100 605. Fin de la saison IV et de l’histoire (12/12)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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100 605. Fin de la saison IV et de l’histoire (12/12)
De New York au Cotton club, au Flamingo à Vegas, à l’échelle du pays, ce fut un saut de puce en avion.
C’est comme barmaid que je devais faire la connaissance de Willy, le cow-boy dont je t’ai parlé tout à l’heure.
- Il t’a baisée sur son cheval !
Ça aurait pu, mais non, plus classiquement, sauf qu’il gardait ses bottes.
Mais ça ce fut quelques jours plus tard après que j’ai vu ce grand type roux venir vers moi.
- Nous atterrirons à Varsovie dans trente minutes.
- Tu as trente minutes pour que je prenne mes dernières notes, j’arrive presque au bout de mon carnet, tu as eu une vie très intense.
Willy, ça va aller assez vite et comme après ce fut le moment où j’ai été contacté à part à Varsovie que nous découvrirons ensemble, la boucle de ma vie est faite.
Willy, il venait de gagner le principal rodéo de Las Vegas.
Il venait dépenser ses dollars, je lui ai apporté un whisky à sa table de black-jack.
Je le voyais régulièrement perdre chaque fois que je passais.
J’ai posé le verre, nos mains se sont touchées, la banque a sauté.
- Il attaquait les banques comme Billy !
Je vois que lorsque nous serons de retour au Texas, il faudra que je t’emmène au casino de Vegas.
Faire sauter la banque au black-jack, c’est de gagner contre le casino et gagner de fortes sommes suivant ce que tu joues.
Willy jouait gros et grâce à moi, il venait largement de se refaire, surtout qu’ayant fini mon service il a voulu que je reste.
Nous sommes allés dans sa chambre, il m’a embrassée dans l’ascenseur et baisée sur la table de la suite où il dormait.
Quand je te disais qu’il avait gardé ses bottes sans son cheval.
Il est tombé amoureux de moi, moi aussi, le soir je séchais mon boulot pour le voir tenir une nouvelle fois le plus longtemps sur l’un des deux chevaux qu’il avait dans un van.
- J’ai vu des rodéos à la télé, les cow-boys se servent de sangle pour obliger les chevaux à chercher à l’enlever et ainsi à ruer éjectant son cavalier par là même.
Ça ce sont les mauvais cavaliers avec de mauvais chevaux.
Les bons comme Willy possèdent des ranchs où ils élèvent des chevaux Broncos.
Ils ruent naturellement sans avoir besoin de sangle et sont plus spectaculaires que les autres faisant se lever les spectateurs et gagner presque à coup sûr leurs cavaliers.
Willy élevait les meilleurs et était le number one dans tous les rodéos auquel il participait.
Son ranch devenu le mien à son décès se trouve près de Dallas.
C’est là que nous sommes retournés changer de chevaux pour le rodéo de Houston nouvel étape de ma vie.
Mais là encore ce sera à celui deux ans plus tard qu’une rencontre va changer ma vie.
Comme pour Willy, dans cinq minutes nous en reparlerons.
Pour le moment, je regarde Willy dompter Violetta, à moitié et prendre la buche des buches.
Il aurait pu penser qu’hors du casino j’étais son mouton noir, mais quand j’ai compris qu’il avait tenu une seconde de plus que son principal concurrent, il était vainqueur avec deux côtes cassées et un poignet douloureux.
Ayant encore gagné un gros paquet de fric, après l’hosto où il semblait être un bon client, c’est dans sa chambre que je l’ai ramené.
J’ai jeté les billets sur le lit.
Si tu savais le nombre de fois où je me suis empalée sur sa queue et sur un tas de billets, tu serais étonné.
Voilà nous arrivons au terme de notre voyage, nous survolons Varsovie, je finis par me demander si j’ai bien fait de venir.
- Aleksandra, pardon, tu devais me dire pour tes seins où et quand le major Lenny te les a réparés.
Non, je suis toujours de parole, un jour Willy participait au rodéo de Houston autre ville du Texas.
J’étais dans les tribunes comme il aimait que je le sois.
L’un des chevaux que nous avions emmenés s’appelait Tornade.
Pour être une tornade, c’était le cas, Willy a tenu le temps imparti, mais l’un des clowns qui faisaient le show pensant faire rire le public a fait faire un soleil au champion.
Retour à l’hôpital, celui le plus proche, c’était une clinique privée.
Une ambulance l’a amené.
Le chirurgien qui l’opérait m’a fait attendre dans un couloir près du bloc.
C’est là qu’en même temps que lui, j’ai eu l’impression de connaitre qui s’avançait vers moi.
- Était-ce le major Lenny ?
Lenny, oui, mais sans le titre de major, comme je te l’ai dit, il venait de racheter la clinique de Jeff Tuche retourné en France avec toute sa famille.
Il m’a emmené dans son bureau pour faire voir aux élèves ce que la barbarie allemande avait fait même sur les femmes.
J’ai ouvert ma chemise de cow-boy avec ses franges, la même coupe que celle que Willy portait de couleur rouge alors que la sienne était bleue.
Lenny a gardé Willy et moi par la même occasion.
Il l’a réparé pendant qu’il me réparait.
- Je peux voir, tu me l’avais promis !
Nous roulons sur la piste, impossible de te les montrer, l’hôtesse va venir pour le débarquement, nous verrons ça à Varsovie à l’hôtel que nous allons rejoindre avant la cérémonie de demain.
- Mais dit moi, depuis que tu as suivi ton cow-boy et jusqu’à sa mort, tu lui es resté fidèle !
Nous nous sommes mariés à Vegas, l’année suivante, toujours au rythme des rodéos.
Nous étions dans sa chambre, une coupe de champagne à la main.
Il venait de me prendre comme il chevauchait son cheval.
Nous étions dans les fauteuils du salon attenant à la chambre et c’est là qu’il m’a dit « descendons-nous marier. »À Vegas, au coin de rue suivant ça était fait en moins de cinq minutes, le seul avantage, c’est que lorsqu’il est mort, je suis devenue une femme immensément riche.
Tu me demandes si j’ai été fidèle, relativement, au ranch où nous étions de passage entre deux représentations.
Tout juste quelques touristes venant visiter le ranch que j’emmenais en balade et avec qui j’ai baisé à l’ombre d’arbre.
Dans les rodéos, j’étais la femme de Willy et les cow-boys se protègent entre eux.
- Messieurs, dames, veuillez descendre, nous sommes arrivés.
Voilà, nous descendons de l’avion, le pilote et son équipage nous salue et nous demande si nous avons fait bon voyage.
- Aleksandra, te voilà je suis heureuse de te retrouver.
Au bas des marches de la passerelle, je retrouve une femme que je semble connaître, ou l’ai-je vu ?
Son visage m’est familier.
- Je vois que tu as du mal à me remettre, je suis Rachel.
C’est moi qui t’apportais à manger dans ta cellule à Treblinka.
C’est moi qui suis chargé d’organiser la cérémonie de demain.
Un chauffeur va te conduire à ton hôtel.
Je peux savoir comment tu t’en es sortie dans le camp !
- La nuit qui précédait, nous avions prévu une évasion.
Je me suis retrouvée seule encore en vie, une balle dans l’épaule à la sortie des barbelés.
Ce sont les Russes qui m’ont retrouvée, j’ai eu de la chance.
Je vis à Varsovie, ou je m’occupe des relations de la ville à la mairie et comme je pensais à toi, nous avons fait des recherches et te voilà.
Tu étais au fin fond de l’Amérique et te voilà.
On nous conduit à l’hôtel, personnes pour faire cas de Franck que tous prennent pour mon secrétaire.
Dans la chambre, nous prenons un bain, crapuleux bien sûr.
Il est fasciné par le travail d’artiste fait par l’ex-major Lenny, il me tête comme si j’étais sa mère.
Un bon lit, une nuit un peu entrecoupée de moments ou je me fais prendre par la jeune bite de mon amant.
Le lendemain rien de bien folichon à dire.
À oui, une autre femme que j’ai l’impression de connaître est là.
Odette, ma copine de Buchenwald, elle est maire communiste de Bouzolles en France.
Elle a succédé à Jeff Tuche lorsqu’il est devenu Président de la République.
Les festivités terminées, avec Franck, elle nous emmène dans son village où nous dégusterons des frites à la manière de Cathy Tuche, spécialité de son village.
C’est comme barmaid que je devais faire la connaissance de Willy, le cow-boy dont je t’ai parlé tout à l’heure.
- Il t’a baisée sur son cheval !
Ça aurait pu, mais non, plus classiquement, sauf qu’il gardait ses bottes.
Mais ça ce fut quelques jours plus tard après que j’ai vu ce grand type roux venir vers moi.
- Nous atterrirons à Varsovie dans trente minutes.
- Tu as trente minutes pour que je prenne mes dernières notes, j’arrive presque au bout de mon carnet, tu as eu une vie très intense.
Willy, ça va aller assez vite et comme après ce fut le moment où j’ai été contacté à part à Varsovie que nous découvrirons ensemble, la boucle de ma vie est faite.
Willy, il venait de gagner le principal rodéo de Las Vegas.
Il venait dépenser ses dollars, je lui ai apporté un whisky à sa table de black-jack.
Je le voyais régulièrement perdre chaque fois que je passais.
J’ai posé le verre, nos mains se sont touchées, la banque a sauté.
- Il attaquait les banques comme Billy !
Je vois que lorsque nous serons de retour au Texas, il faudra que je t’emmène au casino de Vegas.
Faire sauter la banque au black-jack, c’est de gagner contre le casino et gagner de fortes sommes suivant ce que tu joues.
Willy jouait gros et grâce à moi, il venait largement de se refaire, surtout qu’ayant fini mon service il a voulu que je reste.
Nous sommes allés dans sa chambre, il m’a embrassée dans l’ascenseur et baisée sur la table de la suite où il dormait.
Quand je te disais qu’il avait gardé ses bottes sans son cheval.
Il est tombé amoureux de moi, moi aussi, le soir je séchais mon boulot pour le voir tenir une nouvelle fois le plus longtemps sur l’un des deux chevaux qu’il avait dans un van.
- J’ai vu des rodéos à la télé, les cow-boys se servent de sangle pour obliger les chevaux à chercher à l’enlever et ainsi à ruer éjectant son cavalier par là même.
Ça ce sont les mauvais cavaliers avec de mauvais chevaux.
Les bons comme Willy possèdent des ranchs où ils élèvent des chevaux Broncos.
Ils ruent naturellement sans avoir besoin de sangle et sont plus spectaculaires que les autres faisant se lever les spectateurs et gagner presque à coup sûr leurs cavaliers.
Willy élevait les meilleurs et était le number one dans tous les rodéos auquel il participait.
Son ranch devenu le mien à son décès se trouve près de Dallas.
C’est là que nous sommes retournés changer de chevaux pour le rodéo de Houston nouvel étape de ma vie.
Mais là encore ce sera à celui deux ans plus tard qu’une rencontre va changer ma vie.
Comme pour Willy, dans cinq minutes nous en reparlerons.
Pour le moment, je regarde Willy dompter Violetta, à moitié et prendre la buche des buches.
Il aurait pu penser qu’hors du casino j’étais son mouton noir, mais quand j’ai compris qu’il avait tenu une seconde de plus que son principal concurrent, il était vainqueur avec deux côtes cassées et un poignet douloureux.
Ayant encore gagné un gros paquet de fric, après l’hosto où il semblait être un bon client, c’est dans sa chambre que je l’ai ramené.
J’ai jeté les billets sur le lit.
Si tu savais le nombre de fois où je me suis empalée sur sa queue et sur un tas de billets, tu serais étonné.
Voilà nous arrivons au terme de notre voyage, nous survolons Varsovie, je finis par me demander si j’ai bien fait de venir.
- Aleksandra, pardon, tu devais me dire pour tes seins où et quand le major Lenny te les a réparés.
Non, je suis toujours de parole, un jour Willy participait au rodéo de Houston autre ville du Texas.
J’étais dans les tribunes comme il aimait que je le sois.
L’un des chevaux que nous avions emmenés s’appelait Tornade.
Pour être une tornade, c’était le cas, Willy a tenu le temps imparti, mais l’un des clowns qui faisaient le show pensant faire rire le public a fait faire un soleil au champion.
Retour à l’hôpital, celui le plus proche, c’était une clinique privée.
Une ambulance l’a amené.
Le chirurgien qui l’opérait m’a fait attendre dans un couloir près du bloc.
C’est là qu’en même temps que lui, j’ai eu l’impression de connaitre qui s’avançait vers moi.
- Était-ce le major Lenny ?
Lenny, oui, mais sans le titre de major, comme je te l’ai dit, il venait de racheter la clinique de Jeff Tuche retourné en France avec toute sa famille.
Il m’a emmené dans son bureau pour faire voir aux élèves ce que la barbarie allemande avait fait même sur les femmes.
J’ai ouvert ma chemise de cow-boy avec ses franges, la même coupe que celle que Willy portait de couleur rouge alors que la sienne était bleue.
Lenny a gardé Willy et moi par la même occasion.
Il l’a réparé pendant qu’il me réparait.
- Je peux voir, tu me l’avais promis !
Nous roulons sur la piste, impossible de te les montrer, l’hôtesse va venir pour le débarquement, nous verrons ça à Varsovie à l’hôtel que nous allons rejoindre avant la cérémonie de demain.
- Mais dit moi, depuis que tu as suivi ton cow-boy et jusqu’à sa mort, tu lui es resté fidèle !
Nous nous sommes mariés à Vegas, l’année suivante, toujours au rythme des rodéos.
Nous étions dans sa chambre, une coupe de champagne à la main.
Il venait de me prendre comme il chevauchait son cheval.
Nous étions dans les fauteuils du salon attenant à la chambre et c’est là qu’il m’a dit « descendons-nous marier. »À Vegas, au coin de rue suivant ça était fait en moins de cinq minutes, le seul avantage, c’est que lorsqu’il est mort, je suis devenue une femme immensément riche.
Tu me demandes si j’ai été fidèle, relativement, au ranch où nous étions de passage entre deux représentations.
Tout juste quelques touristes venant visiter le ranch que j’emmenais en balade et avec qui j’ai baisé à l’ombre d’arbre.
Dans les rodéos, j’étais la femme de Willy et les cow-boys se protègent entre eux.
- Messieurs, dames, veuillez descendre, nous sommes arrivés.
Voilà, nous descendons de l’avion, le pilote et son équipage nous salue et nous demande si nous avons fait bon voyage.
- Aleksandra, te voilà je suis heureuse de te retrouver.
Au bas des marches de la passerelle, je retrouve une femme que je semble connaître, ou l’ai-je vu ?
Son visage m’est familier.
- Je vois que tu as du mal à me remettre, je suis Rachel.
C’est moi qui t’apportais à manger dans ta cellule à Treblinka.
C’est moi qui suis chargé d’organiser la cérémonie de demain.
Un chauffeur va te conduire à ton hôtel.
Je peux savoir comment tu t’en es sortie dans le camp !
- La nuit qui précédait, nous avions prévu une évasion.
Je me suis retrouvée seule encore en vie, une balle dans l’épaule à la sortie des barbelés.
Ce sont les Russes qui m’ont retrouvée, j’ai eu de la chance.
Je vis à Varsovie, ou je m’occupe des relations de la ville à la mairie et comme je pensais à toi, nous avons fait des recherches et te voilà.
Tu étais au fin fond de l’Amérique et te voilà.
On nous conduit à l’hôtel, personnes pour faire cas de Franck que tous prennent pour mon secrétaire.
Dans la chambre, nous prenons un bain, crapuleux bien sûr.
Il est fasciné par le travail d’artiste fait par l’ex-major Lenny, il me tête comme si j’étais sa mère.
Un bon lit, une nuit un peu entrecoupée de moments ou je me fais prendre par la jeune bite de mon amant.
Le lendemain rien de bien folichon à dire.
À oui, une autre femme que j’ai l’impression de connaître est là.
Odette, ma copine de Buchenwald, elle est maire communiste de Bouzolles en France.
Elle a succédé à Jeff Tuche lorsqu’il est devenu Président de la République.
Les festivités terminées, avec Franck, elle nous emmène dans son village où nous dégusterons des frites à la manière de Cathy Tuche, spécialité de son village.
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