Marie, ma nouvelle voisine - 27 – Mercredi.

- Par l'auteur HDS Cello -
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Auteur couple.
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Récit libertin : Marie, ma nouvelle voisine - 27 – Mercredi. Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie, ma nouvelle voisine - 27 – Mercredi.
Une nouvelle fois, Marie se lève la première et comme la veille, elle ouvre les fenêtres et prépare le petit-déjeuner. C'est alors que tu aperçois sur le buffet un petit mot glissé le porte-monnaie de Cello.

Elle prend le papier et lis « Prend mon porte monnaie, et va à la boulangerie acheter quelques viennoiserie pour le petit déjeuner. Enfile juste la petite robe blanche que j'ai posé sur le lit de la chambre d'ami. Tu as suffisement dans le porte-monnaie pour cela ».

Pendant que le café s'écoule doucement, elle va enfiler la robe blanche que Cello a préparé, prend son porte-monnaie et se dépèche d'aller acheter des viennoiseries à la boulangerie. La robe que Cello lui a préparée est très courte, couvrant juste ses fesses et à de fines bretelles pour maintenir le haut de mon corps.

Marie marche vite pour se rendre à la boulangerie espérant rencontrer le moins de monde possible et à chaque pas, elle sent ses seins bougés au rythme de ses pas. Le balancement de ses mamelles et le frottement de ses tétons sur le tissu de la robe l'excite et Marie sent ses tétons pointés fièrement. Plus, elle s'approche de la boulangerie, et plus elle sent ses seins se balancer et son bas-ventre s'échauffé.

Sur le trajet, Marie croise quelques personnes, mais ne prête pas attention à eux. Une femme d'environ son age, sort du magasin, alors qu'elle s'apprète à y rentrer. Elle se retourne et l'entends dire :
« Salope ! Elle aurait pu au moins mettre une culotte ».

Marie est surprise, car si elle savais que l'on pouvais deviner ses mamelles libre, elle ne pensait pas que l'on pouvait constater qu'elle n'avais même pas une culotte, et c'est rouge de honte qu'elle s'approche du comptoir et commande 3 croissants, fière de s'exhiber seule pour le plaisir de son maître.

Lorsque Marie ouvre le porte-monnaie, elle est surprise car il n'y a que de la petite monnaie et elle met plusieurs minutes pour calculer et donner à la vendeuse le montant de ses achats. Quand elle se redesse, elle constate que la boulangère avait son regard plongé dans son décolleté et celle-ci lui sourit en prenant la monnaie. En se retournant pour quitter le magasin, Marie voit un homme à 2 ou 3 mètres d'elle, qui lui reluque les fesses et les cuisses sans se priver.

Marie sent la cyprine coulée entre ses cuisses et elle revient à la maison en marchant encore plus vite, faisant balloter ses nichons encore plus qu'à l'aller. Marie a hâte de voir Cello. C'est très excitée qu'elle arrive à la maison. Marie l'embrasse et immédiatement Cello lui met la main entre ses cuisses.

Cello : « Bonjour ma petite salope ! Mais tu es trempée ? Si cela t'excite à ce point d'aller à la boulangerie, je te renverrai plus souvent. »
Marie : « Oh oui ! C'est très excitant de sentir mes seins ballotés au rythme de mes pas et mes tétons frotter contre le tissu de la robe. ».

Cello : « Bien ! Et qu'as tu acheté ? »
Cello regarde et voyant qu'elle n'a acheté que 3 croissants, il lui demande : « Pourquoi trois, tu as invité quelqu'un? »
Marie : « Heu... Non ! Il y en a deux pour vous et un seul pour moi, car vous avez raison, je dois faire attention à ce que je mange pour retrouvez la ligne et vous faire honneur ».

Ils se mettent alors à table et prennent tranquillement leur petit-déjeuner. Marie racontant la remarque de la cliente et le regard de la jeune vendeuse dans son décolleté, puis elle va se doucher puis elle va dans la chambre et enfile la seconde tenue de sport, identique à celle de la veille. Au moment de partir, elle voit Cello prendre son porte-monnaie, mais ne prête pas plus attention que cela à ce geste. Ils empruntent le même chemin que le mardi, sauf que cette fois-ci, ils rencontre un voisin qui revient de la boucherie avec une baguette de pain. L'homme s'arrête net à la vue de Marie, et semble figé, alors que Cello lui lance un « Bonjour monsieur Martin ». Un peu plus loin, c'est une femme qui ouvre ses volets, qui aperçoit le couple.

Marie rougis, honteuse d'être à demi-nue, mais aussi fière d'assumer son statut de salope-soumise. Elle sent déjà ses tétons pointés et son short, qui la pénètre, s'humidifié. Le couple emprunte le même parcours que la veille sauf qu'au retour, Cello, au lieu de prendre la direction du lotissement, il entraîne Marie vers le centre et arrivée devant la boulangerie, où Marie s'est rendu une heure plus tôt, il lui donne son porte-monaie et lui dit :
C. : « Prend 5 croissants, 1 pour chaque gamin ».

Marie est tentée de protester, car déjà ce matin, elle a eu droit à des remarques déplacées et elle était beaucoup plus couverte. Mais elle se ravise, craignant d'être punie et elle entre dans la boulangerie acheter les viennoiseries. Il y a deux clientes dans la boutique et lorsque celles-si ressortent de la boutique et aperçoivent Marie, elles la regardent d'un air hautain et dédaigneux.

La boulangère par contre semble ravie de revoir Marie, encore moins vêtue que précédemment.

« Re-bonjour Madame, que puis-je vous servir pour vous faire plaisir? ».

Marie : « Re-bonjour, je voudrais 5 croissants, s'il vous plait ! ».

La vendeuse lui sert les 5 croissants et lui demande :
« Vous êtes certaine que vous ne désiriez rien d'autres ? Vous savez, demain c'est mon jour de congé, si vous le souhaitez, je pourrais vous livrez. »
Et en disant cette dernière phrase, elle ajoute une sixième viennoiserie en lui faisant un clin d'oeil. Marie est génée mais aussi ravie de plaire à cette belle jeune femme brune.

Marie : « Je ne sais pas, il faut que je demande à mon maître ».

A peine a-t-elle prononcée cette phrase, qu'elle la regrette déjà, Elle vient d'avouer à la vendeuse de la boulangerie, qu'elle était une femme soumise, et elle se dépèche de payer et de sortir de la boulangerie, les joues rouges. Cello, qui attendait à la porte de la boulangerie à pu voir toute la scène, même s'il n'a pas compris tout ce que les deux femmes se disaient.
Marie est à peine sortie de la boutique que Cello la questionne et elle raconte exactement ce qui s'est passé dans le magasin. Cello retourne dans la boulangerie seul, laissant Marie sur le trottoir et dit à la belle brune :
« Marie sera ravie que demain vous veniez livrer les croissants chez moi, au 8 rue de la liberté. Et il laisse un billet de 50 euros sur le comptoir.

Ils regagne ensuite le domicile de Cello, en trottinant. Quand il arrive à la maison, Marie a tout juste le temps de prendre sa douche et de revenir dans le séjour en peignoir, lorsque les jeunes arrivent. Marie pompe les 5 garçons à tout de rôle comme les jours précédents, puis après un petit tour dans la salle de bain, revient nue sur la terrasse avec le café et les croissants. Après cette pause-café, Marie débarrasse la table et revient avec les cartes que Cello a fait.

La carte tirée est : analingus et doigtage. Le jeu consiste à doigter et lécher le cul de Marie à tour de rôle. Marie se positionne à quatre pattes, et met son cul bien en évidence pour se faire lécher et doigter le fion. Les garçons décident de lécher chacun leur tour la pastille de Marie, puis de la doigter les uns après les autres. Si Marie apprécie le fait de se faire bouffer le cul par les 5 garçons, elle prend plaisir à se prendre 2 ou 3 doigts dans le cul par les jeunes. Chaque fois que l'un d'eux retire ses doigts de son anus, elle leur demande de lui donner à lécher les doigts qui l'ont pénétrés.

Les garçons quittent ensuite le domicile de Cello, à l'exception d'Alban.Cello explique au garçon qu'il va être occupé dans la maison de Marie, et qu'il compte sur lui, pour s'occuper de sa protégée. Puis il se rend chez Marie, pour attendre la livraison des tableaux. Quand Marie revient nue sur la terrasse, elle demande à Alban où est Cello. Il lui répond juste qu'il a du s'absenter pour la matinée. Marie s'allonge alors sur un transat attendant qu'Alban vienne lui enduire le corps d'huile solaire.

Cello n'a pas à attendre très longtemps, avant que le photographe arrive accompagné d'un ouvrier. Ceux-ci sortent les tableaux parfaitement emballés de la camionnette et les déposent dans le séjour de Marie. Chaque emballage est marqués d'un numéro et lorsque Cello explique que celui où Marie est debout, les mains derrière la tête et les cuisses ouvertes, le photographe déballe immédiatement le colis numéro un et présente son travail. Cello est très satisfait du travail réalisé et indique l'emplacement, où il souahite mettre le portrait de Marie.

Immédiatement le photographe et son employé prennent des mésures, percent le mur et pose des chevilles avant de viser les crochets qui maintiendra le tableau solidement fixé au mur. Puis Cello leur montre le bureau d'Hervé, et leur montre les deux emplacements qu'il a prévu pour les deux autres portaits : celui où Marie est debout, courbée sur la table, ses mains écartant ses globes fessiers pour exiber sa rondelle et le troisième où elle est allongée sur la table, les cuisses relevées et largement écartées offrant ses orifices à la vue de tous.

Lorsque le travail est terminé, Cello appelle Alban sur son portable et dit :
« Alban, tu peux venir avec Marie, s'il te plait et tu lui bandes les yeux en arrivant sur la terrasse de sa maison, afin qu'elle ne voit rien en rentrant chez elle ».

A. : « Oui monsieur Cello, nous arrivons »
Et s'adressant au photographe et à son aide :C. : « Vous allez pouvoir comparer l'original avec votre travail »?

Les deux hommes n'osent comprendre ce que le dit leur client, alors qu'ils terminent la mise en place du dernier tableau. Marie arrive nue et les yeux bandés aidés par le jeune homme. Cello place alors Marie dans le séjour à côté du premier tableau et fais mettre la soumise dans la même position que sur la photo. Lorsque le photographe et son ouvrier sortent du bureau d'Hervé, Cello leur fait signe de ne pas faire de bruit et de se mettre en face de Marie. Puis, il lui retire son bandeau.

En voyant les deux hommes face à elle, Marie met immédiatement sa main droite devant son sexe et le bras gauche et sa main cachent sa poitrine. Mais elle se reprend aussitôt, avant que son maître ne lui fasse de remarque et reprend la position de soumission. Marie constate que l'agencement de la pièce à changer et entend les deux inconnus comparent l'original et la copie. Cello l'autorise à se retourner et en voyant son portrai nue grandeur nature, elle dit :
M. : « Oh mon dieu ! Mais tout le monde va me voir nue si vous laissez ce tableau ici ».

C. :  « De toute façon, tu dois vivre nue, et assumer ton statut de salope-soumise, alors je ne vois pas où est le problème »
Marie, vaincue une nouvelle fois par les arguments de son maître, réplique :
M. :  « Oui vous avez raison Monsieur Cello, mais même les connaissance d'Hervé, qui ne me connaissent pas me veront nue ».

C. : « Va dans le bureau d'Hervé ».

Marie passe près des hommes et se rend dans le bureau de son époux et voit le deux portraits beaucoup plus osés que le premier, se souvenant le moment où ces clichés ont été pris. Elle sent alors ses tétons durcir et son sexe devenir humide. Cello perçoit le trouble de Marie en voyant les deux tableaux installés au mur et dit :
C. : « Allons chez moi, je vais vous régler la facture et Marie se fera un plaisir de nous servir l'apéritif ».

Quelques minutes plus tard, tout le monde se retrouve sur la terrasse de Cello pour boire un verre. Cello fait le chèque du montant restant du, alors que Marie arrive, toujours nue, pour servir les 4 hommes. Quand Marie passe entre les hommes pour les servir, le photographe caresse les fesses de Marie. Mais quand il voit que Cello le regarde, il retire prestement sa main du cul de la femme nue.

C. ;  « Oh ! Continuez je vous en prie, cette salope adore qu'on la caresse, n'est-ce pas Marie que tu aimes ça? »
M. : « Heu ! ...Oui monsieur Cello, vous avez raison, j'aime m'exhiber et qu'on me caresse ».

Cello propose à l'ouvrier de se décaler, afin que Marie s'assois entre lui et son patron. Marie s'assois alors entre les deux hommes et écartes bien ses cuisses pour que le photographe et son employé lui caressent les cuisses et la chatte.
Alors qu'ils sont sur le point de partir, Cello s'adresse à Alban et dit :
C. : « Alban il va falloir que tu promènes Marie et qu'elle fasse ses besoins ».

Les deux hommes regardent Alban mettre le collier et la laisse à Marie, qui est déjà à quatre pattes, prètes à faire sa ballade. Cello accompagne alors l'entrepreneur et son employé jusuq'à la porte et reste quelques minutes à discuter ensemble ;Lorsqu'il revient sur la terrasse, Alban est entrain de détacher Marie.

Pendant le déjeuner, alors que Marie est restée silencieuse depuis le début, elle demande :
M. : « Monsieur Cello, comment voulez-vous que je justifie les trois tableaux que vous avez fait installer chez nous, sans en avoir averti Hervé, ni moi même »
C. : « Que veux-tu justifiez ? Je ne pouvais pas demander l'accord à ton Mari, puisque c'est son cadeau d'anniversiare, donc une surprise que je voulais lui faire. Quant à toi, depuis quand je dois demander son avis à ma petite chienne ? Et enfin pour le faite de te justifier, tu sais que tu dois assumer ton statut de salope-soumise, chose que tu fais d'ailleurs de mieux en mieux ».

M. : « Oui, mais Hervé, lui, va être humilié devant sa famille, son patron et ses amis de me voir me comporter en salope. Il ne mérite pas cela ! ».

C. : « Si Hervé, c'était occupé de toi correctement et t'avait fais découvrir tes besoins et tes désirs, je n'aurais probablement pas eu à le supplèer et prendre sa place pour te donner du plaisir. Donc, il est totalement responsable de ce qui arrive, et il doit comme toi, en subir les conséquences ».

Marie ne répond rien et baisse la tête, une nouvelle fois convaincue par les arguments de son maître. Quant à Alban, il a assisté à l'echange verbal entre ses employeurs, silencieusement.
La fin du repas se déroule plus calmement et alors que Marie se lève pour débarasser la table, avant de faire une sieste au soleil, Cello lui annonce :
C.: « Marie pour ton intervention et tes doutes durant le repas, tu seras punie cette après-midi ».

M. : « Bien monsieur, je vous prie encore de m'excusez d'avoir douter, et vous avez raison, je mérite d'être punie ».

Alban est surpris que Marie accepte aussi facilement dêtre punie, mais ce n'est pas son problème, même s'il a beaucoup d'affection pour la soumise de Cello. Marie s'allonge sur un transat et Alban s'approhe d'elle et commence à la masser avec de l'huile solaire. Cello dit à Alban :
C. : «  Alban, tu peux branler Marie, mais en aucun cas, elle ne doit jouir. Je te rappelle qu'elle est punie »
A. : « Bien monsieur Cello ! »
Alban masse, caresse, et branle Marie, mais il s'arrête lorsqu'il voit que celle-ci est au bord de la jouissance, et va nettoyer la piscine. Il procède de la même façon une demi-heure plus tard, quand il la fait se retourner.

Pendant que Marie bronzait, Cello est allé ceuillir un beau bouquet d'orties, qu'il laisse dans le séjour. Marie va vers la pisicine pour se rafraichir, mais Cello dit :
« Non Marie ! Pas de pisicne aujourd'hui ! Je te rappelle que tu es punie, aussi tu vas faire une bonne heure de vélo d'appartement à la place, et si tu ne pédales pas assez vite, tu seras fouettée ».

Avec l'aide d'Alban, Cello transporte le vélo d'appartement sur la terrasse en plein soleil et dit ;
C. : « En pédalant au soleil, tu vas transpirer davantage et perdre plus de calories. Maintenant monte sur le vélo et pédale ma belle, je veux voir la sueur dégoulinée sur ton joli corps ».

Marie commence à pédaler dans un bon rythme. Cello va chercher le bouquet d'orties, et le pose sur la table de la terrasse. Puis il ordonne à Marie de pédaler plus vite, mais celle-ci commence à fatiguer et ne peux augmenter la cadence, alors Cello fouette les fesses de Marie avec le bouquet d'orties, puis il sépare le bouquet en deux et attache une partie des herbes urticantes sur la selle du vélo, l'empéchant ainsi de s'asseoir et l'obligeant à se mettre en danseuse.

Marie est épuisée et ralentie la cadence. Cello s'approche alors de sa protégée et lui caresse les seins avec les orties, Elle grimace mais ne dit rien, et des larmes coulent sur ses joues alors qu'elle accélère légèrement la cadence.

Cello se moque d'elle : « Tu vois de légères caresses sur tes mamelles et tu accélères, mais tu sais tu peux t'asseoir, tu fatigueras moins ».

Marie hoche la tête, mais au bout de deux minutes, épuisée elle se contraint à s'asseoir sur la selle et de poser ses fesses sur le bouquet fourni d'orties. Cello la laisse pédaler ainsi queqlues minutes, puis lui permet de descendre du vélo. De magnifiques cloques marquent les fesses et l'intérieur des cuisses de la belle.

Cello lui ordonne alors :
« Allonge toi sur la table, que je caresse tes gros seins et ensuite Alban te passera une crème apaisante sur le corps ».

Marie regarde Alban et esquisse un sourire à son encontre et s'allonge sur la tale, les mains derrière la tête. Dès que les herbes uricantes touchent sa poitrine, elle frissonne et bougent pour échapper aux caresses mordantes des orties. Cello frotte ses seins ainsi pendant cinq minutes à peu près, mais il s'aperçoit que la belle à légèrement écartée ses cuisses.

« Salope ! Ca t'excite que je stimule tes nichons avec les orties et ici cela t'excite aussi ? »
Et sa phrase à peine terminée, que Cello frotte la chatte de Marie avec les orties. Elle ressert immédiatement ses cuisses, mais trop tard, et elle emprisonne les herbes contre ses lèvres intimes et est contrainte de rouvrir ses cuisses.

Cello jette alors le bouquet par terre, et dit à Alban :
« Occupe-toi de Marie, masse la avec la crème mais ne lui donne pas de plaisir et après tu pourras partir et si tu es trop excité, tu peux te branler et éjaculer sur ses seins, mais pas dans la bouche, elle ne mérite pas de se régaler de ta semence ».

Le jeune homme prend la pommade et masse consciensieusement sa maitresse. Il bande et il finit pas se branler près de Marie, qui le regarde avec gourmandise, mais il éjacule sur la poitine de Marie et étale son sperme sur les seins de la belle. Puis, il aide la femme à se relever et lui fait la bise et salue Cello, avant de quitter les lieux.

Lorsqu'il se retrouve tous les deux, Cello prend Marie dans ses bras et la couvre de baiser et lui dit :
« Si tu ne veux plus être punie, tu dois continuer à me faire confiance. Tu dois être fatiguée, aussi va te reposer sur un transat, je vais préparer le dîner et ensuite nous passerons une soirée en amoureux ».

Marie donne un baiser langoureux à son maître, avant d'aller s'allonger sur un transat.

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