« Aurélien » : Pris dans les filets de la dominatrice, Stéphanie. 11/15
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Aurélien » : Pris dans les filets de la dominatrice, Stéphanie. 11/15
Ce soir de décembre 2008, Aurélien venait de faire l’amour avec Stéphanie qu’il désirait depuis six semaines, mais n’était pas tout à fait satisfait. N’ayant passé qu’une petite heure avec la femme qu’il aimait et n’ayant joui qu’une seule fois, il se sentait comme un client après avoir baisé une prostituée. Il dut rentrer chez lui sans demander son reste car elle venait de lui dire qu’elle avait rendez-vous avec un autre type. Il était dégouté, jaloux et frustré, Stéphanie jouait avec ses sentiments, il avait des difficultés à accepter.
Cependant, il ne parvenait pas à lui en vouloir, simplement il avait l’impression qu’elle le menait actuellement par le bout du nez et il avait bien l’intention d’avoir une discussion avec la fille du patron car il se demandait si elle l’aimait un tant soit peu. Heureusement, le lendemain au bureau, Stéphanie vint se plaquer à lui, l’embrassant à pleine bouche dans un baiser passionné. Puis elle lui dit dans l’oreille : « Tu as été formidable, mon amour, je ne te ferai jamais de mal ». Elle lui caressa tendrement la joue et reprenant son travail, elle lui donna les instructions pour la journée. Avant de rejoindre son bureau, elle lui annonça :— Ce soir je te prépare un petit plat. Tu dormiras à la maison, si tu le désires bien sûr.
Aurélien venait d’entendre ce qu’il attendait, il se précipita pour accepter l’invitation. Il reprenait du poil de la bête et avait eu l’entrain nécessaire pour passer une très bonne journée. Stéphanie fut superbe avec lui, elle ne manqua pas d’être très affectueuse. La soirée fut magique et la nuit démentielle, ils avaient fait l’amour comme des fous. Elle avait montré son côté dominant mais sans plus, elle appréciait aussi de savoir son amant entreprenant. Ils vécurent deux semaines à ce rythme comme un couple tout à fait normal, ils sortirent plusieurs fois au restaurant, au cinéma sans oublier d’aller rendre visite à leurs amis Thomas et Véro et bien entendu, ils étaient allés chez son père et Claire.
Tout se passait comme Aurélien l’espérait, après une dizaine de jours, elle lui avoua qu’elle avait beaucoup aimé un homme avec lequel elle s’était mariée mais malheureusement, il l’avait entrainée dans la perversion. Par amour pour son mari, elle était devenue libertine, il l’avait transformée en soumise, il l’offrait à ses copains, elle avait subi des sévices sexuels tels, qu’elle n’en pouvait plus. Aujourd’hui, elle détestait ce genre d’hommes et voulait se venger. Depuis elle adorait s’amuser avec la gente masculine, en les rabaissant, les humiliant et en les dominant.
Lorsqu’elle avait rencontré Aurélien, elle savait de lui que c’était un homme qui trompait régulièrement sa demi-sœur, ce fut la raison pour laquelle, son intention de départ était de le punir également. Néanmoins, Stéphanie était tombée amoureuse et changea vite d’avis. Avec lui, tout était différent, elle avait envie d’être sa femme et même plus s’il le désirait :— Si tu en a envie je serai ta pute. Mais pas de lézard entre nous, nous ne devons rien nous cacher. Tu me plais beaucoup Aurel, je t’aime …— Ce n’est pas ce que je veux Steph, moi aussi je t’aime, mais tu sais, je ne suis pas toujours fidèle.
— Je le sais mon chéri mais si nous nous aimons vraiment, rien ne pourra venir ternir notre amour.
Pour être franche jusqu’au bout et devant son insistance au sujet de l’autre soir, Stéphanie lui expliqua ce qu’elle faisait avec les hommes qui venaient la voir, cela pouvait aller jusqu’au BDSM. Elle raconta ce qu’elle avait fait avec Alban Tessier, après l’avoir accueilli pour une deuxième soirée chez elle, Stéphanie l’avait reçu en soutien-gorge, bas et robe noire très courte. Elle lui avait ordonné de se mettre entièrement nu et de s'allonger sur le carrelage de la cuisine. Elle s’était débarrassée de ses escarpins à haut talons et lui avait fourré ses orteils un à un dans la bouche.
Elle regardait son sexe se mettre en érection, ça l’excitait le goujat, son gros orteil dans la bouche, il bandait comme un cerf. Puis elle l’avait obligé de s'occuper de sa chatte, ce qu’il avait effectué consciencieusement. Elle avait pourtant pris soin d'éviter toute toilette intime, après avoir baisé avec Aurélien. Elle prit un malin plaisir à le regarder faire, fouillant du nez les poils pubiens et ses deux orifices malodorants. Elle avait pris un orgasme lui éjectant sa jouissance dans sa bouche. Ensuite, elle s’était assise à côté de lui et avait posé ses pieds sur sa queue bandante pour le masturber.
Elle prenait soin de cogner ses talons sur ses couilles à intervalles réguliers. Comme un soumis, il ne tarda pas à éjaculer sur ses bas. Elle lui fit la remarque, il l’avait souillé sans la prévenir, il devait être puni. Elle lui avait donc ordonné de se mettre sur le ventre afin de recevoir la punition. Elle lui claqua les fesses puis attrapa un escarpin et présenta le talon aiguille dans sa raie tout contre son anus et l’enfonça doucement, dans son petit trou mouillé par la salive qu’elle venait de cracher.
Petit à petit, le talon descendait et une fois fiché sur toute sa longueur, elle le fit tourner lentement dans son rectum. Il devait aimer car son érection reprenait forme, elle le laissa ainsi et se leva, elle allait dans la chambre et revint un plug. Elle retira l’escarpin de ses fesses, recracha sur son œillet et en appuyant fortement, elle força ce sextoy à pénétrer dans son anus. L'engin était passé difficilement mais elle y était parvenue, elle fit quelques entrées et sorties sous les râles d’Alban qui serrait les dents.
Elle s’empara de la queue de cet homme, devenu à sa merci, pour le branler, lentement mais régulièrement, elle astiquait sa hampe tout en jouant sur le gland avec son pouce. De son autre main, elle poussait et retirait le gode pendant de longues minutes, jusqu'à ce qu'il éjacule enfin sur le sol. Il avait son regard dans le vide, il avait les yeux de chien battu. Pour finir, elle lui ordonna de lécher tout le sperme qui souillait le carrelage :— Il n’était pas fâché de ne pas t’avoir baisé ? Demanda-t-il— Non ! Pas fâché, mais frustré ! Ces mecs-là, je les connais, tu verras dans quinze jours, il me téléphonera pour recevoir sa punition.
— Putain, ton histoire m’a excité, j’aimerais bien y participer mais en tant que spectateur.
— Pas de problème mon amour tu viens quand tu veux. Quant à moi, j’aimerais bien partager une de tes conquêtes. J’aime également les femmes, tu sais. Ça te dérange ?
— À vrai dire, je ne sais pas…
Après une très longue discussion en janvier 2009, ils étaient tous les deux d’accord et établirent un pacte provisoire. Stéphanie serait la femme aimante et dévouée les week-end qu’elle passerait chez lui du vendredi au dimanche soir. La semaine, elle pouvait s’amuser avec les hommes et les femmes qu’elle inviterait. Aurélien serait même le bienvenu s’il le désirait. Lui de son côté en semaine, il pouvait baiser avec qui il voulait. Simplement Stéphanie devait être mise au courant afin de donner son aval. Elle pouvait même choisir pour lui ses maitresses :— Tu sais Aurel, j’aimerais te regarder baiser Véro. Quel bout de femme ! Peut-être qu’un jour, nous nous la partagerons.
— Tu sais ça fait un moment que l’on ne baise plus ensemble, je n’ai pas l’intention de foutre en l’air leur couple.
Aurélien avait appris avec Stéphanie ce qu’était le candaulisme, dans la semaine qui suivit leur discussion, elle avait choisi pour son ami, une jeune femme qui lui tournait autour depuis un long moment déjà. Pour Aurélien, ce fut un jeu d’enfant de l’inviter chez lui et de la baiser pendant une heure sous les yeux de Stéphanie qui ne participa pas aux débats, étant restée cachée dans le corridor. Lorsque la jeune cliente très satisfaite, quitta son appartement, ils avaient fait l’amour comme des bêtes. À partir de là, elle lui proposa d’assister à une première séance.
À cette époque, l’avocat de Stéphanie qui s’occupait de ses affaires, un homme marié d’une cinquantaine d’année, n’avait de cesse de vouloir être reçu dans son antre, depuis qu’elle était venue le rencontrer. C’était une proie facile, elle proposa donc à Aurélien de venir assister à la scène sans participer. Très curieux de voir ça, celui-ci désirait accepter, néanmoins, il ne savait pas comment il allait réagir et appréhendait de voir sa chérie en train de baiser avec un autre que lui.
Stéphanie le rassura en insistant sur le fait que ce n’était qu’un jeu, que c’était lui qu’elle aimait malgré les apparences. Elle avait su le convaincre, en lui jurant que l’avocat ne le verrait pas et ne saurait jamais qu’il était présent dans la pièce : « Et si cela est trop difficile pour toi, tu pourras partir quand tu le voudras. » Après lui avoir expliqué comment allait se passer la soirée, il accepta de devenir un voyeur candauliste. Elle l’embrassa passionnant, heureuse de pouvoir partager son fantasme avec son homme.
Aurélien reconnut volontiers que cela lui avait plu, il fut très excité par la scène, Stéphanie avait pratiquement joué avec l’avocat de la même façon qu’avec lui la première fois, sauf que cet homme ne l’avait pas pénétrée mais avait pris une fessée à la place après avoir joui dans sa main lors d’une branlette endiablée, avant de partir. Aurélien avait pris gout à regarder Stéphanie dominer les hommes, ce fut pour cette raison qu’il désirait revoir une séance beaucoup plus hard car l’avocat insistait pour revenir se faire dominer, il en était à sa quatrième séance déjà et ce n’était pas près de s’arrêter, cet homme était un soumis dans l’âme.
Cette fois, Aurélien ne se cacha pas, il était resté directement assis dans un fauteuil au salon, sans que cela ne dérange le soumis. L’avocat n’avait pas eu le choix car sa Maitresse le lui avait imposé. Guillaume était un bel homme viril, pourtant il venait une fois par semaine se soumettre à la domination. Étant en retard de quelques minutes, l’avocat angoissa face à son initiatrice, perchée sur ses hauts talons et nue sous sa robe en lycra très moulante. Dès son arrivée dans l’entrée, il accrocha sa veste sur le porte-manteau, posa son attaché-case et tout bedeau, il bégaya lorsqu’elle lui dit d’un ton sévère : — Tu es en retard petit salopard ! Tu vas le payer.
— Bonsoir Maitresse, veuillez me pardonner pour ce retard. Je suis tout à vous dès maintenant, prêt à recevoir tout châtiment et perversion de votre part.
L’avocat venait juste de finir sa phrase qu’il reçut deux gifles en pleine figure sans esquiver le moindre geste, avant qu’elle ne lui ordonne de se dévêtir et de s’installer au salon. Ce fut à ce moment-là que Stéphanie me présenta en ajoutant : « Il pourra participer s’il le désire. » Sans dire un mot, Guillaume se dévêtit, il se tenait à présent à poil, à genoux au beau milieu du salon. Stéphanie lui attacha les poignets derrière son dos avec une paire de menottes. Guillaume la regardait levant la tête lorsqu’elle lui remit une nouvelle gifle en lui disant qu’il n’était qu’une petite merde et qu’elle ne devrait jamais attendre : — Baisse la tête et ferme-là !
Lui dit-elle en crachant tour à tour sur ses escarpins. Aurélien n’en loupait pas une miette, il était impressionné par le pouvoir que Stéphanie avait sur son avocat, agenouillé, tête baissée qui lécha tour à tour les deux escarpins de sa maitresse comme l’aurait fait un petit chien. Elle avait vraiment envie de jouer avec lui, car pendant qu’il était penché sur ses chaussures, il recevait quelques coups de martinets sur les fesses, sans rien dire.
Stéphanie releva sa robe jusqu’à la taille et en écartant les jambes, vint se placer au-dessus de la tête de Guillaume qui se retrouvait à genoux, assis sur les talons : « J’ai envie de jouir, maintenant. » Elle lui ordonna de lui sentir la chatte et de la lécher avec ses délicieux coups de langue. Entre le cunnilingus et l’anulingus, Stéphanie mouillait de plaisir, de la cyprine s’écoulait sur sa cuisse. L’avocat s’empressait de venir sucer goulument d’un coup de langue, les gouttes qui s’échappaient :— Putain c’est trop bon je vais jouir ! Dit-elle.
À peine avait-elle dit cela, qu’elle jouit fortement dans la bouche de Guillaume qui essayait tant bien que mal de récupérer tout ce qui sortait de la chatte de sa dominante maitresse. Ce fut toute dégoulinante de mouille que Stéphanie saisit ses accessoires sur la table et s’approcha de son soumis. Elle lui retira les menottes et lui demanda de se mettre à quatre pattes puis lui accrocha un collier autour du cou avant de le promener dans le salon comme son petit toutou. Pour finir la promenade, elle le dirigea vers Aurélien toujours inactif assis sur le fauteuil.
Celui-ci avait eu des difficultés de voir sa chérie jouir devant lui, cependant cela l’avait super excité, il bandait fortement dans son pantalon et avait très envie de participer à ce jeu pervers, en repensant à toutes les conversations qu’ils avaient eu ces derniers temps. Stéphanie avait repris le pouvoir, elle dit à Aurélien de retirer son pantalon. Celui-ci s’exécuta sans réfléchir, il pensait qu’elle avait lu dans ces pensées. Mais pas du tout, il comprit tout de suite lorsqu’elle avait placé son soumis entre ses jambes en tirant d’un coup sec sur la laisse, lui disant :— Tu m’appartiens, tu feras ce que je veux de toi ! Suce mon mâle c’est maintenant ton maitre.
— Oui Maitresse. Dit Guillaume toujours à quatre pattes
Aurélien ne savait pas quoi faire, c’était la première fois qu’il allait se faire sucer par un homme. Néanmoins, ne voulant pas la décevoir, il joua le jeu jusqu’au bout, elle attrapa son sexe en pleine érection et le présenta devant la bouche de l’avocat qui l’ouvrait en grand. Pendant la fellation, Aurélien fermait les yeux, il ne vit pas Stéphanie lâcher la laisse et prendre le martinet. Penché en avant, la tête entre les cuisses de son nouveau Maitre, il se faisait flageller les fesses.
Les coups de martinet secs et répétés étaient dans la limite du raisonnable, pourtant la peau blanche de son cul rougissait, il gigotait le bassin dans tous les sens. Le plus surprenant, était que cela le faisait bander :— Ça suffit comme ça dit-elle, allonge-toi sur le dos soumis.
Stéphanie se positionna à genoux, son sexe à la hauteur de la tête de l’avocat et demanda à Aurélien de venir la prendre par derrière. Ce dernier ne s’était pas fait prier, il la pénétra sans ménagement et allait et venait dans son vagin, gémissant sous ses coups de boutoirs, pendant que Guillaume lui léchait le clitoris. Lorsqu’elle prit son orgasme, elle demanda à son homme de se retirer et ordonna à l’avocat de se placer en levrette. Elle écarta la raie de son cul à deux mains, cracha sur son anus et y glissa un doigt. Elle sortit un préservatif et l’enfila avec la bouche sur le sexe d’Aurélien :— Vas-y mon chéri encule-le, il est prêt.
Aurélien n’était plus à cela près, il venait de se faire tailler une pipe par un mec, pourquoi pas essayer de le sodomiser, il adorait ça avec les femmes. Pendant que son homme enculait le soumis avec joie, Stéphanie masturbait l’avocat. Ils éjaculèrent à peu près en même temps, sauf que, ce fut dans la bouche de Guillaume qu’Aurélien avait éjaculé tout son sperme, sous le regard étonné de sa compagne qui n’avait pu imaginer son chéri se prendre au jeu à ce point.
Après trois mois de cette relation, en avril 2009 ce couple, pas tout à fait ordinaire, vivait très bien leur amour. Aurélien fut surpris en apprenant que certains de ses clients venaient régulièrement chez Stéphanie. Dont Alban Tessier, en effet, elle ne s’était pas trompée, il était bien revenu, claques sur les fesses et martinet étaient au programme. Néanmoins, il n’y avait pas que des hommes, certains venaient en couple et certaines femmes venaient jouer avec elle. Au grand désarroi d’Aurélien, il apprit que Thomas son meilleur ami venait tous les mercredis soir pour une séance avec sa belle dominatrice.
Bien entendu, Stéphanie et Aurélien s’amusaient également à des jeux érotiques, à tour de rôle chacun dominant l’autre. Cela se passait toujours chez elle, l’appartement était conçu pour et elle avait tout l’attirail nécessaire pour se donner du plaisir dans des activités excitantes, cochonnes sans jamais tomber dans la perversité, tout était sensuel. L’amour qu’ils entretenait, leur correspondait, en mai 2010, après un an de vie commune rien ne vint enrayer la machine. Chacun pensait au bien-être de l’autre, les seuls petits accrocs qu’ils pouvaient rencontrer étaient au travail mais étant très compétents tous les deux, ils trouvaient toujours ensemble les solutions aux problèmes rencontrés.
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Cependant, il ne parvenait pas à lui en vouloir, simplement il avait l’impression qu’elle le menait actuellement par le bout du nez et il avait bien l’intention d’avoir une discussion avec la fille du patron car il se demandait si elle l’aimait un tant soit peu. Heureusement, le lendemain au bureau, Stéphanie vint se plaquer à lui, l’embrassant à pleine bouche dans un baiser passionné. Puis elle lui dit dans l’oreille : « Tu as été formidable, mon amour, je ne te ferai jamais de mal ». Elle lui caressa tendrement la joue et reprenant son travail, elle lui donna les instructions pour la journée. Avant de rejoindre son bureau, elle lui annonça :— Ce soir je te prépare un petit plat. Tu dormiras à la maison, si tu le désires bien sûr.
Aurélien venait d’entendre ce qu’il attendait, il se précipita pour accepter l’invitation. Il reprenait du poil de la bête et avait eu l’entrain nécessaire pour passer une très bonne journée. Stéphanie fut superbe avec lui, elle ne manqua pas d’être très affectueuse. La soirée fut magique et la nuit démentielle, ils avaient fait l’amour comme des fous. Elle avait montré son côté dominant mais sans plus, elle appréciait aussi de savoir son amant entreprenant. Ils vécurent deux semaines à ce rythme comme un couple tout à fait normal, ils sortirent plusieurs fois au restaurant, au cinéma sans oublier d’aller rendre visite à leurs amis Thomas et Véro et bien entendu, ils étaient allés chez son père et Claire.
Tout se passait comme Aurélien l’espérait, après une dizaine de jours, elle lui avoua qu’elle avait beaucoup aimé un homme avec lequel elle s’était mariée mais malheureusement, il l’avait entrainée dans la perversion. Par amour pour son mari, elle était devenue libertine, il l’avait transformée en soumise, il l’offrait à ses copains, elle avait subi des sévices sexuels tels, qu’elle n’en pouvait plus. Aujourd’hui, elle détestait ce genre d’hommes et voulait se venger. Depuis elle adorait s’amuser avec la gente masculine, en les rabaissant, les humiliant et en les dominant.
Lorsqu’elle avait rencontré Aurélien, elle savait de lui que c’était un homme qui trompait régulièrement sa demi-sœur, ce fut la raison pour laquelle, son intention de départ était de le punir également. Néanmoins, Stéphanie était tombée amoureuse et changea vite d’avis. Avec lui, tout était différent, elle avait envie d’être sa femme et même plus s’il le désirait :— Si tu en a envie je serai ta pute. Mais pas de lézard entre nous, nous ne devons rien nous cacher. Tu me plais beaucoup Aurel, je t’aime …— Ce n’est pas ce que je veux Steph, moi aussi je t’aime, mais tu sais, je ne suis pas toujours fidèle.
— Je le sais mon chéri mais si nous nous aimons vraiment, rien ne pourra venir ternir notre amour.
Pour être franche jusqu’au bout et devant son insistance au sujet de l’autre soir, Stéphanie lui expliqua ce qu’elle faisait avec les hommes qui venaient la voir, cela pouvait aller jusqu’au BDSM. Elle raconta ce qu’elle avait fait avec Alban Tessier, après l’avoir accueilli pour une deuxième soirée chez elle, Stéphanie l’avait reçu en soutien-gorge, bas et robe noire très courte. Elle lui avait ordonné de se mettre entièrement nu et de s'allonger sur le carrelage de la cuisine. Elle s’était débarrassée de ses escarpins à haut talons et lui avait fourré ses orteils un à un dans la bouche.
Elle regardait son sexe se mettre en érection, ça l’excitait le goujat, son gros orteil dans la bouche, il bandait comme un cerf. Puis elle l’avait obligé de s'occuper de sa chatte, ce qu’il avait effectué consciencieusement. Elle avait pourtant pris soin d'éviter toute toilette intime, après avoir baisé avec Aurélien. Elle prit un malin plaisir à le regarder faire, fouillant du nez les poils pubiens et ses deux orifices malodorants. Elle avait pris un orgasme lui éjectant sa jouissance dans sa bouche. Ensuite, elle s’était assise à côté de lui et avait posé ses pieds sur sa queue bandante pour le masturber.
Elle prenait soin de cogner ses talons sur ses couilles à intervalles réguliers. Comme un soumis, il ne tarda pas à éjaculer sur ses bas. Elle lui fit la remarque, il l’avait souillé sans la prévenir, il devait être puni. Elle lui avait donc ordonné de se mettre sur le ventre afin de recevoir la punition. Elle lui claqua les fesses puis attrapa un escarpin et présenta le talon aiguille dans sa raie tout contre son anus et l’enfonça doucement, dans son petit trou mouillé par la salive qu’elle venait de cracher.
Petit à petit, le talon descendait et une fois fiché sur toute sa longueur, elle le fit tourner lentement dans son rectum. Il devait aimer car son érection reprenait forme, elle le laissa ainsi et se leva, elle allait dans la chambre et revint un plug. Elle retira l’escarpin de ses fesses, recracha sur son œillet et en appuyant fortement, elle força ce sextoy à pénétrer dans son anus. L'engin était passé difficilement mais elle y était parvenue, elle fit quelques entrées et sorties sous les râles d’Alban qui serrait les dents.
Elle s’empara de la queue de cet homme, devenu à sa merci, pour le branler, lentement mais régulièrement, elle astiquait sa hampe tout en jouant sur le gland avec son pouce. De son autre main, elle poussait et retirait le gode pendant de longues minutes, jusqu'à ce qu'il éjacule enfin sur le sol. Il avait son regard dans le vide, il avait les yeux de chien battu. Pour finir, elle lui ordonna de lécher tout le sperme qui souillait le carrelage :— Il n’était pas fâché de ne pas t’avoir baisé ? Demanda-t-il— Non ! Pas fâché, mais frustré ! Ces mecs-là, je les connais, tu verras dans quinze jours, il me téléphonera pour recevoir sa punition.
— Putain, ton histoire m’a excité, j’aimerais bien y participer mais en tant que spectateur.
— Pas de problème mon amour tu viens quand tu veux. Quant à moi, j’aimerais bien partager une de tes conquêtes. J’aime également les femmes, tu sais. Ça te dérange ?
— À vrai dire, je ne sais pas…
Après une très longue discussion en janvier 2009, ils étaient tous les deux d’accord et établirent un pacte provisoire. Stéphanie serait la femme aimante et dévouée les week-end qu’elle passerait chez lui du vendredi au dimanche soir. La semaine, elle pouvait s’amuser avec les hommes et les femmes qu’elle inviterait. Aurélien serait même le bienvenu s’il le désirait. Lui de son côté en semaine, il pouvait baiser avec qui il voulait. Simplement Stéphanie devait être mise au courant afin de donner son aval. Elle pouvait même choisir pour lui ses maitresses :— Tu sais Aurel, j’aimerais te regarder baiser Véro. Quel bout de femme ! Peut-être qu’un jour, nous nous la partagerons.
— Tu sais ça fait un moment que l’on ne baise plus ensemble, je n’ai pas l’intention de foutre en l’air leur couple.
Aurélien avait appris avec Stéphanie ce qu’était le candaulisme, dans la semaine qui suivit leur discussion, elle avait choisi pour son ami, une jeune femme qui lui tournait autour depuis un long moment déjà. Pour Aurélien, ce fut un jeu d’enfant de l’inviter chez lui et de la baiser pendant une heure sous les yeux de Stéphanie qui ne participa pas aux débats, étant restée cachée dans le corridor. Lorsque la jeune cliente très satisfaite, quitta son appartement, ils avaient fait l’amour comme des bêtes. À partir de là, elle lui proposa d’assister à une première séance.
À cette époque, l’avocat de Stéphanie qui s’occupait de ses affaires, un homme marié d’une cinquantaine d’année, n’avait de cesse de vouloir être reçu dans son antre, depuis qu’elle était venue le rencontrer. C’était une proie facile, elle proposa donc à Aurélien de venir assister à la scène sans participer. Très curieux de voir ça, celui-ci désirait accepter, néanmoins, il ne savait pas comment il allait réagir et appréhendait de voir sa chérie en train de baiser avec un autre que lui.
Stéphanie le rassura en insistant sur le fait que ce n’était qu’un jeu, que c’était lui qu’elle aimait malgré les apparences. Elle avait su le convaincre, en lui jurant que l’avocat ne le verrait pas et ne saurait jamais qu’il était présent dans la pièce : « Et si cela est trop difficile pour toi, tu pourras partir quand tu le voudras. » Après lui avoir expliqué comment allait se passer la soirée, il accepta de devenir un voyeur candauliste. Elle l’embrassa passionnant, heureuse de pouvoir partager son fantasme avec son homme.
Aurélien reconnut volontiers que cela lui avait plu, il fut très excité par la scène, Stéphanie avait pratiquement joué avec l’avocat de la même façon qu’avec lui la première fois, sauf que cet homme ne l’avait pas pénétrée mais avait pris une fessée à la place après avoir joui dans sa main lors d’une branlette endiablée, avant de partir. Aurélien avait pris gout à regarder Stéphanie dominer les hommes, ce fut pour cette raison qu’il désirait revoir une séance beaucoup plus hard car l’avocat insistait pour revenir se faire dominer, il en était à sa quatrième séance déjà et ce n’était pas près de s’arrêter, cet homme était un soumis dans l’âme.
Cette fois, Aurélien ne se cacha pas, il était resté directement assis dans un fauteuil au salon, sans que cela ne dérange le soumis. L’avocat n’avait pas eu le choix car sa Maitresse le lui avait imposé. Guillaume était un bel homme viril, pourtant il venait une fois par semaine se soumettre à la domination. Étant en retard de quelques minutes, l’avocat angoissa face à son initiatrice, perchée sur ses hauts talons et nue sous sa robe en lycra très moulante. Dès son arrivée dans l’entrée, il accrocha sa veste sur le porte-manteau, posa son attaché-case et tout bedeau, il bégaya lorsqu’elle lui dit d’un ton sévère : — Tu es en retard petit salopard ! Tu vas le payer.
— Bonsoir Maitresse, veuillez me pardonner pour ce retard. Je suis tout à vous dès maintenant, prêt à recevoir tout châtiment et perversion de votre part.
L’avocat venait juste de finir sa phrase qu’il reçut deux gifles en pleine figure sans esquiver le moindre geste, avant qu’elle ne lui ordonne de se dévêtir et de s’installer au salon. Ce fut à ce moment-là que Stéphanie me présenta en ajoutant : « Il pourra participer s’il le désire. » Sans dire un mot, Guillaume se dévêtit, il se tenait à présent à poil, à genoux au beau milieu du salon. Stéphanie lui attacha les poignets derrière son dos avec une paire de menottes. Guillaume la regardait levant la tête lorsqu’elle lui remit une nouvelle gifle en lui disant qu’il n’était qu’une petite merde et qu’elle ne devrait jamais attendre : — Baisse la tête et ferme-là !
Lui dit-elle en crachant tour à tour sur ses escarpins. Aurélien n’en loupait pas une miette, il était impressionné par le pouvoir que Stéphanie avait sur son avocat, agenouillé, tête baissée qui lécha tour à tour les deux escarpins de sa maitresse comme l’aurait fait un petit chien. Elle avait vraiment envie de jouer avec lui, car pendant qu’il était penché sur ses chaussures, il recevait quelques coups de martinets sur les fesses, sans rien dire.
Stéphanie releva sa robe jusqu’à la taille et en écartant les jambes, vint se placer au-dessus de la tête de Guillaume qui se retrouvait à genoux, assis sur les talons : « J’ai envie de jouir, maintenant. » Elle lui ordonna de lui sentir la chatte et de la lécher avec ses délicieux coups de langue. Entre le cunnilingus et l’anulingus, Stéphanie mouillait de plaisir, de la cyprine s’écoulait sur sa cuisse. L’avocat s’empressait de venir sucer goulument d’un coup de langue, les gouttes qui s’échappaient :— Putain c’est trop bon je vais jouir ! Dit-elle.
À peine avait-elle dit cela, qu’elle jouit fortement dans la bouche de Guillaume qui essayait tant bien que mal de récupérer tout ce qui sortait de la chatte de sa dominante maitresse. Ce fut toute dégoulinante de mouille que Stéphanie saisit ses accessoires sur la table et s’approcha de son soumis. Elle lui retira les menottes et lui demanda de se mettre à quatre pattes puis lui accrocha un collier autour du cou avant de le promener dans le salon comme son petit toutou. Pour finir la promenade, elle le dirigea vers Aurélien toujours inactif assis sur le fauteuil.
Celui-ci avait eu des difficultés de voir sa chérie jouir devant lui, cependant cela l’avait super excité, il bandait fortement dans son pantalon et avait très envie de participer à ce jeu pervers, en repensant à toutes les conversations qu’ils avaient eu ces derniers temps. Stéphanie avait repris le pouvoir, elle dit à Aurélien de retirer son pantalon. Celui-ci s’exécuta sans réfléchir, il pensait qu’elle avait lu dans ces pensées. Mais pas du tout, il comprit tout de suite lorsqu’elle avait placé son soumis entre ses jambes en tirant d’un coup sec sur la laisse, lui disant :— Tu m’appartiens, tu feras ce que je veux de toi ! Suce mon mâle c’est maintenant ton maitre.
— Oui Maitresse. Dit Guillaume toujours à quatre pattes
Aurélien ne savait pas quoi faire, c’était la première fois qu’il allait se faire sucer par un homme. Néanmoins, ne voulant pas la décevoir, il joua le jeu jusqu’au bout, elle attrapa son sexe en pleine érection et le présenta devant la bouche de l’avocat qui l’ouvrait en grand. Pendant la fellation, Aurélien fermait les yeux, il ne vit pas Stéphanie lâcher la laisse et prendre le martinet. Penché en avant, la tête entre les cuisses de son nouveau Maitre, il se faisait flageller les fesses.
Les coups de martinet secs et répétés étaient dans la limite du raisonnable, pourtant la peau blanche de son cul rougissait, il gigotait le bassin dans tous les sens. Le plus surprenant, était que cela le faisait bander :— Ça suffit comme ça dit-elle, allonge-toi sur le dos soumis.
Stéphanie se positionna à genoux, son sexe à la hauteur de la tête de l’avocat et demanda à Aurélien de venir la prendre par derrière. Ce dernier ne s’était pas fait prier, il la pénétra sans ménagement et allait et venait dans son vagin, gémissant sous ses coups de boutoirs, pendant que Guillaume lui léchait le clitoris. Lorsqu’elle prit son orgasme, elle demanda à son homme de se retirer et ordonna à l’avocat de se placer en levrette. Elle écarta la raie de son cul à deux mains, cracha sur son anus et y glissa un doigt. Elle sortit un préservatif et l’enfila avec la bouche sur le sexe d’Aurélien :— Vas-y mon chéri encule-le, il est prêt.
Aurélien n’était plus à cela près, il venait de se faire tailler une pipe par un mec, pourquoi pas essayer de le sodomiser, il adorait ça avec les femmes. Pendant que son homme enculait le soumis avec joie, Stéphanie masturbait l’avocat. Ils éjaculèrent à peu près en même temps, sauf que, ce fut dans la bouche de Guillaume qu’Aurélien avait éjaculé tout son sperme, sous le regard étonné de sa compagne qui n’avait pu imaginer son chéri se prendre au jeu à ce point.
Après trois mois de cette relation, en avril 2009 ce couple, pas tout à fait ordinaire, vivait très bien leur amour. Aurélien fut surpris en apprenant que certains de ses clients venaient régulièrement chez Stéphanie. Dont Alban Tessier, en effet, elle ne s’était pas trompée, il était bien revenu, claques sur les fesses et martinet étaient au programme. Néanmoins, il n’y avait pas que des hommes, certains venaient en couple et certaines femmes venaient jouer avec elle. Au grand désarroi d’Aurélien, il apprit que Thomas son meilleur ami venait tous les mercredis soir pour une séance avec sa belle dominatrice.
Bien entendu, Stéphanie et Aurélien s’amusaient également à des jeux érotiques, à tour de rôle chacun dominant l’autre. Cela se passait toujours chez elle, l’appartement était conçu pour et elle avait tout l’attirail nécessaire pour se donner du plaisir dans des activités excitantes, cochonnes sans jamais tomber dans la perversité, tout était sensuel. L’amour qu’ils entretenait, leur correspondait, en mai 2010, après un an de vie commune rien ne vint enrayer la machine. Chacun pensait au bien-être de l’autre, les seuls petits accrocs qu’ils pouvaient rencontrer étaient au travail mais étant très compétents tous les deux, ils trouvaient toujours ensemble les solutions aux problèmes rencontrés.
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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