Une bonne fessée

- Par l'auteur HDS Fille coquine -
Auteur femme.
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Récit libertin : Une bonne fessée Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Une bonne fessée
Marié depuis de nombreuses années, j'ai eu une maîtresse, qui comblait le vide que je ressentais côte sexuel. Je sentais bien que cela n’était qu'un palliatif. Pourtant je continuais. Un mauvais jeu de circonstance a fait que ma femme appris cette liaison. Elle était totalement abattue. J'en étais même surpris. Quelques semaines très difficiles côté ambiance et très curieusement elle devenait entreprenante et nous nous sommes remis à faire l'amour, elle pleurait souvent.

Puis la colère montait en elle. Moi, je faisais ce que je pouvais pour amortir le coup, si je puis dire. Un soir, je lui dis que je ferai ce qu'elle voulait. Elle ne voulait pas que je la quitte, mais j'avais besoin d'une bonne leçon. Et je lui dis comme tu voudras.

A la fin de la semaine suivante, elle m'appela au bureau pour me dire qu'elle rentrerait un peu plus tard, qu'elle avait quelque chose à faire en début de soirée. Je lui demandais quoi. Elle ne répondait pas, j'insiste elle se lance : Je croise depuis 2 ans quelqu'un au restau depuis 2 ans qui me poursuit de ses assiduités, je dîne avec lui ce soir. Je me sentais humilié et ne dit rien. Elle me dit, ça fait plaisir d'entendre que sa femme va se faire sauter ailleurs ???, je réussi à lui dire, tu rentres après. J'entendis. Probablement, mais pour être sur, tu devras m'attendre dans la chambre, allongé et à poils et dans le noir, elle insista, Alors ??, je répondis Oui, Elle raccrocha sans rien dire.

Je rentrai chez moi, la soirée fut une torture. Vers 22 heures, je m'exécute. Je me déshabille entièrement et m'allonge sur le lit. Et j’attends un long moment. J’ai du m'endormir car je sursaute lorsque l'on me prend le poignet pour y mettre comme une menotte. Je l'entend me dire ne bouge pas. L'autre poignet m'est pris par quelqu'un d'autre, même chose. Mes 2 bras sont attachés au lit.

Elle allume la lampe de chevet qui diffuse faiblement. Je la regarde, elle a les cheveux défaits, sa robe est froissée. Elle me dit en tendant la main vers l'autre côté du lit et me dit Christian. L'homme est debout, il me parait très grand et très très costaud.

Elle enlève sa robe, elle prude habituellement, est nue en dessous, elle voit ma surprise et me dit, oui, il m'a bien baisé et il va recommencer devant toi, pour que tu vois bien, ces mots me firent bander, Christian lui dit, elle me regarde et me dit, ce soir tu pourras te la mettre sur l'oreille.

Elle dit à Christian de se déshabiller et m'enjamba pour poser sa chatte sur ma bouche. Sa chatte était trempée de sa mouille et je reconnaissais ce goût de sperme qui s'en échappait. Elle s'était bien faite baiser. Christian s'approcha du lit, elle l'attrapa par la queue. Elle était en proportion du reste de son corps énorme. Et l'emboucha tout de suite, Elle suçait avec avidité alors qu'elle me refusait cette caresse la plupart du temps. Je me sentais de plus en plus humilié et bandais aussi de plus en plus dur. Elle avança son ventre, ma langue parcouru son œillet, il était très souple. Je poussais ma langue, elle rentra facilement, dès l'ouverture libérée, une autre ration de sperme me coula dans la bouche, elle s'était faite enculée, alors que jamais elle ne m'avait permis de le faire.

Christian avait commencé à la traiter de salope suceuse. Elle gémissait et remuait son cul sur mon visage. Puis il la souleva comme un fétu, la retourna et la reposa sur moi dans l'autre sens et dit, je vais encore t'enculer au dessus de la gueule de ton PD de mari, pour qu'il voit bien comment faut faire avec les salopes comme toi. Il me regarda, me mis une bonne gifle, et dit, et toi le P'tit PD tu dis rien. Ma femme se retourna et lui dit, comme si elle jouissait du spectacle "oui va y, fou lui une autre baffe sur la gueule, et la 2ème baffe tombait, plus forte. Le mec avait le regard dominateur et ma femme le poussait à m'en remettre d'autres. Il m'en mis une troisième et me dit "alors comme ça, on trompe sa femme, y parait même que t'est un peu PD". En disant cela, il m'ouvrit la bouche de la main droite et, de la main gauche m'enfourna son énorme queue dans la bouche et l'enfonçant profondément, je râlais de ne plus pouvoir respirer et de surprise. Ma femme regardait, les yeux écarquillés. Il fit plusieurs aller et retour, sorti de ma bouche et me dit, attend ton tour, ta salope en réclame. Il remis ma femme à 4 pattes au dessus de moi. Il fit demi-tour et m'enjamba la tête, ses couilles me touchaient presque le visage. Il la traitait à nouveau de salope et tapa fortement sur son dos se qui la fit tomber entre mes jambes, le cul en l'air. Il se saisit de son membre et sans autre attente, s'appuya sur son petit trou et l'encula d'un seul coup. Elle hurlait, ce n'était pas de plaisirs au début. Il l'avait attrapé par les épaules et tirait comme une brute pour projeter ce corps, si frêle par rapport au sien, contre sa queue. La pénétration était totale, le cul de cette dernière tapant contre le ventre musclé du mec. Cela dura quelques minutes puis, il se libéra et lui disant tu vas me sucer. Il se dégagea et fit le tour de ma femme, m'écarta brutalement les jambes pour se loger entre elles. Ma femme reposa son cul sur ma bouche et je me mis à sucer. Elle dit à Christian, regarde le, tu viens de me défoncer et ce PD, il me lèche partout.

Je n'avais jamais ressenti une humiliation aussi forte et je suçais encore plus fort. Puis il lui répondit d'un ton froid "Tu veux qu'on en fasse un vrai PD de ta carpette ???" elle répondit, "oh oui, va y cogne le encore", il dit "non, j'ai mieux que ça, attrape lui les jambes". Aussitôt je senti mes jambes retourné vers ma femme, mon cul soulevé du lit. Je compris aussitôt et tentait de crier mon refus, ma femme appuyant un peu plus son cul sur mon visage. J'entendis Christain dire "Tait-toi PD" tout en me claquant fortement le cul, j'en pris au bas mot, 5 ou 6. Mon cul me brûlait. Tout de suite après, je sentais un doigt, puis 2 prendre possession de mon trou. J'avais mal. Il lubrifia ses doigts dans la chatte de ma femme et recommençait, il allait et venait. J'avais de moins en moins mal. Puis il pointa son engin et poussa, il n'arrivait pas à rentrer et poussait. Sa force était surprenante. Je me sentais écartelé, sa queue prenait possession de mon cul. Je me sentais transpercé de douleur. Ma femme regardait en gros plan et commentait, elle lui disait de m'enculer à fond de me faire gueuler, que c'est tout ce que je méritais. Une douleur violente me parcourait l'échine, chaque coup de reins le propulsait un peu plus loin en moi. Assez bizarrement, la douleur diminuait sous les coups de butoir. Je ne me sentais plus bander, je m'étais mis à gémir. J'en eu la confirmation quand il dit, regarde ton P'tit PD, il est en train de jouir comme une femme, sa queue à presque disparu et il gémit comme la salope que tu es. Il accéléra le mouvement et je le senti décharger en moi pendant qu'il roulait un patin à ma femme.

Rapidement, il décula, se leva et demanda la salle de bain. Elle l'accompagna. C'est a ce moment là que j'éjectais une quantité insoupçonné de sperme. 5 minutes plus tard il était parti. Elle revint, semblait comme apaisée et s'aperçu de ma jouissance en posant sa main sur mon ventre.

Sa voix calme était revenue, elle me dit, je voulais te punir, je ne pensais pas que cela irait aussi loin et en plus t'as joui de te faire enculer. Elle me détacha, moi, je ne bougeais pas, défait par les assauts. Je m'endormi, elle s'était blotti dans mes bras.

C'était il y a quelques mois, notre couple s'est reformé, il me semble solide.Les règles du jeux ont quelque peu changé. Elle domine sexuellement assez clairement la situation et joui de la situation où il m'arrive d'être son jouet sexuel.

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