« Aurélien » : L’intrigante Stéphanie. 9/15
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Aurélien » : L’intrigante Stéphanie. 9/15
Lorsqu’Alban Tessier le peintre, confia à Claire la femme de Paul Prévost, qu’il avait besoin d’elle, celle-ci lui demanda prestement :— Ah oui ! Pourquoi donc ? répondit-elle, impatiente d’en savoir plus. « Lui tendrait-il une perche ? » se demandait-elle.
— J’aimerais qu’une femme de goût comme vous l’êtes, me conseille sur la décoration intérieure de ma nouvelle maison.
Claire jeta un regard vers Paul, elle attendait son approbation et fut heureuse de constater qu’il n’y voyait aucun inconvénient. Elle accepta donc l’invitation après que son mari lui dise : « Vas-y ma chérie, j’ai besoin de faire une petite sieste. L’entrepreneur se frottait les mains, il se voyait déjà en train de baiser la femme de son vieil ami. De son côté, Paul se réjouissait, il allait pouvoir correspondre avec ses filles Sabine et Stéphanie, pendant de longues minutes.
Ce fut ainsi que quelques minutes plus tard, Alban avait à la maison cette charmante bourgeoise pour lui tout seul. « Comment allait-elle s’y prendre ? » Il avait hâte de voir ça. De son côté, Claire espérait que son charmant voisin avec lequel, elle fantasmait ne tarde pas à prendre les devants. Il l’emmena au salon et lui servit une nouvelle coupe de champagne. Assis côte à côte sur le canapé, ils feuilletaient un catalogue de décoration, leurs mains se touchaient, leurs jambes se frôlaient, ils rirent de bon cœur lorsque Claire en reposant son verre, en se penchant sur la table basse, laissa entrevoir, par son décolleté plongeant, la fine dentelle de son soutien-gorge.
Alban s’imaginait passer sa main dans ce corsage, afin de caresser ses seins lourds qu’il avait devant les yeux. Claire avait compris, elle savait qu’elle était en train d’allumer son voisin. Alban s’approcha un peu plus et la tutoyant pour la première fois, lui dit : « Tu as une poitrine magnifique. » Claire rougit mais lui sourit en le remerciant du compliment. Elle s’aperçut de cette petite familiarité, elle en était heureuse, puis petit à petit ils se rapprochaient encore. Après avoir coché plusieurs objets de décoration, Claire n’étant pas encore décidée de franchir le pas, changea de sujet de conversation :— J’ai hâte de voir ce que cela donnerait dans votre salon.
— Attends Claire ! Lui répondit-il en l’attirant vers lui.
Le peintre passa sa main derrière son dos, juste au niveau des lombes et la plaqua contre lui. Il lui fit comprendre par son érection contre son ventre qu’il avait envie d’elle. Leurs visages étaient proches, leurs bouches à quelques centimètres, les yeux dans les yeux, ils attendaient que l’autre approche ses lèvres. Ce fut elle qui s’avança pendant que lui pressait son corps contre le sien, lui faisant ressentir la grosseur de son sexe. Le baiser fut fougueux, la demi-heure passé ensemble à se toucher, les avaient tous les deux très excités :— Non Alban ! Nous faisons peut-être une bêtise, je suis mariée.
Soudain la sonnette à la porte les sortit de leurs pensées érotiques. Se sentant fautive, Claire devint toute rouge en voyant son mari sur le pas de la porte qu’Alban venait d’ouvrir. Le couple d’invités, se retrouvait désormais au salon et buvait tranquillement le champagne avec Alban. Lorsque Paul avait raccroché le téléphone après la conversation avec ses filles, ayant des remords de laisser trop longtemps sa femme avec ce don juan, décida de venir les rejoindre. Paul impatient de rentrer faire l’amour à sa femme, dit :— Tu ne crois pas que vous pourrez finir la déco plus tard ?
Claire ne regretta pas la venue de son mari, elle fut sauvée par le gong car elle était prête à faire une grosse erreur. Le fait d’avoir laissé sa femme seule avec Alban Tessier qui était réputé comme un baiseur fini et qu’elle pouvait ainsi le tromper, Paul avait accouru chez le voisin, la voyant rougir lorsqu’il était arrivé, lui donna une énorme érection. Cela faisait plus de quinze jours qu’il ne bandait presque plus. Cette situation fut très excitante et dès qu’il se retrouva au sous-sol avec elle, il l’avait attiré à lui et l’embrassa passionnément comme au premier jour.
Claire excitée elle aussi par le voisin et étonnée par son mari qui ne la touchait presque plus, essaya faiblement de sortir de cette étreinte, elle faisait semblant, cela se voyait comme le nez au milieu du visage. Elle avait bien ressenti l’érection que son mari avait entre les jambes et se plaqua encore un peu plus contre lui, passa ses bras autour de son cou afin de continuer ce baiser magique. Dans leurs bouches, leurs langues tournoyaient telles les danseuses de flamenco.
Paul l’attira dans la buanderie, la fit s’assoir sur le sèche-linge et lui déboutonna son chemisier, pressé d’admirer cette poitrine tant convoitée. Tout en continuant de l’embrasser, il caressait, malaxait, et triturait ses seins lourds, il descendit sa bouche après avoir baissé la dentelle afin d’accéder aux deux tétons gonflés par le désir, il les aspira, les lécha puis les aspira afin de les sucer comme un bébé le ferait pour se nourrir. Claire, les jambes écartées, les bras posés en arrière, offrait son buste à son mari.
Elle posa ses mains sur la tête de son homme et appuyait, il comprit qu’elle désirait qu’il descende un peu plus bas, sa langue se promena sur le nombril puis jusqu’à la ceinture de la jupe. Ne pouvant aller plus loin, il s’agenouilla et sa tête disparut sous le tissu noir de sa jupe, les mains de Claire toujours sur sa tête. Avec ses caresses buccales et ses doigtés audacieux, elle prit son plaisir, Paul se délectait de sa jouissance. Il descendit sa culotte, le long de ses jambes gainées de nylon. Il déboutonna son pantalon, prit son pénis en érection et approcha doucement son gland à l’entrée de la vulve mouillée de sa femme qui gémissait de plaisir :— Viens mon chéri ! prends-moi comme ça.
Elle s’installa un peu mieux pour faciliter la pénétration et jouit une seconde fois sous les assauts de cette magnifique verge qu’il avait retrouvé, allant et venant en elle. Claire en rêvait, elle fut comblée. Elle roula des yeux lorsqu’elle senti dans son ventre les grands jets de sperme sortant de son phallus qu’elle imaginait s’épandre dans ses entrailles.
Le lundi matin, Aurélien fit la connaissance de la première fille du patron, Stéphanie. Ses compétences professionnelles étaient largement au-dessus de la moyenne, c’était sans aucun doute la personne qu’il fallait au garage pour mener à bien cette entreprise en pleine ascension. Elle était heureuse de retrouver son père qui lui manquait beaucoup trop, surtout après le décès de sa mère, suite à une longue maladie. Après un divorce difficile, elle était bien décidée désormais à se donner à fond dans son nouvel emploi et était prête à mettre toutes ses connaissances et compétences au service de la concession Prévost.
Stéphanie était une femme de 38 ans, physiquement elle était superbe, très bien faite : 1m68 pour 56 kg. Sa poitrine, était dense et ferme avec un 90C de soutien-gorge. Sa coupe de cheveux châtain au carré, ses yeux rieurs comme sa demi-sœur, la rendait irrésistible et pleine de charme. Elle était sans aucun doute, très classe en portant des robes ou des jupes au-dessus du genoux et sexy dévoilant ses jambes recouvertes de bas retenus par des porte-jarretelles. En haut, elle avait souvent des chemisiers ou des bustiers avec un large décolleté, elle était fière de porter des sous-vêtements coquins.
Pendant l’entretien début novembre 2008, Stéphanie n’hésitait pas à fixer Aurélien, elle essayait de jauger et d’étudier l’homme que son père portait aux nues. Aucun doute, malgré qu’il soit de 8 ans son cadet, ce type lui plaisait physiquement mais restait toutefois le mari de sa demi-sœur. Après avoir étudier toute l’évolution de la société depuis ces dernières années, elle se rendit compte que professionnellement, il avait fait les bons choix et avait fait du petit garage Prévost une belle concession automobile.
Dans l’après-midi, elle vint le voir dans son bureau, s’installa en lui demandant s’il avait quelques instants à lui accorder. Stéphanie était énergique et autoritaire, son comportement était plutôt insolent, à la limite de l’arrogance. Elle lui parla de l’entreprise et critiqua quelques choix et surtout comment elle voyait les choses pour l’avenir afin d’améliorer et faire prospérer l’entreprise familiale. Aurélien avait écouté attentivement cette femme, il était impressionné par son aplomb et par la rapidité avec laquelle elle avait étudier la société mais n’était pas d’accord sur tout et lui disait calmement à chaque occasion. L’association entre eux promettait d’être houleuse plus d’une fois.
Lorsque les débats sur les dossiers administratifs furent clos, elle enchaina avant de partir sur le plan personnel :— Aurélien, je ferai le travail de ta secrétaire, mais je ne suis pas ta soubrette. Tu as baisé ta belle-mère avant de dépuceler sa fille, mais ne crois pas que je vais écarter les cuisses à ton bon vouloir.
— Bien Stéphanie ! J’essayerai de m’en souvenir. C’est tout ce que tu avais à me dire ?
— Ok ! Bisous à demain…
Stéphanie franchissait la porte lorsque Paul arrivait en catastrophe, en levant les bras. Il dit à sa fille de rentrer dans le bureau qu’il devait leur parler à tous les deux :— Claire croit que je la trompe, elle a lu les SMS que je t’ai envoyé Steph, elle pense que tu es ma maitresse. J’ai été obligé de lui dire la vérité que tu es ma fille mais elle ne le croit pas. Je voudrais que vous veniez tous les deux à la maison ce soir diner pour confirmer mes dires.
— Pas de problème papa, je viendrai. Tu vois où ça mène le mensonge mais nous allons remédier à cela.
— Paul, ça ne me concerne pas cette histoire, pourquoi voulez-vous que je vienne ?
— Toi Aurélien, Claire t’adore, elle te fait confiance. L’idéal serait que vous fassiez semblant de sortir ensemble, ça enlèverait tous les doutes. Vous vous rendez compte, elle a failli coucher avec le peintre, elle m’a dit qu’elle était allée jusqu’à lui rouler une pelle. Je n’en reviens pas. Putain ! je l’aime, je ne veux pas la perdre.
— Vous avez pris du viagra ? demanda Aurélien.
— Oui, je suis allé chez le médecin ce matin, il m’a prescrit un autre médicament que je dois essayer. Je me sauve, je compte sur vous, à tout à l’heure après la fermeture.
— C’est quoi de cette histoire papa ? demanda Stéphanie à son père qui partait en disant ;— Aurélien t’en dira plus, je t’aime ma puce, merci…
Après les propos de Paul et les explications d’Aurélien, Stéphanie compris que son père avait beaucoup d’estime pour lui et voyant la réaction du jeune associé, elle se rendait compte que c’était réciproque. Les deux hommes s’appréciaient beaucoup, ses préjugés n’étaient peut-être pas fondés, Aurélien n’était sans doute pas l’homme qu’elle s’imaginait. Malgré cela, cela l’ennuyait de faire semblant d’être sa maitresse, même pour un soir, surtout après lui avoir dit ce qu’elle pensait de lui quelques minutes plus tôt. Néanmoins elle se devait d’aider son père et ferait le nécessaire pour sauver son couple, elle en avait suffisamment souffert.
Aurélien se réjouissait, ce contexte l’amusait. Toute la soirée il profita de la situation, surtout lorsque Claire avait dit qu’ils formaient un couple idéal. À ce moment, il lui avait pincé légèrement la cuisse et lui avait déposé un long baiser sur la bouche, en disant : « Tu vois ma chérie, tu es faite pour moi. » Stéphanie n’avait pas répondu, elle fit semblant de sourire et de le remercier mais lui pinça fortement la peau de sa cuisse sous la table. Pendant tout le repas, elle s’était sentie à sa merci, Aurélien fut bien trop entreprenant et cela la gênait. C’était en général elle qui gérait ses histoires d’amour et de sexe, c’était elle qui choisissait avec qui et quand, elle emmenait un type dans son lit.
Si Aurélien avait abusé de la situation, il fit moins le malin lorsqu’il s’était retrouvé seul avec elle. Cette femme l’avait subjugué, son caractère autoritaire et dominant l’impressionnait, il se sentait tout petit à côté d’elle, il en était presque timide, lui si audacieux de nature. Stéphanie de son côté, avait très apprécié les petites caresses et les baisers d’Aurélien cela l’avait très excité. Cependant son père l’avait mise dans l’embarras, elle devait se reprendre afin de démontrer à ce garçon que c’était elle qui dirigeait sa vie.
Sur le trajet du retour, voyant qu’Aurélien restait muet, Stéphanie qui s’était aperçu de la complicité qu’il entretenait avec Claire lui demanda ouvertement s’il s’était passé quelque chose entre eux. Après une réponse évasive de sa part, le sentant gêné par cette question directe, elle insista :— Ne me raconte pas de bêtises Aurélien, une femme ressent ces choses-là, dit-moi la vérité. A-t-elle trompé mon père avec toi ?
— Je te jure que non ! Je peux simplement te dire que c’est un peu grâce à moi que Paul a retrouvé l’amour.
— Ah bon ! Comment t’as fait ?
— Oui ! Cette femme n’avait plus confiance en elle, c’est vrai, j’ai fait l’amour avec elle toute une semaine, elle a pris son pied comme jamais, mais c’était avant qu’elle ne rencontre ton père. Depuis on est resté amis, c’est tout. Je te jure que rien ne s’est passé après, j’aime trop Paul pour le trahir.
— T’es quand même incroyable, tu baises tout ce qui bouge, des pucelles, aux femmes mâture. Enfin de compte on se ressemble beaucoup. Je crois que l’on va bien s’entendre tous les deux.
— Pas toutes les femmes, que les très belles femmes. Oui ! En regardant bien, tu en ferais presque partie. Dit-il en blaguant.
Il gara sa voiture devant le petit hôtel de la ville, où elle avait pris une chambre avant de trouver un studio. Ils continuèrent à discuter dans l’obscurité à l’intérieur de l’habitacle. La conversation dévia sur Sabine. Stéphanie l’avait vu l’avant-veille et lui avait avoué que son mari lui avait fait beaucoup de mal, néanmoins elle ne lui en voulait pas, c’était de sa faute, elle connaissait Aurélien et savait que ce n’était pas un homme pour elle. Elle avait demandé le divorce, cependant elle ne lui poserait aucun problème et qu’elle ne ferait aucune difficulté pour la garde de leur enfant.
À ce sujet, Stéphanie posa quelques questions sur Thomas et Véronique qu’elle ne connaissait pas :— Ce sont nos amis, ils sont supers, ils considèrent Axel comme leur fils. Justement, je suis invité demain soir, tu veux venir avec moi, je te les présenterai ?
— Tu l’as baisée aussi elle ? Je me trompe ?
— Sabine ne t’a pas dit cela quand même ?
— Ne t’inquiète pas, elle ne sait rien, je le suppose c’est tout, je pense te connaitre suffisamment maintenant.
Aurélien était tout penaud, cette femme l’intriguait, il n’était pas du tout serein à ses côtés, pourtant, elle l’attirait énormément mais il ne savait pas comment s’y prendre, c’était la première fois qu’il se trouvait dans une situation comme celle-là. Ne sachant que faire, il avait bien l’intention de lui proposer de passer la nuit ensemble mais n’osa pas le lui demander :— Bon ! Ce n’est pas tout cela, mais il se fait tard, à demain Stéphanie. Dit-il voulant changer de conversation.
Stéphanie descendit de la voiture en ne le quittant pas des yeux, passa côté conducteur et lui fit la bise en lui souhaitant bonne nuit. Elle mit ses deux mains sur ses joues, lui lécha les lèvres d’un grand coup de langue et glissa à son oreille :— Tu me plais Aurélien, tu seras à moi et à moi seule quand je l’aurai décidé. Je vais te rendre fou. Finit-elle par dire en lui claquant un baiser sur ses lèvres. Allez ! Va-t’en maintenant.
Aurélien passa une nuit exécrable, il n’avait pratiquement pas dormi ne pensant à Stéphanie qui l’affolait et le mettait dans l’embarras. Elle n’avait rien à voir avec toutes les femmes qu’il avait aimées, sinon qu’elle était aussi belle et sexy mais son caractère de dominatrice le fascinait. Il s’en était rendu compte dès le lendemain au travail, ce fut elle qui lui donna les ordres en organisant les tâches qu’il devait exécuter dans la journée. Elle avait tenu à échanger les bureaux et il avait accepté sans dire un mot. À côté de cela, pendant toute la journée, elle fut très câline avec lui, elle lui fit de nombreuses caresses sur ses joues et lui fit plusieurs bisous sur les lèvres comme s’ils vivaient ensemble.
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
— J’aimerais qu’une femme de goût comme vous l’êtes, me conseille sur la décoration intérieure de ma nouvelle maison.
Claire jeta un regard vers Paul, elle attendait son approbation et fut heureuse de constater qu’il n’y voyait aucun inconvénient. Elle accepta donc l’invitation après que son mari lui dise : « Vas-y ma chérie, j’ai besoin de faire une petite sieste. L’entrepreneur se frottait les mains, il se voyait déjà en train de baiser la femme de son vieil ami. De son côté, Paul se réjouissait, il allait pouvoir correspondre avec ses filles Sabine et Stéphanie, pendant de longues minutes.
Ce fut ainsi que quelques minutes plus tard, Alban avait à la maison cette charmante bourgeoise pour lui tout seul. « Comment allait-elle s’y prendre ? » Il avait hâte de voir ça. De son côté, Claire espérait que son charmant voisin avec lequel, elle fantasmait ne tarde pas à prendre les devants. Il l’emmena au salon et lui servit une nouvelle coupe de champagne. Assis côte à côte sur le canapé, ils feuilletaient un catalogue de décoration, leurs mains se touchaient, leurs jambes se frôlaient, ils rirent de bon cœur lorsque Claire en reposant son verre, en se penchant sur la table basse, laissa entrevoir, par son décolleté plongeant, la fine dentelle de son soutien-gorge.
Alban s’imaginait passer sa main dans ce corsage, afin de caresser ses seins lourds qu’il avait devant les yeux. Claire avait compris, elle savait qu’elle était en train d’allumer son voisin. Alban s’approcha un peu plus et la tutoyant pour la première fois, lui dit : « Tu as une poitrine magnifique. » Claire rougit mais lui sourit en le remerciant du compliment. Elle s’aperçut de cette petite familiarité, elle en était heureuse, puis petit à petit ils se rapprochaient encore. Après avoir coché plusieurs objets de décoration, Claire n’étant pas encore décidée de franchir le pas, changea de sujet de conversation :— J’ai hâte de voir ce que cela donnerait dans votre salon.
— Attends Claire ! Lui répondit-il en l’attirant vers lui.
Le peintre passa sa main derrière son dos, juste au niveau des lombes et la plaqua contre lui. Il lui fit comprendre par son érection contre son ventre qu’il avait envie d’elle. Leurs visages étaient proches, leurs bouches à quelques centimètres, les yeux dans les yeux, ils attendaient que l’autre approche ses lèvres. Ce fut elle qui s’avança pendant que lui pressait son corps contre le sien, lui faisant ressentir la grosseur de son sexe. Le baiser fut fougueux, la demi-heure passé ensemble à se toucher, les avaient tous les deux très excités :— Non Alban ! Nous faisons peut-être une bêtise, je suis mariée.
Soudain la sonnette à la porte les sortit de leurs pensées érotiques. Se sentant fautive, Claire devint toute rouge en voyant son mari sur le pas de la porte qu’Alban venait d’ouvrir. Le couple d’invités, se retrouvait désormais au salon et buvait tranquillement le champagne avec Alban. Lorsque Paul avait raccroché le téléphone après la conversation avec ses filles, ayant des remords de laisser trop longtemps sa femme avec ce don juan, décida de venir les rejoindre. Paul impatient de rentrer faire l’amour à sa femme, dit :— Tu ne crois pas que vous pourrez finir la déco plus tard ?
Claire ne regretta pas la venue de son mari, elle fut sauvée par le gong car elle était prête à faire une grosse erreur. Le fait d’avoir laissé sa femme seule avec Alban Tessier qui était réputé comme un baiseur fini et qu’elle pouvait ainsi le tromper, Paul avait accouru chez le voisin, la voyant rougir lorsqu’il était arrivé, lui donna une énorme érection. Cela faisait plus de quinze jours qu’il ne bandait presque plus. Cette situation fut très excitante et dès qu’il se retrouva au sous-sol avec elle, il l’avait attiré à lui et l’embrassa passionnément comme au premier jour.
Claire excitée elle aussi par le voisin et étonnée par son mari qui ne la touchait presque plus, essaya faiblement de sortir de cette étreinte, elle faisait semblant, cela se voyait comme le nez au milieu du visage. Elle avait bien ressenti l’érection que son mari avait entre les jambes et se plaqua encore un peu plus contre lui, passa ses bras autour de son cou afin de continuer ce baiser magique. Dans leurs bouches, leurs langues tournoyaient telles les danseuses de flamenco.
Paul l’attira dans la buanderie, la fit s’assoir sur le sèche-linge et lui déboutonna son chemisier, pressé d’admirer cette poitrine tant convoitée. Tout en continuant de l’embrasser, il caressait, malaxait, et triturait ses seins lourds, il descendit sa bouche après avoir baissé la dentelle afin d’accéder aux deux tétons gonflés par le désir, il les aspira, les lécha puis les aspira afin de les sucer comme un bébé le ferait pour se nourrir. Claire, les jambes écartées, les bras posés en arrière, offrait son buste à son mari.
Elle posa ses mains sur la tête de son homme et appuyait, il comprit qu’elle désirait qu’il descende un peu plus bas, sa langue se promena sur le nombril puis jusqu’à la ceinture de la jupe. Ne pouvant aller plus loin, il s’agenouilla et sa tête disparut sous le tissu noir de sa jupe, les mains de Claire toujours sur sa tête. Avec ses caresses buccales et ses doigtés audacieux, elle prit son plaisir, Paul se délectait de sa jouissance. Il descendit sa culotte, le long de ses jambes gainées de nylon. Il déboutonna son pantalon, prit son pénis en érection et approcha doucement son gland à l’entrée de la vulve mouillée de sa femme qui gémissait de plaisir :— Viens mon chéri ! prends-moi comme ça.
Elle s’installa un peu mieux pour faciliter la pénétration et jouit une seconde fois sous les assauts de cette magnifique verge qu’il avait retrouvé, allant et venant en elle. Claire en rêvait, elle fut comblée. Elle roula des yeux lorsqu’elle senti dans son ventre les grands jets de sperme sortant de son phallus qu’elle imaginait s’épandre dans ses entrailles.
Le lundi matin, Aurélien fit la connaissance de la première fille du patron, Stéphanie. Ses compétences professionnelles étaient largement au-dessus de la moyenne, c’était sans aucun doute la personne qu’il fallait au garage pour mener à bien cette entreprise en pleine ascension. Elle était heureuse de retrouver son père qui lui manquait beaucoup trop, surtout après le décès de sa mère, suite à une longue maladie. Après un divorce difficile, elle était bien décidée désormais à se donner à fond dans son nouvel emploi et était prête à mettre toutes ses connaissances et compétences au service de la concession Prévost.
Stéphanie était une femme de 38 ans, physiquement elle était superbe, très bien faite : 1m68 pour 56 kg. Sa poitrine, était dense et ferme avec un 90C de soutien-gorge. Sa coupe de cheveux châtain au carré, ses yeux rieurs comme sa demi-sœur, la rendait irrésistible et pleine de charme. Elle était sans aucun doute, très classe en portant des robes ou des jupes au-dessus du genoux et sexy dévoilant ses jambes recouvertes de bas retenus par des porte-jarretelles. En haut, elle avait souvent des chemisiers ou des bustiers avec un large décolleté, elle était fière de porter des sous-vêtements coquins.
Pendant l’entretien début novembre 2008, Stéphanie n’hésitait pas à fixer Aurélien, elle essayait de jauger et d’étudier l’homme que son père portait aux nues. Aucun doute, malgré qu’il soit de 8 ans son cadet, ce type lui plaisait physiquement mais restait toutefois le mari de sa demi-sœur. Après avoir étudier toute l’évolution de la société depuis ces dernières années, elle se rendit compte que professionnellement, il avait fait les bons choix et avait fait du petit garage Prévost une belle concession automobile.
Dans l’après-midi, elle vint le voir dans son bureau, s’installa en lui demandant s’il avait quelques instants à lui accorder. Stéphanie était énergique et autoritaire, son comportement était plutôt insolent, à la limite de l’arrogance. Elle lui parla de l’entreprise et critiqua quelques choix et surtout comment elle voyait les choses pour l’avenir afin d’améliorer et faire prospérer l’entreprise familiale. Aurélien avait écouté attentivement cette femme, il était impressionné par son aplomb et par la rapidité avec laquelle elle avait étudier la société mais n’était pas d’accord sur tout et lui disait calmement à chaque occasion. L’association entre eux promettait d’être houleuse plus d’une fois.
Lorsque les débats sur les dossiers administratifs furent clos, elle enchaina avant de partir sur le plan personnel :— Aurélien, je ferai le travail de ta secrétaire, mais je ne suis pas ta soubrette. Tu as baisé ta belle-mère avant de dépuceler sa fille, mais ne crois pas que je vais écarter les cuisses à ton bon vouloir.
— Bien Stéphanie ! J’essayerai de m’en souvenir. C’est tout ce que tu avais à me dire ?
— Ok ! Bisous à demain…
Stéphanie franchissait la porte lorsque Paul arrivait en catastrophe, en levant les bras. Il dit à sa fille de rentrer dans le bureau qu’il devait leur parler à tous les deux :— Claire croit que je la trompe, elle a lu les SMS que je t’ai envoyé Steph, elle pense que tu es ma maitresse. J’ai été obligé de lui dire la vérité que tu es ma fille mais elle ne le croit pas. Je voudrais que vous veniez tous les deux à la maison ce soir diner pour confirmer mes dires.
— Pas de problème papa, je viendrai. Tu vois où ça mène le mensonge mais nous allons remédier à cela.
— Paul, ça ne me concerne pas cette histoire, pourquoi voulez-vous que je vienne ?
— Toi Aurélien, Claire t’adore, elle te fait confiance. L’idéal serait que vous fassiez semblant de sortir ensemble, ça enlèverait tous les doutes. Vous vous rendez compte, elle a failli coucher avec le peintre, elle m’a dit qu’elle était allée jusqu’à lui rouler une pelle. Je n’en reviens pas. Putain ! je l’aime, je ne veux pas la perdre.
— Vous avez pris du viagra ? demanda Aurélien.
— Oui, je suis allé chez le médecin ce matin, il m’a prescrit un autre médicament que je dois essayer. Je me sauve, je compte sur vous, à tout à l’heure après la fermeture.
— C’est quoi de cette histoire papa ? demanda Stéphanie à son père qui partait en disant ;— Aurélien t’en dira plus, je t’aime ma puce, merci…
Après les propos de Paul et les explications d’Aurélien, Stéphanie compris que son père avait beaucoup d’estime pour lui et voyant la réaction du jeune associé, elle se rendait compte que c’était réciproque. Les deux hommes s’appréciaient beaucoup, ses préjugés n’étaient peut-être pas fondés, Aurélien n’était sans doute pas l’homme qu’elle s’imaginait. Malgré cela, cela l’ennuyait de faire semblant d’être sa maitresse, même pour un soir, surtout après lui avoir dit ce qu’elle pensait de lui quelques minutes plus tôt. Néanmoins elle se devait d’aider son père et ferait le nécessaire pour sauver son couple, elle en avait suffisamment souffert.
Aurélien se réjouissait, ce contexte l’amusait. Toute la soirée il profita de la situation, surtout lorsque Claire avait dit qu’ils formaient un couple idéal. À ce moment, il lui avait pincé légèrement la cuisse et lui avait déposé un long baiser sur la bouche, en disant : « Tu vois ma chérie, tu es faite pour moi. » Stéphanie n’avait pas répondu, elle fit semblant de sourire et de le remercier mais lui pinça fortement la peau de sa cuisse sous la table. Pendant tout le repas, elle s’était sentie à sa merci, Aurélien fut bien trop entreprenant et cela la gênait. C’était en général elle qui gérait ses histoires d’amour et de sexe, c’était elle qui choisissait avec qui et quand, elle emmenait un type dans son lit.
Si Aurélien avait abusé de la situation, il fit moins le malin lorsqu’il s’était retrouvé seul avec elle. Cette femme l’avait subjugué, son caractère autoritaire et dominant l’impressionnait, il se sentait tout petit à côté d’elle, il en était presque timide, lui si audacieux de nature. Stéphanie de son côté, avait très apprécié les petites caresses et les baisers d’Aurélien cela l’avait très excité. Cependant son père l’avait mise dans l’embarras, elle devait se reprendre afin de démontrer à ce garçon que c’était elle qui dirigeait sa vie.
Sur le trajet du retour, voyant qu’Aurélien restait muet, Stéphanie qui s’était aperçu de la complicité qu’il entretenait avec Claire lui demanda ouvertement s’il s’était passé quelque chose entre eux. Après une réponse évasive de sa part, le sentant gêné par cette question directe, elle insista :— Ne me raconte pas de bêtises Aurélien, une femme ressent ces choses-là, dit-moi la vérité. A-t-elle trompé mon père avec toi ?
— Je te jure que non ! Je peux simplement te dire que c’est un peu grâce à moi que Paul a retrouvé l’amour.
— Ah bon ! Comment t’as fait ?
— Oui ! Cette femme n’avait plus confiance en elle, c’est vrai, j’ai fait l’amour avec elle toute une semaine, elle a pris son pied comme jamais, mais c’était avant qu’elle ne rencontre ton père. Depuis on est resté amis, c’est tout. Je te jure que rien ne s’est passé après, j’aime trop Paul pour le trahir.
— T’es quand même incroyable, tu baises tout ce qui bouge, des pucelles, aux femmes mâture. Enfin de compte on se ressemble beaucoup. Je crois que l’on va bien s’entendre tous les deux.
— Pas toutes les femmes, que les très belles femmes. Oui ! En regardant bien, tu en ferais presque partie. Dit-il en blaguant.
Il gara sa voiture devant le petit hôtel de la ville, où elle avait pris une chambre avant de trouver un studio. Ils continuèrent à discuter dans l’obscurité à l’intérieur de l’habitacle. La conversation dévia sur Sabine. Stéphanie l’avait vu l’avant-veille et lui avait avoué que son mari lui avait fait beaucoup de mal, néanmoins elle ne lui en voulait pas, c’était de sa faute, elle connaissait Aurélien et savait que ce n’était pas un homme pour elle. Elle avait demandé le divorce, cependant elle ne lui poserait aucun problème et qu’elle ne ferait aucune difficulté pour la garde de leur enfant.
À ce sujet, Stéphanie posa quelques questions sur Thomas et Véronique qu’elle ne connaissait pas :— Ce sont nos amis, ils sont supers, ils considèrent Axel comme leur fils. Justement, je suis invité demain soir, tu veux venir avec moi, je te les présenterai ?
— Tu l’as baisée aussi elle ? Je me trompe ?
— Sabine ne t’a pas dit cela quand même ?
— Ne t’inquiète pas, elle ne sait rien, je le suppose c’est tout, je pense te connaitre suffisamment maintenant.
Aurélien était tout penaud, cette femme l’intriguait, il n’était pas du tout serein à ses côtés, pourtant, elle l’attirait énormément mais il ne savait pas comment s’y prendre, c’était la première fois qu’il se trouvait dans une situation comme celle-là. Ne sachant que faire, il avait bien l’intention de lui proposer de passer la nuit ensemble mais n’osa pas le lui demander :— Bon ! Ce n’est pas tout cela, mais il se fait tard, à demain Stéphanie. Dit-il voulant changer de conversation.
Stéphanie descendit de la voiture en ne le quittant pas des yeux, passa côté conducteur et lui fit la bise en lui souhaitant bonne nuit. Elle mit ses deux mains sur ses joues, lui lécha les lèvres d’un grand coup de langue et glissa à son oreille :— Tu me plais Aurélien, tu seras à moi et à moi seule quand je l’aurai décidé. Je vais te rendre fou. Finit-elle par dire en lui claquant un baiser sur ses lèvres. Allez ! Va-t’en maintenant.
Aurélien passa une nuit exécrable, il n’avait pratiquement pas dormi ne pensant à Stéphanie qui l’affolait et le mettait dans l’embarras. Elle n’avait rien à voir avec toutes les femmes qu’il avait aimées, sinon qu’elle était aussi belle et sexy mais son caractère de dominatrice le fascinait. Il s’en était rendu compte dès le lendemain au travail, ce fut elle qui lui donna les ordres en organisant les tâches qu’il devait exécuter dans la journée. Elle avait tenu à échanger les bureaux et il avait accepté sans dire un mot. À côté de cela, pendant toute la journée, elle fut très câline avec lui, elle lui fit de nombreuses caresses sur ses joues et lui fit plusieurs bisous sur les lèvres comme s’ils vivaient ensemble.
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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