Ça c'est passé simplement 12

- Par l'auteur HDS Macerou -
Récit érotique écrit par Macerou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ça c'est passé simplement 12 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ça c'est passé simplement 12
En résumé du chapitre précédent, plus de 20 ans étaient passés oh oui même un peu plus et je retrouvais, tout à fait par hasard, Evelyne que j’avais « très bien connu » quand j’étais étudiant, récit « Divine surprise »
En souvenir du « bon vieux temps elle m ‘avait invité à diner chez elle. Voici la suite, …
Le diner se passa sans problème. J’appris qu’elle avait eu une fille de 18 ans maintenant, étudiante. En fait, comme elle me l’expliqua, elle avait fréquenté un type, pendant deux ans et ils étaient sur le point de se mettre ensembles, quand la sachant enceinte, il avait filé car il ne voulait pas de « gnard braillard ». Elle ne regrettait rien.
Je lui demandais comment elle avait eu la gérance de XXX. Elle m’expliqua qu’avant d’être vendeuse elle avait passé un CAP de secrétariat et que, à cette époque, ne trouvant pas de travail elle avait pris ce travail de vendeuse qui lui plaisait bien. Après son divorce, le fils du patron, « tu te souviens de lui, ce petit con », avait continué à la tarabuster. Elle s’en était ouverte au patron, qui s’en était amusé avec un : « Il faut bien que jeunesse se passe »
Ayant vue que l’agence de location ImmoLyon cherchait une secrétaire elle s’était présentée et avait été acceptée, ainsi elle avait pu quitter son emploi de vendeuse, au grand dam du patron.
Quand le gérant avait pris sa retraite, il l’avait chaudement recommandée et depuis un peu plus de dix ans c’était elle la gérante.
Elle s’amusa aussi à me provoquer, gentiment, comme lorsque qu’elle revint avec le dessert, le décolleté avait augmenté et elle apportait le dessert sur un plateau porté à une telle hauteur que j’avais l’impression que ses seins y étaient posés, … je ne vous dis pas le résultat.
Pour la remercier du diner, je la pris dans mes bras et après une partie de lèche museau je lui enlevais son peignoir. Elle fit semblant de s’en offusquer, pour enfin éclater de rire. J’aidais donc Evelyne à débarrasser la table et je ne sais comment elle se débrouillait mais elle était toujours devant moi en allant à la cuisine, ce qui me permettait d’admirer le balancement de son joli cul. Au deuxième ou troisième voyage, alors que nous rendions une nouvelle fois à la cuisine, je lui dis : « T’as vraiment un joli cul »
Elle : « Il te plait toujours autant, … c’est pour ça, que tu l’as au garde à vous, … »
Moi : « Si c’était autrement, tu serais vexée, mais Je vais finir par penser que tu es un peu garce sur les bords »
Elle : « Humm, … Humm, … J’aime quand tu me complimentes, … mais je soupçonne que c’est des compliments intéressés … »
Nous étions à la cuisine où elle se mit à ranger la vaisselle dans le lave vaisselle, celui-ci étant au sol, à l’évidence, cette position, faisait ressortir son joli cul. Ma main se dirigea vers ce beau cul et s’introduisant entre les cuisses de la belle et je remontais gentiment vers sa chatte en caressant tendrement l’intérieur, si doux, des cuisses, pour enfin atteindre son minou tellement chaud et humide, qu’il devait s’être préparé à cette arrivée. Evelyne ne bougea pas. Quand j’atteignis sa chatte elle émit un petit « Oh » de surprise ou de satisfaction. Je posais ma main sur son minou de façon à l’avoir dans ma paume. Evelyne modifia sa position en s’appuyant sur l’appareil ce qui autorisa une légère ouverture de ses cuisses, et qui me facilita l’accès à sa grotte d’amour. Après quelques caresses à ses grosses lèvres, j’introduisis, doucement, deux doigts dans sa chatte. Cette douce pénétration fut accompagnée d’un « Oh, … oui, .. ». Vue la position, il ne me restait plus qu’à investir sa rosette, dans laquelle j’introduisis mon pouce. Après quelques va et vient : Evelyne se redressant : « Arrêtes, on sera mieux au salon, … Je suis nue, … tu es toujours habillé, … enlèves ça, … » C’est ce que je fis et elle pu constater que j’avais un trique faisant honneur à son propriétaire.
Elle ironisant : « C’est moi qui te mets dans cet état, … viens mon pauvre chéri, … il faut que je m’en occupe, … tu vas éclater, … viens, … »
Nous nous installâmes sur le canapé, enfin nous nous affalâmes, alors que je l’attirais vers moi, elle se laissa glisser entre mes jambes et prenant ma queue sans hésitation elle passa de grands coups de langue sur le gland, puis sur la hampe avant de me prendre en bouche et de commencer à me sucer avec art, sa langue titillant mon gland alors que j’étais enserré dans le fourreau chaud et doux de se ses lèvres, c’était merveilleux comme sensation.
Moi : « Si tu continues, comme ça, je ne pourrais jamais te faire l’amour, … »
Et se dégageant : « Hum, … j’aime, … dis moi que tu aimes ce que je te fais, … » et elle me reprit et la fête reprit de plus belle. Elle était douée au possible et j’avais la tige qui me paraissait gonfler à éclater, quand soudains sans possibilité de dire quoique ce soit, j’éclatais et me vidais dans sa bouche. Surprise certainement, une hésitation, mais tout fut avaler et elle se remit à me pomper ce qui entraina une deuxième giclée, qui suivit le chemin de la première. Elle se retira légèrement essoufflée, et voyant dame nature faire son effet sur ma virilité, mais avec un large sourire : « J’espère que tu m’as tout donné, … (éclat de rire).
Enfin elle remonta sur le canapé et blottissant dans mes bras : « Si on allait se coucher, … demain je dois être au bureau, … »
C’est ce que l’on fit. Allongée sur le coté, je me collais à elle et après les efforts faits, effectivement nous nous endormîmes rapidement. Vers le milieu de la nuit, je sentis qu’Evelyne s’était collée contre moi et je l’entendis dire : « Jean, … fais moi l’amour, …s’il te plait, … » Ce qui eu le don de me réveiller instantanément. Je me retournais, la chambre éclairée faiblement par la lune me permit de voir qu’Evelyne se mettait sur le dos en me disant : « Viens, … j’ai envie de toi, … fais moi l’amour, …prends moi, … je veux te sentir sur moi, …j’en ai tellement envie, … viens, ..»
Comment refuser une telle invitation, je me mettais entre ses jambes bien ouvertes. Elle m’attira à elle pour un long, humide et chaud baiser. Celui-ci se terminant je descendais pour m’occuper de ses seins, dont les tétons étaient déjà durs et je les pris en bouche et cela que quelques instants car Evelyne, me faisant remonter me dit : « Arrêtes, … viens prends moi, … je suis prête, … je t’attends, … » et sans hésiter elle glissa sa main entre nous et prenant mon engin, qui avait retrouvé sa vigueur, elle le dirigea vers sa grotte d’amour que je pus investir aisément tellement elle le désirait cela. Aussitôt en elle, je commençais mes va et vient dans sa chatte chaude, dégoulinante de plaisir : « Oui, … oh, … fais moi l’amour, … prends moi, … c’est bon, … oh oui, … baises moi fort, …oui, comme ça, … ne t’arrêtes pas, … j’ai tant envie de toi, … oui baises moi, … j’ai souvent pensé à toi, …OOOOH, OUIIII, continues, … fais moi jouir, …»
Ce n’était pas le moment de la décevoir et j’y allais à grands coups de reins, qui à chaque pénétration entrainait un large soupir de satisfaction. Dés le début en appui sur ses jambes elle s’était cambrée, ce qui me permettait de la pénétrer au maximum.
Elle : « Oui, … prends moi fort, … baises moi fort, … ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, … ouiii, … c’est bon, … OUIIIIII, … je JUOIIIIIIS, … encore, … OUIIIII …. » et elle s’écroula, heureusement j’avais tenu jusqu’au bout, me vidant au moment où elle disait sa jouissance.
Je m ‘enlevais dessus d’elle et sans rien dire elle se colla à moi en disant : « Fais moi un câlin », mais celui-ci fut de coutre durée, car elle s’endormi rapidement.
Je me réveillais en sursaut à la sonnerie d’un drôle de réveil. Il me fallut quelques secondes pour réaliser où j’étais. Evelyne avait réagi rapidement et se levant elle dit : « Continues de dormir je me prépare et on prend le petit déjeuner avant que je parte » et elle fila vers la salle de bains. La salle de bains libre j’en prenais possession et rapidement nous nous retrouvâmes devant une tasse de café.
Elle : « Quand dois tu partir ? »
Moi : « J’ai encore une rendez-vous ce matin à 10,00 h et ensuite je voudrais mettre au clair le résultat de nos discussions et je devrais partir en début d’après-midi. Mais je me demande, …»
Elle, me coupant la parole : « Si je t’invitais à diner ? »
Moi : « Disons, qu’après une telle invitation, et en fonction d’un coût de téléphone à mon bureau, je pourrais, peut-être, décaler mon départ à samedi, mais ta fille »
Elle : « Ne t’inquiètes pas, pour ça »
Le temps courrait, nous partîmes en ville en se donnant rendez-vous pour le soir. Et réintégrant ma chambre d’hôtel je mettais, difficilement, à la rédaction de mon rapport, en attendant mon rendez-vous de 10,00h.
Celui-ci se passa rapidement et vers 11,00 h j’étais dans ma chambre à essayer de me concentrer sur mon rapport, … quand on frappa à la porte. Je trouvais que le personnel d’entretien était bien pressé de faire la chambre, … « Entrez » et c’était Evelyne qui entra.
Moi : « Mais, … qu’est-ce que tu fais là, … »
Elle : « Tu n’es pas content de me voir ? »
Moi : » Si, si, très content, … mais on devait se voir ce soir ?
Elle : « Je voulais t’offrir, … non, je m’en vais,… »
Moi : « Ne sois pas idiote, qu’est ce que tu voulais m’offrir, je suis très curieux, … »
Elle posa un genre de sac fourre tout parterre et en défaisant la ceinture de son trench coat elle dit : « J’ai l’impression d’être en visite, … je peux l’enlever ? »
Et joignant le geste à la parole elle l’enleva pour apparaître nue enfin presque, car elle ne portait qu’une guêpière, dont le soutien gorge était coupé de telle façon qu’il mettait en valeur, sans les cacher, ses seins, alors que les bas étaient tendus par de fines bretelles qui encadraient sa toison brune bien taillée en triangle. Ayant montré son coté face elle fit un tour sur elle-même, pour montrer son coté pile en disant : « C’est pour toi, viens, c’est à toi, … »
Me levant je la pris dans les bras, nos corps se collèrent, nos lèvres se joignirent, et un long et sensuel baiser s’en suivit. Se décollant et m’entrainant vers le lit : « Viens, prends moi, ... baises moi, … baises moi fort, … viens, …». Alors que je déshabillais prestement, dès que j’eu la bite à l’air, assise sur le lit elle me prit en main : « Viens, j’ai envie de te gouter,… je vais te lécher, … » et sans attendre avec le bout de sa langue, pointue, elle commença à me titiller le gland, puis me prenant avec le bout des lèvres me suçait doucement, me lâchant, me reprenant, pour recommencer avec le bout de sa langue. En s’amusant ainsi, à regarder ses yeux et sa figure il était évident, qu’elle y prenait, non seulement du plaisir, mais que de plus elle s’amusait follement.
Elle : « Est-ce que tu aimes, … dis moi, … »
Moi : « Si tu continues comme ça, je ne pourrais plus m’occuper de ta chatte »
Elle : « J’aime te sucer ainsi, je te sens vibrer dans ma bouche, c’est follement excitant, … ça m’excite, … »
Enfin s’arrêtant sur un dernier coup de langue large et généreux elle se mit en levrette sur le lit.
« Viens prends moi, … c’est à toi, … »
J’avais sous les yeux et à disposition de ma queue son joli cul et sa moule luisante de cyprine.
Elle : « Viens, … j’ai envie de te sentir, … viens, …mais qu’est-ce que tu fais ? »
Moi : « J’admire ce beau tableau de ton joli cul et ta jolie chatte, … »
Je glissais une main entre ses cuisses bien ouvertes et un doigt curieux s’introduisait doucement dans sa chatte, entrée qui fut appréciée par un « OH » heureux, doigt que je retirais rapidement pour aller caresser et essayer la souplesse de sa jolie rosette et aussi l’humidifier pour un futur proche.
« Viens, … arrêtes de jouer, … viens prends moi, … tu m’agaces, … viens, …»
« Ecartes bien tes fesses »
Aussitôt elle mit ses mains sur ses fesses, les écartant largement en disant : « Oui, … prends moi par là, … mais commences doucement, ça fait longtemps que personne ne m’a prise comme ça
Alors prenant en main ma queue, je titillais doucement son petit trou, ce qui fut apprécié par un « Oh, … oui,… » puis je descendais et titillais le joli sillon entre les deux gosses lèvres de sa chatte et de nouveau : « Oh , … oui, viens, .., je t’attends, … »
Puis j’abandonnais pour remonter vers sa rosette et là : « Arrêtes de jouer à ce jeu pervers, ... prends moi, … je t’attends, … espèce de salaud, tu ne fais que m’exciter, … et rien, … viens, … prends moi comme tu veux, … mais prends moi, … prends mon cul si tu en as envie, …mais arrêtes de me faire attendre, … oui, … encules moi, … si c’est que tu eux que je tu veux que je te dises, … je me suis préparé pour toi, … t’avais aimé, …»
Je me présentais donc et enfonçais gentiment sa jolie rosette, qui résista un peu, mais s’ouvrit rapidement avec un long soupir de satisfaction de sa propriétaire. Cramponné à ses hanches je commençais lentement mes va et vient puis accélérais le rythme.
« Oui, … continues, … c’est bon, … oui, … j’aime quand tu me prends comme ça, … quand tu me montes dessus, … OOHH que c’est bon, … ne ‘arrêtes pas, … ça fait si longtemps, … oui, je suis ta chienne,… j’en ai tellement besoin, … encore, … »
De façon à essayer de la faire grimper aux rideaux, alors qu’elle était bien partie, je me retirais d’un seul coup. La réaction ne se fit pas attendre d’autant plus intense qu’elle était bien chaude.
« Qu’est-ce que tu fais, …non finis moi, … tu peux pas me laisser comme ça, … mais, … »
Avant qu’elle ne réagisse plus avant, c’est à ce moment que d’un solide coup de rein je pénétrais sa chatte, ouverte, chaude, coulante telle une fontaine : « Oh, … salaud t’es content de toi, … tu voulais que je te supplie, … OOHHH, … c’est bon, … remplis moi, … je te sens, … c’est bon, … continues, … ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, …OUIIIIIIIII, … retiens toi, … c’est bon, … je JOUIIIIIIIS ? … »
En même temps alors que je venais de tout lâcher, elle avait eu un beau spasme. Alors je lui claquais généreusement ses belles fesses, instantanément elle se contracta, ce qui entraina une seconde giclée, ce qui me vida.
Nous écroulâmes sur le lit, le souffle court, puis se retournant vers moi : « Tu es content de toi, … tu fais de moi ce que tu veux, … t’aimes que je te supplie, hein, … je t‘adore, … »
Puis se levant : « J’espère que tu m’invites à déjeuner ? »
Moi : « Certainement, tu viens comme ça ou en trench coat, parce que si tu viens en trench coat, le maitre d’hôtel est très stylé, il se fera un plaisir de t’aider à l’enlever, et je pense que les clients seront heureux … »
Elle : « Ne t’inquiète, j’ai de quoi m’habiller dans mon grand sac »
En effet, elle sorti un ensemble en jersey beige clair et dit : « Je monopolise la salle de bains »
Pendant ce temps, je me ré habillais et rangeais un peu la chambre.
Enfin Evelyne sortit, son ensemble lui allait fort bien et mettait discrètement ses formes en valeur.
Moi : « La classe, … toujours aussi élégante et … oui élégante »
Elle : « Pas plus que élégante, je rêvais mieux … »
Moi : « Tu veux que je te dise que tu attires toujours les regards, que tu fais toujours envie? »
Elle : « Oui, c’est mieux, … »
Moi : « J’ai compris, … tu es très baisable, … contente ?
Elle : « On peut pas dire que c’est spontané, mais je m’en contenterais, … on va manger ? J’ai faim »
Alors qu’elle se dirigeait vers la porte de la salle de la chambre, son joli cul roulant agréablement, je la rattrapais et me collant à elle je prenais ses seins à pleines mains et les caressais.
Elle : « Tu crois que c’est le moment, … arrêtes, … si tu continues, … OH »
Le OH provenait du fait que j’avais, rapidement, remonté sa jupe et une main s’était glissée entre ses cuisses à l’assaut de son puits d’amour, sans protection, que je caressais avec insistance, mais rapidement elle resserra les cuisses en disant : « OH, … non, … tu vas froisser la jupe, … j’ai faim, tu auras tout ce que tu voudras après »
Et nous quittâmes la chambre, pour aller déjeuner.

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