(78). Gorges profondes et Sodomie : la passion des amants : Caroline et Max devant le petit cocu.

- Par l'auteur HDS Plaisirsexbi -
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Récit libertin : (78). Gorges profondes et Sodomie : la passion des amants : Caroline et Max devant le petit cocu. Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(78). Gorges profondes et Sodomie : la passion des amants : Caroline et Max devant le petit cocu.
Après notre dernière rencontre, début décembre 2021, le 4 exactement, je décide de prendre un peu de distance avec Max, celui-ci me trouble dangereusement, il me faut être prudente, tous les couples candaulistes prennent beaucoup de risques.
De toute façon, à cette période de l’année, mon bel amant est très pris par ses activités professionnelles et par sa famille, mais je n’ai pas fait beaucoup d’effort pour honorer des rendez-vous furtifs proposés par mon beau Max.
Je ne veux surtout pas faire exploser notre couple. Je ne veux et ne peux pas tomber amoureuse de mon amant.
Le candaulisme est un jeu dangereux. Lors des dernières rencontres avec Max, j’ai réalisé que je développais une relation privilégiée avec lui, et devant les yeux d’Éric.
Avant nous baisions, et maintenant nous faisons l’amour. Tendrement, fortement, nous ne cachons rien à Éric.
Au contraire, il a été le témoin de cet « amour ». Nous lui avons offert en quelque sorte. Je n’ai pas fait que jouir. J’ai étreint dans mes bras cet amant chéri. J’ai étouffé des « je t’aime » les yeux dans ses yeux.
Éric sait que je l’aime et il ne m’interdit pas de l’aimer aussi, autrement…Ils ne sont pas concurrents, juste complémentaires. Éric ne souhaite pas m’interdire quoi que ce soit, ce serait à l’opposé de sa nature, aux antipodes de son désir de porter, de m’accompagner sur le chemin du possible, du spontané, du sincère, de la liberté en somme.
Mais cette relation est devenue « toxique » pour moi, parce que c’est un cercle vicieux…J’éprouve un besoin permanent de le retrouver…Les sentiments ne se contrôlent pas, vous savez, nous pouvons nouer une relation amoureuse forte…Que l’on sait interdite…Tout en ressentant quelque chose d’extrêmement fort.
Quand on se dit : mon amant me manque, c’est que cette histoire est puissante et que l’on ne néglige absolument pas cette relation.
Est-il normal de ressentir un manque aussi fort, alors que l’on a conscience qu’il s’agit d’une relation particulière ??
Pendant ces cinq semaines « d’abstinence », nous avons beaucoup discuté avec Éric, j’ai également beaucoup échangé avec Max,Je ne sais pas bien ce que je suis, une poly frustrée, une pathétique femme infidèle, un monstre d'égoïsme?
En tout cas quelqu'un qui souffre et qui ne veux pas faire souffrir deux hommes.
Pourtant, je n'arrive pas à mettre de distance avec mon amant, nous continuons nos échanges qui sont riches, c'est stimulant intellectuellement, nous sommes sur la même longueur d'onde.
Je tombe clairement amoureuse de lui…Je fonce là-dedans.
Pendant cette période, le manque de lui m'habite, je le vis mal, très mal, et devient agressive avec mon petit mari Éric, c'est stupide, mais je n'arrive pas à gérer ce tiraillement.
J'ai conscience d'avoir un comportement inacceptable, et je dois me reprendre…Vite…Très vite.
Le Nouvel An libertin, m’a fait du bien, dans tous les sens du terme… On me dit souvent que je ne fais pas mon âge. Mais qu’est-ce que ça veut dire, au juste, ne pas «faire son âge»?
Certains jours, j’ai l’impression d’avoir 30 ans. D’autres, le réveil est dur, et j’ai l’impression d’avoir 80 ans.
En revanche, quand je fais l’amour ou quand je ris dans les bras d’un de mes nombreux amants, je n’ai pas d’âge.
Je suis bien consciente de la chance que j’ai, alors je dois profiter…Le meilleur est toujours à venir.
Nous continuons nos échanges avec Max, il me faut impérativement le retrouver, Éric souhaite également organiser très vite une rencontre.
Le samedi 15 janvier 2022, nous avons rendez-vous chez mon bel amant Max. Sa famille est absente pour le week-end.
Nous en avons tous les trois très envie : Éric est très excité à l’avance et frustré de ne pas avoir joui pendant quinze jours, Max est impatient de me retrouver après six semaines sans sexe hard, moi, je suis également excitée et impatiente de le voir et de profiter de nous sous les yeux de mon cocu soumis.
Après avoir pris le temps de nous retrouver pendant une quinzaine de minutes, Max a commencé à me déshabiller. Il a ôté ma robe, mais pas mon string. Il a pris le temps de me regarder, de toucher mon corps.
Ses mains m’ont donné envie de le retrouver intimement. Il m’a fait m’agenouiller en me pinçant les tétons. A hauteur de sa braguette, je me suis permise de dégrafer son pantalon pour redécouvrir son sexe en érection.
Max à bandé tellement fort, c’est ce qu’il m’a avoué ensuite, qu’il en avait mal à son membre mais surtout aux couilles car ils avaient durci et grossi par l'accumulation de sperme pendant cette longue période.
Je me suis penchée en avant, n'en pouvant plus, Il a baissé son pantalon et son caleçon jusqu'aux chevilles.
Sa bite est au niveau de ma bouche, il se branle tout doucement en continuant de me caresser la poitrine qui est à l'air.
Je relève la tête et quand je vois sa bite, je pose ma main dessus et commence à le branler tout en le regardant, en le fixant.
Puis j’approche ma tête et après avoir donné quelques coups de langue sur son gland, j’ouvre la bouche et gobe littéralement son membre qui disparait complètement.
Max a un sexe d'une bonne vingtaine de centimètres et très épais et malgré cela, j’engloutis complètement sa bite et mes lèvres viennent au contact de son pubis.
Ma gorge s’ouvre quand son gland force le passage. Le bout de sa bite est prisonnier de ma gorge.
Max n'en peux plus, il a envie de jouir.
Au bout d'un moment, je me dégage, j’ai une grosse dose de salive qui sort de ma bouche causée par cette gorge profonde que je viens de lui prodiguer.
Je le suce à nouveau et je commence les va et vient, ma langue est très active, elle tournoie autour de son gland, j’essaie d’enfoncer le bout de ma langue dans la fente du gland, dans le méat.
A ce rythme, il ne tient pas longtemps, il souhaite se dégager mais je le maintiens dans ma bouche et lui fais comprendre que je veux sa semence.
Max se cambre en enfonçant le plus possible sa queue au fond de ma gorge. Max éjacule, il y en a tellement que je ne peux pas tout avaler.
Éric et Max peuvent voir quelques filets de sperme sortir aux plis de mes lèvres.
Je ne le lâche pas et continue à aspirer jusqu'à la dernière goutte.
Une fois la source tarit et que j’ai tout avalé, je me libère de son membre.
Après cette longue fellation…Gorges profondes avec une savoureuse éjaculation et une magistrale distribution de claques, Max s’est s’occupé de mon petit cocu.
Il a mis ma laisse et m’a conduite vers le « chien », qui attendait patiemment en se masturbant et en filmant, il est polyvalent mon petit chéri.
Il a demandé au cocu de se déshabiller et lui a mis sa laisse également. Il nous a ensuite promené tous les deux dans sa splendide maison. Mon petit chéri profitait d’être placé derrière moi pour me lécher les fesses !
Max nous a attachés à une chaise et a commencé à me caresser les seins et le corps sous le regard de mon petit chéri cocu, attaché et excité.
Sur le film tourné et réalisé par Éric, nous distinguons en arrière-plan, mon petit cocu se masturbant en regardant Max me fesser si fort, qu’il m’en rougit les fesses.
C’est en raccord avec la jarretière des bas comme ça !!!
Moi qui ne suis pas une grande adepte des préliminaires, je vous avouerai que ceux-ci m’ont particulièrement plu, car ils alliaient le plaisir à la virilité, la cérébralité au jeu et n’étaient pas qu’une mise en bouche !!!
Max m’a prise en levrette à même le sol en plaçant ses doigts dans ma bouche. Ses doigts s’entrelacent pour former un mors, cela lui fournit l’appui nécessaire à de bons coups de reins.
C’était trèèèèèès excitant, je n’avais jamais testé et j’ai beaucoup apprécié !!!
Note pour plus tard : nous pouvons recommencer sans problème !!!
Max m’a aidée à me relever et je me suis alors placée debout face à une petite table.
Max m’a prise debout, ses coups de reins étaient bien sentis. Il me fessait et en même temps me tirait les cheveux. J’ai adoré. Ça m’a fait beaucoup jouir.
Il m’a demandée de cracher sur sa queue, chose que je n’aime pas faire habituellement. Prise dans l’excitation, pourquoi pas !!!
J’ai dit à mon petit cocu de bien regarder, je ne lui fais jamais. J’ai cru qu’il allait jouir tellement la scène l’excitait !!!
Il m’a prise debout face au miroir de la salle de bain, c’était vraiment excitant de pouvoir le voir me prendre et voir mon petit cocu se démener pour filmer et contenir son excitation en même temps. C’était toujours très viril.
Ensuite, il m’a fait m’asseoir sur le rebord du lavabo, je pouvais voir sa queue me pénétrer.
Il guidait ma tête en me tenant par mon collier de chienne. Il m’a prise debout en levant ma jambe pour pouvoir voir la pénétration dans le miroir. En même temps, il me tirait les cheveux, me fessait ou encore me claquait le visage.
Nos regards se soutenaient dans le miroir sans que mon petit cocu ne soit dans la confidence de nos plaisirs.
Il ne pouvait qu’observer, imaginer.
Ça l’a beaucoup excité, Max s’adressait à lui de temps en temps et de mon côté, je le regardais pour lui faire comprendre que je prenais énormément de plaisir. Il l’a bien vu !!!
Nous sommes retournés dans le salon, où Max a voulu me goûter sur le canapé.
Il m’a prise les genoux repliés sur ma poitrine, c’était une pénétration profonde qui me permettait de bien le sentir en moi.
J’entendais mon petit cocu gémir de plaisir et de frustration.
Après s’être retiré, il m’a demandé de cracher sur son sexe. Il a utilisé ma poitrine pour se branler avec.
Nous sommes tous trois partis dans la chambre, moi à quatre pattes et le petit cocu à deux pieds !!!
Max m’a fait monter sur le lit comme une chienne, puis s’est positionné au-dessus de moi pour se faire sucer. Sa queue rentrait profondément.
Je vous avouerai que ce n’est pas ce que j’ai préféré, j’avais parfois l’impression de manquer d’air. Je pense que ce devait être excitant à voir, mon petit cocu s’est retenu in extremis de jouir !!!
Max m’a prise en levrette, puis a pris mes mains et m’a faite basculer en avant, visage contre les draps. Il m’a bien baisée avec de bons coups de queue.
Il a mis son pied sur mes cheveux, m’écrasant la tête contre les draps. Très excitant.
Son pied ne touchait pas mon visage, mais la symbolique du geste m’a vraiment beaucoup plu et ça m’a fait jouir fort.
J’ai rarement été aussi excitée. Je ne sais pas si c’est le manque de sexe, le fait de retrouver mon Max après une si longue période… J’avais envie d’être prise par derrière et pour cela j’ai entrainé Max dans sa salle de bains, suivie par Éric mon petit cocu.
Je me suis donc bien positionnée, je veux être prise comme une chienne, debout, je me suis retournée contre le mur de faïence sur lequel j’ai plaqué mes mains.
Très vite, j’ai senti le gland du sexe de Max qui est venu se frotter entre mes cuisses et taper contre ma chatte.
Mais, Max ne m’a pas pénétré.
Il s’est contenté de tremper son sexe juste à l’orée de ma minette. J’ai compris ensuite que c’était pour bien l’humidifier.
Puis il est venu tartiner mon œillet avec le bout de sa queue.
Il a aussi pris un peu de mouille avec ses doigts, par devant, puis les a fait glisser entre les globes de mon cul, jusqu’à mon petit trou.
Mon beau Max avait bien compris où je voulais en venir, c’était presque déjà fait.
Je ne ressentis aucune douleur particulière lorsque le champignon rose de Max se fraya un passage dans mon orifice anal.
Le beau Max, connait le chemin et je suis habituée à absorber des sexes et en particulier celui de Max qui est plutôt « hors norme », cela facilita grandement l’intromission du membre noueux jusqu’au fond de mon ventre.
Max se mit rapidement à faire des allers et retours dans mon rectum. En même temps, il me malaxait la chatte d’une main.
J’avais l’anus qui chauffait et le ventre qui fourmillait. C’était très agréable. Le plaisir vint rapidement, au fur et à mesure que mon corps s’adaptait à l’intromission du sexe de Max.
Je balançais mes hanches d’avant en arrière pour bien coulisser, tant sur son doigt que sur sa bite.
Il n’avait presque plus à remuer, tellement j’étais agitée. Survoltée, je faisais tout mon possible pour me sentir encore mieux remplie. A la fin, il se mit tout de même à accélérer la cadence.
Max était déchainé, il me démontait littéralement le cul, Je crois qu’il voulait jouir.
- Prends ça…Salope !!! Me dit-il.
- Défonces la, cette pute, démontes lui le cul, elle ne demande que ça !!! Lui répondit Éric survolté.
Max devait être très excité par le spectacle que je lui donnais, celui d’une femme ivre de sexe et assoiffée de plaisir.
Quel plaisir mes amis, quelle jouissance, quel orgasme j’ai eu ce jour-là…J’ai crié, j’ai gueulé qu’il me faisait du bien.
Quand il est ressorti, j’ai eu l’impression que sa bite me déchirait le cul, tant ses convulsions étaient intenses. Ensuite, il s’est affalé sur moi et nous sommes restés ainsi quelques minutes, jusqu’à ce que sa verge débande et finisse par sortir d’elle-même de mon anus.
Max a apprécié particulièrement, Moi, vicieuse jusqu’au bout, je lui ai tâté les bourses pendant tout le temps que dura ce coït anal mémorable et jusqu’à ce que ses couilles se libèrent en moi.
Max a demandé à mon petit mari de jouir aussi. Éric a souhaité jouir sur mes seins. J’ai senti plusieurs giclées sur ma poitrine. Je les ai étalées en me caressant les seins avec son sperme.
Mon petit chéri a bien craché avec de belles giclées abondantes. Il faut dire qu’il n’avait pas joui depuis le 1er janvier, soit deux semaines d’abstinence.
J’étais contente que tous deux se finissent en moi et sur moi.
Après tout cet exercice et une petite douche, nous sommes retournés dans le salon papoter.
Nous nous expliquons en nous caressant et en nous embrassant mutuellement devant Éric, sur notre relation…Honnête, Max m’avoue apprécier sa vie telle qu’elle est.
Il a choisi une femme qui ressemble à une abeille travailleuse domestique : elle lui permet d’avoir une vie, en façade, parfaite. Il a le droit de s’égarer, avec une femme plus excitante.
Il aime sa vie telle qu’elle est : compartimentée. Et qu’il ne fera rien pour que cela change.
Il est content de partager de bons moments avec nous, avec moi.
Je suis rassurée et j’avoue avoir apprécié cette mise au pointMax est un homme toujours aussi charmant et très respectueux, c’est un amant hors pair, il sait bien m’utiliser, comme je l’aime.
Nous avons passé une super après-midi !!! Encore !!!

Les avis des lecteurs

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En fin de compte le mari est une petite lopette qui aime voir sa pute de femme se faire enfiler par tous les gros pervers de la région elle se comporte comme une sale garce et une égoïste et se fiche pas mal de son petit cocu comme elle l appel ça prouve son manque de respect pour lui et son desamour quand au risque de voir son couplé explosé c est fait mais elle ne s en ait même pas rendu compte vivement le divorce et chiao.



Texte coquin : (78). Gorges profondes et Sodomie : la passion des amants : Caroline et Max devant le petit cocu.
Histoire sexe : Une rose rouge
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