« Aurélien » : Aline la bombe sexuelle 12/15
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Aurélien » : Aline la bombe sexuelle 12/15
Cela faisait plus d’un an que Stéphanie et Aurélien vivaient leur vie de couple libertins sans aucun accroc. Le jeune garagiste acceptait tout ce que lui demandait sa compagne. Pourtant, depuis quelques mois, Stéphanie insistait afin que son homme baise enfin Véro, l’épouse de Thomas son meilleur ami. Cependant, il s’y refusait toujours, il appréciait bien trop ses deux amis et avait dit à Stéphanie qu’il le ferait qu’à la seule condition. Que ce soit elle qui le demande car il ne désirait pas rompre leur pacte.
Stéphanie rongeait son frein, elle s’impatientait, c’était la première fois qu’elle n’obtenait pas de son homme, ce qu’elle désirait. La voyant faire la tête et n’ayant de cesse de faire plaisir à sa compagne, Aurélien profita d’une danse langoureuse, au réveillon du nouvel an 2010 où ils se retrouvaient avec Paul, Claire, Thomas et Véronique, pour inviter cette dernière et avait posé de nombreuses questions à son amie de longue date.
Véro fut très franche avec Aurélien, ils étaient très proches et le furent bien plus encore par le passé. « Côté sexe, comment ça se passe ? » Lui demanda-t-il. Elle lui avait avoué que son mari était de plus en plus bizarre depuis quelques temps, il lui demandait de lui mettre des fessées et que leur joute amoureuse devenait la routine. « Tu te rends compte ! » Aurélien en profita pour lancer ses jalons : « Tu aimerais que… » Il ne put finir sa phrase, Véro le regarda dans les yeux et lui dit :
— Aurel ne me demande pas ça, tu sais très bien que ça me manque mais ne recommençons pas. S’il te plait.
— D’accord, je t’ennuierai plus avec cela, c’était pour te faire plaisir, même si je dois t’avouer que tu me fais toujours autant bander. Tu n’as qu’à regarder dans mon pantalon. Lui dit-il en prenant sa main et en la posant sur son entrejambe discrètement.
— Mon salop ! C’est vrai. Moi aussi tu m’as excitée. Tu sais que j’ai rêvé la semaine passée, de notre premier trio avec toi et Thom, c’était trop génial.
— Tu voudrais que l’on recommence ?
— Tu sais bien que Thom ne le supporterait plus. Je garde ça comme souvenir, comme un fantasme. Toi et Stéphanie, vous êtes toujours aussi libertins ?
— Comme tu le vois, elle n’est pas jalouse, simplement elle veut savoir avec qui je baise.
— Alors si nous deux on …Steph le saurait ? Non, il n’en est pas question.
La série de slows étant terminée, Aurélien raccompagna Véro à leur table et lui dit que pour son problème de fessées avec Thomas, elle devait prendre contact avec Stéphanie qui saurait lui donner quelques conseils. Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Aurélien s’était bien aperçu la semaine suivante, que les deux femmes discutaient souvent ensemble et se voyaient de plus en plus. De surcroit, depuis cette nuit-là, Stéphanie ne l’importunait plus au sujet de Véro, il en était bien heureux.
La vie avait repris son cours pendant plusieurs mois et en juin 2010, Aurélien reçut le matin de bonne heure au garage, une jeune fille d’une vingtaine d’année. Une jolie blonde super sexy, avec un physique comparable à celui de Mariah Carey, grande et plantureuse, avec une poitrine ferme et généreuse, au moins un 90C, un fessier rebondi sur de longues jambes, des petits yeux bleus rieurs et un sourire malicieux voire coquin. Cette jeune fille désirait une petite voiture d’occasion en bon état mais pas trop chère :— Stéphanie m’a garanti que vous pourriez me trouver cela, elle n’est pas là ?
— Désolé, madame n’arrive qu’à 10 heures.
Aurélien avait très envie de draguer cette petite bombe, cependant, celle-ci semblait bien connaitre Steph, il devait prendre des précautions afin de ne pas faire d’impair mais faire le maximum pour ne pas la décevoir. Il réfléchit un instant, il avait exactement ce qu’elle recherchait. Il l’emmena dans le parc et lui présenta une petite citadine rouge qui n’était pas encore en vente, elle était en très bon état, il connaissait bien ce véhicule avec très peu de kilomètres et toujours bien entretenue par le garage.
En tant qu’ami, il baissa le prix mais le tarif était encore un peu trop élevé pour la jeune étudiante :— Vous êtes sûr que vous ne pouvez pas faire un effort ? Lui dit-elle en lui prenant la main.
— Je ne peux pas plus ! C’est une affaire que je vous fais faire. Répondit-il en enserrant sa main entre les deux siennes. Voulez-vous l’essayer ? Je vous emmène faire un tour ?
— Non merci ! Je vais réfléchir et je vous appelle. Vous pouvez me donner votre N° de portable ?
Aurélien fut surpris de sa réaction, pourquoi cette jeune fille voulait son numéro personnel. Pensant que cela pourrait être un bon coup, il lui donna sans difficulté et lui demanda son nom. Aline se mit sur la pointe des pieds, lui posa les mains sur ses épaules et lui fit la bise en disant : « À ce soir, je vous appelle ». Intrigué par cette jeune fille très sympathique et surtout bien bandante, à l’arrivée de Steph, Aurélien vint lui demander si elle connaissait une certaine Aline Leroy :
— Bien sûr mon chéri, c’est ma belle-fille, la gamine de mon ex. Elle est sans scrupule, fais gaffe, elle craque pour toi, ce n’est pas la première fois qu’elle vient ici, elle m’a dit que j’avais beaucoup de chance de t’avoir, elle te trouve trop top, ce sont ses mots.
— C’est vrai qu’elle est belle et super bien gaulée, je lui mettrais bien un petit coup comme ça en passant.
— Surtout ne t’y avise pas. S’il te plait, rends moi service, fais-lui la voiture au prix le plus bas que nous puissions, même à perte, c’est important pour moi.
Aurélien n’avait pas compris, Stéphanie était bizarre, jamais elle n’aurait accepté que l’on puisse vendre sans faire aucun bénéfice, elle était très à cheval sur ces principes. Elle agissait comme si elle avait peur de sa propre belle fille. La journée était passée sans que le couple ne revienne sur le sujet, néanmoins, à dix-huit heures trente, Stéphanie venait de quitter la concession lorsqu’Aurélien reçut un SMS sur son portable : « Pouvez-vous venir avec la voiture pour un essai ? Je vous envoie l’adresse. »
Aurélien fut une nouvelle fois surpris, le rendez-vous n’était qu’à cinq cent mètres du garage. Aline n’avait sans doute pas voulu rencontrer sa belle-mère. D’un autre côté, il était rassuré, pensant que cette petite bombe avait peut-être d’autres intentions. Arrivé à destination, la jeune fille se précipita côté passager et monta à l’intérieur de la voiture en disant : « Allez démarre, allons faire un tour dans la campagne. »— Tu ne veux pas l’essayer ?
— Roule, je sais déjà que cette voiture est très bien.
En cinq minutes, ils sortirent de la ville, ils ne roulaient que depuis quelques kilomètres que déjà Aline passa sa main sous sa petite jupe en jean et retira son string sous le regard ébahi d’Aurélien qui, avec la circulation, était dans l’impossibilité de participer. Ses yeux allaient de la route, au bas ventre d’Aline qui avait entièrement remonté sa jupe et se fouillait sans vergogne l’entrejambe : « Ça te plait de mater ? Regarde, je vais jouir. » À l’aide de ses deux mains, les doigts de la fille firent le nécessaire, elle prit son plaisir en fermant les yeux tout en criant sa joie :— Arrête-toi dès que possible, j’ai envie que tu me baises tout de suite.
Aurélien connaissait parfaitement l’endroit, il gara la petite citadine sur un petit parking désert, dans un sous-bois, une centaine de mètres plus loin. La voiture n’était pas encore stationnée qu’Aline enleva sa ceinture de sécurité et plongea sa main sur le pantalon du conducteur afin de masser son sexe qui commençait à être à l’étroit. Une fois garé, très impatiente, Aline demanda à Aurélien de baisser son pantalon et son boxer : « Tu veux bien que je te suce ? » Demanda-t-elle sans aucune gêne. À voir son érection prendre forme, il était bien incapable de dire le contraire et laissa la jeune fille dans son délire.
Sans être une grande experte, Aline sut satisfaire son amant. Elle n'hésita pas à avaler sa queue, qu'elle branlait au rythme des allers-retours de sa bouche, pendant que sa langue tournoyait autour de son gland, tandis qu’il maintenait la tête de sa jeune partenaire en la tenant par les cheveux. Après cinq minutes dans la bouche chaude et mouillée d’Aline, Aurélien qui n’avait pas baisé de la journée, fut rapidement sur le point de l’inonder, la jeune fille le sentant se contracter, lui demanda d’attendre.
Elle retira la bite d’entre ses lèvres, se redressa et vint embrasser son amant à pleine bouche. Le siège reculé au maximum et couché en arrière, elle en profita pour venir le chevaucher en tenant son pénis entre ses lèvres trempées par l’orgasme. Elle se laissa descendre, s'écartant facilement pour le laisser pénétrer jusqu’à la garde. Assise sur lui, sa bouche soudée à la sienne, ce fut elle qui donnait de la tonicité à leurs ébats malgré la position inconfortable, due au volant appuyé sur le bas de son dos.
Vu l'inconfort de la situation, Aline demanda à Aurélien d’aller sur la banquette arrière. Une fois allongée et les jambes écartées, il remonta son tee-shirt et lui palpa les seins, aspira ses tétons, tout en frottant son gland contre son vagin. Puis sans attendre plus longtemps, il la pénétra d’une seule poussée, elle était tellement mouillée que sa queue avait glissé toute seule au fond de sa chatte. Il l’avait baisé comme elle le désirait, sauvagement.
Ses coups de reins étaient rapides, violent et profonds, tandis que les hanches de la jeune fille ondulaient rapidement, elle gémissait à chaque fois que son gland heurtait le fond de sa chatte, en laissant échapper un petit cri. Mais rien ne semblait pouvoir arrêter Aurélien qui continuait à la limer avec sa queue gonflée. Cependant, l’orgasme que venait de prendre Aline le fit craquer, il se mit à crier aussi : « Je joui salope. » Il retira son épaisse verge de son vagin, enleva sa capote et envoya cinq abondantes giclées de sperme sur sa forte poitrine.
Une fois rhabillés, ils avaient repris tranquillement la route, Aurélien sachant que Stéphanie était avec un type chez elle, il avait pensé emmener sa jeune partenaire chez lui car il n’en avait pas fini avec elle. Cette petite bombe l’excitait vraiment, il adorait son corps, elle lui faisait penser à Véro. Lorsqu’il proposa à Aline de finir la nuit chez lui, celle-ci lui avoua qu’elle n’attendait que cela car elle ne savait pas où dormir. Surpris Aurélien lui demanda : « Tu dormais où ces derniers jours ? »— Tu sais ce n’est pas les mecs qui manquent sur terre, s’ils veulent me baiser, ils me logent.
Cette jeune fille de vingt ans surprenait vraiment le mécano, elle était prête à tout. Cela l’arrangeait car côté sexuel, ce fut une vraie furie, il avait pu se satisfaire plusieurs fois dans la soirée et avait vraiment pris son pied. Néanmoins, il s’inquiétait pour elle, ça l’ennuyait qu’elle soit ainsi à la rue, alors qu’elle semblait bien connaitre Stéphanie. Il essaya donc de lui tirer les vers du nez. Aline se blottit contre lui et se lâcha en lui expliquant sa vie.
N’ayant jamais connu ses parents, dès sa puberté, René son tuteur avait commencé ses attouchements et en mars 2004, alors qu’elle venait de fêter ses 14 ans, lorsque celui-ci avait voulu la pénétrer, elle avait fugué et s’était réfugiée dans une remise en bois dans une grande propriété, à une dizaine de kilomètres de chez elle. Au petit matin, ce fut Stéphanie qui l’avait découverte apeurée et frigorifiée. Après lui avoir fait prendre un bain et donné à manger, Vincent Dumas le mari de Stéphanie, était allé voir son tuteur qui n’avait pas encore prévenu la police. Après un petit chantage, ils avaient trouvé un arrangement avec lui. N’ayant pas d’enfant, le couple de bourgeois bien connu dans la région avait fait le nécessaire pour la recueillir et après quelques mois, les Dumas devinrent ainsi sa nouvelle famille d’accueil.
Ces nouveaux tuteurs furent très gentils avec elle, Aline ne manquait de rien, elle était traitée comme une princesse dans sa nouvelle famille. Très vite, Mme Dumas fut très proche de la gamine, elle était très câline et une nuit où le mari était absent, l’épouse se sentant seule, proposa à Aline de dormir avec elle. Depuis ce jour, Stéphanie lui fit son éducation sexuelle. À chaque occasion, elles se retrouvaient toutes deux nues dans son grand lit. Depuis quelques temps, Mme Dumas avait préparé sa jeune partenaire, Vincent qui assistait nu, à quelques joutes amoureuses entre les deux femmes, en tant que spectateur, ne participa vraiment que le jour de son anniversaire.
Aline savait qu’un jour, elle perdrait sa virginité et que ce serait avec Mr Dumas. Après lui avoir proposé de la dépuceler, elle accepta et depuis ce jour-là, Aline était devenue le jouet sexuel du couple Dumas. À dix-huit ans, elle n’avait rien à apprendre sur les joies du sexe, pourtant elle n’avait jamais couché avec un autre homme que Vincent, il était devenu son Maitre. Elle connut même les doubles pénétrations avec le god-ceinture que portait Mme Dumas. En quatre ans, Aline était devenue soumise et accroc au sexe. À sa majorité, Vincent l’offrait même à ses amis, homme ou femme, lors de certaines soirées libertines.
Tout commença à basculer lorsque Mme Dumas avait quitté son mari en 2008. Aline était restée encore une année avec Vincent avant de s’enfuir. Désirant refaire sa vie dans le sud de la France mais n’ayant pas d’argent de côté, elle était venue demander à Stéphanie de lui fournir une voiture et de lui prêter 10 mille euros. Celle-ci ayant refusé, Aline lui fit du chantage en la menaçant de porter plainte pour viol. Après ce refus, voulant se venger, Aline s’était promise de coucher avec son mec.
Aurélien la voyant si triste avec les yeux rougit par la peine, en racontant son histoire, compatit, il l’avait prise dans ses bras et l’embrassa tendrement. Leur nouvelle étreinte fut très passionnelle, ils refirent l’amour avant de s’endormir. Au réveil, Aurélien proposa à Aline de rester la journée chez lui et lui promit de l’aider. Il avait rencontré Paul son patron au sujet de la voiture. Celui-ci connaissant depuis longtemps la vie de débauche de sa fille ainée, accepta d’aider cette jeune fille afin de protéger Stéphanie d’un chantage. En rentrant le soir à son domicile, Aurélien tendit la carte grise à Aline et une enveloppe contenant 5 mille euros :— Tiens Aline, tu as la voiture à ton nom et un peu d’argent pour débuter une nouvelle vie. Je te souhaite plein de bonheur. Mon patron à laisser l’adresse d’un restaurateur à Nice, il est prêt à t’engager, nourrie logée, si tu es sérieuse.
Aline le regardait les larmes plein les yeux, elle se croyait sur un nuage, son rêve allait enfin se réaliser, elle allait pouvoir refaire sa vie. Elle lui sauta au cou et l’embrassa fortement sur la bouche en lui faisant mille bisous. Elle lui avoua qu’elle fut très heureuse dans ses bras et que c’était le seul homme qui ne l’avait pas prise pour un vide couille avant de rajouter : Tu es un ange Aurélien, pas seulement pour l’argent. Stéphanie ne te mérite pas. Je ne te l’avais pas dit, mais fais attention à elle, tu vas vite déchanter.
— Pourquoi dis-tu cela ? J’ai loupé quelque chose ?
— Steph revoit Vincent tous les lundis soir, elle l’a dans la peau et te quitteras. Fais-moi confiance, je la connais bien.
— Son ex-mari est toujours là ? Elle m’a dit qu’il était à Paris.
— Elle n’a jamais été divorcée. Mr Dumas n’a toujours pas quitté la région mais ils prévoient de le faire ensemble. Tu sais j’étais là quand ils en parlaient, ils ne faisaient pas attention à moi, j’étais leur jouet.
— Merci Aline, c’est très gentil à toi de me mettre en garde.
— J’aimerais passer une dernière nuit avec toi, tu veux bien que l’on fasse l’amour ? J’ai vraiment envie de toi, tu es mon prince charmant.
Après une excellente nuit, Aurélien avait fait ses adieux à Aline avant d’aller directement à la concession. Il avait bien réfléchi à ce que sa jeune maitresse lui avait dit et s’aperçut que Stéphanie lui avait bien menti en disant qu’Aline Leroy était sa belle-fille et en vérifiant auprès de Paul, il sut qu’elle n’était pas divorcée alors qu’elle lui avait certifié le contraire.
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Stéphanie rongeait son frein, elle s’impatientait, c’était la première fois qu’elle n’obtenait pas de son homme, ce qu’elle désirait. La voyant faire la tête et n’ayant de cesse de faire plaisir à sa compagne, Aurélien profita d’une danse langoureuse, au réveillon du nouvel an 2010 où ils se retrouvaient avec Paul, Claire, Thomas et Véronique, pour inviter cette dernière et avait posé de nombreuses questions à son amie de longue date.
Véro fut très franche avec Aurélien, ils étaient très proches et le furent bien plus encore par le passé. « Côté sexe, comment ça se passe ? » Lui demanda-t-il. Elle lui avait avoué que son mari était de plus en plus bizarre depuis quelques temps, il lui demandait de lui mettre des fessées et que leur joute amoureuse devenait la routine. « Tu te rends compte ! » Aurélien en profita pour lancer ses jalons : « Tu aimerais que… » Il ne put finir sa phrase, Véro le regarda dans les yeux et lui dit :
— Aurel ne me demande pas ça, tu sais très bien que ça me manque mais ne recommençons pas. S’il te plait.
— D’accord, je t’ennuierai plus avec cela, c’était pour te faire plaisir, même si je dois t’avouer que tu me fais toujours autant bander. Tu n’as qu’à regarder dans mon pantalon. Lui dit-il en prenant sa main et en la posant sur son entrejambe discrètement.
— Mon salop ! C’est vrai. Moi aussi tu m’as excitée. Tu sais que j’ai rêvé la semaine passée, de notre premier trio avec toi et Thom, c’était trop génial.
— Tu voudrais que l’on recommence ?
— Tu sais bien que Thom ne le supporterait plus. Je garde ça comme souvenir, comme un fantasme. Toi et Stéphanie, vous êtes toujours aussi libertins ?
— Comme tu le vois, elle n’est pas jalouse, simplement elle veut savoir avec qui je baise.
— Alors si nous deux on …Steph le saurait ? Non, il n’en est pas question.
La série de slows étant terminée, Aurélien raccompagna Véro à leur table et lui dit que pour son problème de fessées avec Thomas, elle devait prendre contact avec Stéphanie qui saurait lui donner quelques conseils. Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Aurélien s’était bien aperçu la semaine suivante, que les deux femmes discutaient souvent ensemble et se voyaient de plus en plus. De surcroit, depuis cette nuit-là, Stéphanie ne l’importunait plus au sujet de Véro, il en était bien heureux.
La vie avait repris son cours pendant plusieurs mois et en juin 2010, Aurélien reçut le matin de bonne heure au garage, une jeune fille d’une vingtaine d’année. Une jolie blonde super sexy, avec un physique comparable à celui de Mariah Carey, grande et plantureuse, avec une poitrine ferme et généreuse, au moins un 90C, un fessier rebondi sur de longues jambes, des petits yeux bleus rieurs et un sourire malicieux voire coquin. Cette jeune fille désirait une petite voiture d’occasion en bon état mais pas trop chère :— Stéphanie m’a garanti que vous pourriez me trouver cela, elle n’est pas là ?
— Désolé, madame n’arrive qu’à 10 heures.
Aurélien avait très envie de draguer cette petite bombe, cependant, celle-ci semblait bien connaitre Steph, il devait prendre des précautions afin de ne pas faire d’impair mais faire le maximum pour ne pas la décevoir. Il réfléchit un instant, il avait exactement ce qu’elle recherchait. Il l’emmena dans le parc et lui présenta une petite citadine rouge qui n’était pas encore en vente, elle était en très bon état, il connaissait bien ce véhicule avec très peu de kilomètres et toujours bien entretenue par le garage.
En tant qu’ami, il baissa le prix mais le tarif était encore un peu trop élevé pour la jeune étudiante :— Vous êtes sûr que vous ne pouvez pas faire un effort ? Lui dit-elle en lui prenant la main.
— Je ne peux pas plus ! C’est une affaire que je vous fais faire. Répondit-il en enserrant sa main entre les deux siennes. Voulez-vous l’essayer ? Je vous emmène faire un tour ?
— Non merci ! Je vais réfléchir et je vous appelle. Vous pouvez me donner votre N° de portable ?
Aurélien fut surpris de sa réaction, pourquoi cette jeune fille voulait son numéro personnel. Pensant que cela pourrait être un bon coup, il lui donna sans difficulté et lui demanda son nom. Aline se mit sur la pointe des pieds, lui posa les mains sur ses épaules et lui fit la bise en disant : « À ce soir, je vous appelle ». Intrigué par cette jeune fille très sympathique et surtout bien bandante, à l’arrivée de Steph, Aurélien vint lui demander si elle connaissait une certaine Aline Leroy :
— Bien sûr mon chéri, c’est ma belle-fille, la gamine de mon ex. Elle est sans scrupule, fais gaffe, elle craque pour toi, ce n’est pas la première fois qu’elle vient ici, elle m’a dit que j’avais beaucoup de chance de t’avoir, elle te trouve trop top, ce sont ses mots.
— C’est vrai qu’elle est belle et super bien gaulée, je lui mettrais bien un petit coup comme ça en passant.
— Surtout ne t’y avise pas. S’il te plait, rends moi service, fais-lui la voiture au prix le plus bas que nous puissions, même à perte, c’est important pour moi.
Aurélien n’avait pas compris, Stéphanie était bizarre, jamais elle n’aurait accepté que l’on puisse vendre sans faire aucun bénéfice, elle était très à cheval sur ces principes. Elle agissait comme si elle avait peur de sa propre belle fille. La journée était passée sans que le couple ne revienne sur le sujet, néanmoins, à dix-huit heures trente, Stéphanie venait de quitter la concession lorsqu’Aurélien reçut un SMS sur son portable : « Pouvez-vous venir avec la voiture pour un essai ? Je vous envoie l’adresse. »
Aurélien fut une nouvelle fois surpris, le rendez-vous n’était qu’à cinq cent mètres du garage. Aline n’avait sans doute pas voulu rencontrer sa belle-mère. D’un autre côté, il était rassuré, pensant que cette petite bombe avait peut-être d’autres intentions. Arrivé à destination, la jeune fille se précipita côté passager et monta à l’intérieur de la voiture en disant : « Allez démarre, allons faire un tour dans la campagne. »— Tu ne veux pas l’essayer ?
— Roule, je sais déjà que cette voiture est très bien.
En cinq minutes, ils sortirent de la ville, ils ne roulaient que depuis quelques kilomètres que déjà Aline passa sa main sous sa petite jupe en jean et retira son string sous le regard ébahi d’Aurélien qui, avec la circulation, était dans l’impossibilité de participer. Ses yeux allaient de la route, au bas ventre d’Aline qui avait entièrement remonté sa jupe et se fouillait sans vergogne l’entrejambe : « Ça te plait de mater ? Regarde, je vais jouir. » À l’aide de ses deux mains, les doigts de la fille firent le nécessaire, elle prit son plaisir en fermant les yeux tout en criant sa joie :— Arrête-toi dès que possible, j’ai envie que tu me baises tout de suite.
Aurélien connaissait parfaitement l’endroit, il gara la petite citadine sur un petit parking désert, dans un sous-bois, une centaine de mètres plus loin. La voiture n’était pas encore stationnée qu’Aline enleva sa ceinture de sécurité et plongea sa main sur le pantalon du conducteur afin de masser son sexe qui commençait à être à l’étroit. Une fois garé, très impatiente, Aline demanda à Aurélien de baisser son pantalon et son boxer : « Tu veux bien que je te suce ? » Demanda-t-elle sans aucune gêne. À voir son érection prendre forme, il était bien incapable de dire le contraire et laissa la jeune fille dans son délire.
Sans être une grande experte, Aline sut satisfaire son amant. Elle n'hésita pas à avaler sa queue, qu'elle branlait au rythme des allers-retours de sa bouche, pendant que sa langue tournoyait autour de son gland, tandis qu’il maintenait la tête de sa jeune partenaire en la tenant par les cheveux. Après cinq minutes dans la bouche chaude et mouillée d’Aline, Aurélien qui n’avait pas baisé de la journée, fut rapidement sur le point de l’inonder, la jeune fille le sentant se contracter, lui demanda d’attendre.
Elle retira la bite d’entre ses lèvres, se redressa et vint embrasser son amant à pleine bouche. Le siège reculé au maximum et couché en arrière, elle en profita pour venir le chevaucher en tenant son pénis entre ses lèvres trempées par l’orgasme. Elle se laissa descendre, s'écartant facilement pour le laisser pénétrer jusqu’à la garde. Assise sur lui, sa bouche soudée à la sienne, ce fut elle qui donnait de la tonicité à leurs ébats malgré la position inconfortable, due au volant appuyé sur le bas de son dos.
Vu l'inconfort de la situation, Aline demanda à Aurélien d’aller sur la banquette arrière. Une fois allongée et les jambes écartées, il remonta son tee-shirt et lui palpa les seins, aspira ses tétons, tout en frottant son gland contre son vagin. Puis sans attendre plus longtemps, il la pénétra d’une seule poussée, elle était tellement mouillée que sa queue avait glissé toute seule au fond de sa chatte. Il l’avait baisé comme elle le désirait, sauvagement.
Ses coups de reins étaient rapides, violent et profonds, tandis que les hanches de la jeune fille ondulaient rapidement, elle gémissait à chaque fois que son gland heurtait le fond de sa chatte, en laissant échapper un petit cri. Mais rien ne semblait pouvoir arrêter Aurélien qui continuait à la limer avec sa queue gonflée. Cependant, l’orgasme que venait de prendre Aline le fit craquer, il se mit à crier aussi : « Je joui salope. » Il retira son épaisse verge de son vagin, enleva sa capote et envoya cinq abondantes giclées de sperme sur sa forte poitrine.
Une fois rhabillés, ils avaient repris tranquillement la route, Aurélien sachant que Stéphanie était avec un type chez elle, il avait pensé emmener sa jeune partenaire chez lui car il n’en avait pas fini avec elle. Cette petite bombe l’excitait vraiment, il adorait son corps, elle lui faisait penser à Véro. Lorsqu’il proposa à Aline de finir la nuit chez lui, celle-ci lui avoua qu’elle n’attendait que cela car elle ne savait pas où dormir. Surpris Aurélien lui demanda : « Tu dormais où ces derniers jours ? »— Tu sais ce n’est pas les mecs qui manquent sur terre, s’ils veulent me baiser, ils me logent.
Cette jeune fille de vingt ans surprenait vraiment le mécano, elle était prête à tout. Cela l’arrangeait car côté sexuel, ce fut une vraie furie, il avait pu se satisfaire plusieurs fois dans la soirée et avait vraiment pris son pied. Néanmoins, il s’inquiétait pour elle, ça l’ennuyait qu’elle soit ainsi à la rue, alors qu’elle semblait bien connaitre Stéphanie. Il essaya donc de lui tirer les vers du nez. Aline se blottit contre lui et se lâcha en lui expliquant sa vie.
N’ayant jamais connu ses parents, dès sa puberté, René son tuteur avait commencé ses attouchements et en mars 2004, alors qu’elle venait de fêter ses 14 ans, lorsque celui-ci avait voulu la pénétrer, elle avait fugué et s’était réfugiée dans une remise en bois dans une grande propriété, à une dizaine de kilomètres de chez elle. Au petit matin, ce fut Stéphanie qui l’avait découverte apeurée et frigorifiée. Après lui avoir fait prendre un bain et donné à manger, Vincent Dumas le mari de Stéphanie, était allé voir son tuteur qui n’avait pas encore prévenu la police. Après un petit chantage, ils avaient trouvé un arrangement avec lui. N’ayant pas d’enfant, le couple de bourgeois bien connu dans la région avait fait le nécessaire pour la recueillir et après quelques mois, les Dumas devinrent ainsi sa nouvelle famille d’accueil.
Ces nouveaux tuteurs furent très gentils avec elle, Aline ne manquait de rien, elle était traitée comme une princesse dans sa nouvelle famille. Très vite, Mme Dumas fut très proche de la gamine, elle était très câline et une nuit où le mari était absent, l’épouse se sentant seule, proposa à Aline de dormir avec elle. Depuis ce jour, Stéphanie lui fit son éducation sexuelle. À chaque occasion, elles se retrouvaient toutes deux nues dans son grand lit. Depuis quelques temps, Mme Dumas avait préparé sa jeune partenaire, Vincent qui assistait nu, à quelques joutes amoureuses entre les deux femmes, en tant que spectateur, ne participa vraiment que le jour de son anniversaire.
Aline savait qu’un jour, elle perdrait sa virginité et que ce serait avec Mr Dumas. Après lui avoir proposé de la dépuceler, elle accepta et depuis ce jour-là, Aline était devenue le jouet sexuel du couple Dumas. À dix-huit ans, elle n’avait rien à apprendre sur les joies du sexe, pourtant elle n’avait jamais couché avec un autre homme que Vincent, il était devenu son Maitre. Elle connut même les doubles pénétrations avec le god-ceinture que portait Mme Dumas. En quatre ans, Aline était devenue soumise et accroc au sexe. À sa majorité, Vincent l’offrait même à ses amis, homme ou femme, lors de certaines soirées libertines.
Tout commença à basculer lorsque Mme Dumas avait quitté son mari en 2008. Aline était restée encore une année avec Vincent avant de s’enfuir. Désirant refaire sa vie dans le sud de la France mais n’ayant pas d’argent de côté, elle était venue demander à Stéphanie de lui fournir une voiture et de lui prêter 10 mille euros. Celle-ci ayant refusé, Aline lui fit du chantage en la menaçant de porter plainte pour viol. Après ce refus, voulant se venger, Aline s’était promise de coucher avec son mec.
Aurélien la voyant si triste avec les yeux rougit par la peine, en racontant son histoire, compatit, il l’avait prise dans ses bras et l’embrassa tendrement. Leur nouvelle étreinte fut très passionnelle, ils refirent l’amour avant de s’endormir. Au réveil, Aurélien proposa à Aline de rester la journée chez lui et lui promit de l’aider. Il avait rencontré Paul son patron au sujet de la voiture. Celui-ci connaissant depuis longtemps la vie de débauche de sa fille ainée, accepta d’aider cette jeune fille afin de protéger Stéphanie d’un chantage. En rentrant le soir à son domicile, Aurélien tendit la carte grise à Aline et une enveloppe contenant 5 mille euros :— Tiens Aline, tu as la voiture à ton nom et un peu d’argent pour débuter une nouvelle vie. Je te souhaite plein de bonheur. Mon patron à laisser l’adresse d’un restaurateur à Nice, il est prêt à t’engager, nourrie logée, si tu es sérieuse.
Aline le regardait les larmes plein les yeux, elle se croyait sur un nuage, son rêve allait enfin se réaliser, elle allait pouvoir refaire sa vie. Elle lui sauta au cou et l’embrassa fortement sur la bouche en lui faisant mille bisous. Elle lui avoua qu’elle fut très heureuse dans ses bras et que c’était le seul homme qui ne l’avait pas prise pour un vide couille avant de rajouter : Tu es un ange Aurélien, pas seulement pour l’argent. Stéphanie ne te mérite pas. Je ne te l’avais pas dit, mais fais attention à elle, tu vas vite déchanter.
— Pourquoi dis-tu cela ? J’ai loupé quelque chose ?
— Steph revoit Vincent tous les lundis soir, elle l’a dans la peau et te quitteras. Fais-moi confiance, je la connais bien.
— Son ex-mari est toujours là ? Elle m’a dit qu’il était à Paris.
— Elle n’a jamais été divorcée. Mr Dumas n’a toujours pas quitté la région mais ils prévoient de le faire ensemble. Tu sais j’étais là quand ils en parlaient, ils ne faisaient pas attention à moi, j’étais leur jouet.
— Merci Aline, c’est très gentil à toi de me mettre en garde.
— J’aimerais passer une dernière nuit avec toi, tu veux bien que l’on fasse l’amour ? J’ai vraiment envie de toi, tu es mon prince charmant.
Après une excellente nuit, Aurélien avait fait ses adieux à Aline avant d’aller directement à la concession. Il avait bien réfléchi à ce que sa jeune maitresse lui avait dit et s’aperçut que Stéphanie lui avait bien menti en disant qu’Aline Leroy était sa belle-fille et en vérifiant auprès de Paul, il sut qu’elle n’était pas divorcée alors qu’elle lui avait certifié le contraire.
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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