Martial - 4

- Par l'auteur HDS Zorba le grec -
Auteur homme.
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Récit libertin : Martial - 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-11-2017 dans la catégorie Plus on est
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Martial - 4
Avec Martial nous retournâmes au salon .
-T'as pas une bière , j'ai une soif ,bon dieu elle est bonne ta femme ,il faudra préparer un petit plat avec de l'huile si possible d'olive pour l'aider à nous recevoir de nouveau avec tout ce qu'elle à mouiller sa pourra l'aider elle risque d'être un peu sèche pour la suite.
-Ben mon salop avec ce que tu lui a mis je doute qu'elle en ait encore envie et moi avec ma bite dresser prête à me pisser dans la figure je vais devoir me branler.
-T'es fou, c'est une bombe ta femme, laisse là se reposer un peu et tu verras, tu passeras le premier, ta bite étant plus petite ça ne lui fera que du bien pour que je repasse après.
-Mon con, avec les deux giclées que tu lui as mis tu en as encore envie -Et comment elle est bonne et tu n'as pas tout vu aujourd'hui tu vas connaître ta femme côté sexuel , et j'ai amené un flacon de Poppers .
-qu'est ce que c'est?
-Un vasodilatateur ça sert d'excitant et ça dilate les artères et les muscles ce qui fais que les muscles de sa chatte vont se relâcher et elle nous acceptera facilement dans son ventre ,va préparer la petite assiette d'huile ,mais il faudra la montée discrètement.
Je me doutais un peu de ses intentions mais ce n'étais pas pour me déplaire; surtout que du côté pile elle ne me laissait pas faire, mais je ne pipais pas mot faisant semblant de pas avoir compris pour voir comment il s'y prendrait, j'allais donc à la cuisine préparer l'assiette d'huile d'olive et nous remontâmes moi avec l'huile et lui avec le Poppers.
Arrivés dans la chambre il me fit signe de ne pas faire de bruit, il cacha sous le lit les deux ingrédients. Commence à l'embrasser doucement comme tu as l'habitude, et comme elle aime, comme c'est toi, elle te laissera faire sans problème, et quand tu la sens détendue suce lui le bout des seins, moi je m'occuperais le moment venu de sa chatte avec l'huile. Mon idée de la sodomie était telle fausse, il ne parlait que de lui huiler la chatte ,je devais me faire des idées sur ses intentions de sodomie bien que tout à l'heure il eut tenté de la prendre de ce côté.

Elle était allongée sur le ventre, bras et jambes écartées, cela faisait bien une heure que martial s'était retiré de son vagin et il était toujours grand ouvert ,du sperme s'en écoulait encore un peu c'était une invitation bien tentante pour ma bite en feu et dure, je n'avais toujours pas ni éjaculé ni débandé, il faut dire que j'avais pris du viagra pour cette après midi de baise. Mais je me retenais encore et je m'allongeais près d'elle et commençais à lui caresser doucement le dos, commençant par les épaules, lui embrassant le cou, lui passant la langue derrière l'oreille en lui mordillant le lobe je savais que cela la faisait frémir,je descendais maintenant le long de sa colonne vertébrale à la naissance des reins , je me serrais contre elle.
-Tu bandes dur mon salop t'as aimé me voir faire démonter par ton copain hein?
Elle me disait cela dans un demi sommeil,elle était comme droguée -OUI, te voir baiser comme une salope j'aimeJ'en profitais pour lui caresser les fesses et la chatte ,elle se retourna sur le dos les jambes toujours grandes écartées elle devait avoir de la peine à les refermées avec le morceau de chair qu'elle c'était envoyée entre elles.
Je commençais à lui sucer la pointes des seins -Viens au dessus de ma bouche chevauche moi que je te suce-Mais vas y doucement sinon je vais jouir, et je veux jouir dans ta chatte, mélangé mon foutre avec celui de Martial-Il est ^déjà parti?
-Non il se repose il a encore envie de toiCette réponse lui donna un coup de fouet ,elle m'en-boucha, commença à me sucer en me caressant les couilles qui pendaient au dessus de son visage, je lui suçais la pointe de ses seins à tours de rôle ,caressant de ma main celui qui restait libre.
Martial s'était accroupit entre le mur et le bord du lit, se releva et s'enduit un doigt d’huile, il commença à caresser son clito dur et violacé toujours sorti de sa coiffe preuve qu'elle était prête pour une deuxième volée de bois dur , Instinctivement ses jambes se relevèrent ses cuisses se replièrent sur son abdomen s'offrant à la caresse du doigt.Je regardait incrédule cette libido de mon épouse ,je vis le doigts puis les doigts enduit d'huile caresser les lèvres extérieurs puis tout doucement les lèvres intérieurs,il la caressait par des mouvements lents et rotatifs elle me dé-boucha pour laisser échapper-continue Martial, putain comme c'est bon ça lui fais du bien il lui enfila trois puis quatre, puis la main tenta de s'introduire dans ce vagin qui était maintenant complètement dilaté par l'envie ,elle redevenait une femelle en rut, si elle n'avait pas été ménopausée elle aurait été prête à se faire engrosser par le premier venu.
Comme elle m'avait sorti de sa bouche pour lui dire de continuer Martial en profita pour la saisir par la taille pour l'amener au bord du lit comme tout à l'heure au bord du canapé,j'avais peur qu'il ne la possède de nouveau avant moi, mais cette fois il appliqua sa bouche sur le sexe de mon épouse et se mit a la fouiller de sa langue par moment aspirant les restes de leurs copulation.
Je voyais sa mains caresser la partie qui séparait le vagin de l'anus, et les doigts toujours bien huilés tenter de s'introduire dans la partie le plus intime de ma femme.
Un OOH ,de ma femme la bouche toujours prise par mon sexe, m'indiqua qu'il avait réussi à lui faire accepter cette caresse anale. Il la pistonnait lentement tout en lui bouffant la chatte avec des mouvements de va et viens et par des mouvement rotatif il lui éprouvait l'élasticité rectale au bout de dix minutes de ce traitement il introduisit un deuxième puis quelque temps après un troisième doigt élargissant ce passage aussi.Elle y prenait goût elle me suçait de plus en plus vite, le souffle plus court, je faisais tout les efforts du monde pour ne pas jouir .Elle me sorti de sa bouche-Prends moi chéri c'est toi que je veux en premier ça passera plus facilement,j'ai un peu peur que la queue de ton copain me fasse mal!
La cochonne elle n'était pas rassasier il lui fallait en deuxième la queue de Martial, bon je l'avais voulu et il faut dire que ça ne me déplaisait pas.Je me relevais pour venir la prendre au borddu lit,Martial m'arrêta .
-Attends, toi couche toi au bord du lit avec les jambes grandes ouvertes et pendantes auniveau des genoux ta femme s'empale et te chevauche ,comme ça je pourrais bien vous filmer .
L'idée étant bonne, ma femme ayant envie de garder un souvenir de cette journée nous nous pliâmes à son désir; mon épouse vint s'empaler, je fus surpris le vagin était tellement dilaté que je ne sentais que sa chaleur; au moment ou elle commençait à monter et descendre sur mon vit, Martial intervint-Mettez vous un peu plus au bord du lit, ce sera mieux pour le film, le gros plan sera meilleur, encore un peu, comme ça ça va, ce sera super .
Elle commença à allez et venir, mais elle était tellement élargie qu'il faudrait un moment avant que je jouisse le viagra aidant,et mon passage la veille chez Annick avec mes trois vidanges dans son cul m'aidant à retarder l'éjaculation.
Je la pris par le cou pour l'embrasser, elle se baissa pour rejoindre ma bouche offrant ainsi son cul à Martial qui y introduisit deux, puis trois doigts, la pistonnant par derrière, tout en continuant à filmer de sa main libre.La surprise passé ,elle nous fit comprendre qu'elle appréciait cette nouvelle caresse,ondulant tout ce qu'elle pouvait et s'astiquant de plus en plus fort sur ma queue, je sentais les doigts de Martial à travers la paroi qui séparait les deux cavités.
Les doigts se retirèrent, je pensait qu'il était fatigué ,mais sa queue vint buter l'entrée du vagin et d'une poussé il en introduisit une bonne partie malgré ma bite, plus que la première fois la chatte étant bien élargie, comme la première fois, le gland étant passé, il jouit, rendant ce canal aussi glissant et gluant qu'un terrain boueux.
Elle devenait folle, m'embrassant me mordant le visage.
-allez y salops engrossez moi tout les deux ,elle voulait du sperme et comme à son habitudeMartial sa vidange terminée il reprit sa poussée lui éclatant le con sous la dilatation de nos deux queue, elle ,au lieu de crier qu 'elle avait mal, gueulait qu'elle en voulait encore plus profond qu'elle voulait être engrossée par nos deux queues, une digue de la bite.
Elle me disait dans un souffle et entre deux respirations courtes.
-Va …..VAVA......SY …..JOU.......JOUIIIIIIT ….....ME........ MEME........LANGE …......TON......SPER..........SPERME ….....A...........CE...LUI DE MARTIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAL.
De la voir jouir comme ça je lui lâchait ma purée, j'avais l'impression que ton mon corps se vidait en des soubresauts dans son ventre.Puis peu à peu ma bite se ramollit et Martial d'une dernière poussée s'introduisit complètement en m'expulsant de ce nid qu'il avait maintenant fait sien, ma queue satisfaite retomba toute flasque sur mes couilles qui étaient à présent vides.
J'étais à présent coincé sous les deux amants, mon pote était enfiler dans ma femme en levrette ,il n'arrêtait pas de répéter-Qu'elle salope même en levrette elle l'avale toutMa femme me roulait des pelles, me disant, merci, merci...... ils étaient tout les deux en sueur, cela faisait une demie heure que je l'avais enfilée ,et elle n'était toujours pas crevée, Maintenant Martial ;lâchait ses coups sans se retenir, venant claquer les cuisses de mon épouse de ses grosses couilles et le cul de son bas ventre .
Il ralentit presque à s'arrêter et d'une main me passa la fiole de Poppers
-Tiens fais lui respirer on va l'exciter encore plus maintenant tu vas connaître ta femme et elle va se découvrir et écarte lui les fesses de tes deux mains que je puisse apprécier ma saillie
Il reprit le rythme endiablé, faisant gueuler ma femme à chaque fois qu'il claquait son cul lui touchant le bassin ,mais elle secouait la tête et allait à la rencontre de ce chibre monstrueux l'avalant entièrement en disant.

-JOUIS PAS MAINTENANT J'EN VEUX ENCORE ENCORE ENCORE.........
-Te fais pas de soucis ma belle ce n'est que le débutCoincé sous eux je réussi à ouvrir le flacon, ma femme ayant les yeux fermés pour apprécier sa copulation ne se rendit compte de rien.Je le lui passait sous le nez pendant deux à trois minutes.
Je n'avais plus la notion du temps. Elle devint une véritable furie disant qu'elle en voulait une autre, cette foi c'était elle qui rythmais la copulation ,VASY maintenant, écarte lui les fesses que je me régaleJe m’exécutais prenant ses deux lobes à deux mains j'écartais le plus que je pouvais ses fesses -PUTAIN c'est beau ?quel cul ,quelle rosette Et il lui ficha ses trois doigts dans le cul tout en continuant de lui limer la chatte elle se mit a couiner -OUI OUI OUI...........
Il ressortit de son vagin, ce qui fit pousser un râle de déception à mon épouse-OH NON PAS MAINTENANTil ne dit rien,, sans avertir positionna son gland et sans qu'elle eut le temps de réagir investit son anus, malgré le Poppers qui dilate spécialement cette partie du corps sous la brusque intrusion, elle dût resserrer ses muscles anaux ce qui bloqua la progression du membre.
-SALAUD IL EST ENTRAIN DE M'ENCULER? NOOON PAS DE CE COTE LA.
Des larmes se mirent à couler .
-Arrête tes conneries Martial tu lui fais mal !
-C'est rien tu verras elle va aimer laisse moi faire ce n'est pas la première que je dépucelle de ce côté là.
Et comme à chaque fois qu'il investissait un canal, cela libérait une rapide jouissance mais qui le laissait aussi dur qu'à l'introduction ce qui lubrifiait le passage pour son gourdin. Il resta fiché  en elle 3à4minutes avec le gland à l’intérieur du sphincter, le temps de se vider et de reprendre ses esprits ,Il commença un lent mouvement de rotation du bassin pour lui assouplir les chairs elle commençait à s'habituer à cette présence, elle ne pleurait plus, de nouveau sans avertir, il lui appuya de ses deux mais sur les reins, ce qui lui fit relever les fesses, dans un mouvement de fuite à la place de reculer elle s'empala un peu plus sur sa bite, Dans ce mouvement de recul une quinzaine de cm de plus lui pénétra l'intestin il ne restait plus qu'une dizaine de cm à l'extérieur .
Moi coincé sous eux j'assistais à la lente agonie rectale de mon épouse cette fois j'étais sur quelle ne serait plus vierge de ce côté làIl débuta un léger mouvement presque imperceptible en toute en faisant une rotation avec son bassin pour détendre les muscles du sphincter.
-Fais lui respirer un peu de Poppers-Qu'est ce que c'est?
-Ça va détendre tes muscles-Mais je veux pas être enculée -Au point ou tu en est, autant que tu y goûtes jusqu'au bout, tu vas aimer je te le promets, et moi j'adore jouir dans un cul, tu vas pas me refuser ça, tout à l'heure tu voulais que je t'engrosse, et puis après mon passage tu pourras l'offrir à ton mari il aime çaTout en parlant il investissait peu à peu son fondement ,Avec le Poppers elle ne s'en rendit même pas compte, si bien qu'il vint se coller contre ses fesses, elle se rendit compte qu'il l'avait totalement investie, et qu'il la possédait par son cul, quand elle sentie ses deux couilles contre ses cuisses. Elle se pencha pour m'embrasser ce qui lui fit relever le cul permettant à Martial de se coller complètement à elle et en elle
-Caresse lui le clito et la chatte, mais doucement , mais sans la pénétrer.
Je fis ce qu'il me disait, au bout de 5 minutes de ce traitement, moi lui excitant le clito et ses lèvres intérieurs et extérieurs, avec Martial fiché en elle jusqu'au couilles sans bouger elle commença à ronronner c'est alors que Martial commença un lent va et viens.
-Putain je croyais pas que ça pouvait être aussi bon ce con de portugais qui ma dépuceler m'avait déchirée.
C'est ainsi que j'appris que son mec marié qui l'avait dépucelée lui avait pété le cul comme un connard. C'est aveu surprise sous le plaisir de sa queue, fit accélérer Martial, je ne voyais rien sous eux, ,mais j'imaginais le cul complètement dilaté de ma femme, et les 25 cm minimum de Martial qui rentraient complètement en elle ,me fit bander d'un seul coup ,ma bite se releva et devint pareil à de la pierre Cela faisait bien un quart d'heure que Martial était dans ses reins, et le plaisir commençait à arriver par vague ,je le lisais sur son visage, sa tête commençait à dodeliner de droite et de gauche, et un oui encore ou un oui vas y ponctuait chaque fois que Martial venait taper contre ses cuisses avec ses couilles .
Je réussis à glisser ma main jusqu'à mon sexe, je glissait doucement pour remonter à hauteur de son vagin ,je redressais ma queue, et investis d'une seule poussée ce con qui c'était mis à dégouliner de nouveau sous mes caresses clitoridiennes et sur la possession de son cul par Martial Elle était prise des deux côtés, je sentais la queue de Martial de l'autre côté de la paroi de chair qui nous séparaient j'attendais qu'il ressorte pour l'investir de nouveau, si j'avais pu je lui aurais rentré aussi les couilles, nous avions pris un rythme parfait Martial et moi; comme une horloge bien réglée, tic, tac ,tic ,tac, quand il s'enfonçait dans son cul, je ressortait, et quand il ressortait je m'enfonçais dans son vagin .
-Bon dieu c'est bon, j'aime être votre pute, baisez moi comme une salope, je suis votre salopeelle me bouffait littéralement la bouche et entre deux pelles ,elle me disait-Tu l'aimes ta petite femme , tu vois je suis petite, mais j’avale les grosses et maintenant les grosses je les prends aussi dans mon cul tu la sens celle qui est dans mon cul dis tu la sens,vous êtes deux salops, et toi mon amour, encore plus que ton copain ,parce que je suis ta femme et tu m'as donnée comme une pute dis que tu l'aimes ta pute -Et comment que je l'aime ma petite chérie , ma pute d'amour, vas y plus fort Martial, elle aime ce faire casser le cul maintenant -Tu vois je te l'avais dit qu'elle allait aimer-Je ne sais pas comment tu fais, une demie heure que tu la limes, et tu n'as pas encore jouis -J'attends qu'elle en ait assez ,mais ça lui plaît trop on va y passer la nuit .
Je me retenais le plus possible , cela faisait bientôt 30minutes que Martial lui besognais l'anus et bien un quart d'heure qu'elle jouissait du cul,elle demanda grâce.Ce qui me permit de sortir avant de jouir juste à temps, deux minutes de plus et je lui lâchais mon foutre.
Nous ressortîmes tout les deux en même temps de son corps dans un bruit de pet,mais c'était ses deux réceptacles complètement distendus qui laissait échappés l'air qui était entré durant la copulation elle tomba sur le côté en fœtus ,je lui écartais les fesses, je restais bouche-bée devant les dégâts, il restait ouvert ,une ouverture d'une pièce de 2 euros, et tout autour de ce trou ,la chair était rouge vif comme en sang.
-Tu aimes voir me faire baiser, te sentir cocu hein?
- Te fais pas de soucis ma femme fait pareil et elle me dit pareil par moments.
Martial était allongé près d'elle, sa tête reposait sur la poitrine velue du martiniquais, elle avait sa bite à la main le branlant doucement. Une pointe de jalousie me traversa l'esprit pas parce qu'il l'avait possédée par tout ses orifices non , mais par son abandons sur sa poitrine ils étaient comme un vieux couple -Chéri tu vas me chercher un verre d'eau-OK J'en profitais pour aller pisser ce qui me fit débander un peu j'en avais besoin .

Quand je remontais elle suçait mon pote et le branlait d'une main ,il lui en fallait encore , je pris la caméra et filmais.
-Mets toi à quatre pattes sur le côté comme ça je peux filmer ta pipe et ton cul ouvert, putain qu'est ce qu'il ta mis il ne se referme pas-Je m'en fou, je n'ai jamais autant jouis putain quel pied ce gourdin dans le cul et ta bite d'amour dans la chatte je me suis sentie une vraie pute et j'ai aimé ,et toi aussi chéri tu as aimé .
-Mets toi comme tout à l'heure je vais caler la caméra pour nous filmer-Fatima mets toi sur lui; avance un peu,parfait le cul de ta femme est en gros plan-Ça tourne-Mais je bande pas encore -Quand tu verras la grimace de ta femme qu'en je lui prends le cul tu vas avoir de nouveau latrique-salaud tu vas pas me faire mal?
-avec le cul dilaté que tu as, plus un peu de Poppers, ça va passer tout seul tu verrasElle se pencha sur moi pour m'embrasser ,je t'aime tu es mon amour, et elle prit possession de ma bouche, ce faisant elle baissa son buste, releva son cul pour l'offrir à Martial;il y glissa trois doigts enduit d'huile s'en enduit la queue et repris possession de ce qui lui appartenait tout à l'heure.
Le HUUUMMMM qu'elle laissa échapper me fit comprendre elle l'encaissait sans douleur et avec plaisir , cette fois il ne lui lâcha pas son jus tout de suite comme il le faisait normalement, il entrepris aussitôt son va et viens dans les reins de ma femme.
De les voir baiser de nouveau ,l'envie de participer me rendit ma vigueur, et je m'introduisis dans la douce moiteur de son vagin qui m’accueillit avec un bruit de succion .
Nous reprîmes notre rythme; tic, tac ,tic ,tac, l'horloge se remit à fonctionner au grand plaisir de notre hôtesse qui ahanait sous les coups de boutoirs des bâtons de chair qui ne demandaient que de déverser leurs plaisirs au plus profond de ce corps qui était fait pour donner du plaisir .
-Viens change de position viens prendre son cul.
Nous sortîmes de nos antres presque à regret, surtout de ma femme qui vit s'interrompre un rythme bien réglé alors que sa jouissance avait repris tout autour de son bassin.
Martial s'allongea ,elle vint le chevaucher, je réglais de nouveau la caméra pour avoir une belle vue sur le fessier de mon épouse ,et sur nos queue qui allaient de nouveau la perforer, une fois régler,elle s'empala avec une satisfaction non feinte sur la pique de mon frère de sexe, cette fois elle avala ce gourdin sans aucune difficulté, il disparu dans son ventre ne laissant apparaître que les deux couilles et le liquide blanchâtre qu'il venait de lâcher, pour lubrifier le canal du plaisir comme il disait, mais si elle avait put elle aurait aussi avalée les deux boules reproductrices.
Elle ne s’inquiéta plus, elle savait que son étalon lui enverrait sa deuxième giclée au moment ou elle même atteindrait le paroxysme de sa propre jouissance.
Comme pour moi elle baissa ces épaules pour l'embrasser pour la première fois à pleine bouche , me rendant jaloux de se baiser,elle releva son cul pour me l'offrir plus besoin de l'oindre d'huile il était largement ouvert et ses muscles anaux étaient maintenant habitués à être violés.
Je positionnais mon gland à l'entrée, et poussais d'un grand coup de rein mon sexe au fond de ses reins, mes couilles vinrent frapper ses cuisses, je restais en butée au plus profond que je pouvais de mes 17cm dans so fondement , j'appréciais la première sodomie sur mon épouseNos deux sexes la remplissait étant les deux en butée, nous sentions le sexe de l'autre de chaque côté de la fine paroi de chair, Martial commença le premier le va et viens, il ressorti à l'orée des grandes lèvres pour replonger de nouveau , au moment ou je sentis la poussée de la pénétrationje me retirais à l'entrée de l'anus et le tic,tac,tic,tac ,Le rythme de l'horloge repris de plus belle, durant toute la copulation elle embrassa Martial, me rendant jaloux, il faudra que je le lui dise que je n'aies pas aimé.Qu'elle donne son cul d'accord mais sa bouche m'appartient.
Nous profitâmes ainsi de son corps pendant au moins vingt minutes encore avant qu'elle ne demande grâce nous entraînant dans sa jouissance finale, nos deux semences vinrent frapper en même temps le fond de son ventre lui arrachant un AAARRRRRH de jouissance ultime.

Elle se laissa tombée sur le côté, s'arrachant de nos deux sexes qui retombaient tout flasques laissant couler le dernier filet de sperme sur le drap.

-Trop bon la grande dans la chatte, le petite dans le cul, cette fois c'était merveilleux, parfaitNous nous allongeâmes tout le trois dans le lit elle au milieu , cette fois elle vint se serrée contre moi ,chéri toi dans mon cul, tu es trop bon, ta queue est parfaite,même pas mal, que du plaisir, si j'avais su je te l'aurais donné avant.
Je regrettais mon manque d'expérience et que se soi un autre qui lui fasse connaître le plaisir de la sodomie.
-Bon il va falloir que je vous quitte ma femme n'aime pas que je découche mais j'aimerai encore une fois t'honorer Fatima-Je suis crevée,Elle se tourna vers moi posa sa tête sur ma poitrine, se mit en position de fœtus leva la jambe-Pas dans le cul, maintenant je le réserve à mon mariPendant qu'il la pénétrait en prenant possession de son vagin elle m'offrit sa bouche en fermant les yeux. Cette fois il ne mit pas un quart d'heure pour jouir, quand il se retira de son ventre elle dormait en souriant ah quoi rêvait elle.?
Martial se leva -Bon j'y vais je descends récupérer mon pantalon ,tu viens fermer la porte.
Nous descendîmes au salon nos organes ramollit pendaient entre nos cuisses.
-Heureusement que ma femme est au courant que je venais baiser je te dis pas l'odeur de ma bite ,il va falloir que l'on organise une partouze avec Annick ma femme et vous deux, mais il faudra éviter de baiser trois jours avant et prendre du viagra surtout avec ta femme elle a le feu au cul;allez à plus on s'appelle.

Je remonte ,je m'allonge elle vient se blottir contre moi . Après une nuit de sommeil je me réveil avant elle,elle est sur le ventre, les jambes complètement écartées ,j'en profites, je soulève le drap pour regarder ses orifices , une énorme tâche ente ses jambes mouille le drap;de ses deux trous distendus un liquide visqueux et blanchâtre s'en échappe, je mets le doigt dans son con, j'en hume les effluves de la veille ,j'y retourne, mon doigt caresse son bouton fouille son intimité.
-Baise moi mon salaud!
Je pointe mon gland à l'entée de la rosette,je m'attends à un refus,elle soulève légèrement son bassin à ma rencontre -Entre mon petit con d'amour.
D'une lente poussée j’investis ce cul ça glisse tout seul, sans résistance,une lente progression, j'en apprécie chaque millimètre.Je suis en butée; mon bas ventre contre ses belles fesses, mes parties génitales écrasées contre ses cuisses, nous restons sans bouger, appréciant d'être l'un dans l'autre je n'ai plus la notion du temps je suis en elle ,elle est en moi,je lui glisse à l'oreille;
-Martial ma parlé d'une partouze avec deux femmes la sienne et une autre tu en penses quoi ?
Son bassin commença à onduler et à se soulever à rythme régulier;Je ne bougeais pas c'est elle qui s'empalait; tout à coup les muscles de son sphincter se contractèrent m'enserrant ma colonne de chair elle jouissait du cul, je la suivis lui lâchant dans son fondement tout mon amour que j'avais pour elle.
Une douce détente nous envahit mon muscle se relâcha mais restait fiché à l'entée de ce puits de plaisir
-Pour la partouze on va attendre un peu , je suis partante mais dans quelques temps chéri.
-Tu vas faire du shopping aujourd'hui?
-Je penses que je n'ai plus besoin dorénavant de me changer les idées.

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Texte coquin : Martial - 4
Histoire sexe : Une rose rouge
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