(64). Partition candauliste en corps à corps majeur pour l’anniversaire d’Éric avec un beau Congolais.
Récit érotique écrit par Plaisirsexbi [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(64). Partition candauliste en corps à corps majeur pour l’anniversaire d’Éric avec un beau Congolais.
Après la belle surprise d’Éric et son weekend Lyonnais, il me fallait reprendre nos bonnes habitudes d’avant notre relation commune avec Sandrine.
Chaque année, je préparais secrètement une rencontre libertine pour l’anniversaire de mon petit chéri Éric début septembre.
En général, il découvre mes cachotteries la veille pour le lendemain, voire le matin même. Cette année, j’ai décidé de l’en informer une semaine avant pour qu’il savoure toute l’excitation précédant la partie.
Je me régale à chaque fois en imaginant tantôt des scenarii lubriques ou de belles rencontres. Cette année, la surprise sera un duo d’ivoire et d’ébène telle les touches d’un piano pour un corps à corps majeur en sept octaves de bonheur !!!
Bon et joyeux anniversaire avec quelques jours de retard, mon merveilleux mari, mon grand bonheur.
Je lui ai concocté un duo candauliste avec un superbe amant courant la mi-août juste après le départ de Sandrine.
Il s’agit de Bisimwa, un jeune et très beau Congolais de trente-huit ans avec lequel j’ai échangé sur un site de rencontres libertines.
Mon petit chéri échange quelques mots avec le coquin quelques jours avant la rencontre et est séduit à son tour par son langage et sa courtoisie.
Chose rare, mon amant m’a proposé de participer aux frais de location de la chambre.
J’ai refusé car j’ai plaisir à inviter, mais il faut savoir que cela n’arrive quasiment jamais.
Je choisis chaque partenaire et dans 90 % des cas, je réserve le lieu de coquineries et l’homme se contente d’arriver souriant et les mains vides sans même avoir pensé à participer !!!
Je ne demande jamais rien, cela me semble faire partie de l’éducation. Les 10 % de fois où on est conviés par le coquin, je propose systématiquement de participer et on vient toujours avec une bouteille d’alcool et un soft. C’est un peu bête, mais ce genre de courtoisie n’est pas monnaie courante et ça se remarque !!!
Le sexe n’est pas du tout notre business. Nous n’avons rien à vendre.
Bisimwa arrive pile à l’heure, une bouteille de champagne à la main. Nous savourons un verre de bulles sur le canapé en se découvrant…
Assise sur ses genoux, au plus près de lui, je constate qu’il est encore plus charmant en vrai !!!
Le timbre grave de sa voix et son regard pétillant sont très émoustillants.
Il prend rapidement les choses en main et souhaite observer la tenue qu’il a choisie.
Il me complimente à plusieurs reprises et soulève délicatement ma robe pour dévoiler mes fesses. Nous passons très rapidement aux présentations plus intimes !!!
Ça commence fort !!!
Après que ses mains se soient promenées sur mon corps, il m’étend sur le canapé pour m’offrir un délicieux cunnilingus en guise de salutation.
Sa langue virevolte doucement sur mon bouton de plaisir et je frémis à chaque baiser intime jusqu’à jouir. Etant une fille bien élevée, si, si, je vous assure, je lui rends son bonjour en savourant son sexe dardé de désir.
La gourmandise est trop tentante pour que seules mes lèvres buccales la savourent et je m’empale sur sa queue.
On n’a même pas pris le temps de se déshabiller. Bisimwa est toujours en pantalon !!!
Éric, en adorable mari candauliste, me tend une noisette de lubrifiant au silicone.
Qui veut aller loin, ménage sa monture !!! Son chibre tendu s’immisce dans mon intimité dans un plaisir partagé.
Quel délice !!! Je le sens me combler et me maîtriser comme j’aime.
Bisimwa m’a fait voltiger à plusieurs reprises en m’envoyant au septième ciel !!!
D’un bras, il parvient à rester en moi tout en me pénétrant et me portant. Je sens son corps puissant me tenir à la perfection sans vaciller.
Nos regards ne se quittent plus. Mon petit chéri savoure notre complicité et notre corps à corps endiablé.
Ses lèvres frémissent du plaisir qu’il reçoit à me voir prise par cet adorable coquin.
Mon bel amant me pose délicatement sur le canapé et me prend en missionnaire sans me quitter du regard.
Il y a une belle alchimie, le feeling est excellent. Je ressens toute sa fougue maîtrisée et c’est terriblement excitant. Je m’abandonne totalement et vibre sous chacun de ses coups de rein.
Nous migrons en direction du lit. Mon amant en profite pour enlever enfin ses chaussures et son pantalon, mais le désir est tel que je le sollicite très rapidement ne lui laissant pas le temps d’ôter ses chaussettes !!!
Oh !!! Je suis une vilaine fille !!!
Il cède à mes avances lorsque je lui présente mes fesses cambrées et tendues pour qu’il me baise en levrette sur le lit.
C’est ma position favorite pour tout vous avouer. J’ai toujours eu d’excellentes sensations à quatre pattes et ça permet également de contrôler l’angle de pénétration et la profondeur grâce à la cambrure.
Dites-moi tout, quelle est la vôtre ???
Éric se régale de me voir prendre autant de plaisir avec un autre homme que lui et s’efface au maximum pour profiter du spectacle que Bisimwa et moi, lui offrons.
Il ressent l’alchimie que nous partageons et cela l’excite au plus haut point. En tant que mari candauliste, il profite du summum de son excitation.
Quand nos regards se croisent, je le vois au taquet, mon petit Éric !!!
Les coups de reins de mon bel amant sont exactement comme je les aime.
Tout à la fois viril et sensuel, charnel et bien senti.
Son sexe me pénètre profondément au point d’en perdre tous mes moyens et de m’abandonner à demi-allongée sur le lit.
Bisimwa et moi optons pour une toute autre position.
Telle Andromaque, je le chevauche tout en me noyant dans son regard mutin et souriant.
A quatre pattes au-dessus de son superbe corps sculpté, je glisse son chibre érigé entre mes cuisses en le guidant à l’aide de ma main.
Une fois dans mon intimité, je m’empale en contrôlant les va-et-vient.
Je suis aux anges et j’entends mon petit chéri s’émerveiller devant son « film porno personnel » !!!
Il exprime à quel point il nous trouve beau et en harmonie. Il faut dire qu’on s’entend vraiment très bien.
Les mains de mon amant se posent sur mes fesses pour imposer un rythme plus soutenu.
Je pense que Bisimwa a peur que je l’embroche avec mes douze centimètres de talons aiguilles, car après l’Andromaque, il ôte mes sandales !!!
Je me retrouve en pieds de bas-couture.
Fétichistes des pieds enylonnés, savourez, car il est extrêmement rare que je ne sois pas chaussée de talons dans l’intimité.
Habituellement, je me sens totalement impudique et dénuée de toute féminité sans mes escarpins.
Etre déchaussée me complexe et me perturbe !!!
On frôle le fétichisme…Mais le feeling est tel que cela ne me dérange pas.
Je me sens vraiment à l’aise avec Bisimwa, chaussée ou non et je m’abandonne en pleine confiance.
Nous partageons un excellent moment tous les trois et mon petit chéri n’en perd pas une miette. Il se met dans un coin de la pièce pour pouvoir profiter pleinement des plaisirs candaulistes, tout en se masturbant.
Mon amant me prend en missionnaire dans un corps à corps très sensuel.
Nos peaux et nos intimités fusionnent et j’enchaîne les orgasmes tressaillant sous ses assauts.
Je ne sais plus par quels entrefaites, mais je me retrouve de nouveau à quatre pattes !!!
Notre désir s’exprime dans une nouvelle levrette torride où la profondeur des pénétrations m’impose une cambrure très prononcée.
Quel exquis délice que de ressentir toute la puissance de mon bel amant qui me maîtrise à la perfection entre fermeté et virilité.
Ses mains en appui sur mes hanches, il me baise sans ménagement et m’assène quelques fessées.
Bam, Bam, Bam !!! Ça claque !!!
Nous commerçons à nous échauffer et nous partons nous désaltérer sur le canapé, mais la pause est de courte durée.
Après une ou deux gorgées de nectar, je me fais alpaguer et plaquer contre le mur pour être prise debout.
Hop !!! Et que ça m’saute !!!
Ce petit intermède terminé, on part se rafraîchir sous la douche après nos ébats. On laisse Éric dans la chambre en train de finir son verre et je me faufile dans la cabine avec mon amant.
La température réglée, Bisimwa me savonne en douceur.
Nous rigolons dans la cabine, car c’est étroit et nous sommes…Collés serrés !!!
Ce qui devait arriver arriva, la promiscuité de nos corps amène les coquineries.
Je m’agenouille pour me délecter de son chibre jusqu’à l’engloutir en gorge profonde, du gland à la garde.
Sans que nous le remarquions, mon chéri vient nous observer en toute discrétion à deux ou trois reprises.
Il retourne ensuite dans la chambre et écoute. Il entend que ça coquine, que ça blague !!!
Nous sommes comme deux larrons en foire ou comme dirait mon amant avec un léger accent :
- On fait les polissons !!!
Le coquin se glisse entre mes cuisses pour me prodiguer un délicieux cunni sous la douche.
Il me supporte sur ses épaules, mes jambes en appui contre la paroi. Sa langue caresse et goûte à mon bouton de plaisir et je me contrôle pour ne pas trop tressauter car tout mon poids repose sur lui.
Notre petite douche terminée, Bisimwa prend la Go Pro en main et salue gaiement Eric pour lui laisser un souvenir de ce moment auquel il n’a pas pu assister.
Tout propre que nous sommes, nous retournons dans la chambre poursuivre nos ébats.
A peine sortis de la salle de bain, mon amant me prévient : “
- Accroche-toi, il va y avoir des acrobaties !!!
Sans que je ne comprenne ce qu’il m’arrive, je me retrouve à califourchon sur ses épaules en équilibre cuisses ouvertes sur son visage et mains en appui sur les siennes.
On m’a déjà fait ce genre d’acrobaties et honnêtement, j’ai toujours stressé, car mon partenaire tremble, voire tétanise dès les premières secondes.
Ce n’est absolument pas le cas avec Bisimwa, que je sens fort et puissant, il a un petit coté « Teddy Riner »…C’est un vrai alpha mâle…
Il ne vacille pas et me porte à bout de bras sans difficultés pendant plusieurs minutes. Pourtant, même si je n’ai pas grossi entre le confinement et le « départ » de Sandrine, je pèse entre cinquante-sept et cinquante-huit kilos en ce moment.
Après ce cunni au septième ciel, mon amant m’a quasiment jetée sur le lit tout en maîtrisant l’atterrissage sur le matelas et m’a pénétrée quasiment dans la foulée.
Après avoir enfilé le préservatif, il m’a enfilée sans ménagement en empoignant mes seins entre ses poignes !!!
J’adore me sentir maîtrisée, je me régale et au plus il est viril, au plus je m’abandonne paradoxalement.
Éric n’arrête pas de nous complimenter tant il savoure cette rencontre libertine !!!
Mon Mari candauliste prend un plaisir fou pendant que mon amant et moi nous offrons l’un à l’autre.
Nous partageons tous les trois un intense partage d’excitation.
Pendant que nos corps fusionnent, Bisimwa me susurre à l’oreille de regarder mon mari dans les yeux pendant qu’il me donne du plaisir et de ne pas le lâcher du regard.
Je m’exécute et vois mon petit cœur à deux doigts de jouir.
Enlacés l’un dans l’autre, en bon candauliste, il est au paroxysme de l’excitation. Son souffle se fait court et haletant.
Mon amant me demande de lui dire ô combien sa queue est bonne et tout le plaisir qu’il me donne. J’obéis avec un réel plaisir car cela n’est pas feint, je me régale !!!
Ses va-et-vient se font particulièrement profonds et langoureux pendant toute cette partie très cérébrale. Quelle extase !!!
Notre missionnaire dévie sur le côté et les mains de mon amant agrippent fermement mes hanches pour me baiser virilement.
J’aime bien être prise sur le côté, ça change les sensations charnelles. Il est dans l’échange et le partage des plaisirs et cela se ressent pleinement à chaque instant.
Nous changeons ensuite de position et je chevauche mon bel amant une nouvelle fois !!!
Je commence à avoir la « marmotte » qui fatigue sévère et je préviens que je ne vais plus être très endurante.
Il me laisse gérer les mouvements pour éviter de me faire mal. C’est pénible cette surchauffe du corps, car mon cerveau a encore pleinement envie de profiter du partage !!!
Dans notre tout dernier corps à corps, je lui laisse reprendre la mélodie de nos plaisirs.
Nous tentons une levrette qui bascule rapidement en une étrange position, car j’ai fortement envie de faire pipi.
Enfin, c’est ce qu’il me semble.
J’hésite même à tout stopper pour faire un saut aux toilettes, mais Bisimwa me dit que je suis trempée.
Mon petit chéri vient voir cela de près et le confirme :
- Oh la vache !!! T’es en train de gicler ma Chérie !!!
Et ça rigole !!! Ah, ah ah !!!
Je fuis sans m’en rendre compte…Merci les mecs !!!
C’est dingue le squirt, je ne sens même pas que je fuis. Cela le fait une première fois, une seconde…Je m’en rends compte à la troisième !!!
Mieux vaut tard que jamais. Aucun orgasme n’accompagne cette triple giclette.
Cela faisait plus d’un an que je n’avais pas eu de squirt et ça reste un grand mystère.
Je passe de zone sèche à zone humide en moins de temps qu’il ne m’en faut pour écrire cette phrase, je m’auto-inonde, je fuis béatement et cela ne m’apporte aucune sensation !!!
Même pas le soulagement de me libérer d’un fluide !!!
Même pas un frémissement augurant un orgasme.
Rien, nada, que dalle !!!
Les hommes sont hilares face à ma réaction pleine de spontanéité.
Éric, mon homme, part s’asseoir sur une chaise pour profiter une dernière fois de notre complice duo candauliste avec Bisimwa, mais je suis contrainte d’arrêter très rapidement après le squirt, car la triple giclette m’a irritée davantage encore.
Mon bel amant me demande où je souhaite qu’il jouisse.
Nous optons d’un commun accord pour les seins.
Il se masturbe au-dessus de ma poitrine jusqu’à m’offrir de belles et juteuses salves de sperme chaud !!!
L’une d’elle atteint mon aisselle et cela nous fait bien rire à nouveau.
Juste après les coquineries, nous partons nous installer sur le canapé pour prendre un verre et discuter longuement entre rires, découverte de l’autre et bonne humeur.
Nous avons eu du mal à rester sages et juste avant le départ de mon bel amant, il y a eu quelques gâteries d’au-revoir !!!
Nous, nous étions dit bonjour de la sorte en début de rencontre après tout.
Lorsque je vous disais dans les premières lignes de ce récit que Bisimwa avait tout de l’Agace-Mari, Éric et moi, nous vous le confirmons après avoir passé un long moment en sa compagnie.
Nous avons rencontré un homme adorable et d’une rare courtoisie. Comme si cela ne suffisait pas il est très beau, coquin, joueur, cérébral et viril.
Bisimwa fait partie des belles rencontres libertines que nous renouvellerons avec plaisir tant on s’est bien entendus humainement et coquinement.
Quand mon amant est parti, mon homme m’a remerciée de lui avoir offert une si belle partie candauliste pour son anniversaire, le regard encore pétillant d’excitation.
Cette partition libertine s’est jouée en corps à corps majeur et nous avons adoré tous les trois.
Pour la grande amatrice de Gang bang que je suis, force est de constater que les duos, ça peut-être franchement bien quand même !!!
Merci mon merveilleux mari de me permettre de partager de si beaux moments et bon anniversaire à toi, mon petit amour.
Chaque année, je préparais secrètement une rencontre libertine pour l’anniversaire de mon petit chéri Éric début septembre.
En général, il découvre mes cachotteries la veille pour le lendemain, voire le matin même. Cette année, j’ai décidé de l’en informer une semaine avant pour qu’il savoure toute l’excitation précédant la partie.
Je me régale à chaque fois en imaginant tantôt des scenarii lubriques ou de belles rencontres. Cette année, la surprise sera un duo d’ivoire et d’ébène telle les touches d’un piano pour un corps à corps majeur en sept octaves de bonheur !!!
Bon et joyeux anniversaire avec quelques jours de retard, mon merveilleux mari, mon grand bonheur.
Je lui ai concocté un duo candauliste avec un superbe amant courant la mi-août juste après le départ de Sandrine.
Il s’agit de Bisimwa, un jeune et très beau Congolais de trente-huit ans avec lequel j’ai échangé sur un site de rencontres libertines.
Mon petit chéri échange quelques mots avec le coquin quelques jours avant la rencontre et est séduit à son tour par son langage et sa courtoisie.
Chose rare, mon amant m’a proposé de participer aux frais de location de la chambre.
J’ai refusé car j’ai plaisir à inviter, mais il faut savoir que cela n’arrive quasiment jamais.
Je choisis chaque partenaire et dans 90 % des cas, je réserve le lieu de coquineries et l’homme se contente d’arriver souriant et les mains vides sans même avoir pensé à participer !!!
Je ne demande jamais rien, cela me semble faire partie de l’éducation. Les 10 % de fois où on est conviés par le coquin, je propose systématiquement de participer et on vient toujours avec une bouteille d’alcool et un soft. C’est un peu bête, mais ce genre de courtoisie n’est pas monnaie courante et ça se remarque !!!
Le sexe n’est pas du tout notre business. Nous n’avons rien à vendre.
Bisimwa arrive pile à l’heure, une bouteille de champagne à la main. Nous savourons un verre de bulles sur le canapé en se découvrant…
Assise sur ses genoux, au plus près de lui, je constate qu’il est encore plus charmant en vrai !!!
Le timbre grave de sa voix et son regard pétillant sont très émoustillants.
Il prend rapidement les choses en main et souhaite observer la tenue qu’il a choisie.
Il me complimente à plusieurs reprises et soulève délicatement ma robe pour dévoiler mes fesses. Nous passons très rapidement aux présentations plus intimes !!!
Ça commence fort !!!
Après que ses mains se soient promenées sur mon corps, il m’étend sur le canapé pour m’offrir un délicieux cunnilingus en guise de salutation.
Sa langue virevolte doucement sur mon bouton de plaisir et je frémis à chaque baiser intime jusqu’à jouir. Etant une fille bien élevée, si, si, je vous assure, je lui rends son bonjour en savourant son sexe dardé de désir.
La gourmandise est trop tentante pour que seules mes lèvres buccales la savourent et je m’empale sur sa queue.
On n’a même pas pris le temps de se déshabiller. Bisimwa est toujours en pantalon !!!
Éric, en adorable mari candauliste, me tend une noisette de lubrifiant au silicone.
Qui veut aller loin, ménage sa monture !!! Son chibre tendu s’immisce dans mon intimité dans un plaisir partagé.
Quel délice !!! Je le sens me combler et me maîtriser comme j’aime.
Bisimwa m’a fait voltiger à plusieurs reprises en m’envoyant au septième ciel !!!
D’un bras, il parvient à rester en moi tout en me pénétrant et me portant. Je sens son corps puissant me tenir à la perfection sans vaciller.
Nos regards ne se quittent plus. Mon petit chéri savoure notre complicité et notre corps à corps endiablé.
Ses lèvres frémissent du plaisir qu’il reçoit à me voir prise par cet adorable coquin.
Mon bel amant me pose délicatement sur le canapé et me prend en missionnaire sans me quitter du regard.
Il y a une belle alchimie, le feeling est excellent. Je ressens toute sa fougue maîtrisée et c’est terriblement excitant. Je m’abandonne totalement et vibre sous chacun de ses coups de rein.
Nous migrons en direction du lit. Mon amant en profite pour enlever enfin ses chaussures et son pantalon, mais le désir est tel que je le sollicite très rapidement ne lui laissant pas le temps d’ôter ses chaussettes !!!
Oh !!! Je suis une vilaine fille !!!
Il cède à mes avances lorsque je lui présente mes fesses cambrées et tendues pour qu’il me baise en levrette sur le lit.
C’est ma position favorite pour tout vous avouer. J’ai toujours eu d’excellentes sensations à quatre pattes et ça permet également de contrôler l’angle de pénétration et la profondeur grâce à la cambrure.
Dites-moi tout, quelle est la vôtre ???
Éric se régale de me voir prendre autant de plaisir avec un autre homme que lui et s’efface au maximum pour profiter du spectacle que Bisimwa et moi, lui offrons.
Il ressent l’alchimie que nous partageons et cela l’excite au plus haut point. En tant que mari candauliste, il profite du summum de son excitation.
Quand nos regards se croisent, je le vois au taquet, mon petit Éric !!!
Les coups de reins de mon bel amant sont exactement comme je les aime.
Tout à la fois viril et sensuel, charnel et bien senti.
Son sexe me pénètre profondément au point d’en perdre tous mes moyens et de m’abandonner à demi-allongée sur le lit.
Bisimwa et moi optons pour une toute autre position.
Telle Andromaque, je le chevauche tout en me noyant dans son regard mutin et souriant.
A quatre pattes au-dessus de son superbe corps sculpté, je glisse son chibre érigé entre mes cuisses en le guidant à l’aide de ma main.
Une fois dans mon intimité, je m’empale en contrôlant les va-et-vient.
Je suis aux anges et j’entends mon petit chéri s’émerveiller devant son « film porno personnel » !!!
Il exprime à quel point il nous trouve beau et en harmonie. Il faut dire qu’on s’entend vraiment très bien.
Les mains de mon amant se posent sur mes fesses pour imposer un rythme plus soutenu.
Je pense que Bisimwa a peur que je l’embroche avec mes douze centimètres de talons aiguilles, car après l’Andromaque, il ôte mes sandales !!!
Je me retrouve en pieds de bas-couture.
Fétichistes des pieds enylonnés, savourez, car il est extrêmement rare que je ne sois pas chaussée de talons dans l’intimité.
Habituellement, je me sens totalement impudique et dénuée de toute féminité sans mes escarpins.
Etre déchaussée me complexe et me perturbe !!!
On frôle le fétichisme…Mais le feeling est tel que cela ne me dérange pas.
Je me sens vraiment à l’aise avec Bisimwa, chaussée ou non et je m’abandonne en pleine confiance.
Nous partageons un excellent moment tous les trois et mon petit chéri n’en perd pas une miette. Il se met dans un coin de la pièce pour pouvoir profiter pleinement des plaisirs candaulistes, tout en se masturbant.
Mon amant me prend en missionnaire dans un corps à corps très sensuel.
Nos peaux et nos intimités fusionnent et j’enchaîne les orgasmes tressaillant sous ses assauts.
Je ne sais plus par quels entrefaites, mais je me retrouve de nouveau à quatre pattes !!!
Notre désir s’exprime dans une nouvelle levrette torride où la profondeur des pénétrations m’impose une cambrure très prononcée.
Quel exquis délice que de ressentir toute la puissance de mon bel amant qui me maîtrise à la perfection entre fermeté et virilité.
Ses mains en appui sur mes hanches, il me baise sans ménagement et m’assène quelques fessées.
Bam, Bam, Bam !!! Ça claque !!!
Nous commerçons à nous échauffer et nous partons nous désaltérer sur le canapé, mais la pause est de courte durée.
Après une ou deux gorgées de nectar, je me fais alpaguer et plaquer contre le mur pour être prise debout.
Hop !!! Et que ça m’saute !!!
Ce petit intermède terminé, on part se rafraîchir sous la douche après nos ébats. On laisse Éric dans la chambre en train de finir son verre et je me faufile dans la cabine avec mon amant.
La température réglée, Bisimwa me savonne en douceur.
Nous rigolons dans la cabine, car c’est étroit et nous sommes…Collés serrés !!!
Ce qui devait arriver arriva, la promiscuité de nos corps amène les coquineries.
Je m’agenouille pour me délecter de son chibre jusqu’à l’engloutir en gorge profonde, du gland à la garde.
Sans que nous le remarquions, mon chéri vient nous observer en toute discrétion à deux ou trois reprises.
Il retourne ensuite dans la chambre et écoute. Il entend que ça coquine, que ça blague !!!
Nous sommes comme deux larrons en foire ou comme dirait mon amant avec un léger accent :
- On fait les polissons !!!
Le coquin se glisse entre mes cuisses pour me prodiguer un délicieux cunni sous la douche.
Il me supporte sur ses épaules, mes jambes en appui contre la paroi. Sa langue caresse et goûte à mon bouton de plaisir et je me contrôle pour ne pas trop tressauter car tout mon poids repose sur lui.
Notre petite douche terminée, Bisimwa prend la Go Pro en main et salue gaiement Eric pour lui laisser un souvenir de ce moment auquel il n’a pas pu assister.
Tout propre que nous sommes, nous retournons dans la chambre poursuivre nos ébats.
A peine sortis de la salle de bain, mon amant me prévient : “
- Accroche-toi, il va y avoir des acrobaties !!!
Sans que je ne comprenne ce qu’il m’arrive, je me retrouve à califourchon sur ses épaules en équilibre cuisses ouvertes sur son visage et mains en appui sur les siennes.
On m’a déjà fait ce genre d’acrobaties et honnêtement, j’ai toujours stressé, car mon partenaire tremble, voire tétanise dès les premières secondes.
Ce n’est absolument pas le cas avec Bisimwa, que je sens fort et puissant, il a un petit coté « Teddy Riner »…C’est un vrai alpha mâle…
Il ne vacille pas et me porte à bout de bras sans difficultés pendant plusieurs minutes. Pourtant, même si je n’ai pas grossi entre le confinement et le « départ » de Sandrine, je pèse entre cinquante-sept et cinquante-huit kilos en ce moment.
Après ce cunni au septième ciel, mon amant m’a quasiment jetée sur le lit tout en maîtrisant l’atterrissage sur le matelas et m’a pénétrée quasiment dans la foulée.
Après avoir enfilé le préservatif, il m’a enfilée sans ménagement en empoignant mes seins entre ses poignes !!!
J’adore me sentir maîtrisée, je me régale et au plus il est viril, au plus je m’abandonne paradoxalement.
Éric n’arrête pas de nous complimenter tant il savoure cette rencontre libertine !!!
Mon Mari candauliste prend un plaisir fou pendant que mon amant et moi nous offrons l’un à l’autre.
Nous partageons tous les trois un intense partage d’excitation.
Pendant que nos corps fusionnent, Bisimwa me susurre à l’oreille de regarder mon mari dans les yeux pendant qu’il me donne du plaisir et de ne pas le lâcher du regard.
Je m’exécute et vois mon petit cœur à deux doigts de jouir.
Enlacés l’un dans l’autre, en bon candauliste, il est au paroxysme de l’excitation. Son souffle se fait court et haletant.
Mon amant me demande de lui dire ô combien sa queue est bonne et tout le plaisir qu’il me donne. J’obéis avec un réel plaisir car cela n’est pas feint, je me régale !!!
Ses va-et-vient se font particulièrement profonds et langoureux pendant toute cette partie très cérébrale. Quelle extase !!!
Notre missionnaire dévie sur le côté et les mains de mon amant agrippent fermement mes hanches pour me baiser virilement.
J’aime bien être prise sur le côté, ça change les sensations charnelles. Il est dans l’échange et le partage des plaisirs et cela se ressent pleinement à chaque instant.
Nous changeons ensuite de position et je chevauche mon bel amant une nouvelle fois !!!
Je commence à avoir la « marmotte » qui fatigue sévère et je préviens que je ne vais plus être très endurante.
Il me laisse gérer les mouvements pour éviter de me faire mal. C’est pénible cette surchauffe du corps, car mon cerveau a encore pleinement envie de profiter du partage !!!
Dans notre tout dernier corps à corps, je lui laisse reprendre la mélodie de nos plaisirs.
Nous tentons une levrette qui bascule rapidement en une étrange position, car j’ai fortement envie de faire pipi.
Enfin, c’est ce qu’il me semble.
J’hésite même à tout stopper pour faire un saut aux toilettes, mais Bisimwa me dit que je suis trempée.
Mon petit chéri vient voir cela de près et le confirme :
- Oh la vache !!! T’es en train de gicler ma Chérie !!!
Et ça rigole !!! Ah, ah ah !!!
Je fuis sans m’en rendre compte…Merci les mecs !!!
C’est dingue le squirt, je ne sens même pas que je fuis. Cela le fait une première fois, une seconde…Je m’en rends compte à la troisième !!!
Mieux vaut tard que jamais. Aucun orgasme n’accompagne cette triple giclette.
Cela faisait plus d’un an que je n’avais pas eu de squirt et ça reste un grand mystère.
Je passe de zone sèche à zone humide en moins de temps qu’il ne m’en faut pour écrire cette phrase, je m’auto-inonde, je fuis béatement et cela ne m’apporte aucune sensation !!!
Même pas le soulagement de me libérer d’un fluide !!!
Même pas un frémissement augurant un orgasme.
Rien, nada, que dalle !!!
Les hommes sont hilares face à ma réaction pleine de spontanéité.
Éric, mon homme, part s’asseoir sur une chaise pour profiter une dernière fois de notre complice duo candauliste avec Bisimwa, mais je suis contrainte d’arrêter très rapidement après le squirt, car la triple giclette m’a irritée davantage encore.
Mon bel amant me demande où je souhaite qu’il jouisse.
Nous optons d’un commun accord pour les seins.
Il se masturbe au-dessus de ma poitrine jusqu’à m’offrir de belles et juteuses salves de sperme chaud !!!
L’une d’elle atteint mon aisselle et cela nous fait bien rire à nouveau.
Juste après les coquineries, nous partons nous installer sur le canapé pour prendre un verre et discuter longuement entre rires, découverte de l’autre et bonne humeur.
Nous avons eu du mal à rester sages et juste avant le départ de mon bel amant, il y a eu quelques gâteries d’au-revoir !!!
Nous, nous étions dit bonjour de la sorte en début de rencontre après tout.
Lorsque je vous disais dans les premières lignes de ce récit que Bisimwa avait tout de l’Agace-Mari, Éric et moi, nous vous le confirmons après avoir passé un long moment en sa compagnie.
Nous avons rencontré un homme adorable et d’une rare courtoisie. Comme si cela ne suffisait pas il est très beau, coquin, joueur, cérébral et viril.
Bisimwa fait partie des belles rencontres libertines que nous renouvellerons avec plaisir tant on s’est bien entendus humainement et coquinement.
Quand mon amant est parti, mon homme m’a remerciée de lui avoir offert une si belle partie candauliste pour son anniversaire, le regard encore pétillant d’excitation.
Cette partition libertine s’est jouée en corps à corps majeur et nous avons adoré tous les trois.
Pour la grande amatrice de Gang bang que je suis, force est de constater que les duos, ça peut-être franchement bien quand même !!!
Merci mon merveilleux mari de me permettre de partager de si beaux moments et bon anniversaire à toi, mon petit amour.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@ Caroline, je vous le souhaite et il faudra nous raconter vos ébats. Bises
Merci Olga pour votre commentaire, et oui, quel plaisir avec une belle rencontre : Bisimwa
que j'aurais plaisir à retrouver s'il le désire ???
Caroline.
que j'aurais plaisir à retrouver s'il le désire ???
Caroline.
Un magnifique texte candauliste. Le plaisir est décuplé par la complicité et la présence du
mari candauliste
mari candauliste