Ça c’est passé simplement 4
Récit érotique écrit par Macerou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ça c’est passé simplement 4
Lundi 13 maiLe lundi 13 mai, dans l’après-midi, j’étais en train d’étudier le planning du patron, celui de Mireille et le mien de façon à voir comment je pouvais envisager rune encontre avec Mireille. J’avais trouvé une astuce, enfin une combine, étant donné qu’elle devait être à Périgueux le mercredi 23 le matin à l’embauche, pour ma part en allongeant mon trajet du mardi de 50 km je pouvais être le soir à Périgueux, mais encore fallait-il que Mireille accepte de me voir.
Prenant mon téléphone je lui demandais de passer pour un problème de factures.
Arrivée dans mon bureau, elle ferma la porte et, je lui exposais mon idée, en lui précisant qu’arrivant aux environs de 20,00 heures, nous pourrions reprendre le scénario que nous n’avions pas terminé la dernière fois et qu’elle aurait aimé terminer. Si elle le désirait et qu’elle m’invitât, nous pourrions finir la nuit ensemble. Si au début de mon exposé elle fut pratiquement sans réaction, lors de la fin de l’exposé, elle eut un léger éclat dans les yeux. Son sens pratique reprit le dessus.
« Tu es fou, tu crois que je vais rester, pourquoi pas nue, même dans une voiture, en attendant que « Monsieur » veuille bien arriver. Et comment je saurais quand tu arriveras »« A une dizaine de km, je trouverais bien une cabine téléphonique et je te préviendrais de mon arrivée éminente »« Tu rêves, considères que j’ai deux vies, une ici au bureau, disons à Limoges, je suis respectable et respectée, en déplacement, il m’est arrivée de faire quelques écarts, disons sans importance pour les différents protagonistes. Ne mélangeons pas tout. »« Désolé, je n’avais pas vu ça de cette façon, je voulais juste avoir la possibilité de te voir, ces jours prochains, mais désolé, oublions tout, je n’ai rien dit » et elle partit.
Quant à moi, la tête et la queue basse, je me replongeais dans mes problèmes de rendez-vous et de rapports, … avec tout cette paperasse j’en avais jusqu’à huit heures ce soir, de toutes les façons étant célibataire géographique, je pouvais rentrer à n’importe quelle heure, c’était sans problèmes. Donc j’entendis le personnel partir vers 18,00 heures, 18,30 heures et enfin le calme dans les bureaux. Il devait être pas loin de 19,00 heures, quand ma porte qui était entrebâillée s’ouvrit. Surprise, c’était Mireille, un petit sourire aux lèvres. « Je ne te déranges pas ? »« Non, mais que fais-tu là, je croyais que tout le monde était parti »« J’ai attendu d’être certaine que tout le monde soit parti, et j’ai prévenu chez moi que j’aurais un peu de retard. Je voulais m’excuser pour toute à l’heure, mais il y a un problème au secteur de Poitiers. Je viens pour m’excuser et me faire pardonner, …»Je lui coupais la parole :« Ne t’excuse pas, c’était ce que tu voulais, je peux comprendre que tu changes d’avis, aucune importance, je suis content que tu sois revenu »Elle reprit : « Pour me faire pardonner, je suis comme tu aimes » et les mains sur le bureau elle se pencha et me dit « Regardes bien »Là, en fait, je m’aperçus qu’elle avait largement augmenté son décolleté, par rapport à son précédent passage, et qu’en se penchant, je pouvais constater qu’elle ne portait pas de soutien-gorge en déduire qu’il en était de même sous sa jupe, il n’y avait qu’un pas à franchir que je franchis allègrement. Je me levais faisant le tour du bureau, je la pris dans les bras, elle vint se coller à moi. Nos lèvres se retrouvèrent et nos langues se caressèrent.
Tout à coup, je me rendis compte que nous étions au bureau et que ce que nous faisions était risqué, elle due sentir ma réaction et me dit : « Ne t’inquiètes pas j’ai vérifié que la porte d’entrée est bien fermée à clé et il y a une corbeille à papier dans l’escalier » et nous reprîmes et nos baisers et notre corps à corps. Enfin elle me dit :« Pour mercredi c’est d’accord, je t’attendrais comme tu veux, j’aime cette idée. L’expérience me tente de faire l’amour ainsi. Nous pourrons faire ce que tu veux après je t’accueillerais avec plaisir dans ma chambre et dans mon lit, maintenant prends moi, j’ai envie de toi, et toi, dis moi si t’as envie de moi, oui dis moi, … puisque tu ne dis rien, je vais vérifier» et sa main descendit jusqu’à ma ceinture, la défit et en ouvrant la braguette de mon pantalon elle put se rendre compte de mon état. Elle sortit « popol » de mon caleçon et s’accroupissant, elle passa un coup de langue sur le gland et me prit en bouche et commença à me sucer, peu de temps et elle se redressa en disant : « Je voulais vérifier que tu étais en forme pour me faire l’amour, viens …, viens vite, … prends moi, …» et se retournant, elle prit appui sur le bureau et relevant sa jupe, sur son joli cul, « Viens, je veux te sentir t’enfoncer en moi »Avant de la prendre, je glissais une main entre ses cuisses largement écartées et je lui caressais la chatte, avec un doigt suivant son sillon et remontant jusqu’entre ses fesses, ce qui me permit de sentir qu’elle était chaude, ouverte et très humide, er je fis ce petit trajet à plusieurs reprises.
« Si tu continues comme ça, tu vas me faire jouir, … mais prends moi, viens vite, j’en ai envie, oui, viens, … »Je m’approchais, elle me saisit, me guida vers et dans sa grotte d’amour qui m’accueillit sans problème, j’attrapais ses hanches et je commençais mes va et vient dans son chaud et trempé fourreau. Il ne fallut pas longtemps avant que la douce musique de sa voix démarre, m’informant de son plaisir et de ses envies. Je faisais de mon mieux pour la satisfaire et il me fallait être performant pour la remercier de sa venue s’offrir à moi. J’avais son beau cul bien rond et tendu devant les yeux et contre mon ventre, devant ce spectacle je ne pus résister à lui flanquer une petite tape, la réaction fut vive et rapide. Elle se contracta, y compris ses muscles internes et elle dit dans un souffle : « OHHH, ouiiii, c’est bon, … encore, … ». Surpris, étonné et sceptique quant à ce que j’avais entendu, mais obéissant, je recommençais une autre claque un peu plus forte sur l’autre fesse, même cause même effet : « OOOHHH, …, OUIIIII, …., j’aime, …, encore, … » En même temps que je la ramonais avec énergie, je décidais de claquer son joli cul, nettement plus fort, puisqu’elle semblait aimer ça : « OOOHHH, …, OUIIII, …, j’aime, …, prends moi fort, …, j’aime que tu remplisses la chatte,…, OUUIIII, … aimes moi fort, …, bourres moi la chatte, …, tu me rends folle quand tu me prends fort comme ça , …, je suis à toi, …., OOOOHHHH, …, continues, ne t’arrêtes pas, …, » mais je ne tenais plus et je me laissais aller à me vider dans sa chatte accueillante et Mireille donna de la voix : « je vais JOUIIIIRRRR, … OOOHHH, … OUIIIIIII » et là un spasme moins fort qu’habituellement, mais plus bruyant. Elle s’écroula sur le bureau, le temps de reprendre son souffle et ses esprits. Elle se redressa, rabattit sa jupe et vint contre moi : « J’ai aimé, …, t’es un peu brute, tu me rends folle, tu peux être fière de toi, je fais tout ce que tu veux, et j’aime le faire, j’aime quand on fait l’amour, j’aime quand tu me prends » Alors que j’envisageais de remballer mon matériel : « Attends une minute », elle s’accroupit et prenant « popol » dans la main le lécha en disant : « Je dois le remercier, il m’a donné bien du plaisir. Je lui devais bien ça, non », et se redressant me fit un baiser sur les lèvres : « Il faut que m’en aille, j’aurais aimé continuer notre conversation, mais on se revoit mercredi, je t’attendrais sur le parking, … ne me faits pas trop attendre des fois que je me fasse un client … » .
Moi : « Des fois je me demande si tu n’est pas un peu garce ? »Mireille : « Pour toi, je suis garce et salope, mais tu aimes me faire l’amour, non me baiser, je t’embrasse et je me sauve, sinon, je pense que je recommencerais bien, surtout, baiser au bureau ça m’excite » Et elle fila, comme elle dit, se rapproprier.
Prenant mon téléphone je lui demandais de passer pour un problème de factures.
Arrivée dans mon bureau, elle ferma la porte et, je lui exposais mon idée, en lui précisant qu’arrivant aux environs de 20,00 heures, nous pourrions reprendre le scénario que nous n’avions pas terminé la dernière fois et qu’elle aurait aimé terminer. Si elle le désirait et qu’elle m’invitât, nous pourrions finir la nuit ensemble. Si au début de mon exposé elle fut pratiquement sans réaction, lors de la fin de l’exposé, elle eut un léger éclat dans les yeux. Son sens pratique reprit le dessus.
« Tu es fou, tu crois que je vais rester, pourquoi pas nue, même dans une voiture, en attendant que « Monsieur » veuille bien arriver. Et comment je saurais quand tu arriveras »« A une dizaine de km, je trouverais bien une cabine téléphonique et je te préviendrais de mon arrivée éminente »« Tu rêves, considères que j’ai deux vies, une ici au bureau, disons à Limoges, je suis respectable et respectée, en déplacement, il m’est arrivée de faire quelques écarts, disons sans importance pour les différents protagonistes. Ne mélangeons pas tout. »« Désolé, je n’avais pas vu ça de cette façon, je voulais juste avoir la possibilité de te voir, ces jours prochains, mais désolé, oublions tout, je n’ai rien dit » et elle partit.
Quant à moi, la tête et la queue basse, je me replongeais dans mes problèmes de rendez-vous et de rapports, … avec tout cette paperasse j’en avais jusqu’à huit heures ce soir, de toutes les façons étant célibataire géographique, je pouvais rentrer à n’importe quelle heure, c’était sans problèmes. Donc j’entendis le personnel partir vers 18,00 heures, 18,30 heures et enfin le calme dans les bureaux. Il devait être pas loin de 19,00 heures, quand ma porte qui était entrebâillée s’ouvrit. Surprise, c’était Mireille, un petit sourire aux lèvres. « Je ne te déranges pas ? »« Non, mais que fais-tu là, je croyais que tout le monde était parti »« J’ai attendu d’être certaine que tout le monde soit parti, et j’ai prévenu chez moi que j’aurais un peu de retard. Je voulais m’excuser pour toute à l’heure, mais il y a un problème au secteur de Poitiers. Je viens pour m’excuser et me faire pardonner, …»Je lui coupais la parole :« Ne t’excuse pas, c’était ce que tu voulais, je peux comprendre que tu changes d’avis, aucune importance, je suis content que tu sois revenu »Elle reprit : « Pour me faire pardonner, je suis comme tu aimes » et les mains sur le bureau elle se pencha et me dit « Regardes bien »Là, en fait, je m’aperçus qu’elle avait largement augmenté son décolleté, par rapport à son précédent passage, et qu’en se penchant, je pouvais constater qu’elle ne portait pas de soutien-gorge en déduire qu’il en était de même sous sa jupe, il n’y avait qu’un pas à franchir que je franchis allègrement. Je me levais faisant le tour du bureau, je la pris dans les bras, elle vint se coller à moi. Nos lèvres se retrouvèrent et nos langues se caressèrent.
Tout à coup, je me rendis compte que nous étions au bureau et que ce que nous faisions était risqué, elle due sentir ma réaction et me dit : « Ne t’inquiètes pas j’ai vérifié que la porte d’entrée est bien fermée à clé et il y a une corbeille à papier dans l’escalier » et nous reprîmes et nos baisers et notre corps à corps. Enfin elle me dit :« Pour mercredi c’est d’accord, je t’attendrais comme tu veux, j’aime cette idée. L’expérience me tente de faire l’amour ainsi. Nous pourrons faire ce que tu veux après je t’accueillerais avec plaisir dans ma chambre et dans mon lit, maintenant prends moi, j’ai envie de toi, et toi, dis moi si t’as envie de moi, oui dis moi, … puisque tu ne dis rien, je vais vérifier» et sa main descendit jusqu’à ma ceinture, la défit et en ouvrant la braguette de mon pantalon elle put se rendre compte de mon état. Elle sortit « popol » de mon caleçon et s’accroupissant, elle passa un coup de langue sur le gland et me prit en bouche et commença à me sucer, peu de temps et elle se redressa en disant : « Je voulais vérifier que tu étais en forme pour me faire l’amour, viens …, viens vite, … prends moi, …» et se retournant, elle prit appui sur le bureau et relevant sa jupe, sur son joli cul, « Viens, je veux te sentir t’enfoncer en moi »Avant de la prendre, je glissais une main entre ses cuisses largement écartées et je lui caressais la chatte, avec un doigt suivant son sillon et remontant jusqu’entre ses fesses, ce qui me permit de sentir qu’elle était chaude, ouverte et très humide, er je fis ce petit trajet à plusieurs reprises.
« Si tu continues comme ça, tu vas me faire jouir, … mais prends moi, viens vite, j’en ai envie, oui, viens, … »Je m’approchais, elle me saisit, me guida vers et dans sa grotte d’amour qui m’accueillit sans problème, j’attrapais ses hanches et je commençais mes va et vient dans son chaud et trempé fourreau. Il ne fallut pas longtemps avant que la douce musique de sa voix démarre, m’informant de son plaisir et de ses envies. Je faisais de mon mieux pour la satisfaire et il me fallait être performant pour la remercier de sa venue s’offrir à moi. J’avais son beau cul bien rond et tendu devant les yeux et contre mon ventre, devant ce spectacle je ne pus résister à lui flanquer une petite tape, la réaction fut vive et rapide. Elle se contracta, y compris ses muscles internes et elle dit dans un souffle : « OHHH, ouiiii, c’est bon, … encore, … ». Surpris, étonné et sceptique quant à ce que j’avais entendu, mais obéissant, je recommençais une autre claque un peu plus forte sur l’autre fesse, même cause même effet : « OOOHHH, …, OUIIIII, …., j’aime, …, encore, … » En même temps que je la ramonais avec énergie, je décidais de claquer son joli cul, nettement plus fort, puisqu’elle semblait aimer ça : « OOOHHH, …, OUIIII, …, j’aime, …, prends moi fort, …, j’aime que tu remplisses la chatte,…, OUUIIII, … aimes moi fort, …, bourres moi la chatte, …, tu me rends folle quand tu me prends fort comme ça , …, je suis à toi, …., OOOOHHHH, …, continues, ne t’arrêtes pas, …, » mais je ne tenais plus et je me laissais aller à me vider dans sa chatte accueillante et Mireille donna de la voix : « je vais JOUIIIIRRRR, … OOOHHH, … OUIIIIIII » et là un spasme moins fort qu’habituellement, mais plus bruyant. Elle s’écroula sur le bureau, le temps de reprendre son souffle et ses esprits. Elle se redressa, rabattit sa jupe et vint contre moi : « J’ai aimé, …, t’es un peu brute, tu me rends folle, tu peux être fière de toi, je fais tout ce que tu veux, et j’aime le faire, j’aime quand on fait l’amour, j’aime quand tu me prends » Alors que j’envisageais de remballer mon matériel : « Attends une minute », elle s’accroupit et prenant « popol » dans la main le lécha en disant : « Je dois le remercier, il m’a donné bien du plaisir. Je lui devais bien ça, non », et se redressant me fit un baiser sur les lèvres : « Il faut que m’en aille, j’aurais aimé continuer notre conversation, mais on se revoit mercredi, je t’attendrais sur le parking, … ne me faits pas trop attendre des fois que je me fasse un client … » .
Moi : « Des fois je me demande si tu n’est pas un peu garce ? »Mireille : « Pour toi, je suis garce et salope, mais tu aimes me faire l’amour, non me baiser, je t’embrasse et je me sauve, sinon, je pense que je recommencerais bien, surtout, baiser au bureau ça m’excite » Et elle fila, comme elle dit, se rapproprier.
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