Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Casper (1x1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Casper (1x1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Casper (1x1)
Les vicissitudes de la vie viennent de nous entraîner au fin fond de la Bretagne, Julien mon mari a enfin trouvé un poste dans une usine de sardines comme directeur des ventes.
Il a vécu trois mois dans un hôtel à Concarneau avant que je le rejoigne.
Il a trente ans et moi, vingt-cinq, dès que je l’ai vu dans cette boîte, moi la parigote bon ton, j’ai craqué.
Que l’on ne se méprenne pas, je suis loin d’être une marie couche toi là, même si ce soir-là, je l’ai rejoint dans sa chambre à deux pas de la place de l’Étoile.

J’étais loin d’être pucelle, j’avais connu le loup deux ans plus tôt lors d’une autre soirée où j’avais pris une cuite mémorable et où je me suis retrouvée, moi la vierge, au centre d’une partouze à cause de Clara.
Clara était ma colocataire à Paris, quand je faisais des études susceptibles de faire de moi une avocate.
J’ai tellement joui chez Julien qu’il m’a été facile de quitter Clara et de venir habiter dans sa soupente, il m’a épousé et pendant plusieurs mois, nous avons vécu en nous débrouillant.
Mes parents ont quelques biens et comme il apprécie Julien, ils nous aidaient alors que, de son côté il soit seul au monde ayant été élevé par l’assistance publique.

C’est un C.D.I. avec une paye fixe et une partie suivant ses résultats que Julien reçoit à Concarneau, de plus son patron qui a fait le métier avant d’investir dans sa sardinerie lui permet, hors du temps, qu’il lui doit de vendre d’autres produits.
C’est du matériel de sport pour une petite marque basée à Troyes qui lui fournit les produits.
Il me reste deux ans d’études, nous décidons que je finirais ma formation par correspondance et nous cherchons une maison où nous installer, nous cherchons à louer, mais la plupart des propriétaires préfèrent louer en meubler pour les estivants.
Les agences contactées, nous ont toutes proposé un bien donnant sur la mer, il l’appelle « le manoir », mais à vendre, il y a quelques travaux, mais vu le prix de vente et l’aide de mes parents qui pourront venir maintenant qu’ils sont à la retraite, nous décidons d’acheter.

Dès que nous avons emménagé, et que nous avons vidé la soupente parisienne, j’ai de quoi m’amuser pour meubler cette demeure de huit pièces, deux salles de bains et WC.
La maison est libre depuis des années, il y a une fuite sur un coin du toit la dernière tempête ayant enlevé une tuile de rive sans grandes conséquences car contrairement à la légende, il y a eu peu d’eau depuis cette tempête.
Dès le premier soir, Julien tient à me faire l’amour, je fais attention, car mes parents sont dans la chambre voisine étant venus nous aider à déménager, je suis assez volubile quand je jouis, je dois même me mettre la main sur la bouche au moment où je m’envole.
Dans chaque chambre, il y a une cheminée ainsi que dans la grande pièce du bas et la cuisine.
Les anciens propriétaires ont fait mettre un système de chauffage à haute performance avant de décéder dans un accident de voiture, c’est du moins ce que les agences nous ont dit, les enfants essayant de vendre.

Nous dormons nues sous une couette depuis que, je l’ai rejoint, je n’ai jamais eu l’impression qu’il accaparait la couette à Paris où les draps à l’hôtel de Concarneau.
Je sens comme une brise, comme si la couette était soulevée tombante même au sol du côté de Julien, je n’en prends pas ombrage, avant il ne bougeait jamais dormant d’un sommeil de plomb.
Ici, le changement d’ambiance doit le perturber, je suis obligée de me lever pour récupérer la moitié de cette couette, mais une heure plus tard, il en va de même, au matin, je suis exécrable, j’en veux à Julien et je lui rends la vie impossible au petit déjeuner.
Il part au travail l’air bougon, je ne me savais pas de si mauvaise foi.

• Julie, as-tu déjà vu Casper ?

Je suis dans la salle de fitness de la ville, je me suis inscrite pour faire du sport, je viens de faire presque vingt kilomètres à bonne vitesse sur un tapis, entourée par Brenda belle rousse aux gros seins d’un côté et d’Armel de l’autre.
Armel femme au foyer, trois rejetons qu’à ce qu’elle, dit-elle, voudrait noyer presque tous les jours.
Armel femme certainement cocue, mais qui n’en a pas conscience, surtout quand elle nous raconte les sorties de son mari qui semble être le roi des heures supplémentaires.

• Casper, de qui parles-tu Brenda, je croyais que ton mari s’appelait Gwendal ?
• Armel, dis-lui, qui est Casper où je la laisse mourir idiote ?
• Je croyais avoir trouvé des amies depuis que, nous courrons ensemble, c’est parce que je t’ai mis cinq kilomètres Armel et seulement deux à toi Brenda que vous êtes si mystérieuses !
• Tu as raison, on va être de bonnes copines, d’autant plus que comme Parisienne, tu ignores les croyances de notre pays breton.
Une superstition dit que dans le manoir que vous avez acheté avec ton mari, vit un fantôme.
Quand tu nous as dit, la première fois où tu es venue ici, que vous aviez acheté cette grande bâtisse, nous nous sommes rappelé cette légende et ce fantôme étant sans nom, nous l’avons appelé Casper.
• Et que dit cette légende ?
• À ce que nous savons de ces dernières années, le fantôme aurait deux comportements, il arriverait à faire mourir les personnes qui viennent vivre chez lui et que, lorsqu’il rencontrera celle qui lui ouvrira son paradis, la fortune lui sourira.
Les gens du coin vous traitent d’inconscient, surtout depuis que le couple d’Anglais qui avaient acheté votre maison et qui l’ont rénovée, ce sont tué sur une route du Yorkshire.
• Ce sont de vieilles croyances, comment voulez-vous que votre Casper fasse déraper une voiture à des centaines de kilomètres avec la traversée d’une mer.
• Quand je vais raconter cela à mon cher et tendre, il va éclater de rire.

La nuit suivante, quand nous nous couchons quand Julien vient me caresser la chatte, cette légende racontée par mes copines de sport me passe au-dessus de la tête.
Je pense plus aux plaisirs d’être prise en levrette qu’au fantôme qui tuerait ceux où celles qui ne lui apporteraient pas son paradis.
J’adore m’empaler sur la bite de mon étalon, je fais pénétrer sa verge en moi quand je sens une claque sur mon fessier.

• Aie !
• Je t’ai fait mal !
• Tu m’as claqué la fesse, c’est la première fois que tu me fais ça !
• J’ai une main le long de nos corps ma chérie et l’autre qui te caresse les seins, tu dois fantasmer et avoir cru que je te tapais les fesses, si tu en veux, tiens !

Une deuxième claque avec sa main m’atteint l’autre fesse, bizarre, il est vrai que la première aurait dû être assénée par sa main sur mes seins, impossible par l’autre.
Ce sera la seule chose qui pourrait me faire douter de ma certitude que notre maison et bien la résidence d’un fantôme cette nuit-là, mais je suis quelqu’un de rationnel, je crois quand je vois.
Comme la veille, Julien part au travail, je repense à ce que les filles ont dit, je veux vérifier s’il y a une once de vérité dans cette histoire extraordinaire.
J’enlève la couette qui est restée en place cette nuit.

• Gentil Casper vient me caresser la chatte, si tu es le fantôme d’un homme en moi-même ta verge, si tu es le fantôme d’une femme, broute-moi la chatte.

Évidemment, rien ne se produit.

• Les filles, vous aviez tort, j’ai invité votre fantôme à me baiser, il n'est jamais venu.
• J’ai été contente de te voir, j’avais peur qu’il ne vous ait tué.
• Cause toujours, tu m’intéresses et d’abord qui est-il ?
• Ce serait le fantôme de celui qui a fait construire le manoir et qui aurait fait tomber sa femme par la fenêtre avec le balcon, il croyait qu’elle l’avait trompé avec son voisin.
Fantôme classique ici où en Angleterre, du mari cocu qui reste sur les lieux de son méfait attendant son salut.
• Tu m’en diras tant, cette fenêtre est celle de la chambre où je dors avec Julien.

La nuit suivante, je ne rêve pas quoique mes yeux soient fermés, la nuit est noire, on pensait hier au soir que l’orage allait éclater, mais il n’en est rien et la lune est cachée, nous plongeant dans le noir complet.
Je dis donc que je ne rêve pas quand je sens la couette se soulever, et une caresse sur mes seins, comme si on les avait caressés avec un voile en mousseline légère, le voile passe deux trois fois dessus faisant bander mes pointes.
La caresse de la mousseline s’arrête et la couette semble être replacée sur mon corps en sueur, j’aurais voulu que cela ne s’arrête jamais.
Toute la journée, j’ai traîné en peignoir, quand Julien rentre, rien n’est fait, même le repas n’est pas préparé.

• Va te coucher ma chérie, cette chaleur inhabituelle en Bretagne doit te fatiguer, si l’orage éclate cette nuit, tu iras mieux demain.

Je me couche dès huit heures, je dors toute la nuit, Casper ne vient pas me troubler, le tonnerre gronde sans que l’orage éclate, juste des éclaires de chaleur qui zèbre le ciel, éclairant la chambre par les petits trous des volets en bois que nous devons changer.
Quand je me réveille, il fait nuit noire encore, je passe ma main à mon côté, Julien semble être déjà parti à la sardinerie, je rêve bien éveillée, la couette n’est plus sur moi, il me semble que dans mon sommeil, j’ai eu trop chaud et que je l’ai balancé vers le sol.
Je suis nue les jambes écartées comme si je m’offrais, je le faisais à Paris avec mon homme quand je voulais qu’il me sexe, nous n’avions pas de lit à barreaux sinon j’aurais acheté des menottes pour qu’il me trouve soumise à son bon vouloir.
J’ai à peine le temps de penser aux menottes qu’il me semble que mes bras soient tirés vers la tête de lit et qu’il me soit impossible de les bouger comme si un carcan les enserrait.

• C’est toi gentil Casper, tu permets que je t’appelle par ce nom, ce sont mes amis qui t’ont surnommé comme cela, Casper était un gentil fantôme qui passait en dessin animé quand j’étais petite, je l’aimais beaucoup.

Bien sûr, je dois devenir folle à cause de cette chaleur, je me surprends à parler toute seule, mon corps ruisselle de sueur, des gouttes coulent dans mes yeux, mais mes mains qu’il m’est impossible de bouger ne me sont d’aucune utilité.
Le voile de mousseline de la nuit dernière revient sur mes seins, ce qui me permet de retrouver la même sensation et fait darder mes fraises assez grosses que Julien aime caresser, voire mordiller.

• C’est bon Casper, comment peux-tu faire cela comme tu es un spectre, dis-moi, c’est toi qui m’as claqué la fesse l’autre nuit quand j’étais à califourchon sur Julien, son sexe en moi.
Tu sais, j’ai beaucoup aimé.

C’est sûr, je suis devenue folle, parlant à un hypothétique fantôme qui hanterait notre maison après avoir défenestré sa femme.
Une nouvelle fois, je viens d’émettre l’idée qu’il m’a claqué la fesse et que j’ai aimé que je me sente retourner, les mains toujours au-dessus de ma tête et que mes fesses reçoivent une série de claques que je ressens, mais qui ne font aucun bruit.
Jusqu’à ou, ce que les filles m’ont dit, vais-je être imprégné…

Les avis des lecteurs

Intéressant!

Erreur de numérotation, Casper 2 et fin publié ce jour.
Avec mes excuses...

Histoire Libertine
Hum! Délicieux! Vivement la suite!



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