La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1054)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1054) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2017 dans la catégorie En solitaire
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1054)
La Comtesse et son clitoris – (Hors-série) - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) –

1) La découverte : C’était en mai et un après-midi alors que j’avais dansé dans ma chambre, je ruisselais de sueur et m’allongeais sur mon lit, complètement nue, épuisée par la danse, le ciel était sombre, un orage s’annonçait. Soudain un coup de vent violent, suivi par d’autres fit voler les rideaux de la pièce, passa sur mon corps, le rafraîchissant. Allongée que j’étais, une jambe pendante, les bras écartés regardant le plafond, je reprenais mon souffle, et sentis, la caresse du vent sur mon corps, c’était agréable. Tandis que je me rafraîchissais, je sentis le vent passer en bas de mon ventre et une curieuse sensation m’arriva. La fraîcheur du vent annonçant l’orage imminent, en cet endroit me fit prendre conscience, sans savoir pourquoi, que ça me faisait du bien. Instinctivement, j’écartais un peu plus les jambes, mais je n’avais encore aucune autre idée que de retrouver mon souffle, me rafraîchir, et récupérer. Vous devez savoir, que j’adorais danser bien sûr, que j’étais Petit Rat de l’Opéra de Paris, et que donc, la danse faisait partie intégrante de ma vie. La danse me permettait de me défouler…

La sensation que j’ai reçue en cet instant de repos, me troubla, après que j’eus récupérer quelque peu. Alors que je commençais de sombrer dans un demi sommeil d’une sieste improvisée, et que, dehors, le ciel se zébrait d’éclairs, ma main gauche se rapprocha de mon entre jambes, comme pour toucher cet endroit qui avait réagi à la caresse du vent. Là encore, aucune arrière-pensée de ma part. Le vent continuait de souffler, ma main était posée négligemment sur mon pubis. Tout aussi négligemment, et alors que j’étais à demi-endormie, mes doigts commencèrent d’explorer l’entre lèvres vaginales. C’était agréable sans plus. Mes doigts allaient et venaient très doucement jusqu’au moment où ils touchèrent ce petit appendice, inerte encore il y a quelques minutes, mais qui, sous le toucher de mes doigts, commençait de se dresser. Ce « quelque chose de dur » m’intrigua aussi, je m’attardais sur lui. Au fur et à mesure que je tentais, avec mes doigts, d’identifier cette petite « bosse » si agréable à toucher, je commençais de ressentir des sensations agréables au début, puis, étonnantes ensuite, ce qui me fit poursuivre…

J’avais à l’époque de gros manques à compenser. Ressentir le bienfait, certes fugace de me toucher en cet endroit m’apportait un peu de baume au cœur. L’orage se déclarait enfin, violent, très violent même comme le font certains orages en région parisienne. Je dus me lever rapidement pour fermer la fenêtre et alors que j’allais m’allonger de nouveau, pour poursuivre la découverte de cet endroit intéressant, un énorme coup de tonnerre retentit, j’eux très peur, la lumière se coupa, ce qui me fit abandonner mon exploration. Ce jour-là, je m’arrêtais à cette découverte mais me disait, que je continuerai une prochaine fois…

La fois suivante ne se fit pas attendre. Le soir même, couchée cette fois pour la nuit, sous mes draps et couverture, bien au chaud, je me suis mise sur le côté comme à chaque fois que je cherche le sommeil, en « boule » les cuisses ramenées sur mon ventre. J’en étais là, quand, soudain, je me rappelais l’après-midi. Au début, je ne réagis pas désirant vraiment m’endormir, mes journées étant épuisantes, de plus je me levais très tôt le matin. Cependant, au souvenir laissé l’après-midi même, je ne pouvais éviter de me faire un gros câlin, vu que personne ne m’en donnait. Et c’est tout naturellement que ma main gauche (encore) se dirigea entre mes cuisses. Je savais où je devais aller ! Ma main, plaquée contre mon sexe, deux doigts, infiltrés dans mon sillon vulvaire et seul l’index reposait sur mon clitoris, en tout cas sur son nez. Par de très petits mouvements du doigt, presque imperceptibles, celui-ci réagissait, et la réponse de sa part étant bonne, le doigt poursuivait ses attouchements. Je sentais durcir l’endroit au point que je me remis sur le dos et instinctivement, écartais les cuisses...

Me voilà donc allongée sur le dos, et la main caressant et re caressant à la fois l’endroit de ma chatte et surtout mon clitoris qui, lui, de son côté, répondait de plus en plus fortement. Au fur et à mesure de l’avancée de mes caresses, je commençais de ressentir des sensations curieuses mais très agréables. Mon cœur accélérait, ma respiration également, que c’était bon ! Je décidais de poursuivre. Mon index jouait avec lui, le caressait, le titiller, le tapotait. Je remarquais que mouillant mon doigt de ma salive, cela m’était plus agréable à le toucher ensuite. J’en étais là de mon « jouet » quand soudainement, je sentis comme des fourmillements m’envahir, sensations dans le ventre d’abord, irradiant dans les cuisses ensuite. Je ralentis les gestes, enlevais même ma main tentant de comprendre ce qui m’envahissait lentement. Mais, je me suis trouvée rapidement privée de sensations si agréables que je repris au plus vite mes caresses. Tout arriva enfin comme une tornade ! Alors que je continuais de caresser cet endroit si intéressant, et que je recevais en retour des sensations si agréables, si bonnes, subitement, la foudre me tomba dessus. Un orgasme arriva, mon premier orgasme ! Sa violence fut telle que sur le coup, pendant deux secondes, j’eus peur même tant mon cœur battait fort, mais ce fut si bon, si merveilleux, si extraordinaire, si exceptionnel que j’en avais des étoiles devant les yeux. Vraiment !

Je ne voyais plus rien d’autres que des scintillements flottant devant mes yeux. Comme de merveilleuses étoiles. Ma main s’était retirée de mon entre jambes. Je tentais de reprendre ma respiration. Au bout de quelques minutes de « repos » ma main, revint lentement vers cet endroit si charmant. Je fus surprise de retrouver ce nouvel ami, mon clitoris, bien dressé encore, dur et c’est tout naturellement que mon index recommença à le toucher. Oh ! très doucement car il était devenu sensible, mais je m’adaptais cependant. Insensiblement, de merveilleuses sensations m’envahissaient à nouveau, et à nouveau mon doigt se faisait plus pressant encore une fois, de curieuses sensations dans le ventre et bas-ventre m’envahissaient et au bout de deux ou trois minutes, une deuxième « explosion » arriva, bien plus forte que la première, plus violente aussi qui, cette fois-ci, me fit me transformer en harmonium poussif tant ma respiration était violente. Mes petits seins montaient et descendaient à la vitesse éclair comme si je venais de courir un 400 mètres. Mon dieu, quelle découverte inouïe ! Quel plaisir ! Quelles sensations ! Il était fort tard, et décidais à contre cœur de dormir mais me promis de reprendre la chose au plus vite. Ce fut, ce soir-là, ma toute première découverte du plaisir clitoridien…

2 L’exploration : Depuis cette découverte de cet endroit de mon corps, si intéressant et qui me procurait des joies fortes, je décidais d’en savoir plus à la fois sur lui comme sur mon corps en général. Internet n’existant pas en ce temps, c’est par des lectures, des réflexions, et surtout par des « travaux pratiques » que je tentais de comprendre tout cela. Cependant, chaque soir, était le rendez-vous devenu incontournable pour moi : mon clito et moi, rien que nous deux Rapidement, je me suis rendue compte qu’après le premier orgasme, arrivait le second, et d’autres découvertes également comme celles que je vais vous compter ici. Mes journées étaient bien remplies et le soir, il est inutile de vous dire que j’attendais avec impatience de retourner dans ma chambre, pour récupérer quelque peu de ma journée, mais, un autre marathon m’y attendait… Immédiatement après ma douche, c’est avec mes seins proéminents, galbés, ma féminité s’étant épanouie, que je continuais d’échanger avec mon très ami, le clitoris, me branlant copieusement tous les soirs, mais m’arrêtant, peut-être à cause de la fatigue de la journée à ce que j’appelais le stade trois de la jouissance (le troisième ciel selon moi).

Cependant, j’adorais lire, beaucoup et j’avais entendu parler du 7° ciel, associant immédiatement en mon esprit mon 3° ciel sexuel à ce que les auteurs semblaient définir comme une sorte de paradis. J’étais perplexe ne voyant pas où pouvait se trouver ce ciel. Un soir donc, alors que le lendemain était jour de repos, je pris, comme chaque soir ma douche puis alla m’allonger sur mon lit, nue bien sûr, pour le rendez-vous journalier avec mon « amoureux » mon clitoris. J’avais déjà joui par trois fois (troisième ciel) et j’avais remarqué que plus je continuais, plus les orgasmes arrivaient vite et étaient plus forts, plus puissants, plus violents. J’en étais là, et me lançait donc dans l’escalade du quatrième ciel. Je reprenais donc mes caresses, mais avec prudence car je n’étais jamais allée aussi loin. Avec tact et douceur, comme toujours avec cet ami très cher, je recommencer de le tapoter très doucement au début, alors qu’il était encore, bien raidi et sensible, et j’eus la surprise de constater qu’il acceptait à nouveau mon toucher. Je continuais de lui « parler » et il me répondait le bougre. Je ressentis alors de mini contractions vulvaires, comme des sortes de « petits » orgasmes se déversant en moi comme en chapelet, participant à la préparation de l’orgasme « final » celui que j’identifiais à chaque fois.

Je compris alors, qu’en fait, avant que ne survienne le fameux orgasme dont tout le monde parle, en fait, j’avais des « rafales » de petits orgasmes préparant ainsi l’orgasme classique. Je devenais par cette découverte, une véritable jouisseuse, et j’en étais là quand j’entamais pour la quatrième fois, la poursuite de mes découvertes. A ce stade orgasmique, j’étais toujours allongée sur le dos, cuisses écartées, mais alors que je poursuivais mes caresses, devenues subitement plus fortes, je découvrais que mon corps commençait de se mettre en mouvement. Cela se traduisait par des mouvements incontrôlés de mes bras, partant dans tous les sens, de mes jambes aussi, prises subitement de mouvements eux aussi violents comme des coups de pied en l’air, la main qui ne me servait pas, voyait ses doigts se crispés, si tendus que je craignais qu’ils ne se rompissent, tout cela tandis que je recevais des rafales de petits orgasmes, très vivifiants, et que le suivant, arrivait très vite, comme l’emportant comme un fétu de paille.

Effectivement, il arriva, sans que je m’y attende, dévastateur, d’une puissance encore plus forte que ce que je connaissais déjà depuis quelques années, me laissant, les doigts inertes sur le clito, dans un état d’euphorie telle que devant mes yeux grands ouverts, semblaient danser des ronds aux couleurs chatoyantes. Bien que ne le touchant pas, seulement mes doigts posés sur lui, mon clitoris se mit à vibrer tout seul, et au bout de deux ou trois minutes de répit, sans que j’ai l’impression de l’avoir décidé, mes doigts, à nouveau reprenaient leur danse. Dès la remise en mouvement de mes doigts, mon clitoris réagit immédiatement, me semblant s’allonger ( !), et tout aussi vite, une multitude de petits orgasmes, cependant plus forts que les précédents, m’envahirent. Tout allait de plus en vite… Mon corps commençait maintenant à bouger encore plus, et pas seulement mon bras qui ne me servait pas, ni les jambes, déjà en action, mais voilà, mes reins se creuser aussi me faisant décoller les fesses du lit. Par moment j’avais également des mouvements des épaules complètement incontrôlés les faisant elles aussi, tenter de se détacher du lit…

Alors que je continuais de travailler mon si réceptif clito, que je recevais des multitudes de petits orgasmes pourtant bien réels et forts, arriva sans tambour ni trompette, ce que j’appelai le cyclone classe 4. La puissance de cet orgasme nouveau me fit littéralement décoller du lit, me faisant me mettre à plat ventre. Le bond que je fis était spectaculaire, allongée sur le dos et en une seconde, comment je ne peux le dire, je me suis sentie projetée en l’air et retournée sur le lit. J’avais les yeux si crispés, qu’à la fin du tout, j’en avais mal aux paupières. Mais, retournée comme dit plus haut, ma main gauche ne s’était pas, désolidarisée du clitoris qu’elle touchait toujours. Et après, quelques secondes de répit, entamait à nouveau ses mouvements… Je sentais mes fesses se crisper tant (je sus par la suite que personne ne pus passer un doigt entre elles tant elles sont serrées dans ce cas), j’étais tellement tétanisée par ce que m’envoyait mon bouton rose, n’étant plus des rafales de petits orgasmes mais comme des ruisseaux trop gonflés par des pluies diluviennes, devenus torrents dévastateurs, mes yeux devenaient hagards, grands ouverts mais je ne voyais plus rien… ma respiration n’en parlons pas mon cœur semblant exploser dans ma poitrine, mes tétons durcis et allongés puis à nouveau encore plus rapidement, ce que j’appelais une tornade classe 5…

Hummmm ! disais-je toute seule, ouf tentais-je de souffler pour calmer mon cœur… inouï… La violence de ce nouvel orgasme était encore plus violente, comment dire, plus dévastatrice, commençant de me donner des crampes, mais, ne m’empêchant cependant pas de stopper là l’expérience et me privant de la force mentale d’enlever ma main… Je retombais sur le lit, toujours à plat ventre, main collée à ma vulve, mais me voilà aussitôt repartie à me frotter contre les draps… Je donnais de violents coups de reins comme pour frotter mon clitoris cette fois sur les draps, et immédiatement, arrivèrent des multitudes d’orgasmes, cette fois, non dissimulés, mais bien réels, puissants, à chaque coup de reins faisant toucher mon clito sur le drap, je jouissais comme une bête, pratiquement de façon continue. C’était extraordinaire, merveilleux, sensationnel, divin, oui divin, car à un moment précis, alors que j’avais complètement perdu la maîtrise de mes pensées, de mes gestes et de mon corps, j’eus l’impression, fugace d’approcher une sorte de divinité, d’entendre des musiques inconnues mais si belle, et c’est à ce moment précis, qu’une véritable détonation naquit dans mon corps, c’était le 6° orgasme…

Comment le décrire après tous les qualificatifs déjà utilisés pour les précédents ? Je ne parle plus de sa violence inouïe, elle était encore plus forte, de la soudaineté de sa survenue, là à nouveau, je ne m’y attendais pas aussi rapidement, tout mon corps se mit à vibrer de faon intense, des fourmis envahissaient non seulement mes mains, mes doigts, mes orteils, mais la totalité de mon ventre semblait être prise d’une frénésie hystérique… Alors que je tentais de retrouver mes esprits totalement ailleurs, mon corps fit un tel bond que j’en fus retournée, retombant sur le dos, cuisses complètement écartées, trempée comme sortant d’un bain, à la fois de sueur et de cyprine, mais la main toujours collée sur mon pubis, devenu rouge de frottements. Je ne comprenais plus rien à ce qui m’arrivait, me demandant si je ne devenais pas folle, mais mon ami le clito semblait ne pas vouloir s’arrêter en si bon chemin. Des larmes arrivèrent à mes yeux, tentant de dire « Stop » mais les doigts se remirent en mouvement comme mus par une force invisible, et immédiatement le clito répondit à nouveau, par des tressaillements, des vibrations nouvelles déclenchant à nouveau ce que j’appelle les « petits » orgasmes mais qui à ce stade n’avaient plus rien de « petit », pour arriver à l’explosion « atomique » des sens, c’est mon ressenti du moment !

Un orgasme arriva encore plus rapide que les précédents, si énorme que je crus que mon cœur allait s’arrêter. Je me suis mise à saliver, incapable de retenir ma salive, je fis même pipi dans mon lit, incapable de me contrôler, en plus des « fourmis » dans les mains et pieds, c’est l’ensemble de mon corps qui se mit à vibrer, emporté qu’il était comme ailleurs, en un monde autre, peuplé de si belles choses, de si belles musiques, de si belle couleurs inconnues de moi, comme droguée totalement, oui droguée mais pas de LSD, mais de sexe, de déversements hormonaux… J’étais tellement crispée qu’il me fallut quarante-huit heures pour ne plus avoir de crampes musculaires, de douleurs tendineuses, et plusieurs heures pour retrouver lentement mes esprits, comme redescendant à contre cœur vers la terre. J’étais si tendue nerveusement mais si heureuse, que je pleurais, sans pouvoir mettre un terme à mes larmes, comme si, je venais, en effet de découvrir le Paradis… Je compris par la suite la signification du 7° ciel dont parlaient si souvent nos ancêtres et surtout, comment y parvenir… Je veux, ici rassurer mon lecteur (trice) je ne pouvais renouveler cela tous les soirs, à cause de la fatigue de longues journées mais aussi faute à la fois de temps mais aussi de lendemain qui avait aussi son cortège d’obligation, je devais m’épargner, me ménager…

Naturellement mon clito devenu si cher, n’étais pas d’accord. «Je sais petit clito, tu n’es pas encore rassasié mais je te promets de trouver une autre fois pour aller jusqu’au bout de ce que tu m’as fait découvrir ». Cependant, j’avais du mal à trouver le sommeil et attendais avec l’impatience que vous imaginez le week-end suivant, plus calme et reposant en journée. Cela devenait comme une sorte de rituel, je jouissais comme une bête, les week-ends et m’habituais à le faire ainsi… Cela me fit prendre conscience de beaucoup de choses par la suite, comme le contrôle de mes muscles intimes, ce qui me servit beaucoup par la suite et encore aujourd’hui pour distiller aux personnes auxquelles le Maître me donnait, des plaisirs totalement inconnues d’eux ou d’elles...

(A suivre …)

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Texte coquin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1054)
Histoire sexe : Une rose rouge
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