AMIS ? 5
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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AMIS ? 5
AMIS ? 5
Au lit, Marie, toute excitée par le contact de Louis, mais restée sur sa faim, se fait pressante. Que faire ? Elle a le cœur infidèle, mais elle est toujours aussi attirante. Je succombe. Mes spermatozoïdes accumulés vont peut-être se révéler plus efficaces que ceux de mon rival. Quand je l’aurai jetée à la porte, Marie pourra toujours essayer de savoir qui est le père de son enfant. Je vais, pour la dernière fois, la pénétrer, de la façon la plus classique. Je suis en elle, je coulisse par petits mouvements rapides limités à quelques centimètres à l’intérieur de son corps, bras tendus, je réussis à l’essouffler et je vois, avec plaisir, rougir son visage, le sang afflue en larges auréoles sur le bas de son cou et sur ses seins.
Malgré sa trahison elle est capable de jouir avec moi. Elle réclame d’être baisée bien fort, veut m’encourager par des déclarations d’amour dont je sais ce qu’elles valent. Sous moi, elle cherche à frotter son clitoris sur l’arc de mon membre pour atteindre les sommets de son plaisir et elle y parvient, le manifeste en redoublant ses déclamations. Comment peut-elle encore me dire "mon amour" ? J’ai mis toute mon énergie à la faire reluire, mû par la rage d’être trompé et manipulé. A-t-elle vraiment joui ? Ce n’est pas impossible, sa mouille tend à le démontrer, mais je suis dégoûté à l’idée qu’elle m’utilise avant de pouvoir se donner sans retenue à son amant quand je suis absent.
Le jeudi soir, Juliette et moi les prions avec insistance de se déshabiller. Les deux comédiens refusent, d’abord, comme des pucelles effarouchées. Nous menaçons de leur donner l’exemple, puisqu’ils ne tiennent pas, les hypocrites, à subir une trop forte tentation avant samedi. Juliette passe à l’acte, je l’imite, elle enlève son soutien-gorge, je tire sur l’élastique de mon slip. Soudain Louis, le futur père, manifeste une bien curieuse jalousie. Il veut bien faire un enfant à ma femme, Marie (sans compter qu’il est son amant, à notre insu pense-t-il), mais il serait inconvenant, selon lui, que je voie sa propre femme nue ! Donc il crie "stop", nous demande de la décence et il accepte de se soumettre au nouveau test de compatibilité.
De la même manière, mon épouse accepte de se mettre nue, plutôt que de devoir assister au déshabillage complet de sa meilleure amie et de son propre conjoint. C’est bien pour nous faire plaisir, Louis et Marie se dénudent. Je prends la main de ma femme et je la conduis dans notre chambre à coucher. Juliette nous suit et entraîne son mari derrière nous.
Nous tenons beaucoup à ce que la répétition prépare au plus près le scénario du samedi. Nous les invitons à se coucher et à entreprendre des travaux d’approche : il faut qu’ils se regardent, s’examinent de près, jusque dans les moindres détails, qu’ils se touchent avec les mains, qu’ils se caressent. Ils doivent se connaître parfaitement, mettre leurs corps en contact étroit, ramper l‘un sur l‘autre. Marie a des impatiences et saisit la verge menaçante, l’empoigne, fait semblant de la découvrir, l’approche de ses yeux, lui envoie un rapide coup de langue. Elle me regarde, m’interroge du regard pour savoir si j’autorise plus de contact.
- Tu peux le prendre en bouche, si tu en as envie, mais attention, n’épuise pas ses réserves… Oui, habitue toi à cette verge inconnue d’où jaillira le sperme fécondant…Est-il meilleur que moi en bouche ?
Prudente, elle se détourne du sexe, le garde en main et déclare que ce n’est pas la même chose, que les saveurs sont différentes, que chacun a ses propres caractères gustatifs. Elle ne veut fâcher personne ! Bizarrement les amoureux ne veulent pas quitter leurs conjoints. Ils commettent l’adultère, ils devraient vouloir tout partager, temps, lit, maison etc… Ils vivent secrètement une aventure sexuelle dont-ils ne peuvent plus se passer, mais ne veulent pas briser leurs foyers ? Pour moi c’est difficile à comprendre. La situation actuelle leur convient et ils font le nécessaire pour qu’elle dure. En somme ils se font du bien sans nous faire de peine; c’est jouir sans chagriner les cocus.
Juliette rappelle la règle de cette préparation à l‘accouplement. Nous procédons comme si nous ignorions leur relation coupable : Louis et Marie peuvent tout faire, la seule interdiction, aujourd’hui, concerne la pénétration vaginale. Ce sera l’apothéose samedi. Car samedi, ils devront s’efforcer de concevoir ensemble mon héritier. Sinon il faudra multiplier les séances d’insémination. Après la première tentative, ils auront l’obligation de continuer à s’aimer en notre présence jusqu’au jour où disparaîtront les règles de Marie. Nous ne voulons pas les obliger à trop d’efforts avant la date choisie, et je regretterais de devoir recourir à un autre étalon humain plus performant si Louis échouait. C’est tellement mieux avec un ami ancien et dévoué. Louis saura garder le secret plus sûrement qu’un étranger.
- Louis, merci de te sacrificer ! Juliette, merci de permettre à ton mari de nous faire cet enfant ! Vous êtes formidables !
Juliette et moi rions sous cape. Nous encourageons des gestes plus intimes, nous leur réclamons des caresses plus appuyées: ils doivent trouver les positions les plus aptes à obtenir une fécondation. Nous les soutenons moralement et nous guidons leur recherche de la volupté. Je m’amuse à exciter :
- Louis, quand tu auras éjaculé, tu devras lever ses jambes et son bassin pour que le sperme se dirige vers l’utérus. Montre-nous le mouvement !
Il montre et nous voyons surtout le gonflement de son vit, énervé par la proximité du vagin bien connu, mais interdit pour l’instant. Juliette, bonne âme, demande s’il ne pourrait pas se soulager, en prenant Marie par la porte arrière. Je proteste hypocritement :
- Louis devra avoir des réserves de sperme intactes samedi, de manière à faire du premier coup, un coup de maître. Je souffre de devoir accepter cette aide généreuse à cause de mon impuissance, mais je souhaite obtenir un résultat rapide, pour épargner aussi la pudeur de ma femme. Je devine son chagrin d’avoir à recourir à un tiers. Heureusement, il s’agit du meilleur ami de son mari, sinon, jamais elle n’aurait accompli ce qui ressemble malgré tout à une sorte d’adultère !
Le mot fait réagir l’amant. Louis se veut le meilleur ami, rassurant
- Ne t’inquiète pas, j’ai cessé mes relations avec ma femme pour être en forme et donner le meilleur de moi-même ! Je vais faire de mon mieux pour que Marie oublie avec qui elle s’unira ! Je veux lui donner l’illusion qu’elle sera dans tes bras !
Marie a-t-elle déjà cette illusion lorsqu’ils s’aiment en secret ? Je ne crois pas.
- Tu es merveilleuse, ma chère femme. Quelle plus belle preuve d’amour pourrais-tu me donner que de coucher avec mon ami le plus fidèle, pour me donner un fils ! Je regrette de t’infliger un effort surhumain ! Tu mérites une récompense immédiate et Louis va te l’offrir en te faisant jouir avec la bouche ! Tu ne perdras rien de tes forces, c’est l’avantage d’être femme, Louis, le voudrais-tu ?
Je ne m’attends pas à le voir faire des manières. À reculons, il glisse vers la fente à fêter, il ne parle pas, il agit. La bouche pleine, il suce, il plonge sa langue, passe deux mains sous les fesses pour mieux ouvrir le sexe, ramène sa main droite et agite son pouce sur le clitoris, à la manière d’un mandoliniste. Déjà, Marie s’éclate, râle et s’envole. Elle était chauffée à blanc, le plaisir la submerge, presque instantanément ! Juliette et moi nous prenons la main pour revivre en partie la scène vue le jour où nous avons découvert l’adultère. A deux nous sommes plus forts.
Encouragements et compliments les confortent dans un sentiment d’impunité. À les voir se serrer, se rouler l’un sur l’autre, on devine la force de la tentation. Juliette caresse le dos et les fesses de son conjoint couché sur ma femme, elle empoigne son vit tout dur et l’approche de la fente défendue. Je tiens la main de Marie, je lui demande si ça va, si elle supporte le poids de l’homme, si elle réussira à l’accueillir et à se persuader qu’elle fera ça pour moi. Et d’une main, j’augmente l’énervement de ses tétons. Essoufflée, elle m’assure que oui, avec conviction. Le frottement du gland tenu par Juliette sur sa vulve chaude l’amène à se cabrer, à s’ouvrir pour une impossible copulation. Les deux amants, au supplice, voudraient se séparer pour faire baisser la tension. Juliette et moi le regrettons. C’est ruiner tous mes espoirs, ils devront faire preuve de plus d’endurance pour procréer ! Marie mouille, les lèvres de son sexe se couvrent de liquide épais. Louis en oublierait l’interdiction. À la dernière seconde, sa femme retire le pénis de la voie où il allait s’engager.
- Bon, pour éviter l’accident, faites-nous un joli soixante-neuf, ça permettra à la tension de retomber !
Et nous avons droit à une démonstration immédiate. Louis s’est couché sur le dos, Marie a posé ses fesses sur sa figure et plonge sur la bite, la prend dans sa main, jette un œil vers moi, embrasse l’extrémité de l’engin. Sa main et sa tête décrivent un mouvement parallèle sur la verge. Quand la main tire le prépuce vers le bas, la bouche enfourne tout le gland et une partie du sexe aux grosses veines saillantes. Si la bouche remonte, la main suit la trajectoire À l’autre bout, Louis se venge de la longue attente et une nouvelle fois, bouffe comme un goinfre, le sexe où il espère s’enfoncer, samedi avec notre accord, mais qu’il fréquente, assidûment, sans autorisation, depuis un certain temps. Des deux mains, il a étalé les chairs intimes et il y plante ses lèvres, aspire comme un goulu la cyprine abondante, plaque sa bouche sur les parois roses et suce, suce, se gave de chair et de jus, s’en couvre le menton. Et du fond de la gorge de Marie monte le chant rauque du plaisir. Alors nous interrompons l’expérience !
- Nous sommes convaincus, nous avons acquis la certitude de votre compatibilité ! Soyez sages, jusqu’à samedi ! Merci, vous pouvez vous rhabiller ! Bravo et merci
Je relève la tête de ma chère tricheuse, je lui présente une serviette. Elle fait un bond, Louis n’a pas entendu siffler la fin de la partie. J’arrache Marie à sa voracité, en tirant sur ses deux bras. La tête de Louis reste collée au sexe et le suit dans sa montée. Il revient enfin à lui et réalise qu’il s’est laissé prendre au jeu.
- Bravo l’ami, ce sera parfait. Tu fais bien les choses. Ça promet. Merci pour ton dévouement. Et toi, ma chérie, viens à la salle de bain. Juliette je t’embrasse. Je suis sûr que Louis sera à la hauteur ! Es-tu toujours d’accord pour nous prêter Louis ?
Au lit, Marie, toute excitée par le contact de Louis, mais restée sur sa faim, se fait pressante. Que faire ? Elle a le cœur infidèle, mais elle est toujours aussi attirante. Je succombe. Mes spermatozoïdes accumulés vont peut-être se révéler plus efficaces que ceux de mon rival. Quand je l’aurai jetée à la porte, Marie pourra toujours essayer de savoir qui est le père de son enfant. Je vais, pour la dernière fois, la pénétrer, de la façon la plus classique. Je suis en elle, je coulisse par petits mouvements rapides limités à quelques centimètres à l’intérieur de son corps, bras tendus, je réussis à l’essouffler et je vois, avec plaisir, rougir son visage, le sang afflue en larges auréoles sur le bas de son cou et sur ses seins.
Malgré sa trahison elle est capable de jouir avec moi. Elle réclame d’être baisée bien fort, veut m’encourager par des déclarations d’amour dont je sais ce qu’elles valent. Sous moi, elle cherche à frotter son clitoris sur l’arc de mon membre pour atteindre les sommets de son plaisir et elle y parvient, le manifeste en redoublant ses déclamations. Comment peut-elle encore me dire "mon amour" ? J’ai mis toute mon énergie à la faire reluire, mû par la rage d’être trompé et manipulé. A-t-elle vraiment joui ? Ce n’est pas impossible, sa mouille tend à le démontrer, mais je suis dégoûté à l’idée qu’elle m’utilise avant de pouvoir se donner sans retenue à son amant quand je suis absent.
Le jeudi soir, Juliette et moi les prions avec insistance de se déshabiller. Les deux comédiens refusent, d’abord, comme des pucelles effarouchées. Nous menaçons de leur donner l’exemple, puisqu’ils ne tiennent pas, les hypocrites, à subir une trop forte tentation avant samedi. Juliette passe à l’acte, je l’imite, elle enlève son soutien-gorge, je tire sur l’élastique de mon slip. Soudain Louis, le futur père, manifeste une bien curieuse jalousie. Il veut bien faire un enfant à ma femme, Marie (sans compter qu’il est son amant, à notre insu pense-t-il), mais il serait inconvenant, selon lui, que je voie sa propre femme nue ! Donc il crie "stop", nous demande de la décence et il accepte de se soumettre au nouveau test de compatibilité.
De la même manière, mon épouse accepte de se mettre nue, plutôt que de devoir assister au déshabillage complet de sa meilleure amie et de son propre conjoint. C’est bien pour nous faire plaisir, Louis et Marie se dénudent. Je prends la main de ma femme et je la conduis dans notre chambre à coucher. Juliette nous suit et entraîne son mari derrière nous.
Nous tenons beaucoup à ce que la répétition prépare au plus près le scénario du samedi. Nous les invitons à se coucher et à entreprendre des travaux d’approche : il faut qu’ils se regardent, s’examinent de près, jusque dans les moindres détails, qu’ils se touchent avec les mains, qu’ils se caressent. Ils doivent se connaître parfaitement, mettre leurs corps en contact étroit, ramper l‘un sur l‘autre. Marie a des impatiences et saisit la verge menaçante, l’empoigne, fait semblant de la découvrir, l’approche de ses yeux, lui envoie un rapide coup de langue. Elle me regarde, m’interroge du regard pour savoir si j’autorise plus de contact.
- Tu peux le prendre en bouche, si tu en as envie, mais attention, n’épuise pas ses réserves… Oui, habitue toi à cette verge inconnue d’où jaillira le sperme fécondant…Est-il meilleur que moi en bouche ?
Prudente, elle se détourne du sexe, le garde en main et déclare que ce n’est pas la même chose, que les saveurs sont différentes, que chacun a ses propres caractères gustatifs. Elle ne veut fâcher personne ! Bizarrement les amoureux ne veulent pas quitter leurs conjoints. Ils commettent l’adultère, ils devraient vouloir tout partager, temps, lit, maison etc… Ils vivent secrètement une aventure sexuelle dont-ils ne peuvent plus se passer, mais ne veulent pas briser leurs foyers ? Pour moi c’est difficile à comprendre. La situation actuelle leur convient et ils font le nécessaire pour qu’elle dure. En somme ils se font du bien sans nous faire de peine; c’est jouir sans chagriner les cocus.
Juliette rappelle la règle de cette préparation à l‘accouplement. Nous procédons comme si nous ignorions leur relation coupable : Louis et Marie peuvent tout faire, la seule interdiction, aujourd’hui, concerne la pénétration vaginale. Ce sera l’apothéose samedi. Car samedi, ils devront s’efforcer de concevoir ensemble mon héritier. Sinon il faudra multiplier les séances d’insémination. Après la première tentative, ils auront l’obligation de continuer à s’aimer en notre présence jusqu’au jour où disparaîtront les règles de Marie. Nous ne voulons pas les obliger à trop d’efforts avant la date choisie, et je regretterais de devoir recourir à un autre étalon humain plus performant si Louis échouait. C’est tellement mieux avec un ami ancien et dévoué. Louis saura garder le secret plus sûrement qu’un étranger.
- Louis, merci de te sacrificer ! Juliette, merci de permettre à ton mari de nous faire cet enfant ! Vous êtes formidables !
Juliette et moi rions sous cape. Nous encourageons des gestes plus intimes, nous leur réclamons des caresses plus appuyées: ils doivent trouver les positions les plus aptes à obtenir une fécondation. Nous les soutenons moralement et nous guidons leur recherche de la volupté. Je m’amuse à exciter :
- Louis, quand tu auras éjaculé, tu devras lever ses jambes et son bassin pour que le sperme se dirige vers l’utérus. Montre-nous le mouvement !
Il montre et nous voyons surtout le gonflement de son vit, énervé par la proximité du vagin bien connu, mais interdit pour l’instant. Juliette, bonne âme, demande s’il ne pourrait pas se soulager, en prenant Marie par la porte arrière. Je proteste hypocritement :
- Louis devra avoir des réserves de sperme intactes samedi, de manière à faire du premier coup, un coup de maître. Je souffre de devoir accepter cette aide généreuse à cause de mon impuissance, mais je souhaite obtenir un résultat rapide, pour épargner aussi la pudeur de ma femme. Je devine son chagrin d’avoir à recourir à un tiers. Heureusement, il s’agit du meilleur ami de son mari, sinon, jamais elle n’aurait accompli ce qui ressemble malgré tout à une sorte d’adultère !
Le mot fait réagir l’amant. Louis se veut le meilleur ami, rassurant
- Ne t’inquiète pas, j’ai cessé mes relations avec ma femme pour être en forme et donner le meilleur de moi-même ! Je vais faire de mon mieux pour que Marie oublie avec qui elle s’unira ! Je veux lui donner l’illusion qu’elle sera dans tes bras !
Marie a-t-elle déjà cette illusion lorsqu’ils s’aiment en secret ? Je ne crois pas.
- Tu es merveilleuse, ma chère femme. Quelle plus belle preuve d’amour pourrais-tu me donner que de coucher avec mon ami le plus fidèle, pour me donner un fils ! Je regrette de t’infliger un effort surhumain ! Tu mérites une récompense immédiate et Louis va te l’offrir en te faisant jouir avec la bouche ! Tu ne perdras rien de tes forces, c’est l’avantage d’être femme, Louis, le voudrais-tu ?
Je ne m’attends pas à le voir faire des manières. À reculons, il glisse vers la fente à fêter, il ne parle pas, il agit. La bouche pleine, il suce, il plonge sa langue, passe deux mains sous les fesses pour mieux ouvrir le sexe, ramène sa main droite et agite son pouce sur le clitoris, à la manière d’un mandoliniste. Déjà, Marie s’éclate, râle et s’envole. Elle était chauffée à blanc, le plaisir la submerge, presque instantanément ! Juliette et moi nous prenons la main pour revivre en partie la scène vue le jour où nous avons découvert l’adultère. A deux nous sommes plus forts.
Encouragements et compliments les confortent dans un sentiment d’impunité. À les voir se serrer, se rouler l’un sur l’autre, on devine la force de la tentation. Juliette caresse le dos et les fesses de son conjoint couché sur ma femme, elle empoigne son vit tout dur et l’approche de la fente défendue. Je tiens la main de Marie, je lui demande si ça va, si elle supporte le poids de l’homme, si elle réussira à l’accueillir et à se persuader qu’elle fera ça pour moi. Et d’une main, j’augmente l’énervement de ses tétons. Essoufflée, elle m’assure que oui, avec conviction. Le frottement du gland tenu par Juliette sur sa vulve chaude l’amène à se cabrer, à s’ouvrir pour une impossible copulation. Les deux amants, au supplice, voudraient se séparer pour faire baisser la tension. Juliette et moi le regrettons. C’est ruiner tous mes espoirs, ils devront faire preuve de plus d’endurance pour procréer ! Marie mouille, les lèvres de son sexe se couvrent de liquide épais. Louis en oublierait l’interdiction. À la dernière seconde, sa femme retire le pénis de la voie où il allait s’engager.
- Bon, pour éviter l’accident, faites-nous un joli soixante-neuf, ça permettra à la tension de retomber !
Et nous avons droit à une démonstration immédiate. Louis s’est couché sur le dos, Marie a posé ses fesses sur sa figure et plonge sur la bite, la prend dans sa main, jette un œil vers moi, embrasse l’extrémité de l’engin. Sa main et sa tête décrivent un mouvement parallèle sur la verge. Quand la main tire le prépuce vers le bas, la bouche enfourne tout le gland et une partie du sexe aux grosses veines saillantes. Si la bouche remonte, la main suit la trajectoire À l’autre bout, Louis se venge de la longue attente et une nouvelle fois, bouffe comme un goinfre, le sexe où il espère s’enfoncer, samedi avec notre accord, mais qu’il fréquente, assidûment, sans autorisation, depuis un certain temps. Des deux mains, il a étalé les chairs intimes et il y plante ses lèvres, aspire comme un goulu la cyprine abondante, plaque sa bouche sur les parois roses et suce, suce, se gave de chair et de jus, s’en couvre le menton. Et du fond de la gorge de Marie monte le chant rauque du plaisir. Alors nous interrompons l’expérience !
- Nous sommes convaincus, nous avons acquis la certitude de votre compatibilité ! Soyez sages, jusqu’à samedi ! Merci, vous pouvez vous rhabiller ! Bravo et merci
Je relève la tête de ma chère tricheuse, je lui présente une serviette. Elle fait un bond, Louis n’a pas entendu siffler la fin de la partie. J’arrache Marie à sa voracité, en tirant sur ses deux bras. La tête de Louis reste collée au sexe et le suit dans sa montée. Il revient enfin à lui et réalise qu’il s’est laissé prendre au jeu.
- Bravo l’ami, ce sera parfait. Tu fais bien les choses. Ça promet. Merci pour ton dévouement. Et toi, ma chérie, viens à la salle de bain. Juliette je t’embrasse. Je suis sûr que Louis sera à la hauteur ! Es-tu toujours d’accord pour nous prêter Louis ?
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