La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -
- Madame La Baronne, veuillez entrer, s’il vous plait…
Elle le suivit, laissant son amie qui attendait son tour. Assise comme je l’étais, sur le rebord du siège, les cuisses très écartées dévoilant ma vulve ornée du gode, la cape descendant de mes épaules sur mes reins, tenue par la laisse, mes seins à la vue de tout le monde, le tout marqués des coups de cravache devenus violets, l’amie de la Baronne ne détachait pas son regard sur moi mais ne disait mot. L’ambiance était lourde, tandis que le Majordome, me tenant toujours par la laisse, feuilletait négligemment des revues posées sur une crédence. Enfin, au bout d’une vingtaine de minutes, l’amie entra dans le cabinet du médecin, nous laissant seuls, Walter et moi dans la salle d’attente. La visite de l’amie ne fut pas longue, car quelques minutes plus tard ce fut notre tour.

- Bonjour Walter, je suis très heureux de recevoir la dernière acquisition de mon vieil ami Monsieur le Marquis d’Evans. Je vais de ce pas dresser le dossier médical de cette nouvelle chienne … C’est ainsi nous aimons nommer ce genre de femelle, n’est-ce pas mon cher ami !, dit le gynécologue dans un air complice envers Walter- C’est ainsi en effet docteur, répondit le Majordome d’un air tout aussi complice.
- Retirez-lui sa cape et toi (me désignant) viens ici que je commence ton dossier.

Le gynécologue était à son bureau, Walter, assis dans un fauteuil de l’autre côté, tandis que je restais debout aux côtés du Majordome.

- Nom, prénom, date de naissance…
Je répondais au médecin qui enregistrait sur son ordinateur mes réponses. Une fois les renseignements administratifs donnés :
- Viens maintenant avec moi, m’ordonna le médecin. Son ton était peu amène, je le suivais…
La toise me mesura, on me pesa, prit mes mensurations, tour de taille, tour de bassin, tour de poitrine. Analyse d’urines sans me cacher, devant faire pipi devant ces Messieurs… prise de la tension artérielle… Examen bucco-dentaire, bouche ouverte bien sûr comme la gueule d’une jument... Palpation des seins, tout y passait méticuleusement.

- Dernières règles ? demanda le gynéco ! - Pilule, stérilet ? - Cycle ovarien ? 28 jours, 30 jours ? - Des maladies ? Rougeole, Rubéole ?

Je répondais à ce questionnaire complètement déshumanisé, comme faisant l’inventaire d’un produit…
- Carnet de vaccinations, demande le médecin à Walter ?
- Je n’ai rien, répondit celui-ci !
- Il faudra me l‘amener la prochaine fois, répondit le gynéco.
- Passons aux visites gynécologiques !

Il me fit m’allonger sur la table d’examens, les jambes reposant sur les étriers, largement ouverte devant lui, assis sur son tabouret et le front ceint d’une lampe. Il retira le gode vaginal, le sentit, le posa et de ma vulve, s’écoula beaucoup de cyprine, au point que le médecin du placer entre mes cuisses, sous mes fesses, plusieurs couches d’essuie-tout. Il introduisit ensuite un speculum qui ouvrit complètement ma vulve. Le médecin, tâtait, regardait, visitait, palpait, prélevait, prenant des notes… mesurait ma profondeur vaginale, la nature de mon col utérin, y introduisant ensuite un endoscope pour visualiser l’intérieur de mon utérus. Il enfila dans ma chatte ses doigts baladeurs et me fit une palpation en règle de chaque paroi vaginale, de mes lèvres intimes, les écartant largement, mais aussi me décapuchonnant mon clitoris, le masturba vicieusement, le fit se dresser... J’en étais trempée … Il récupéra alors dans une éprouvette quelques échantillons de mes secrétions vaginales … Il me faisait changer de position, sur le côté, jambe en l’air, regardant l’intérieur de mon ventre, prenant des photos qu’il mettra dans son dossier… Puis me fit me remettre sur le dos. Il dégagea mon anus, et se montra étonné de la grosseur mais surtout de la longueur du gode anal. Tandis que j’avais toujours la chatte distendue par le speculum, il introduisit dans mon anus un écarteur qu’il ouvrait de plus en plus à l’aide d’une molette. Là aussi, je fus visitée, palpée comme la jument que je devenais, sans état d’âme aucun… Je pensais la visite, quoique plus que complète, arrivant à sa fin, lorsqu’il me fit me mettre à quatre pattes, sur la table d’examens, ce que je fis, mes ouvertures toujours « garnies » d’écarteur et du speculum. Ainsi « forcée », je me vidais de ma cyprine et du sperme du Maître laissé en mes intestins, ce qui ne semblait pas gêner outre mesure le gynécologue qui avait pris la précaution de garnir sa table.

- Ouvre la bouche, chienne, me dit-il !

Pendant que j’ouvrais la bouche, il plaçait sur mon clitoris une sorte de vibro que je ne voyais pas, qu’il régla à la bonne hauteur et qu’il activa depuis son ordinateur. Immédiatement, des vibrations très intenses m’envahirent mais pas en continue. Les vibrations semblaient aléatoires, allant d’une simple vibration, augmentant ensuite fortement, diminuant à nouveau pour « repartir » violemment cette fois. Le vibro obéissant à des ordres transmis depuis l’ordinateur de façon incontrôlables. Le résultat fut fulgurant, car en très peu de temps, j’étais arrivée au bord d’un orgasme qui s’annonçait violent. Le médecin était placé derrière moi, regardant l’intérieur de ma vulve, tandis que la caméra de l’endoscope filmait et enregistrait mes spasmes utérins et que de ma chatte coulaient des torrents de glaire vaginale. Subitement, le vibro devint « fou » au point que je ne pus me retenir de jouir, le médecin enregistrant toujours mes réactions de plaisirs et prenant note des modifications intimes de mon intérieur. Je tremblais de jouissances énormes, quand subitement le vibro s’arrêta. Le médecin se leva et dit :
- Passionnant Walter, passionnant, vraiment. Cette femelle est vraiment étonnante et a certainement des capacités orgasmiques hors norme qu’il faudra utiliser si Monsieur le Marquis veut la posséder complètement. Avez-vous déjà baisé cette femelle ?
- Naturellement, répondit le Majordome !
- Comment l’avez-vous trouvée, vous qui en prenez tant d’autres ?
- Comme vous la décrivez, Monsieur, elle est étonnante car très jouisseuse en effet mais de plus experte en sensations sexuelles qu’elle donne à ceux et celles à qui elle est prêtée.
- Je n’en suis pas étonné à la vue de son anatomie. Ses muscles intimes sont très développés ce qui est rare chez les femelles mais ce qui prouve que lorsqu’elle jouit, elle doit le faire bien plus fortement que le commun des femelles. Son anus même est étonnant, il peut avaler gros voire très gros et long en plus. L’anatomie de votre femelle est étonnante, vraiment ! Une perle rare, sans aucun doute …
Tandis que j’étais toujours à quatre pattes, Walter se leva et dit :
- Lorsqu’elle nous suce par exemple, elle a une façon de faire, personnelle, qui me donne à penser qu’elle contrôle l’envie de celui qu’elle suce, sans qu’il puisse lui éjaculer quand il le décide. Pour être fixé, docteur, vous devriez l’essayer, vous verriez par vous-même !!
- Ah ! Je ne dis pas non, répondit le médecin qui dégrafa son pantalon, baissa son slip, dévoilant une bite de belle taille au gland démesuré et luisant déjà de mouille. A ne pas douter que ça faisait un moment qu’il était excité….
- Faites-en l’expérience, cher toubib, ainsi vous comprendrez mieux.

Disant cela, Walter passa derrière moi. Il ne tarda pas à, lui aussi défaire son pantalon et, exhiber une verge fort raidie. Il s’empressa de la présenter devant ma rondelle et commençait à m’enculer sans ménagement. Devant l’introduction violente de son gros sexe, aussi raide qu’un baobab, je ne pus que glousser, en tentant de me retenir d’avancer sur la table.

- Tu vas sucer le Médecin, ordonna Walter, comme tu sais si bien le faire, petite salope, en lui montrant comment tu contrôles nos jouissances !

En disant son ordre, il me pistonnait sans ménagement, s’enfonçant lourdement en mon ventre qu’il ramonait vertement. Ses coups de reins ravageurs me travaillaient de telle manière que ma chatte, en feu coulait comme une citerne percée. Le gynécologue me présenta son sexe, un bâton bien raide et droit, surmonté d’un gland violacé déjà bien humide. Je baisais ce sexe offert à mes lèvres, en léchait les petites gouttes de liquide qui perlaient de la fente. Le Majordome, lui, se démenait sans prêter la moindre attention à ce que je faisais. Les deux mâles se faisaient face, mon corps à quatre pattes les séparant… J’ouvris la bouche juste ce qu’il fallait pour lécher le gland, passant ma langue autour de celui-ci, le tétant avec dévotion et respect mais en même temps, par les coups de reins de Walter, mon ventre bouillonnait… D’un coup de tête, j’avalais complètement la tige raidie par mes premiers coups de langue ce qui fit dire au gynéco :
- Ah la garce de salope ! En effet, elle sait y faire…
Les larges mains, que dis-je mains, les battoirs de Walter, s’étaient agrippés mes crêtes iliaques ajoutant à ses coups de reins, des reculs violents comme pour m’empaler encore plus profondément sur sa queue qui fouillait mon ventre. Du côté bouche, je poursuivais mon travail, les joues creusées par l’aspiration expiration que j’exerçais sur la bite du médecin, clouant celle-ci sur mon palais, et la léchant de la pointe de ma langue. Je sentais l’un et l’autre approcher ensemble de l’orgasme, quand soudain, ne sachant si cela était concerté, le gynéco se saisit de mes tétines durcies par les envies, tandis que le Majordome commençait une fessée à sa manière. La largeur de la main de Walter, recouvrait l’intégralité d’une de mes fesses, c’est vous dire l’impact qu’elle avait sur moi. Ses coups de reins labouraient mes fesses, distendant mon anus de chienne, tandis que sa main tombait lourdement sur ma fesse droite, la rendant rapidement brûlante, et que le gynéco s’agrippait à mes tétons, ongles enfoncés profondément, sa bite enfoncée jusqu’au fond de mon gosier…. Le Majordome s’exclama dans un grand éclat de rire :
- Regardez docteur, je suis comme le cavalier de la Garde républicaine jouant de ses timbales. Un coup à droite, un coup à gauche.

Il riait grassement, tandis que ses mains, frappaient mes fesses alternativement mais de façon puissante… tantôt ma fesse droite, tantôt la gauche…
(A suivre …)

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