Avenue du Général Leclerc !

- Par l'auteur HDS Raphael-svz -
Auteur homme.
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Récit libertin : Avenue du Général Leclerc ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Avenue du Général Leclerc !
Dans l’après-midi j’avais rendez-vous chez ma copine qui habitais la ville d’à côté. Depuis plusieurs mois déjà nous étions ensemble sans vraiment être ensemble… nous avions des problèmes de communication et sûrement aussi une vision différente de ce que devais être le couple. Je venais comme elle d’avoir 18 ans et je dois bien avouer que je ne m’intéressais aux plaisirs sexuels que depuis peu. J’étais encore vierge et commençais à désespérer de trouver une fille à mon goût pour réaliser une sympathique première fois. Jusqu’au jour où cette fille est venue s’inscrire dans mon club de sport. D’abord distant l’un envers l’autre, nous nous sommes rapprochés rapidement grâce à notre âge identique, et à nos amis communs. Pendant de longues semaines, nous nous tournons autour sans rien laisser paraître. Jusqu’au jour ou cette jolie brune, au caractère bien tranché et à la silhouette sportive commença à se rapprocher un petit peu plus de moi. J’étais encore très timide et n’en profita pas immédiatement. Il me fallu du temps pour me convaincre qu’elle était belle est bien intéressé par ma personne, et que quelque chose était possible entre nous. C’était pour moi le moment d’être courageux et d’aller de l’avant sans plus attendre. J’ai alors laissé entendre à sa meilleure amie de l’époque que j’étais moi aussi sur la même longueur d’onde et que c’était le moment d’organiser un petit rendez-vous. Elle s’exécuta et deux jours plus tard je retrouvais cette fille dans un endroit calme et discret à l’arrière de notre club de sport. Nous avons pas mal discuté de choses et d’autres sans jamais parler de nous deux directement. C’est seulement au bout de très longues minutes que le moment fatidique ou les regards se croisent et se rapprochent fît son apparition. Ma main dans ces cheveux, mes lèvres contre les siennes, nos langues qui s’entremêlent, je l’embrassa fougeusement. J’avais du mal à réaliser car c’était vraiment la première fois que je partageais ce genre de moment. J’avais une érection impressionnante, et comme j’étais en jogging je ne pouvais pas la dissimuler. Elle a très bien pu sentir l’effet de ce baiser, intense et passionnel. En rentrant chez moi ce soir là, la première chose que j’ai fais fût de me soulager par une bonne grosse branlette… et ce fût une des meilleurs de ma vie. Je n’avais pas besoin de support, les images dans ma tête étaient amplement suffisante pour me rendre excité au plus haut point.

Maintenant que vous en savez un petit peu plus sur l’origine de notre rencontre, il faut savoir qu’entre ce mois de juillet et le mois de mars suivant je n’ai pas couché avec cette fille. L’essentiel de nos rencontres étaient au sein de notre club de sport, et nous n’étions jamais seuls. Nous avons pu faire à quelques reprises les préliminaires en se cachant du mieux possible. En effet, elle ne perdait pas une occasion de venir mettre la main à l’intérieur de mon pantalon pour venir toucher, puis branler mon sexe. J’aimais sentir la présence de ses mains fines se refermer autour de mon membre. Pour ma part, pas question non plus de perdre une occasion de visiter sa petite culotte. Je me souviens encore de la chaleur que je ressentais en descendant vers son sexe humide. La sensation de sentir la mouille de sa chatte sur mes doigts était pour moi quelque chose de nouveau. Je me laissais alors aller à de vifs allers-retours pour la mettre totalement sous contrôle. Frustration en revanche de ne pouvoir aller plus loin. Je commençais pourtant à avoir l’intention de passer à la vitesse supérieur et de vaincre ma peur de la première fois. Pourquoi ? Parce que je savais maintenant que c’était possible de coucher avec elle, et parce que je savais qu’elle avait déjà pas mal d’expérience et entendre nos amis communs parler de ses précédentes histoires à l’arrière d’une voiture, ou sur des plages lors de vacances d’été ne me plaisait pas trop. J’avais l’impression d’être en infériorité par rapports aux autres et d’être le seul à ne pas être allé au bout… Je savais aussi qu’elle commençait à en avoir très envie et j’avais peur qu’elle aille voir ailleurs.

Revenons à cette après-midi du mois de mars, elle m’avait informé quelques jours plus tôt que ses parents étaient absent et mise à part son chien personne ne pouvait nous surprendre dans nos moments d’intimité. C’était la première fois que j’allais chez elle et nos derniers échanges de textos ne laissaient pas grands doutes sur l’issue de cette journée. J’avais des craintes sur le fait de ne pas assurer pour cette première, de ne pas tenir assez longtemps, de ne pas savoir mettre correctement ou assez rapidement la capote, de mal m’y prendre. Pour essayer de me préparer au mieux, je m’étais longuement branlé le matin afin d’être moins excité pendant l’acte. J’espérais ainsi tenir plus longtemps, et cela s’avéra très utile. J’avais acheté des préservatifs et j’avais fais un ou deux essais pour ne pas donner l’impression de mettre une éternité à les enfiler. Pour cette partie en revanche, vous verrez que cela ne m’a pas énormément servi. Puis une bonne douche, propreté oblige… avant de me mettre en route. Après quinze minutes de train, me voilà à deux rues de chez elle. Les jambes quelques peu tremblantes j’étais devant sa porte. J’avais un message sur mon téléphone, « rentre vite au chaud quand tu arrives, il fait froid dehors ». Je m’exécuta et franchi le portail d’entrée, une fois le jardin traversé j’aperçu son chien à l’entrée du pavillon. Elle m’attendais, coiffé d’un jolie chignon, maquillé juste comme il faut pour être classe et désirable sans tomber dans l’excès, vêtue d’un jolie décolleté et d’un jean très moulant. Elle était très bavarde cette après-midi là, je pense un petit peu stressé également, car elle savait que d’ici peu les choses sérieuses allaient pouvoir débuter. Elle me fît visiter sa maison, nous sommes restés dans sa cuisine une dizaine de minute pour boire un verre, et manger une part de gâteau qu’elle avait préparé… avant de se diriger vers sa chambre qui n’était pas très grande mais qui avait le point positif de posséder un joli lit double. Je posa mon sac à dos sur le sol, ôta mon pull et me posa sur son lit. Elle ne tarda pas à me rejoindre, et proposa de regarder un film sur son ordinateur portable.

Inutile de vous préciser que le film n’a pas retenu toute mon attention. Très vite, j’ai passé mon bras autour de son cou, et durant de longues minutes, nos bouches restèrent coller l’une à l’autre. Je l’ai prise dans mes bras pour la serrer très fort, elle dû alors sentir pour la première fois mon sexe, bien dure contre elle. Nous n’étions pas encore sous les draps, mais c’était une question de minutes. Le son du film était gênant et ne permettait pas de bien se concentrer sur l’essentiel. J’ai mis la lecture sur pause, pendant qu’elle fermait les volets à moitié, et qu’elle enclencha une musique sur son ampli. Elle me sauta dans les bras en revenant sur le lit, puis me grimpa dessus. Tout en continuant à m’embrasser elle enleva la boucle de ma ceinture, et les premières pressions de mon jean. J’ai alors senti sa main se faufiler à l’intérieur de mon caleçon pour venir à la rencontre de mon sexe. Comme je l’avais prévu c’est elle qui souhaite prendre l’avantage, et me montrer son côté dominatrice. Je ne voulais pas me laisser faire, et lui montrer que j’étais bien présent. Je ne lui laissa pas le temps d’ôter mon caleçon, je la retourna sur le lit et tout en l’embrassant, commença à lui caresser les seins. Je descendis petit à petit avec ma langue jusqu’à les embrasser au travers de son petit haut. La pression commençait à monter, je pris l’initiative en premier de me débarrasser de mon jean, afin d’être plus à l’aise de mes mouvements, elle en fît de même avec son haut. J’avais désormais une vue plongeante sur ses seins, et il ne me restait plus qu’à dégrafer son soutien-george.
Je ne perdis pas de temps pour réaliser cette action, pouvant ainsi la peloter à même la peau. J’imaginais sa poitrine plus imposante, mais je me suis laissé tromper par les artifices des ces vêtements. Je donna des coups de langues répétés sur et autour de ses tétons qui étaient devenus bien dures. Je pris même la liberté de les mordiller doucement. Ses mains tenaient mes cheveux, ses ongles venaient par moment légèrement pénétrer ma peau.

Elle se releva, et me fît comprendre qu’elle allait reprendre main, me faisant signe de m’allonger sur le dos. Sa main retourna au fond de mon caleçon, cette fois de manière plus dynamique et intense. Elle branla mon sexe à vive allure, vite trop vite peut être car il n’était pas encore humide. Elle ôta mon bas pour prendre en bouche ma queue que j’avais rarement vu si énorme. Plutôt satisfaite de ce qu’elle venait de découvrir, elle commença un cheminement de langue partant du bas de mon sexe, pour se terminer à la pointe de mon gland. Elle répéta cela des dizaines de fois avant de totalement l’introduire dans sa bouche. Elle l’entoura de coups de langue, prenant soin de bien saliver dessus avant de le branler de nouveau sur un rythme soutenu. Elle me prépara l’engin avec précision et détermination, on pouvait voir sur son visage qu’elle aimait cela, et que sucer était un plaisir. Voulant lui rendre la politesse sans la brusquer, j’attendis que ses mains, sa langue et sa bouche libère mon membre, mais cela tardait à venir. Aussi bien qu’à un moment sans réellement pouvoir contrôler mon corps, ni mes mots, j’hurla « Ohhhhhhh je vais jouir là » ! J’ai réalisé en l’espace de trois secondes qu’il était impossible de me retenir, deux grosses giclées de sperme firent leur apparition alors qu’elle était en train de me masturber. Elle avait pris le soin de se mettre sur le côté pour ne pas en avoir sur elle. Les draps en revanche n’avaient pu être épargnés. J’étais aux anges, mais gênés de cette situation, alors je suis rapidement allé aux toilettes pour m’essuyer. Je retourna dans la chambre et la trouva allongés sur le lit, totalement à poil. Elle avait profité de mon absence pour retirer son string blanc à dentelle devenu trop humide. Et elle me dit, maintenant « A toi de me faire jouir ? » !

Géné d’avoir déjà offert mon sperme, je prenais mon temps pour bien faire les choses. J’avais espoir de pouvoir éventuellement gicler à nouveau plus tard. J’introduis deux doigts dans sa bouche pour obtenir de la salive, puis direction sa chatte humide qui n‘attendait que ça. Un doigt, quelques allers-retours, puis deux. En l’espace de quelques secondes je commençais à lui faire perdre le contrôle. Elle s’accrochait aux barreaux de la tête de lit, j’avais fais se rejoindre mes deux doigts et je formais des petits cercles à l’intérieur de sa chatte pour la dilater du mieux possible. Je l’embrasse dans le cou, puis sur le ventre, jusqu’à arriver au niveau de son clitoris. Je m’empressa d’y passer ma langue, puis de l’aspirer avec ma bouche. Elle adorait. Je débuta alors mon tout premier cunni, je ne savais pas trop comment faire, j’étais à la fois perturbé par cette chatte qui était devant moi, par cette mouille qui se mélangeait à ma salive et par cette odeur corporelle qui se dégageait de son sexe. Trop d’informations et de choses à gérer en même temps. J’ai été basique, et n’ai pas réussi à lui donner le maximum de plaisir. Cependant j’avais de nouveau le sexe dur, et même si il me tirait légèrement je savais qu’il pouvait reprendre du service.

Elle avait placé un préservatif sur sa table de nuit, au moment ou je l’attrapa, elle me dit « Non, allonge toi je m’en occupe ». Elle pris de nouveau mon sexe en bouche en me disant « Cette fois, il sent l’homme, j’adore ! ». Elle déroula le morceaux de plastique le long de mon sexe, l’odeur du lubrifiant avait envahi la pièce. Elle me demanda si j’étais prêt, à cette question je répondis un « Oui » très vif, très rapide… comme la suppliant de ne plus tarder à venir s’empaler sur moi. Elle réalisa des mouvements très doux, venant tout d’abord effleurer le bout de mon gland avec sa chatte, puis elle s’y posa légèrement sans toutefois se relâcher et laisser reposer son corps. De millimètre en millimètre la pénétration progressa. Elle abaissa son buste à trois reprises pour véritablement me sentir en elle, puis se releva. Là elle me dit « C’est bon je suis prête… ». Elle retourna cette fois s’assoir totalement sur mon sexe que je vis disparaître dans sa chatte. Elle y resta quelques instants retombant sur moi pour m’embrasser. Je me sentais vraiment bien, et à l’instant présent soulagé de savoir qu’ayant déjà giclé il y a peu, j’avais cette fois du temps devant moi. Elle soulevait ses fesses, pour cadencer cette position qu’elle semblait adorer. Elle avait le pouvoir de choisir la vitesse, j’étais totalement sous l’emprise de ses choix. Elle n’alla jamais très vite, profitant de cette première position pour prendre ses marques et surtout pour me permettre de bien réaliser le moment présent.

La deuxième position fût simplement le missionnaire. Il est parfois bon de commencer simplement. Cette fois au dessus d’elle, j’ai pu pour la première fois de ma vie décider du moment ou mon sexe allait rentrer dans celui d’une fille. Comme elle, je pris mon temps pour profiter de cet instant sans me brusquer et sans la brusquer. Je n’ai toutefois pas pu résister si longtemps pour prendre de la vitesse, préservatif oblige je ne la sentais pas si bien que je l’imaginais. Ce qui fût une petite déception. Le bout de plastique brûlait l’extrémité de mon gland, et je ne pouvais pas profiter de sa mouille pour faciliter ma pénétration, car le lubrifiant à rapidement plus fait son effet. Cela a eu pour conséquence de l’assécher plus vite que prévu. Je décida donc de mettre un nouveau préservatif, pour repartir sur de bonnes bases. Elle profita elle de ce temps mort, pour venir me ravigoter mon érection à grands coups de langue. Assis sur le rebord du lit, elle à mes pieds, je sentais la salive et la chaleur de sa langue envahir la peau de mes bourses qu’elle aspiraient l’une après l’autre. Une fois la capote en place, elle vint se rassoir sur moi, le nez dans sa poitrine j’avais tout loisir d’à nouveau mordiller ses tétons. Cette position dura plus longtemps que prévu car je pouvais sentir la profondeur de son vagin, et surtout entendre ses soupirs de plus en plus prononcés. Elle n’était pas très loin de jouir et je ne voulais pas rater cela. Je recula alors de quelques centimètre pour venir me remettre sur le dos, en la faisant basculer sur mon corps. J’ai cadencé cette position en lui serrant mes bras autour de son corps pour qu’elle ne puisse pas se relever. D’abord silencieuse dans les premiers coups de sexe, elle ne pouvais plus se retenir et commença à vraiment crier fort, au point d’en dépasser le volume de la musique. N’arrêtant pas de la marteler de coups de bite, elle ne pu se retenir de jouir. Je sentis alors un petit ruisseau de mouille descendre le long de mes bourses. C’était vraiment l’extase.

Quelques instants de tendresse avec des bisous sur le corps, des caresses sensuelles dans les entres jambes et c’était pour moi le moment de venir jouir une deuxième fois. Je ne voulais pas ôter le préservatif pour terminer sur son corps, ou sur son visage pour cette première expérience. J’avais la détermination de jouir en elle (enfin dans la capote). Je commença à me mettre sur le côté pour la prendre en cuillère. Elle semblait véritablement apprécier cela, une main sur ses fasses j’en profitais pour lui administrer quelques claques sur son postérieur. Mon excitation grandissante fît apparaître l’empreinte de ma main sur son cul tout blanc. Je lui demande de se mettre en levrette, ce qu’elle s’empressa de faire. Sans me faire prier je la pénétra vigoureusement, en débutant sur un rythme soutenu. J’avais pu saisir son sein gauche, pendant que mon autre main tenait ses hanches. Je pouvais sentir le bout de mon gland frapper la paroi de son vagin et c’était tellement bon. Je continuais par lui tirer les cheveux, elle poussait de nouveau des petits cris qui ne rendait mon sexe que plus dure encore. C’est à ce moment là que le lit à commençait à grincer et je ne sais pas pourquoi mais cela m’a donné envie d’y aller encore plus fortement. C’est là que j’ai éjaculé pour la seconde fois, sans me retenir de lâcher un gémissement de plaisir.

Je me retira d’elle rapidement, en m’éclipsant pour aller jetter la capote pleine de foutre. Avant de la rejoindre sous la douche pour un moment de relaxation d’après effort. J’avais des étoiles pleins les yeux de cette première expérience. L’envie de recommencer et d’être plus performant. Je n’avais en revanche pas encore l’avis de cette belle et ténébreuse brune. Je n’avais pas le courage de lui demander en face, il faudra donc attendre l’échange de message plus tard dans la soirée. Dans tous les cas cette histoire n’est pas terminé. Ce que je peux vous dire ce que j’écrirais à nouveau sur cette fille, et vous pourrez découvrir ce qui s’est passé environ 6 mois plus tard… et presque 10 ans après. Les rôles s’inversent, le plaisir reste le même, enfin non que dis-je… le plaisir n’est que meilleur.

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