« Aurélien » : et La sulfureuse Stéphanie. 10/15
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Aurélien » : et La sulfureuse Stéphanie. 10/15
Dès la première journée de travail, Stéphanie avait tenu à que son père, Paul Prévost, la présente à tous les employés de la concession, comme sa fille ainée et responsable de la comptabilité. Elle posait ses jalons et désirait faire comprendre au personnel qu’elle était ici comme le bras droit du patron et qu’elle ne laisserait rien passer. Stéphanie avait un certain charisme, belle comme elle était, elle aimait qu’on la regarde, qu’on la désire mais surtout qu’on la craigne.
Elle avait rencontré Véronique qu’elle trouva tout à fait charmante et surtout très séduisante, elle comprenait mieux pourquoi Aurélien était attiré par cette jeune créature. Les deux femmes parlèrent longuement ensemble et même si la fille du patron lui fit comprendre qu’elle serait sa supérieure directe, Véro de nature très avenante et respectant la hiérarchie, trouva cela tout à fait normal. Véro était tombée sous son charme, elle voyait en sa responsable, la femme qu’elle aurait aimé être. Si par expérience, Stéphanie connaissait parfaitement les hommes, il en était de même avec les femmes. Elle n’avait jamais refusé de coucher avec l’une d’entre elles, seules ou en trio.
Elle sut tout de suite, dans son regard que Véro pouvait se retrouver un jour ou l’autre dans son lit en compagnie d’Aurélien. Ce fut la raison pour laquelle, elle avait accepté de venir le soir en compagnie du protégé de son père. Puis Stéphanie était allée rencontrer le chef de service carrosserie, qu’elle avait trouvé beau gosse, avec lequel elle prit un malin plaisir de l’aguicher suffisamment. Si son épouse était tombée sous le charme de Stéphanie, Thomas n’était pas resté de bois. Il fut tout de suite attiré par la fille ainée de son patron. Il l’avait trouvé bandante à souhait et ne dirait pas non, si d’aventure elle lui proposait un petit tête-à-tête.
Lors du repas chez Thom et Véro, Stéphanie désirant devenir leur amie, changea littéralement son comportement, elle désirait montrer à ses hôtes, ses réelles intentions au sujet d’Aurélien. Ce fut main dans la main qu’ils avaient pénétré dans leur appartement pour le plus grand bonheur du mécano. Afin qu’il n’y ait plus aucune équivoque, dès leur arrivée, après les présentations, elle prit son visage entre ses mains en lui déposant un baiser sur les lèvres en disant : « Aurel est un amour ». Celui-ci, fier de lui, pensa immédiatement que c’était dans la poche : « Ce soir je ne vais pas dormir seul. » se disait-il.
Décidément, Aurélien avait bien des difficultés à comprendre sa voisine de table, Stéphanie était une vraie chatte en chaleur qui l’excitait un maximum. D’un côté, elle s’était permise à plusieurs reprises de lui caresser l’entrejambe jusqu’à lui masser le sexe en érection pendant le repas ou de lui faire quelques bisous et de l’autre, lorsqu’il voulait faire de même, elle tournait son visage ou lorsqu’il lui posait la main sur la cuisse, elle n’hésitait pas à lui retirer énergiquement, en le fixant droit dans les yeux, tout en lui souriant.
Pendant le repas, Stéphanie avait conquis Thom et Véro, il ne faisait aucun doute, ils deviendraient des amis proches. Pour Aurélien, cette femme était un mystère, il l’avait dévorée des yeux et la désirait comme un fou. Le soir après l’avoir raccompagnée, il n’avait pas fait comme la veille, il s’était jeté à l’eau en lui proposant de finir la nuit chez lui : — Aurélien, je t’ai déjà dit que tu seras à moi quand je l’aurai décidé. Répéta-t-elle en lui claquant un baiser sur ses lèvres. Allez ! Rentre maintenant. À demain mon amour…
Pendant plus d’un mois, ce fut un véritable calvaire pour Aurélien qui ne pouvait pas conclure avec la femme qu’il désirait tant. Au garage, toutes les journées étaient basées comme la première, Stéphanie avait pris le dessus, elle lui imposait un rythme d’enfer, elle commandait et gérait tout son emploi du temps à la minute près. Il ne pouvait plus discuter seul avec une cliente sans qu’elle vienne les interrompre. En contrepartie, lorsqu’ils étaient seuls, elle venait lui déposer un petit bisou sur la bouche, lui caresser gentiment le visage ou lui masser les épaules.
Elle s’était aventurée une fois de lui masser le sexe sans aucune pudeur tout en lui léchant le visage en le félicitant pour sa journée. Ils étaient sortis quelques fois au restaurant ou étaient allés diner chez Paul comme deux amoureux. Cependant le soir, au moment de se quitter, c’était à chaque fois la même chose. Lorsqu’Aurélien lui proposait de finir la soirée à la maison, elle lui léchait les lèvres avant de descendre de la voiture en disant : « Fais de beaux rêve mon amour, pense à moi en te caressant. »
Aurélien ne tenait plus, Stéphanie le perturbait, elle le hantait, il était tombé amoureux et ne savait plus comment agir avec elle. Il était arrivé à un point qu’il la désirait en permanence, il voulait absolument lui faire amour, le matin, le midi, l’après-midi, le soir, la nuit. Lorsqu’il rentrait chez lui, il n’osait même plus sortir espérant toujours qu’elle se décide, comme elle lui avait promis. Cependant, le moment n’était pas encore venu et ce soir-là, après un nouveau refus, il se décida de lui dire :— Écoute Stéphanie, tu ne peux plus continuer à jouer avec moi. J’en ai assez de tes caprices, soit tu acceptes de coucher avec moi, soit…
Elle lui plaça son index sur les lèvres afin qu’il ne finisse pas sa phrase en disant :— Chut mon chéri, tu vas dire une connerie. Je t’aime et je me donnerai à toi le moment voulu, tu ne le regretteras pas. Es-tu capable de patienter encore un peu ? Dit-elle en remplaçant son doigt par ses lèvres, en lui claquant un bisou.
— Moi aussi je t’aime Stéphanie, je crois que c’est la première fois que je suis véritablement amoureux. J’accepte le deal mais ne me fais pas attendre trop longtemps.
— T’inquiète mon amour… Finit-elle par dire en descendant de la voiture.
Ce soir-là, ne voulant pas la tromper, il se masturba une nouvelle fois en pensant à elle comme il le faisait depuis plus d’un mois. Aurélien lui appartenait désormais entièrement, il n’arrivait pas à lui résister, il ne la contrariait jamais, il était complètement à sa botte. Ce ne fut qu’à partir de la sixième semaine d’abstinence, que Stéphanie fit le premier pas. Elle était venue dans son bureau, se plaça derrière son fauteuil, comme elle faisait souvent et l’embrassa dans le cou en lui disant :— J’ai très envie de te faire l’amour, mon amour. Toi aussi, je te sens prêt. Finit-elle par dire, en lui prenant le sexe à pleine main.
Il se leva précipitamment et l’enlaça, ils s’embrassèrent à pleines bouches, c’était leur premier véritable baiser. Cependant, elle le repoussa, le regarda bien dans les yeux et lui dit :— Pas ici mon chéri, tu pourras bien attendre ce soir. Tu me désires tant que cela ? Demanda-t-elle ironiquement tout en connaissant la réponse.
— Je suis dingue de toi Steph, tu me rends fou.
— Tu te rappelles, je t’avais prévenu, je veux que tu m’appartiennes entièrement.
— Pas de problème, je suis tout à toi.
Elle lui avait enfin proposé de venir faire l’amour chez elle. A ce moment-là, il crut qu’il allait s’évanouir tant son émotion était forte, son cœur battait la chamaille. Toute la journée, il n’avait eu d’yeux que pour elle il la cherchait du regard. Le soir venu juste après avoir quitté le garage, lorsqu’elle l’avait fait rentrer dans le corridor en lui prenant la main, il était comme un ado à qui on accorde pour la première fois une permission de sortie. Stéphanie l’avait installé dans le fauteuil devant un verre de scotch, elle avait commencé à se dévêtir lentement devant lui, pour le laisser admirer ses formes.
Sa jolie poitrine le fascinait, jamais il n’avait pensé que ses seins se maintiendrait de la sorte sans soutien-gorge. Elle les prenait dans ses mains, les massant et tirait fortement sur ses mamelons. Sa surprise fut plus grande lorsqu’elle avait enlevé son string, il découvrit une toison noire, sans être trop épaisse, ses poils pubiens de plusieurs centimètres formaient un large triangle bien entretenu, laissant la vulve dégagée. Stéphanie fixa Aurélien dans les yeux en soupirant, de ses mains délicates, elle écarta ses grandes lèvres pour lui faire découvrir l’intérieur de son intimité rosée d’humidité :— Tu aimes ma chatte ? Elle te plait ? Tu voudrais la sucer ?
Sans véritablement répondre, Aurélien faisait des signes avec sa tête, la dandinant de bas en haut :— Réponds-moi ! Dit-elle tout en se caressant— Bien sûr… Murmura-t-il en essayant de se lever.
Elle l’arrêta en lui posant la main sur l’épaule, en le faisant se rassoir, elle enfila son majeur et son index à l’intérieur de sa chatte et se masturba lentement, puis un peu plus rapidement avant de les ressortir pour se frotter énergiquement le clitoris, puis porta ses doigts dans sa bouche afin qu’il les lèche, avant de recommencer.
— Aujourd’hui, tu fais ce que je te dis, tu ne prends aucune initiative. Dit-elle, tout en continuant à se masturber.
Les yeux d’Aurélien ne pouvaient se détourner du spectacle qu’elle lui offrait à quelques centimètres de son visage. Il bandait fortement, sa verge prisonnière dans son pantalon devenait douloureuse. Il avait envie de se lever et de la baiser directement sur le tapis, mais il devait respecter les consignes de Stéphanie qui se plaisait à le fixer droit dans les yeux, tout en faisant tournoyer ses doigts sur sa vulve largement ouverte.
Il voyait son plaisir monter, elle fermait les yeux, sa respiration s’accélérait, elle gémissait de plus en plus, ses doigts à l’intérieur de son sexe étaient entièrement engloutis, sa deuxième main s’occupait de son bouton. Lorsqu’elle avait joui, Aurélien remuait son bassin, il n’était pas loin de l’éjaculation sans même se toucher. Il dut finir son verre de whisky afin de ne pas se masturber.
Après son orgasme, Stéphanie vint vers lui et le fit se lever lui arrachant pratiquement tous ses vêtements les uns après les autres. Ses mains, sa bouche parcourraient les moindres parcelles de son corps. De ses cheveux soyeux, à ses ongles, jusqu’à son parfum, tout chez cette femme le captivait, il était en admiration. D’une main ferme, elle avait saisi sa queue pour la caresser insolemment. Son érection était superbe, elle le masturbait comme si sa verge n’était qu’un vulgaire sextoy, un jouet dont elle se servait comme bon lui semblait : — Tu es à ma merci ! Tu es mon objet, mon esclave ! Dis-le-moi.
— Oui mon amour, je suis ton esclave sexuel.
Stéphanie le fit se rassoir sur le fauteuil les fesses bien au bord du coussin et tira le deuxième face à lui où elle s’installa. Abandonnant ses mains, elle s’amusa à utiliser ses pieds pour continuer sa masturbation. Elle jouait habilement avec ses orteils, se plaisant à écraser sa queue entre ses talons avant de le branler avec les deux plantes de pied. Entre douleur et plaisir, elle passait d’un registre à l’autre avec aisance et maîtrise. Ce qui lui arrachait quelques gémissements de plaisir ou de petits cris de surprise.
Cette branlette le rendait dingue, cette femme savait s’y prendre pour le rendre dans cet état, c’était un véritable démon. Lorsqu’elle s’était jetée sur sa queue tendue au maximum pour l’engloutir entre ses lèvres, il poussa un véritable râle de soulagement, il en rêvait toutes les nuits, il attendait se moment depuis si longtemps. La belle et épaisse verge d’Aurélien en avait connu des bouches mais celle de Stéphanie était de loin la championne du monde, à 38 ans elle était une experte de la fellation.
Sa longue langue tournoyait avec agilité sur son gland turgescent gonflé à bloc. Il eut des difficultés pour ne pas éjaculer trop vite dans la bouche de sa fabuleuse maîtresse. Puis elle enfonça son visage avalant entièrement sa queue en gorge profonde, il ne pouvait plus se contrôler, elle le comprit immédiatement lorsqu’il avait maintenu sa tête fortement de ses deux mains. Il allait lui envoyer tout son jus dont ses couilles en étaient pleines. Cette délicieuse pipe s’était arrêtée aussi vite qu’elle avait débutée, lorsqu’elle lui mit une gifle :— C’est à moi de te dire quand tu dois éjaculer.
Pourtant très surpris de recevoir cette punition, malgré cette claque inattendue, la queue d’Aurélien resta en pleine érection. Stéphanie s’était levée, le fit se coucher à même le sol et vint le chevaucher à genoux, plaquant son entrejambe contre son visage :— Bouffe-moi la chatte maintenant et fais-moi jouir.
La bouche d’Aurélien clouée à sa vulve mouillée de désir, sa langue lécha et s’immisça entre les lèvres de sa maîtresse qui se tordait de plaisir. Elle s’agitait en gémissant tout en s’appuyant contre son visage, Elle le maintenait contre elle, en lui tenant de ses mains, l’arrière de son crâne, l’interdisant ainsi de bouger pour reprendre mon souffle. Il n’osait désobéir, sa chatte ruisselait sérieusement, couvrant son menton de cyprine. Elle prit un nouvel orgasme, inondant sa bouche de plusieurs jets de jouissance :— Tu es à moi ! Je vais te baiser. Dit-elle d’un ton sévère.
Sans attendre plus longtemps, Stéphanie toujours à genoux, recula pour s’empaler sur le sexe d’Aurélien qui était toujours à la verticale. Allongé sur le sol, il mit un coup de reins afin de se ficher au plus profond de son vagin. Il se cambrait au maximum, pendant qu’elle alternait les coups de bassin d’avant en arrière, de haut en bas et les moments d’immobilité, le sexe de son amant bien calé dans sa chatte. Stéphanie imposait le rythme, Aurélien s’efforçait de donner quelques coups de boutoirs mais le poids de la cavalière l’empêchait de s’exprimer entièrement. Elle reprit ses assauts, plus violemment encore :— Baise-moi ! Plus fort ! Allez, tu m’appartiens !
Son corps tout entier et principalement son sexe, ne lui appartenait plus, son esprit tout entier obéissait à cette divine femme, prêt à exaucer ses moindres désirs. Sa chatte ruisselante de plaisir, se contractait sur le pénis de son amant dans un rythme infernal, de la cyprine coulait entre ses cuisses. Assise sur sa queue tendue, Aurélien se sentait à sa merci, elle menait le bal, dans cette chevauchée fantastique. Stéphanie donna encore quelques mouvements de bassin et l’orgasme l’emporta la première en criant son bonheur, avant qu’il répande son sperme en de longs jets blanchâtres. Elle lui lécha les lèvres en guise de remerciement avant de lui dire gentiment mais d’un ton ironique :— Allez mon amour ! Il est l’heure que tu rentres, Rhabille-toi ! Alban doit venir me chercher, il m’a invité à diner ce soir.
— Le peintre ? Tu vas baiser avec lui ? Et moi ?
— Tu as eu la primeur de mon corps mon chéri. Je t’aime, lui, je vais uniquement jouer avec lui. T’inquiète, il ne me baisera pas.
En effet, depuis qu’il avait vu Stéphanie chez Paul, Alban l’artisan peintre, n’avait d’yeux que pour cette femme, il la désirait plus que tout et abandonna l’idée de baiser Claire la voisine qui avait retrouvé du plaisir dans les bras de son mari. Tous les jours, depuis un mois, Alban passait au garage et faisait la cour à la jeune femme qui s’amusait à jouer de son charme avec lui. Elle avait attendu le maximum mais avant qu’il ne se lasse, elle venait d’accepter son invitation. Après s’être lavée et préparée, elle s’était vêtue hyper sexy pour ce diner en tête à tête.
Stéphanie avait tout fait au restaurant pour l’aguicher, lui laissant croire que l’affaire était dans le sac. Il était sûr de lui, dans sa voiture il se permit de passer sa main sur la cuisse de Stéphanie qui se laissait faire, il remonta sa main un peu plus haut sous le tissu de sa robe, là encore, elle jouait, elle écarta ses jambes, elle aimait cela, elle gémissait. Rien ne pourrait venir ternir la soirée. Il la baiserait comme une chienne ce soir, pensait-il. Il ne put croire autrement lorsque celle-ci l’invita à venir chez elle pour un boire dernier verre.
Stéphanie avait tout préparé à l’avance, elle avait eu sa dose de sexe les orgasmes qu’elle connut avec Aurélien lui suffisaient, elle n’était donc pas en manque, elle pourrait agir en toute quiétude. Elle reçut Alban en toute courtoisie, elle lui servit le champagne frappé et des petits fours. Il la regardait avec des yeux pleins d'envie, il lui disait qu’il la désirait depuis plusieurs semaines, elle faisait sa petite ingénue en se trépignant sur le coussin. Ne pouvant plus attendre, Alban l’embrassa, elle se laissa faire, très vite, il posa sa tête entre sa poitrine, il embrassait et malaxait ses seins. Il avait pris sa main pour la poser sur son sexe, il bandait comme un taureau.
— Non Alban ! Pas ce soir, je suis crevée, je préfère que tu rentres chez toi. Lui dit-elle avant de lui déposer un bisou sur la bouche.
L’artisan peintre, après avoir fini sa coupe de champagne était parti avec une érection entre les jambes. Il n’avait pas dit son dernier mot, il savait que cette femme parviendrait à lui céder. Aucune d’entre elles, ne résistait bien longtemps à ses avances. Il se trompa sur toute la ligne, ce fut lui qui fut surpris car il ne l’avait pas baisé, ce fut elle qui prit possession de son corps.
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Elle avait rencontré Véronique qu’elle trouva tout à fait charmante et surtout très séduisante, elle comprenait mieux pourquoi Aurélien était attiré par cette jeune créature. Les deux femmes parlèrent longuement ensemble et même si la fille du patron lui fit comprendre qu’elle serait sa supérieure directe, Véro de nature très avenante et respectant la hiérarchie, trouva cela tout à fait normal. Véro était tombée sous son charme, elle voyait en sa responsable, la femme qu’elle aurait aimé être. Si par expérience, Stéphanie connaissait parfaitement les hommes, il en était de même avec les femmes. Elle n’avait jamais refusé de coucher avec l’une d’entre elles, seules ou en trio.
Elle sut tout de suite, dans son regard que Véro pouvait se retrouver un jour ou l’autre dans son lit en compagnie d’Aurélien. Ce fut la raison pour laquelle, elle avait accepté de venir le soir en compagnie du protégé de son père. Puis Stéphanie était allée rencontrer le chef de service carrosserie, qu’elle avait trouvé beau gosse, avec lequel elle prit un malin plaisir de l’aguicher suffisamment. Si son épouse était tombée sous le charme de Stéphanie, Thomas n’était pas resté de bois. Il fut tout de suite attiré par la fille ainée de son patron. Il l’avait trouvé bandante à souhait et ne dirait pas non, si d’aventure elle lui proposait un petit tête-à-tête.
Lors du repas chez Thom et Véro, Stéphanie désirant devenir leur amie, changea littéralement son comportement, elle désirait montrer à ses hôtes, ses réelles intentions au sujet d’Aurélien. Ce fut main dans la main qu’ils avaient pénétré dans leur appartement pour le plus grand bonheur du mécano. Afin qu’il n’y ait plus aucune équivoque, dès leur arrivée, après les présentations, elle prit son visage entre ses mains en lui déposant un baiser sur les lèvres en disant : « Aurel est un amour ». Celui-ci, fier de lui, pensa immédiatement que c’était dans la poche : « Ce soir je ne vais pas dormir seul. » se disait-il.
Décidément, Aurélien avait bien des difficultés à comprendre sa voisine de table, Stéphanie était une vraie chatte en chaleur qui l’excitait un maximum. D’un côté, elle s’était permise à plusieurs reprises de lui caresser l’entrejambe jusqu’à lui masser le sexe en érection pendant le repas ou de lui faire quelques bisous et de l’autre, lorsqu’il voulait faire de même, elle tournait son visage ou lorsqu’il lui posait la main sur la cuisse, elle n’hésitait pas à lui retirer énergiquement, en le fixant droit dans les yeux, tout en lui souriant.
Pendant le repas, Stéphanie avait conquis Thom et Véro, il ne faisait aucun doute, ils deviendraient des amis proches. Pour Aurélien, cette femme était un mystère, il l’avait dévorée des yeux et la désirait comme un fou. Le soir après l’avoir raccompagnée, il n’avait pas fait comme la veille, il s’était jeté à l’eau en lui proposant de finir la nuit chez lui : — Aurélien, je t’ai déjà dit que tu seras à moi quand je l’aurai décidé. Répéta-t-elle en lui claquant un baiser sur ses lèvres. Allez ! Rentre maintenant. À demain mon amour…
Pendant plus d’un mois, ce fut un véritable calvaire pour Aurélien qui ne pouvait pas conclure avec la femme qu’il désirait tant. Au garage, toutes les journées étaient basées comme la première, Stéphanie avait pris le dessus, elle lui imposait un rythme d’enfer, elle commandait et gérait tout son emploi du temps à la minute près. Il ne pouvait plus discuter seul avec une cliente sans qu’elle vienne les interrompre. En contrepartie, lorsqu’ils étaient seuls, elle venait lui déposer un petit bisou sur la bouche, lui caresser gentiment le visage ou lui masser les épaules.
Elle s’était aventurée une fois de lui masser le sexe sans aucune pudeur tout en lui léchant le visage en le félicitant pour sa journée. Ils étaient sortis quelques fois au restaurant ou étaient allés diner chez Paul comme deux amoureux. Cependant le soir, au moment de se quitter, c’était à chaque fois la même chose. Lorsqu’Aurélien lui proposait de finir la soirée à la maison, elle lui léchait les lèvres avant de descendre de la voiture en disant : « Fais de beaux rêve mon amour, pense à moi en te caressant. »
Aurélien ne tenait plus, Stéphanie le perturbait, elle le hantait, il était tombé amoureux et ne savait plus comment agir avec elle. Il était arrivé à un point qu’il la désirait en permanence, il voulait absolument lui faire amour, le matin, le midi, l’après-midi, le soir, la nuit. Lorsqu’il rentrait chez lui, il n’osait même plus sortir espérant toujours qu’elle se décide, comme elle lui avait promis. Cependant, le moment n’était pas encore venu et ce soir-là, après un nouveau refus, il se décida de lui dire :— Écoute Stéphanie, tu ne peux plus continuer à jouer avec moi. J’en ai assez de tes caprices, soit tu acceptes de coucher avec moi, soit…
Elle lui plaça son index sur les lèvres afin qu’il ne finisse pas sa phrase en disant :— Chut mon chéri, tu vas dire une connerie. Je t’aime et je me donnerai à toi le moment voulu, tu ne le regretteras pas. Es-tu capable de patienter encore un peu ? Dit-elle en remplaçant son doigt par ses lèvres, en lui claquant un bisou.
— Moi aussi je t’aime Stéphanie, je crois que c’est la première fois que je suis véritablement amoureux. J’accepte le deal mais ne me fais pas attendre trop longtemps.
— T’inquiète mon amour… Finit-elle par dire en descendant de la voiture.
Ce soir-là, ne voulant pas la tromper, il se masturba une nouvelle fois en pensant à elle comme il le faisait depuis plus d’un mois. Aurélien lui appartenait désormais entièrement, il n’arrivait pas à lui résister, il ne la contrariait jamais, il était complètement à sa botte. Ce ne fut qu’à partir de la sixième semaine d’abstinence, que Stéphanie fit le premier pas. Elle était venue dans son bureau, se plaça derrière son fauteuil, comme elle faisait souvent et l’embrassa dans le cou en lui disant :— J’ai très envie de te faire l’amour, mon amour. Toi aussi, je te sens prêt. Finit-elle par dire, en lui prenant le sexe à pleine main.
Il se leva précipitamment et l’enlaça, ils s’embrassèrent à pleines bouches, c’était leur premier véritable baiser. Cependant, elle le repoussa, le regarda bien dans les yeux et lui dit :— Pas ici mon chéri, tu pourras bien attendre ce soir. Tu me désires tant que cela ? Demanda-t-elle ironiquement tout en connaissant la réponse.
— Je suis dingue de toi Steph, tu me rends fou.
— Tu te rappelles, je t’avais prévenu, je veux que tu m’appartiennes entièrement.
— Pas de problème, je suis tout à toi.
Elle lui avait enfin proposé de venir faire l’amour chez elle. A ce moment-là, il crut qu’il allait s’évanouir tant son émotion était forte, son cœur battait la chamaille. Toute la journée, il n’avait eu d’yeux que pour elle il la cherchait du regard. Le soir venu juste après avoir quitté le garage, lorsqu’elle l’avait fait rentrer dans le corridor en lui prenant la main, il était comme un ado à qui on accorde pour la première fois une permission de sortie. Stéphanie l’avait installé dans le fauteuil devant un verre de scotch, elle avait commencé à se dévêtir lentement devant lui, pour le laisser admirer ses formes.
Sa jolie poitrine le fascinait, jamais il n’avait pensé que ses seins se maintiendrait de la sorte sans soutien-gorge. Elle les prenait dans ses mains, les massant et tirait fortement sur ses mamelons. Sa surprise fut plus grande lorsqu’elle avait enlevé son string, il découvrit une toison noire, sans être trop épaisse, ses poils pubiens de plusieurs centimètres formaient un large triangle bien entretenu, laissant la vulve dégagée. Stéphanie fixa Aurélien dans les yeux en soupirant, de ses mains délicates, elle écarta ses grandes lèvres pour lui faire découvrir l’intérieur de son intimité rosée d’humidité :— Tu aimes ma chatte ? Elle te plait ? Tu voudrais la sucer ?
Sans véritablement répondre, Aurélien faisait des signes avec sa tête, la dandinant de bas en haut :— Réponds-moi ! Dit-elle tout en se caressant— Bien sûr… Murmura-t-il en essayant de se lever.
Elle l’arrêta en lui posant la main sur l’épaule, en le faisant se rassoir, elle enfila son majeur et son index à l’intérieur de sa chatte et se masturba lentement, puis un peu plus rapidement avant de les ressortir pour se frotter énergiquement le clitoris, puis porta ses doigts dans sa bouche afin qu’il les lèche, avant de recommencer.
— Aujourd’hui, tu fais ce que je te dis, tu ne prends aucune initiative. Dit-elle, tout en continuant à se masturber.
Les yeux d’Aurélien ne pouvaient se détourner du spectacle qu’elle lui offrait à quelques centimètres de son visage. Il bandait fortement, sa verge prisonnière dans son pantalon devenait douloureuse. Il avait envie de se lever et de la baiser directement sur le tapis, mais il devait respecter les consignes de Stéphanie qui se plaisait à le fixer droit dans les yeux, tout en faisant tournoyer ses doigts sur sa vulve largement ouverte.
Il voyait son plaisir monter, elle fermait les yeux, sa respiration s’accélérait, elle gémissait de plus en plus, ses doigts à l’intérieur de son sexe étaient entièrement engloutis, sa deuxième main s’occupait de son bouton. Lorsqu’elle avait joui, Aurélien remuait son bassin, il n’était pas loin de l’éjaculation sans même se toucher. Il dut finir son verre de whisky afin de ne pas se masturber.
Après son orgasme, Stéphanie vint vers lui et le fit se lever lui arrachant pratiquement tous ses vêtements les uns après les autres. Ses mains, sa bouche parcourraient les moindres parcelles de son corps. De ses cheveux soyeux, à ses ongles, jusqu’à son parfum, tout chez cette femme le captivait, il était en admiration. D’une main ferme, elle avait saisi sa queue pour la caresser insolemment. Son érection était superbe, elle le masturbait comme si sa verge n’était qu’un vulgaire sextoy, un jouet dont elle se servait comme bon lui semblait : — Tu es à ma merci ! Tu es mon objet, mon esclave ! Dis-le-moi.
— Oui mon amour, je suis ton esclave sexuel.
Stéphanie le fit se rassoir sur le fauteuil les fesses bien au bord du coussin et tira le deuxième face à lui où elle s’installa. Abandonnant ses mains, elle s’amusa à utiliser ses pieds pour continuer sa masturbation. Elle jouait habilement avec ses orteils, se plaisant à écraser sa queue entre ses talons avant de le branler avec les deux plantes de pied. Entre douleur et plaisir, elle passait d’un registre à l’autre avec aisance et maîtrise. Ce qui lui arrachait quelques gémissements de plaisir ou de petits cris de surprise.
Cette branlette le rendait dingue, cette femme savait s’y prendre pour le rendre dans cet état, c’était un véritable démon. Lorsqu’elle s’était jetée sur sa queue tendue au maximum pour l’engloutir entre ses lèvres, il poussa un véritable râle de soulagement, il en rêvait toutes les nuits, il attendait se moment depuis si longtemps. La belle et épaisse verge d’Aurélien en avait connu des bouches mais celle de Stéphanie était de loin la championne du monde, à 38 ans elle était une experte de la fellation.
Sa longue langue tournoyait avec agilité sur son gland turgescent gonflé à bloc. Il eut des difficultés pour ne pas éjaculer trop vite dans la bouche de sa fabuleuse maîtresse. Puis elle enfonça son visage avalant entièrement sa queue en gorge profonde, il ne pouvait plus se contrôler, elle le comprit immédiatement lorsqu’il avait maintenu sa tête fortement de ses deux mains. Il allait lui envoyer tout son jus dont ses couilles en étaient pleines. Cette délicieuse pipe s’était arrêtée aussi vite qu’elle avait débutée, lorsqu’elle lui mit une gifle :— C’est à moi de te dire quand tu dois éjaculer.
Pourtant très surpris de recevoir cette punition, malgré cette claque inattendue, la queue d’Aurélien resta en pleine érection. Stéphanie s’était levée, le fit se coucher à même le sol et vint le chevaucher à genoux, plaquant son entrejambe contre son visage :— Bouffe-moi la chatte maintenant et fais-moi jouir.
La bouche d’Aurélien clouée à sa vulve mouillée de désir, sa langue lécha et s’immisça entre les lèvres de sa maîtresse qui se tordait de plaisir. Elle s’agitait en gémissant tout en s’appuyant contre son visage, Elle le maintenait contre elle, en lui tenant de ses mains, l’arrière de son crâne, l’interdisant ainsi de bouger pour reprendre mon souffle. Il n’osait désobéir, sa chatte ruisselait sérieusement, couvrant son menton de cyprine. Elle prit un nouvel orgasme, inondant sa bouche de plusieurs jets de jouissance :— Tu es à moi ! Je vais te baiser. Dit-elle d’un ton sévère.
Sans attendre plus longtemps, Stéphanie toujours à genoux, recula pour s’empaler sur le sexe d’Aurélien qui était toujours à la verticale. Allongé sur le sol, il mit un coup de reins afin de se ficher au plus profond de son vagin. Il se cambrait au maximum, pendant qu’elle alternait les coups de bassin d’avant en arrière, de haut en bas et les moments d’immobilité, le sexe de son amant bien calé dans sa chatte. Stéphanie imposait le rythme, Aurélien s’efforçait de donner quelques coups de boutoirs mais le poids de la cavalière l’empêchait de s’exprimer entièrement. Elle reprit ses assauts, plus violemment encore :— Baise-moi ! Plus fort ! Allez, tu m’appartiens !
Son corps tout entier et principalement son sexe, ne lui appartenait plus, son esprit tout entier obéissait à cette divine femme, prêt à exaucer ses moindres désirs. Sa chatte ruisselante de plaisir, se contractait sur le pénis de son amant dans un rythme infernal, de la cyprine coulait entre ses cuisses. Assise sur sa queue tendue, Aurélien se sentait à sa merci, elle menait le bal, dans cette chevauchée fantastique. Stéphanie donna encore quelques mouvements de bassin et l’orgasme l’emporta la première en criant son bonheur, avant qu’il répande son sperme en de longs jets blanchâtres. Elle lui lécha les lèvres en guise de remerciement avant de lui dire gentiment mais d’un ton ironique :— Allez mon amour ! Il est l’heure que tu rentres, Rhabille-toi ! Alban doit venir me chercher, il m’a invité à diner ce soir.
— Le peintre ? Tu vas baiser avec lui ? Et moi ?
— Tu as eu la primeur de mon corps mon chéri. Je t’aime, lui, je vais uniquement jouer avec lui. T’inquiète, il ne me baisera pas.
En effet, depuis qu’il avait vu Stéphanie chez Paul, Alban l’artisan peintre, n’avait d’yeux que pour cette femme, il la désirait plus que tout et abandonna l’idée de baiser Claire la voisine qui avait retrouvé du plaisir dans les bras de son mari. Tous les jours, depuis un mois, Alban passait au garage et faisait la cour à la jeune femme qui s’amusait à jouer de son charme avec lui. Elle avait attendu le maximum mais avant qu’il ne se lasse, elle venait d’accepter son invitation. Après s’être lavée et préparée, elle s’était vêtue hyper sexy pour ce diner en tête à tête.
Stéphanie avait tout fait au restaurant pour l’aguicher, lui laissant croire que l’affaire était dans le sac. Il était sûr de lui, dans sa voiture il se permit de passer sa main sur la cuisse de Stéphanie qui se laissait faire, il remonta sa main un peu plus haut sous le tissu de sa robe, là encore, elle jouait, elle écarta ses jambes, elle aimait cela, elle gémissait. Rien ne pourrait venir ternir la soirée. Il la baiserait comme une chienne ce soir, pensait-il. Il ne put croire autrement lorsque celle-ci l’invita à venir chez elle pour un boire dernier verre.
Stéphanie avait tout préparé à l’avance, elle avait eu sa dose de sexe les orgasmes qu’elle connut avec Aurélien lui suffisaient, elle n’était donc pas en manque, elle pourrait agir en toute quiétude. Elle reçut Alban en toute courtoisie, elle lui servit le champagne frappé et des petits fours. Il la regardait avec des yeux pleins d'envie, il lui disait qu’il la désirait depuis plusieurs semaines, elle faisait sa petite ingénue en se trépignant sur le coussin. Ne pouvant plus attendre, Alban l’embrassa, elle se laissa faire, très vite, il posa sa tête entre sa poitrine, il embrassait et malaxait ses seins. Il avait pris sa main pour la poser sur son sexe, il bandait comme un taureau.
— Non Alban ! Pas ce soir, je suis crevée, je préfère que tu rentres chez toi. Lui dit-elle avant de lui déposer un bisou sur la bouche.
L’artisan peintre, après avoir fini sa coupe de champagne était parti avec une érection entre les jambes. Il n’avait pas dit son dernier mot, il savait que cette femme parviendrait à lui céder. Aucune d’entre elles, ne résistait bien longtemps à ses avances. Il se trompa sur toute la ligne, ce fut lui qui fut surpris car il ne l’avait pas baisé, ce fut elle qui prit possession de son corps.
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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