« Aurélien » : Sabine pour une sodomie d’enfer 14/15
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Aurélien » : Sabine pour une sodomie d’enfer 14/15
Après ce trio infernal, arrivée à la salle de bain, Sabine qui était toute joyeuse, comprit qu’elle avait peut-être fait une erreur car elle entendait Aurélien qui semblait ne pas poursuivre la soirée qui était prévue. Déçue Julie avait quitté la maison en se demandant encore ce qu’elle avait pu faire de mal pour que le mécano la renvoie ainsi. Entendant Sabine sangloter, il alla consoler son ex en lui disant qu’elle n’y était pour rien, cependant il aurait préféré faire l’amour avec elle dans d’autres circonstances car il n’avait pas très envie de baiser sa femme comme une salope.
Sabine saisit la différence entre les termes utilisés, elle venait de comprendre qu’Aurélien l’aimait vraiment. Après avoir diner ensemble, Sabine, très heureuse de se retrouver seule avec son mari, se plaça à genoux devant lui et entreprit une divine fellation, tandis qu’il lui caressait sa magnifique poitrine qu’il adorait. Il se dévêtirent et s’allongèrent tête bêche sur le lit. Ils s’allongèrent, s’embrassèrent et reprirent du plaisir pendant une bonne partie de la nuit. Depuis ce jour, Sabine n’avait plus quitté la maison, le couple s’était remis ensemble pour le plus grand plaisir d’Axel leur fils et de Paul Prévost qui avait tant attendu ce moment.
Aurélien avait bien promis d’essayer de ne plus tromper sa femme, ils savaient tous les deux que cela allait être difficile. Ce fut la raison pour laquelle Sabine fit l’effort d’être le plus disponible possible afin de satisfaire les envies sexuelles de son mari. Si au début elle s’était forcée, Aurélien la faisait tant jouir qu’elle ne simulait plus du tout et c’était elle qui quelques fois, venait au garage exciter son mari afin que celui-ci lui donne du plaisir. Tout se passait très bien, pendant les six premier mois, Aurélien n’avait pas encore eu le besoin d’aller voir ailleurs.
La seule ombre au tableau, Sabine n’était pas encore une adepte de la sodomie. Comme la verge de son mari était très épaisse, elle avait mal, l’empêchant de prendre du plaisir. Appréhendant qu’Aurélien s’en lasse, elle demanda conseil à Véronique. Celle-ci ne lui avoua pas que par le passé, elle adorait qu’Aurel vienne lui donner du plaisir en la sodomisant, cependant elle lui dit qu’elle aimait cette pratique quand celle-ci est bien faite et lui donna quelques bons conseils pour la préparation.
Lavement, plug et lubrifiant puis un anulingus et un doigtage dans les règles avant l’acte étaient indispensable pour supporter au départ la brûlure et la masturbation pendant la pénétration donnaient de très bons résultats pour parvenir à l’orgasme. Néanmoins, cette pratique nécessitait une grande complicité avec son partenaire pour obtenir le résultat souhaité. Sabine avait su écouter les conseils de Véro et en parla à Aurélien.
De jour en jour, de plug en plug, du plus petit au plus gros, elle était parvenue à dilater son anus et s’habituait à cette agréable sensation que lui procurait le sextoy qu’elle portait de longues heures au travail. Le jour J était arrivé, ils avaient choisi le bureau comme lieu de débauche et avait prévu un jeu de rôle. Sabine était la cliente et Aurélien restait le vendeur de voitures, séduisant l’acheteuse potentielle, la baisant sans vergogne. En effet, elle n’avait pas envie qu’il lui fasse l’amour, mais bien qu’il l’encule comme une salope.
Pendant dix minutes, Aurélien montra à Sabine comment il agissait avec les femmes qui lui faisaient les yeux doux. Soudain, tout en parlant, il s'était approché d’elle qui n’osa pas bouger. Il l'attrapa d'un bras par la taille en la fixant dans les yeux avant de l'embrasser fougueusement. Elle trouva la situation très excitante, il lui prit les fesses à pleines mains en poursuivant son baiser, pendant qu’elle passait ses bras autour de son cou. Elle éprouvait la même sensation que lorsque son premier amoureux lui donna son premier baiser de sa vie.
Les mains d’Aurélien commencèrent à retrousser sa jupe, de sa bouche, il l'embrasse dans le cou. Les seins de la jeune femme durcirent, elle commençait à sentir la chaleur et humidité de son vagin l'envahir. Ses doigts se glissèrent dans la raie de ses fesses en passant sous la ficelle de son string. Il attrapa un sein à travers son chemisier, ils étaient fermes et tendus par l’excitation, les tétons pointaient en poussant le tissu. Les mains puissantes du mécano malaxaient sa poitrine, Sabine n’était pas loin de réclamer la pénétration.
Elle aventura une main entre leurs corps enlacés afin de vérifier où en était la virilité de son homme. Elle put constater que son sexe était en plein éveil. Soudain, il la souleva comme une jeune mariée en passant un bras sous ses jambes et l'autre dans son dos sous ses omoplates et la déposa sur le bureau. Il posa une main à plat entre ses seins et appuya sur son torse pour lui plaquer le dos. Il arracha un à un, tous les boutons de son chemisier d'un mouvement brusque, sortit ses deux seins de son soutien-gorge en le remontant sous le menton.
Il releva violement sa jupe jusqu’à la taille, qu’elle entendit craquer et se glissa entre ses jambes qu’il écartait brutalement, avant qu’il se penche afin de mordre un des deux tétons, tout en pinçant l'autre. Sabine n'avait encore jamais connu le sexe avec brutalité, mais cela l’excitait d’autant plus. Il se releva et prit la paire de ciseaux sur son bureau, prit son soutien-gorge entre les deux bonnets et le coupa d'un coup sec. Puis, de ses deux mains, il finit de déchirer la couture de sa jupe jusqu'à la ceinture qui ne résista pas. Il mit un coup de ciseaux de chaque côté de son string avant de l'arracher et de le jeter derrière lui.
La respiration de la jeune femme devint plus rapide. Il avait son visage entre ses cuisses qu'il écarta pour aspirer ce qui s'écoulait entre ses lèvres, il lécha sa vulve mouillée avec application et s'attaqua à son clito qu’il titillait de sa langue agile, pendant quelques minutes. Le plaisir montait en elle, ses reins se cambraient, son ventre se creusait, ses hanches ondulaient de plus en plus rapidement. L'orgasme arrivait. Il en profita afin d’accélérer ses mouvements de langue et introduit son doigt dans sa chatte. Ce qui eut pour effet de déclencher sa jouissance.
Pendant qu’elle reprenait son souffle, il descendit son pantalon. Sabine connaissait par cœur le sexe de son homme, pourtant ce soir-là, elle fut surprise par son pénis dur et érigé à la verticale, se posant la question : « Cette queue va-t-elle me faire mal ou me faire jouir ? » Elle trouva même que ses couilles étaient grosses. Aurélien retira le plug enfoncé dans l’anus de sa chérie puis il enfonça doucement son pouce dans son petit trou, sa mouille facilita les choses. Ses sécrétions vaginales avaient trempé ses bas à l'intérieur de ses cuisses, presque jusqu'aux genoux.
D'un geste habile et puissant, il la retourna sans ménagement, Sabine se retrouvait à présent, la croupe en arrière. Ses pieds touchaient à nouveau le sol, ses avant-bras posés sur la table, elle avait les fesses relevées et les reins très cambrés. Il vida du lubrifiant dans la raie et s’en badigeonna sur le sexe en se branlant doucement.
Sans attendre, il planta sa queue dans son anus dilaté par le plug suivi de son pouce. Il la saisissait fermement par les hanches et poussa afin de s'immiscer dans son rectum. Partant de ses reins, une décharge électrique la parcourut toute entière. Elle arracha un petit cri : « Aïe ! » Mais il n’en tint pas compte, il la pilonnait comme si de rien était. Malgré tout, au fur et à mesure de ses allers et retours, Sabine se détendait et la sensation de cette verge plantée dans son postérieur devint vite plus agréable, jusqu'à devenir carrément excellente.
Elle entama des mouvements avec mon bassin, contraires à ceux de son homme, tant et si bien que ses couilles claquaient contre ses fesses :— Tu comprends pourquoi elles aiment ces salopes !
— Oui. Vas-y plus fort !
Il lui claqua plusieurs fois les fesses en continuant de la limer, il s’enfonçait à chaque fois jusqu’à la garde. Il mettait du cœur à l'ouvrage, jusqu'à n'en plus tenir. Couché sur elle, la main d’Aurélien excitait, de deux doigts en même temps, le petit bouton rose.
Sabine se mit à crier, elle jouit très fort, ses jambes tremblaient encore lorsqu’elle sentit dans son ventre le sexe de son homme s’agiter de plusieurs longues secousses, il éjaculait dans son cul : « C’est trop bon ! » Il se redressa, la prit par les seins et lui embrassa l'épaule tout en reprenant son va et vient. Lubrifié par son sperme, son sexe coulissait parfaitement. Ils étaient bien. Lentement, il ramollit, jusqu'à ce que la pression de son conduit étroit l'expulse de son rectum. Son sperme abondant lui coulait sur les jambes avant de se perdre sur la moquette.
Pendant les dix années suivantes, Aurélien n’avait absolument pas ressenti le besoin d’aller baiser ailleurs, Sabine avait su le contenter et leurs petits jeux secrets rompaient la monotonie. Pourtant, lors de l’été 2020, un événement avait peut-être fait prendre un virage aux nouveaux propriétaires de la concession Prévost. En effet, cinq ans auparavant, au mariage de la sulfureuse Blandine, (une des innombrables maitresses du jeune mécano), celle-ci avait tenu à les inviter où ils avaient fait connaissance de son mari Jérôme, un chirurgien-dentiste. Depuis, les deux couples avaient entretenu de très bonnes relations.
Lors des vacances en 2020, pendant la période de la Covid, Jérôme n’ayant pu louer son deuxième gite dans l’arrière-pays niçois, avait invité Aurélien et Sabine à venir les rejoindre une quinzaine de jours dans leur domaine, un endroit calme, à l’écart des autres propriétés et à trois km du premier village. Après dix heures de route, le couple de garagistes arriva, éreinté à la propriété, leurs amis buvaient un cocktail au bord de la piscine. Leur accueil fut chaleureux, Blandine était très à l’aise, elle les connaissait depuis longtemps, Jérôme, un peu plus réservé mais très avenant, fit en sorte de les détendre.
Après avoir bu une petite collation, la maitresse de maison leur présenta leur chambre où ils déposèrent leurs valises et furent conviés de se changer afin de s’installer à l’aise sur la terrasse pour prendre l’apéritif. Avant de descendre, Aurélien avait enfilé un short et un tee-shirt tandis que Sabine enfila une petite robe très légère. Ils furent tous les deux surpris que Blandine soit encore en bikini pour apporter les plats de la cuisine et que Jérôme faisait le service toujours dans son slip de bain.
Si la jeune femme de trente ans était magnifique dans son petit ensemble très sexy, avec un haut très échancré, cachant à peine sa superbe poitrine, Jérôme torse nu dévoilant sa musculature, était purement un étalon. Malgré ses 47 ans, cet homme d’1,85m n’avait pas un excès de graisse et au vu de ses attributs déformant le lycra de son mini slip, il devait être monté comme un âne. Aurélien voyant que Sabine admirait le dentiste, se sentit un peu ridicule, lui qui venait de fêter ses 42 ans, commençait à avoir des petites bouées sur les hanches et son ventre enrobait les plaquettes de ses abdominaux : ?
— Ne te gêne surtout pas ! On dirait qu’il te plait !
— Il est magnifique, tu ne trouves pas ? Tu vas devoir aller à la salle de sport mon chéri. Se moqua-t-elle de lui.
— Regarde Blandine, elle est vraiment canon. Répondit-il pour se venger.
Ce soir-là, pendant que Blandine raconta à Aurélien, son ami de longue date, comment elle était parvenue à oublier son passé pour se retrouver dans les bras de son chirurgien-dentiste. Jérôme n’avait pas cessé de faire les yeux doux à Sabine et ceci avait duré toute la semaine, en toute discrétion. Que ça soit à la maison, à la piscine, en ballade, lors des divers jeux ou les parties de badminton ou de pétanque, celui-ci désirait toujours la femme de son ami comme partenaire. Il en pinçait pour elle et Sabine était aux anges que cet homme soit si avenant. Elle ne pouvait pas imaginer un seul instant qu’il la draguait devant son épouse et surtout à la vue de son mari.
Le samedi suivant, Jérôme était parti aux aurores faire de l’équitation, Aurélien qui désirait refaire un peu de sport afin de perdre un peu de poids, était allé courir comme tous les matins. Pendant ce temps, Sabine alla jusqu’au village à pied faire quelques courses pour Blandine qui devait préparer le repas. Soudain, vers dix heures, le ciel s’était assombri en quelques instant et un orage violent éclata. Sabine était sur le chemin du retour, elle était trempée et ne put continuer son chemin. Le fossé était plein d’eau et la petite route était inondée.
Jérôme connaissant bien la région et se doutant que son amie serait dans l’embarras était venue immédiatement à son secours. Ils étaient tous les deux remontés au village en attendant la fin des averses de pluie qui ne cessaient toujours pas. Pendant ce temps, à la propriété, Aurélien revenant en catastrophe de son footing fut averti par Blandine que son époux avait récupéré Sabine et qu’ils en avaient pour au moins une heure, avant qu’ils ne reviennent, le temps que la route soit enfin praticable. Aurélien s’aperçut qu’il était un peu jaloux, il avait bien remarqué que Jérôme tournait autour de sa femme et que celle-ci ne restait pas indifférente à ses charmes. Il en fit part à sa jeune amie :
— Tu sais Aurel, Jérôme est un peu comme toi, aucune femme ne lui résiste. S’ils passent du bon temps, nous ne devrions pas nous en priver. Répondit-elle en venant lui caresser le bras.
— Arrête Blandine, je suis fidèle depuis dix ans, je ne voudrais pas…— Que dirais-tu d’un plan à quatre, c’est ce que nous avions prévu avec Jérôme, il est en train de préparer le terrain.
— Moi, ça ne me gênerait pas, tu sais bien comme je t’apprécie mais je ne sais pas si Sabine sera partante, j’en doute.
Pendant ce temps dans son 4x4, Jérôme sortit une serviette de plage de son sac de sport et la tendit à Sabine dont les vêtements étaient à tordre. Elle fut un peu gênée de se changer là, néanmoins elle enleva sa robe et se retrouva complètement nue, avant de passer la serviette éponge.
— Tu sais que tu es une femme magnifique, Sabine.
Très embarrassée, elle le remercia de son compliment mais sentait que la situation lui échappait et devenait inquiétante, elle savait au fond d’elle-même qu’elle aurait des difficultés à résister à ses avances, si d’aventure il insistait. Ce fut exactement ce qui se produisit. Joignant le geste à la parole, Jérôme se pencha sur Sabine et commença à caresser sa poitrine, doucement. Elle n’était pas surprise mais surtout excitée car elle l’avait toutefois espéré. Elle se laissa faire et répondit à son baiser.
Jérôme continua à caresser les seins, les malaxer, sous ses mains délicates, la serviette ne cachait plus rien. Il approcha sa bouche et embrassa un sein, puis l’autre. Sa langue lécha un mamelon alors que l’autre main malaxait le sein. Sabine appréciait ses caresses, elle ne pensait plus à rien, elle gémissait de plaisir. Les mains de Jérôme descendirent lentement sur les fesses, qu’il malaxa fermement. Une main se glissa entre les cuisses de la jeune femme, caressant doucement son clitoris.
Toujours en l’embrassant, un doigt s’introduit dans son intimité, rapidement rejoint par un deuxième. Les doigts s’activaient dans son vagin, allant et venant. Toutes ces caresses excitaient Sabine au plus haut point. Ses gémissements s’accélérèrent. Jérôme continua, il coucha le siège passager et entreprit un cunnilingus alors que ses doigts s’activaient toujours dans l’intimité de la passagère. L’excitation était à son comble, Sabine gémit de plus en plus fort, jusqu’à la jouissance, ponctuée par un long cri. Jérôme n’en demanda pas plus, il savait désormais que le plus difficile était fait et qu’il avait le temps pour son propre plaisir :— Tu es encore plus belle quand tu jouis Sabine, dit-il simplement.
— C’est la première fois que je trompe mon mari, c’était fabuleux !
Sabine se sentant redevable, redressa le siège et en posant la main sur le haut de la cuisse de Jérôme lui demanda s’il désirait qu’elle lui donne un peu de plaisir en retour : — La pluie a cessé, nous devrions rentrer. Nous avons encore une semaine, nous trouverons bien l’occasion.
Ils se firent une petite bise sur la bouche et étaient rentrer ensemble au domaine où Blandine avait de son côté, sut satisfaire le mari jaloux.
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Sabine saisit la différence entre les termes utilisés, elle venait de comprendre qu’Aurélien l’aimait vraiment. Après avoir diner ensemble, Sabine, très heureuse de se retrouver seule avec son mari, se plaça à genoux devant lui et entreprit une divine fellation, tandis qu’il lui caressait sa magnifique poitrine qu’il adorait. Il se dévêtirent et s’allongèrent tête bêche sur le lit. Ils s’allongèrent, s’embrassèrent et reprirent du plaisir pendant une bonne partie de la nuit. Depuis ce jour, Sabine n’avait plus quitté la maison, le couple s’était remis ensemble pour le plus grand plaisir d’Axel leur fils et de Paul Prévost qui avait tant attendu ce moment.
Aurélien avait bien promis d’essayer de ne plus tromper sa femme, ils savaient tous les deux que cela allait être difficile. Ce fut la raison pour laquelle Sabine fit l’effort d’être le plus disponible possible afin de satisfaire les envies sexuelles de son mari. Si au début elle s’était forcée, Aurélien la faisait tant jouir qu’elle ne simulait plus du tout et c’était elle qui quelques fois, venait au garage exciter son mari afin que celui-ci lui donne du plaisir. Tout se passait très bien, pendant les six premier mois, Aurélien n’avait pas encore eu le besoin d’aller voir ailleurs.
La seule ombre au tableau, Sabine n’était pas encore une adepte de la sodomie. Comme la verge de son mari était très épaisse, elle avait mal, l’empêchant de prendre du plaisir. Appréhendant qu’Aurélien s’en lasse, elle demanda conseil à Véronique. Celle-ci ne lui avoua pas que par le passé, elle adorait qu’Aurel vienne lui donner du plaisir en la sodomisant, cependant elle lui dit qu’elle aimait cette pratique quand celle-ci est bien faite et lui donna quelques bons conseils pour la préparation.
Lavement, plug et lubrifiant puis un anulingus et un doigtage dans les règles avant l’acte étaient indispensable pour supporter au départ la brûlure et la masturbation pendant la pénétration donnaient de très bons résultats pour parvenir à l’orgasme. Néanmoins, cette pratique nécessitait une grande complicité avec son partenaire pour obtenir le résultat souhaité. Sabine avait su écouter les conseils de Véro et en parla à Aurélien.
De jour en jour, de plug en plug, du plus petit au plus gros, elle était parvenue à dilater son anus et s’habituait à cette agréable sensation que lui procurait le sextoy qu’elle portait de longues heures au travail. Le jour J était arrivé, ils avaient choisi le bureau comme lieu de débauche et avait prévu un jeu de rôle. Sabine était la cliente et Aurélien restait le vendeur de voitures, séduisant l’acheteuse potentielle, la baisant sans vergogne. En effet, elle n’avait pas envie qu’il lui fasse l’amour, mais bien qu’il l’encule comme une salope.
Pendant dix minutes, Aurélien montra à Sabine comment il agissait avec les femmes qui lui faisaient les yeux doux. Soudain, tout en parlant, il s'était approché d’elle qui n’osa pas bouger. Il l'attrapa d'un bras par la taille en la fixant dans les yeux avant de l'embrasser fougueusement. Elle trouva la situation très excitante, il lui prit les fesses à pleines mains en poursuivant son baiser, pendant qu’elle passait ses bras autour de son cou. Elle éprouvait la même sensation que lorsque son premier amoureux lui donna son premier baiser de sa vie.
Les mains d’Aurélien commencèrent à retrousser sa jupe, de sa bouche, il l'embrasse dans le cou. Les seins de la jeune femme durcirent, elle commençait à sentir la chaleur et humidité de son vagin l'envahir. Ses doigts se glissèrent dans la raie de ses fesses en passant sous la ficelle de son string. Il attrapa un sein à travers son chemisier, ils étaient fermes et tendus par l’excitation, les tétons pointaient en poussant le tissu. Les mains puissantes du mécano malaxaient sa poitrine, Sabine n’était pas loin de réclamer la pénétration.
Elle aventura une main entre leurs corps enlacés afin de vérifier où en était la virilité de son homme. Elle put constater que son sexe était en plein éveil. Soudain, il la souleva comme une jeune mariée en passant un bras sous ses jambes et l'autre dans son dos sous ses omoplates et la déposa sur le bureau. Il posa une main à plat entre ses seins et appuya sur son torse pour lui plaquer le dos. Il arracha un à un, tous les boutons de son chemisier d'un mouvement brusque, sortit ses deux seins de son soutien-gorge en le remontant sous le menton.
Il releva violement sa jupe jusqu’à la taille, qu’elle entendit craquer et se glissa entre ses jambes qu’il écartait brutalement, avant qu’il se penche afin de mordre un des deux tétons, tout en pinçant l'autre. Sabine n'avait encore jamais connu le sexe avec brutalité, mais cela l’excitait d’autant plus. Il se releva et prit la paire de ciseaux sur son bureau, prit son soutien-gorge entre les deux bonnets et le coupa d'un coup sec. Puis, de ses deux mains, il finit de déchirer la couture de sa jupe jusqu'à la ceinture qui ne résista pas. Il mit un coup de ciseaux de chaque côté de son string avant de l'arracher et de le jeter derrière lui.
La respiration de la jeune femme devint plus rapide. Il avait son visage entre ses cuisses qu'il écarta pour aspirer ce qui s'écoulait entre ses lèvres, il lécha sa vulve mouillée avec application et s'attaqua à son clito qu’il titillait de sa langue agile, pendant quelques minutes. Le plaisir montait en elle, ses reins se cambraient, son ventre se creusait, ses hanches ondulaient de plus en plus rapidement. L'orgasme arrivait. Il en profita afin d’accélérer ses mouvements de langue et introduit son doigt dans sa chatte. Ce qui eut pour effet de déclencher sa jouissance.
Pendant qu’elle reprenait son souffle, il descendit son pantalon. Sabine connaissait par cœur le sexe de son homme, pourtant ce soir-là, elle fut surprise par son pénis dur et érigé à la verticale, se posant la question : « Cette queue va-t-elle me faire mal ou me faire jouir ? » Elle trouva même que ses couilles étaient grosses. Aurélien retira le plug enfoncé dans l’anus de sa chérie puis il enfonça doucement son pouce dans son petit trou, sa mouille facilita les choses. Ses sécrétions vaginales avaient trempé ses bas à l'intérieur de ses cuisses, presque jusqu'aux genoux.
D'un geste habile et puissant, il la retourna sans ménagement, Sabine se retrouvait à présent, la croupe en arrière. Ses pieds touchaient à nouveau le sol, ses avant-bras posés sur la table, elle avait les fesses relevées et les reins très cambrés. Il vida du lubrifiant dans la raie et s’en badigeonna sur le sexe en se branlant doucement.
Sans attendre, il planta sa queue dans son anus dilaté par le plug suivi de son pouce. Il la saisissait fermement par les hanches et poussa afin de s'immiscer dans son rectum. Partant de ses reins, une décharge électrique la parcourut toute entière. Elle arracha un petit cri : « Aïe ! » Mais il n’en tint pas compte, il la pilonnait comme si de rien était. Malgré tout, au fur et à mesure de ses allers et retours, Sabine se détendait et la sensation de cette verge plantée dans son postérieur devint vite plus agréable, jusqu'à devenir carrément excellente.
Elle entama des mouvements avec mon bassin, contraires à ceux de son homme, tant et si bien que ses couilles claquaient contre ses fesses :— Tu comprends pourquoi elles aiment ces salopes !
— Oui. Vas-y plus fort !
Il lui claqua plusieurs fois les fesses en continuant de la limer, il s’enfonçait à chaque fois jusqu’à la garde. Il mettait du cœur à l'ouvrage, jusqu'à n'en plus tenir. Couché sur elle, la main d’Aurélien excitait, de deux doigts en même temps, le petit bouton rose.
Sabine se mit à crier, elle jouit très fort, ses jambes tremblaient encore lorsqu’elle sentit dans son ventre le sexe de son homme s’agiter de plusieurs longues secousses, il éjaculait dans son cul : « C’est trop bon ! » Il se redressa, la prit par les seins et lui embrassa l'épaule tout en reprenant son va et vient. Lubrifié par son sperme, son sexe coulissait parfaitement. Ils étaient bien. Lentement, il ramollit, jusqu'à ce que la pression de son conduit étroit l'expulse de son rectum. Son sperme abondant lui coulait sur les jambes avant de se perdre sur la moquette.
Pendant les dix années suivantes, Aurélien n’avait absolument pas ressenti le besoin d’aller baiser ailleurs, Sabine avait su le contenter et leurs petits jeux secrets rompaient la monotonie. Pourtant, lors de l’été 2020, un événement avait peut-être fait prendre un virage aux nouveaux propriétaires de la concession Prévost. En effet, cinq ans auparavant, au mariage de la sulfureuse Blandine, (une des innombrables maitresses du jeune mécano), celle-ci avait tenu à les inviter où ils avaient fait connaissance de son mari Jérôme, un chirurgien-dentiste. Depuis, les deux couples avaient entretenu de très bonnes relations.
Lors des vacances en 2020, pendant la période de la Covid, Jérôme n’ayant pu louer son deuxième gite dans l’arrière-pays niçois, avait invité Aurélien et Sabine à venir les rejoindre une quinzaine de jours dans leur domaine, un endroit calme, à l’écart des autres propriétés et à trois km du premier village. Après dix heures de route, le couple de garagistes arriva, éreinté à la propriété, leurs amis buvaient un cocktail au bord de la piscine. Leur accueil fut chaleureux, Blandine était très à l’aise, elle les connaissait depuis longtemps, Jérôme, un peu plus réservé mais très avenant, fit en sorte de les détendre.
Après avoir bu une petite collation, la maitresse de maison leur présenta leur chambre où ils déposèrent leurs valises et furent conviés de se changer afin de s’installer à l’aise sur la terrasse pour prendre l’apéritif. Avant de descendre, Aurélien avait enfilé un short et un tee-shirt tandis que Sabine enfila une petite robe très légère. Ils furent tous les deux surpris que Blandine soit encore en bikini pour apporter les plats de la cuisine et que Jérôme faisait le service toujours dans son slip de bain.
Si la jeune femme de trente ans était magnifique dans son petit ensemble très sexy, avec un haut très échancré, cachant à peine sa superbe poitrine, Jérôme torse nu dévoilant sa musculature, était purement un étalon. Malgré ses 47 ans, cet homme d’1,85m n’avait pas un excès de graisse et au vu de ses attributs déformant le lycra de son mini slip, il devait être monté comme un âne. Aurélien voyant que Sabine admirait le dentiste, se sentit un peu ridicule, lui qui venait de fêter ses 42 ans, commençait à avoir des petites bouées sur les hanches et son ventre enrobait les plaquettes de ses abdominaux : ?
— Ne te gêne surtout pas ! On dirait qu’il te plait !
— Il est magnifique, tu ne trouves pas ? Tu vas devoir aller à la salle de sport mon chéri. Se moqua-t-elle de lui.
— Regarde Blandine, elle est vraiment canon. Répondit-il pour se venger.
Ce soir-là, pendant que Blandine raconta à Aurélien, son ami de longue date, comment elle était parvenue à oublier son passé pour se retrouver dans les bras de son chirurgien-dentiste. Jérôme n’avait pas cessé de faire les yeux doux à Sabine et ceci avait duré toute la semaine, en toute discrétion. Que ça soit à la maison, à la piscine, en ballade, lors des divers jeux ou les parties de badminton ou de pétanque, celui-ci désirait toujours la femme de son ami comme partenaire. Il en pinçait pour elle et Sabine était aux anges que cet homme soit si avenant. Elle ne pouvait pas imaginer un seul instant qu’il la draguait devant son épouse et surtout à la vue de son mari.
Le samedi suivant, Jérôme était parti aux aurores faire de l’équitation, Aurélien qui désirait refaire un peu de sport afin de perdre un peu de poids, était allé courir comme tous les matins. Pendant ce temps, Sabine alla jusqu’au village à pied faire quelques courses pour Blandine qui devait préparer le repas. Soudain, vers dix heures, le ciel s’était assombri en quelques instant et un orage violent éclata. Sabine était sur le chemin du retour, elle était trempée et ne put continuer son chemin. Le fossé était plein d’eau et la petite route était inondée.
Jérôme connaissant bien la région et se doutant que son amie serait dans l’embarras était venue immédiatement à son secours. Ils étaient tous les deux remontés au village en attendant la fin des averses de pluie qui ne cessaient toujours pas. Pendant ce temps, à la propriété, Aurélien revenant en catastrophe de son footing fut averti par Blandine que son époux avait récupéré Sabine et qu’ils en avaient pour au moins une heure, avant qu’ils ne reviennent, le temps que la route soit enfin praticable. Aurélien s’aperçut qu’il était un peu jaloux, il avait bien remarqué que Jérôme tournait autour de sa femme et que celle-ci ne restait pas indifférente à ses charmes. Il en fit part à sa jeune amie :
— Tu sais Aurel, Jérôme est un peu comme toi, aucune femme ne lui résiste. S’ils passent du bon temps, nous ne devrions pas nous en priver. Répondit-elle en venant lui caresser le bras.
— Arrête Blandine, je suis fidèle depuis dix ans, je ne voudrais pas…— Que dirais-tu d’un plan à quatre, c’est ce que nous avions prévu avec Jérôme, il est en train de préparer le terrain.
— Moi, ça ne me gênerait pas, tu sais bien comme je t’apprécie mais je ne sais pas si Sabine sera partante, j’en doute.
Pendant ce temps dans son 4x4, Jérôme sortit une serviette de plage de son sac de sport et la tendit à Sabine dont les vêtements étaient à tordre. Elle fut un peu gênée de se changer là, néanmoins elle enleva sa robe et se retrouva complètement nue, avant de passer la serviette éponge.
— Tu sais que tu es une femme magnifique, Sabine.
Très embarrassée, elle le remercia de son compliment mais sentait que la situation lui échappait et devenait inquiétante, elle savait au fond d’elle-même qu’elle aurait des difficultés à résister à ses avances, si d’aventure il insistait. Ce fut exactement ce qui se produisit. Joignant le geste à la parole, Jérôme se pencha sur Sabine et commença à caresser sa poitrine, doucement. Elle n’était pas surprise mais surtout excitée car elle l’avait toutefois espéré. Elle se laissa faire et répondit à son baiser.
Jérôme continua à caresser les seins, les malaxer, sous ses mains délicates, la serviette ne cachait plus rien. Il approcha sa bouche et embrassa un sein, puis l’autre. Sa langue lécha un mamelon alors que l’autre main malaxait le sein. Sabine appréciait ses caresses, elle ne pensait plus à rien, elle gémissait de plaisir. Les mains de Jérôme descendirent lentement sur les fesses, qu’il malaxa fermement. Une main se glissa entre les cuisses de la jeune femme, caressant doucement son clitoris.
Toujours en l’embrassant, un doigt s’introduit dans son intimité, rapidement rejoint par un deuxième. Les doigts s’activaient dans son vagin, allant et venant. Toutes ces caresses excitaient Sabine au plus haut point. Ses gémissements s’accélérèrent. Jérôme continua, il coucha le siège passager et entreprit un cunnilingus alors que ses doigts s’activaient toujours dans l’intimité de la passagère. L’excitation était à son comble, Sabine gémit de plus en plus fort, jusqu’à la jouissance, ponctuée par un long cri. Jérôme n’en demanda pas plus, il savait désormais que le plus difficile était fait et qu’il avait le temps pour son propre plaisir :— Tu es encore plus belle quand tu jouis Sabine, dit-il simplement.
— C’est la première fois que je trompe mon mari, c’était fabuleux !
Sabine se sentant redevable, redressa le siège et en posant la main sur le haut de la cuisse de Jérôme lui demanda s’il désirait qu’elle lui donne un peu de plaisir en retour : — La pluie a cessé, nous devrions rentrer. Nous avons encore une semaine, nous trouverons bien l’occasion.
Ils se firent une petite bise sur la bouche et étaient rentrer ensemble au domaine où Blandine avait de son côté, sut satisfaire le mari jaloux.
La suite de l’histoire dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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