expérience homosexuelle en fac et je m’en étais tiré grâce à un camarade qui était entré dans la chambre où comme Robert, il avait réussi à m’attirer.
À ce cocktail, dès qu’il a refermé la porte, il s’est directement collé à moi et sa bouche est venue sur la mienne, au début sa langue tournoyant sur la mienne m’a donné une étrange impression, mais j’y aie pris goût et quand il a ouvert sa braguette, c’est tout naturellement que je l’ai pris en main.
Elle était plus grosse que la mienne et quand j’ai compris à la façon dont il m’appuyait sur l’épaule qu’il voulait que je le suce, sans hésiter je l’ai fait.
Étrange impression, j’aurais dû me sentir fautif envers Joséphine, mais comme je suçais un garçon, c’était bien différent que si j’avais eu un rapport sexuel avec sa femme par exemple. »

Il est homo ou du moins bisexuel, un mot de Joséphine attire mon attention et je m’isole avec elle.

« Libertin, j’ai eu peur d’être reconnu. »

Je recolle les morceaux du puzzle, Geneviève l’a emmené dans un club échangiste.

« Dès que nous sommes arrivées, elle a voulu danser et m’a effeuillée comme une marguerite, je me revois dans une des glaces me trémoussant son corps collé contre le mien nue.
J’ai eu comme un flash et j’ai adoré d’être nue devant des dizaines de personnes, j’étais devenue son jouet et si je m’écoutais à partir de ce jour, j’aime m’exhiber, si j’écartais mes cuisses, ce beau gosse face à nous qui lit un livre en regardant ailleurs de temps en temps remarquerait-il que depuis cette découverte, je me promène la chatte à l’air ?
Non, bien sûr, j’ai 68 ans, il me prendrait pour une salope bien que chaque fois que j’ai pu me faire prendre par de beaux mâles dans ce club, j’aie toujours été partante Geneviève aussi d’ailleurs.
Je suis folle, si quelqu’un me passait une main entre mon entre-jambe, il trouverait une vulve béante, je mouille encore. »

Si je m’attendais à cela, cette femme élégante au bras de son mari a été et reste dans sa tête malgré le poids des années une belle salope, ma vieille dame de la première fois sur ce banc et ce couple maintenant j’ai affaire à la vraie vie que vivent les gens dans les secrets de leur alcôve.
J’essaye quelque chose, ce qui marche dans un sens entre eux et moi, est-il réciproque entre moi et eux, je me concentre fixe intensément Joséphine, mon cerveau lui intimant l’ordre d’écarter ses jambes, mais rien n’arrive de mon envie.

« J’ai eu de la chance quand mon amant avec qui j’avais un rapport sans aucune pénétration, nous nous sucions seulement, car il était friand de mon sperme, est mort quelques mois plus tard.
La direction nationale m’a nommé à sa place me permettant de réaliser notre rêve avec Joséphine d’être au sommet de la pyramide. »

J’essaye une nouvelle fois, en intimant l’ordre à cette femme qui malgré son âge me fait envie, extraordinaire, je vois son pied droit bouger et son gauche en faire de même après qu’elle eut regardé à gauche et à droite.

« J’ai craqué, j’ai les cuisses ouvertes et le beau gosse en face de moi est obligé de voir ma chatte toute blanche depuis que j’ai arrêté de me faire épiler, je suis folle, il est temps de ramener Joseph, pour une première sortie, je vais le mettre au lit dès que nous rentrons. »

Ils se lèvent et reprennent leur route, j’en fais de même et à distance, je les suis.
Dix mètres plus loin, Joseph malgré sa canne et le bras qui le soutient, pose un genou au sol.
Je me précipite pour les aider.

• Merci monsieur, cela va aller, c’est mon genou qui a flanché, j’ai les ligaments croisés hors service.
• Et votre cœur, comment va-t-il ?

Je vois Joséphine me regarder, mais c’est une femme avec de l’éducation et elle se tait.

• Vous devez habiter près d’ici, je vais vous accompagner.

Chacun de chaque côté le soutenant, nous parcourons un peu plus de deux cents mètres et Joséphine tape le code d’ouverture de la porte, A52B, nous prenons l’ascenseur et quelques minutes après, je l’aide à le coucher.

• Je vous offre un café, j’en bois énormément.
• Merci, vous êtes bien aimable.
• Puis-je vous poser une question ?
• Je me doute, comment j’ai su pour le cœur de votre mari ?
• Oui.
• Je vais vous dire la vérité, quand je m’assieds sur le banc où je lisais, il m’arrive de lire les pensées des personnes qui s’assoient sur celui d’en face, ça a marché avec vous et votre mari.
• Que pensait-il ?

Comment lui dire la vérité sur Joseph qui suçait son patron avant de prendre sa place ?

• Je vois que vous hésitez, n’ayez crainte, je sais que Joseph suçait la bite de son patron, je les ai surpris un jour ou avec Geneviève ; nous sommes passés les chercher, je me trompe.
• Nullement, ils aimaient leur sperme.
• Mais dites-moi, vous savez que nous nous gouinions avec mon amie et que nous allions.
• Dans des clubs échangistes.
• Vous êtes dangereux, vous savez tous mes secrets.
• Oui, et j’ai même réussi à vous faire écarter vos cuisses.
• As-tu vu ma vieille chatte ?
• Il se pourrait.

Je suis parti, le rouge étant monté à ses joues, mais je suis revenu le lendemain.
Joseph s’était endormi pendant son sommeil, belle mort du moins c’est ce que l’on dit.
J’ai accompagné Joséphine dans son deuil.
J’ai résisté six mois venant tous les jours, un après-midi, nous sommes allés dans le parc, je me suis assis sur mon banc, elle sur celui d’en face.

« J’ai envie de toi. »
« Tu es fou, je suis si vieille. »
« Je me fiche de ton âge. »
« Alors, rentrons. »

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