« Aurélien » : Une partie de sexe inoubliable. 15/15
Récit érotique écrit par Perruche [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« Aurélien » : Une partie de sexe inoubliable. 15/15
En effet, réfugiés dans la voiture, pendant cet orage terrible qui empêcha Sabine et Jérôme de rentrer au domaine, celui-ci en avait profité pour apporter un peu de bonheur à sa partenaire, dans un cunnilingus en bonne et due forme. Tandis qu’à la maison Blandine, l’épouse de Jérôme, tentait vainement d’établir un plan avec Aurélien afin de faire accepter à Sabine de participer à un plan à quatre. Il savait désormais que son épouse était sortie du droit chemin, en acceptant les avances de leur hôte. Le plus difficile était fait, il fallait y aller en douceur afin de ne pas brûler les étapes.
Sabine serait-elle capable d’aller plus loin, pour le moment, il fallait qu’elle se retrouve seule avec Jérôme afin de savoir si la jeune femme serait capable de poursuivre ce qu’elle avait entreprit. À leur retour, pendant que les femmes étaient au fourneau, Jérôme, suivant les conseils de Blandine avait expliqué franchement ce qui s’était réellement passé dans la voiture ce matin même et demanda à Aurélien sa permission pour continuer dans cette voix : « Je suis partant bien sûr, ne la brusquons pas. » avant de lui donner les détails du plan qu’ils avaient élaboré.
Après le repas, Blandine demanda à Sabine si elle ne voyait pas d’inconvénient à ce qu’elle emmène son mari au village afin que celui-ci vérifie le bon fonctionnement de la voiture d’une amie : « je lui ai promis, nous n’en aurons que pour une petite heure, nous viendrons vous rejoindre à la piscine. » Après le débarras, le soleil était revenu, Blandine et Aurélien s’éclipsèrent aussitôt du domaine, pendant que Sabine après avoir enfilé son maillot deux pièces, s’allongea sur un transat pour une séance de bronzage bien méritée.
Il faisait à nouveau très chaud, Jérôme sans aucun complexe retira son slip de bain et plongea dans la piscine en invitant avec insistance, Sabine à le rejoindre : « Viens te baigner, histoire de te détendre un peu. Tu peux enlever ton maillot, personne ne peut nous voir ici. » Ayant l’habitude de faire seins nus, elle retira le haut et plongea à son tour en conservant son bas. Pendant plusieurs minutes, ils chahutèrent dans l’eau puis Jérôme nagea jusqu’à elle, l’enlaça en disant : « Quelle aubaine de se retrouver seuls, nous pourrions reprendre ce que nous avions commencé si bien ce matin. Viens sortons. » lui dit-il fermement en lui déposant une bise sur la bouche.
Comme quelques heures plus tôt, Sabine ne put refuser ses avances, elle l’embrassa à pleine bouche en sortant de la piscine. Jérôme s’allongea nu sur le transat et invita Sabine à le rejoindre. Il déposa un coussin sur le sol, la fit mettre à genoux à côté de lui : « Je veux bien que tu me rendes la pareille, c’est bien ce que tu m’as proposé ce matin, non ? »— Oui bien sûr mais si Aurélien revient ?
— Ne t’inquiète pas ma chérie, je connais Blandine et sa copine, ils en ont au moins pour une heure et demi.
Cela rassura un peu Sabine qui s’aventura à prendre à pleine main, ce sexe qui lui était offert. Prise dans des pensées érotiques, elle n'hésitait plus, elle désirait faire du bien à son amant. Elle le pelotait copieusement de toute sa main, de sa paume et de ses cinq doigts. Sous cette divine caresse, la queue de Jérôme se déplia rapidement, s’allongea, devenait de plus en plus grosse et de plus en plus dure. « Oh mon Dieu ! » se disait-elle. Sa belle bite était désormais dure comme de la pierre. Jérôme était maintenant dans tous ses états.
À quelques centimètres de ses yeux, Sabine ne put faire autrement que de regarder de près l’entrejambe de Jérôme, elle avait pu constater que son sexe au repos était assez imposant mais le voyant ainsi bander comme un âne, en le comparant avec celui de son mari qui était déjà d’une belle épaisseur, celui de Jérôme était incontestablement bien plus long : « Quelle Jolie queue ! » Pensa-t-elle en silence. Sur son gland turgescent quelques gouttes nacrées suintaient. Elle n'y résista pas, de sa langue gourmande, elle la goûta par petites touches.
Sabine s'excitait, c’était surtout la situation qui faisait embraser tout son corps. Le soleil aidant, elle était chaude comme de la braise et lapait goulûment ce fruit rouge sang. En écartant largement la bouche, une main sur la base de sa hampe, elle engloutit ce phallus en érection, néanmoins, elle ne put avaler que la moitié. Tout en continuant à le sucer, elle prit l’initiative de prendre ses boules de l’autre main et les massa délicatement. Jérôme surpris poussa un râle de plaisir.
Il aimait cela, cette fellation durait dans le temps, mais Sabine avait perdu toute notion du temps. Lorsqu’elle comprit que ça devenait un vrai supplice pour lui de se retenir, elle appréhenda la venue de son mari, elle devait faire au plus vite afin que Jérôme éjacule. Elle lui prit la queue d'une main et de l'autre, elle lui caressait le gland du bout de ses doigt. Après avoir cracher de la salive sur le bout de sa queue gonflée à l'extrême, elle se mit à le branler, du liquide s’écoulait toujours de son gland qu’elle lapait avec application au fur et à mesure.
« Il est grand temps qu’il éjacule. » Se disait-elle. La vision de ce gros gland brillant et la chaleur de sa bite dans sa main, attisaient tous ses sens. Sabine mouillait, elle se sentait trempée, elle avait très envie de se caresser mais pour le moment, elle avait d’autre chat à fouetter. L’idée de prendre le fruit de cette fellation à pleine bouche, l’excita encore un peu plus et déchaîna sa passion. Elle enfonça alors cette grosse queue le plus profondément possible et se mit à le pomper en cadence.
Afin de faire durer le plaisir, Jérôme désirant se concentrer sur autre chose commença à caresser sa partenaire qui coulait de l’intérieur, sa petite chatte était toute mouillée. De voir glisser sa longue queue parfaitement à l’intérieur de sa bouche jusqu'à l'étouffement, tout en sentant les doigts lui pénétrer le vagin, elle aussi était dans tous ses états. Elle s'excitait, ça la rendait folle. Sabine pompait et pompait encore comme les shadoks. Jérôme gémissait mais ne jouissait toujours pas : « Il faut que je le branle activement pour le faire gicler avant que les autres n’arrivent. »
Elle prit ses deux mains, l'une branlant sur toute la longueur de la hampe, l'autre par mouvements circulaires sur le gland, tout en conservant le bout de sa queue entre lèvres. Sans était trop pour Jérôme, il ne voulait pas exploser tout de suite. Il lui demanda de s’arrêter et se leva :— Viens maintenant, j’ai vraiment envie de toi.
— Mais Jérôme ! Je les ai entendus, ils sont revenus. Je ne peux pas tant que j’en n’aurai pas parlé à Aurélien.
— Ce serait peut-être le bon moment de lui dire. Dit-il en se rallongeant sur le transat.
Ce que ne savait pas Sabine, c’était que cela faisait déjà plus de dix minutes que Blandine et Aurélien étaient au domaine, ils avaient juste fait un aller-retour en voiture, le temps que tout se mette en place. Placés derrière les carreaux de la grande baie vitrée, ils regardaient le couple adultère en pleine action. Aurélien fut un peu surpris que son épouse ait franchit le pas, toutefois sachant par sa meilleure amie Véronique, que le fantasme de Sabine était d’être prise en double pénétration mais avec son mari comme partenaire principal, le moment était sans doute venu pour elle de vivre à fond ce fantasme.
En regardant sa femme faire une fellation à autre homme que lui, Aurélien était quelque peu gêné, il ne savait plus quoi penser car au départ, il croyait que cela ne lui ferait rien. Néanmoins, s’apercevant de son mal être, Blandine passa derrière lui et passa ses mains sur son sexe afin de le faire réagir dans le bon sens. Avec ses caresses intimes à l’intérieur de son slip de bain, l’érection fut inévitable : « Veux-tu que je te suce ? » Demanda la maîtresse de maison :— Putain, non, ça m’a excité à mort de la voir sucer ton homme.
Jérôme et Sabine se retrouvaient tous les deux entièrement nus sur les transats. Blandine enleva donc sont deux pièces en disant : « Vous avez raison, personne ne nous voit ici. Allez qu’attends-tu pour te mettre à poil Aurel ? » Dit-elle en s’agenouillant à côté de son mari, avant de venir l’embrasser à pleine bouche. Tout en passant sa main sous le roman avec lequel Jérôme essayait de dissimuler son érection, celle-ci s’exclama assez fortement, sans aucune pudeur :— Putain Jérôme, c’est Sabine qui t’a mise dans un état pareil ? Je vois qu’elle te fait de l’effet.
Aurel qui avait fait la même chose en venant embrasser sa femme, il en profita pour lui dire : « J’ai cru entendre que tu voulais me dire quelque chose ma chérie, qu’en est-il ? C’est Jérôme, c’est ça ? » Sabine ne savait plus où se mettre, elle était devenue rouge et regardait l’intéressé qui lui souriait, croyant que celui-ci allait venir à son secours. Ne répondant toujours pas, Blandine rajouta : « Qu’avez-vous fait, tous les deux ? Il bande comme un taureau mon homme. »— J’avoue, nous n’aurions pas dû mais c’est vrai j’ai embrassé Sabine et nous nous sommes un peu égarés, nous nous sommes caressés mais pas plus, je vous le jure.
— C’est vrai Aurel, rien de plus…— Ce n’est pas grave ma chérie, ça peut arriver, je ne t’en veux pas.
— Allons tous à l’eau cria Blandine pour détendre l’atmosphère.
Un grand pas était fait, maintenant il fallait conclure. Dans la piscine, Blandine prit Sabine à part et lui demanda si elle voulait vraiment coucher avec Jérôme : « Si c’est le cas, je suis partante pour m’occuper d’Aurélien en même temps. »— Tu veux dire que l’on fasse de l’échangisme ? Non, je préfèrerais qu’Aurel soit présent. Tu crois qu’il serait d’accord ?
— Je ne veux rien te cacher, sache que nous vous avons vu tout à l’heure, avant que je claque une porte. Bien sûr, qu’il le sera, je m’en charge.
Dès la sortie du bain, Blandine prit la direction des opérations, elle plaça les deux hommes debout côte à côte et d’un ton assez ferme, dit : — Cet après-midi vous ne devez penser qu’à Sabine, je veux la voir heureuse. Allez, viens ma chérie, suce ses messieurs, fais-les bander avec ta bouche et tes mains.
Sabine était bien trop excitée et trop timide pour refuser l’ordre que lui avait donné son amie. Elle était toute heureuse de se retrouver dans cette position, d’autant plus que Blandine s’était couchée et avait désormais son visage entre ses jambes. Pendant que Sabine suçait et malaxait les deux belles queues qu’elle avait devant elle, la maitresse de maison lui léchait le minou. De sa langue elle titillait son clitoris et de ses doigts, elle pénétrait son vagin mais perforait également son petit trou étoilé.
Sabine était en plein extase, les deux hommes face à elle, leur sexe au niveau de sa bouche pour les sucer à tour de rôle, c'était hyper grisant de tenir une verge dans chaque main et d'avoir sa langue qui passait d'un gland à l'autre, pendant que Blandine lui administrait un cunnilingus ou un anulingus de plus en plus torride. Elle mouillait dorénavant comme une folle, pensant à son fantasme, elle avait hâte de se faire prendre et de vivre en direct son rêve le plus secret.
Ce fut Jérôme qui prit l’initiative, il s’allongea à plat dos sur des coussins posés à même le sol de la terrasse et demanda à Sabine de venir s’empaler sur sa queue qu’il maintenait à la verticale dans la main. Ne pouvant plus reculer, elle écarta les jambes les passa de chaque côté de son partenaire et s’accroupit. Jérôme guidant le mouvement, elle descendit et s’enfonçait progressivement sur ce pieu de chair que lui tendait fièrement son amant.
Sabine était couchée en avant, les avant-bras sur le sol, la tête contre la sienne, la croupe en arrière, elle était en plein extase. Elle s’activa sur le gros sexe de Jérôme en remuant énergiquement du bassin, pendant que son mari lui préparait l’anus de sa langue et de ses doigts. Tellement bouillante, elle jouit quelques instants plus tard. Ce fut ce moment qu’Aurélien choisit pour lui dire à son oreille :— Je vais te prendre par derrière ma chérie, je sais que tu le désires.
— Oui Aurel ! Encule-moi, en même temps.
Aurélien se plaça derrière sa femme et commença à caresser son anus, puis y introduit un doigt, très facilement, il savait qu’elle était prête à le recevoir. Il présenta sa verge et l’enfonça lentement dans son petit trou, jusqu’à la garde, Sabine reprit ses gémissements de plus en plus fort. Jérôme et lui s’activaient en elle en accordant leurs va et viens, tout en la pénétrant profondément. Pénétrée par les deux orifices, caressée par quatre mains, l’excitation monta de plus en plus.
Blandine s’était accroupie sur le visage de son homme afin que celui-ci s’occupe, avec sa langue de la chatte de son épouse qui malaxait la poitrine de son amie, alors que les deux hommes continuaient leurs aller-retours dans ses entrailles. Prise entre ces pénétrations et caresses, Sabine gémit de plus en plus fort. À ce rythme, sa jouissance explosa dans une série de cris et des sons inaudibles. Jérôme demanda que l’on le libère de sa position, il ne tenait plus, il devait lui aussi se vider :— Viens dans ma bouche je te dois bien cela Jérôme, s’écria Sabine.
Pendant que le chirurgien expulsait de sa queue, ses jets de sperme en saccade entre lèvres offertes, Aurélien se branla sur les fesses de son épouse. Hormis Blandine, ils avaient tous les trois pris leur pied. Cependant l’après-midi ne faisait que de commencer. La maitresse de maison avait bien l’intention de se rattraper. Ce fut ainsi qu’après un petit bain et une collation bien méritée, Blandine et Sabine échangèrent leur mari et s’occupèrent de leurs verges molles. Très vite, les phallus reprirent vigueur jusqu’à devenir durs et dressés, prêts pour une nouvelle expérience. Et cela se passa ainsi, tous les soirs de la semaine suivante jusqu’à leur départ.
Aurélien et Sabine avaient très apprécié leur séjour de vacance chez le chirurgien-dentiste, toutefois, ils n’avaient pas encore renouvelé cette expérience car il était très difficile de trouver un couple de confiance, avec lequel ils puissent faire l’amour à quatre. Aujourd’hui, si Véronique était prête à se lancer, il restait à convaincre Thomas. Sabine sera sans doute la clé car elle avait comme mission de convaincre son ami le carrossier.
Cette histoire étant terminée, un autre récit sera publié dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Sabine serait-elle capable d’aller plus loin, pour le moment, il fallait qu’elle se retrouve seule avec Jérôme afin de savoir si la jeune femme serait capable de poursuivre ce qu’elle avait entreprit. À leur retour, pendant que les femmes étaient au fourneau, Jérôme, suivant les conseils de Blandine avait expliqué franchement ce qui s’était réellement passé dans la voiture ce matin même et demanda à Aurélien sa permission pour continuer dans cette voix : « Je suis partant bien sûr, ne la brusquons pas. » avant de lui donner les détails du plan qu’ils avaient élaboré.
Après le repas, Blandine demanda à Sabine si elle ne voyait pas d’inconvénient à ce qu’elle emmène son mari au village afin que celui-ci vérifie le bon fonctionnement de la voiture d’une amie : « je lui ai promis, nous n’en aurons que pour une petite heure, nous viendrons vous rejoindre à la piscine. » Après le débarras, le soleil était revenu, Blandine et Aurélien s’éclipsèrent aussitôt du domaine, pendant que Sabine après avoir enfilé son maillot deux pièces, s’allongea sur un transat pour une séance de bronzage bien méritée.
Il faisait à nouveau très chaud, Jérôme sans aucun complexe retira son slip de bain et plongea dans la piscine en invitant avec insistance, Sabine à le rejoindre : « Viens te baigner, histoire de te détendre un peu. Tu peux enlever ton maillot, personne ne peut nous voir ici. » Ayant l’habitude de faire seins nus, elle retira le haut et plongea à son tour en conservant son bas. Pendant plusieurs minutes, ils chahutèrent dans l’eau puis Jérôme nagea jusqu’à elle, l’enlaça en disant : « Quelle aubaine de se retrouver seuls, nous pourrions reprendre ce que nous avions commencé si bien ce matin. Viens sortons. » lui dit-il fermement en lui déposant une bise sur la bouche.
Comme quelques heures plus tôt, Sabine ne put refuser ses avances, elle l’embrassa à pleine bouche en sortant de la piscine. Jérôme s’allongea nu sur le transat et invita Sabine à le rejoindre. Il déposa un coussin sur le sol, la fit mettre à genoux à côté de lui : « Je veux bien que tu me rendes la pareille, c’est bien ce que tu m’as proposé ce matin, non ? »— Oui bien sûr mais si Aurélien revient ?
— Ne t’inquiète pas ma chérie, je connais Blandine et sa copine, ils en ont au moins pour une heure et demi.
Cela rassura un peu Sabine qui s’aventura à prendre à pleine main, ce sexe qui lui était offert. Prise dans des pensées érotiques, elle n'hésitait plus, elle désirait faire du bien à son amant. Elle le pelotait copieusement de toute sa main, de sa paume et de ses cinq doigts. Sous cette divine caresse, la queue de Jérôme se déplia rapidement, s’allongea, devenait de plus en plus grosse et de plus en plus dure. « Oh mon Dieu ! » se disait-elle. Sa belle bite était désormais dure comme de la pierre. Jérôme était maintenant dans tous ses états.
À quelques centimètres de ses yeux, Sabine ne put faire autrement que de regarder de près l’entrejambe de Jérôme, elle avait pu constater que son sexe au repos était assez imposant mais le voyant ainsi bander comme un âne, en le comparant avec celui de son mari qui était déjà d’une belle épaisseur, celui de Jérôme était incontestablement bien plus long : « Quelle Jolie queue ! » Pensa-t-elle en silence. Sur son gland turgescent quelques gouttes nacrées suintaient. Elle n'y résista pas, de sa langue gourmande, elle la goûta par petites touches.
Sabine s'excitait, c’était surtout la situation qui faisait embraser tout son corps. Le soleil aidant, elle était chaude comme de la braise et lapait goulûment ce fruit rouge sang. En écartant largement la bouche, une main sur la base de sa hampe, elle engloutit ce phallus en érection, néanmoins, elle ne put avaler que la moitié. Tout en continuant à le sucer, elle prit l’initiative de prendre ses boules de l’autre main et les massa délicatement. Jérôme surpris poussa un râle de plaisir.
Il aimait cela, cette fellation durait dans le temps, mais Sabine avait perdu toute notion du temps. Lorsqu’elle comprit que ça devenait un vrai supplice pour lui de se retenir, elle appréhenda la venue de son mari, elle devait faire au plus vite afin que Jérôme éjacule. Elle lui prit la queue d'une main et de l'autre, elle lui caressait le gland du bout de ses doigt. Après avoir cracher de la salive sur le bout de sa queue gonflée à l'extrême, elle se mit à le branler, du liquide s’écoulait toujours de son gland qu’elle lapait avec application au fur et à mesure.
« Il est grand temps qu’il éjacule. » Se disait-elle. La vision de ce gros gland brillant et la chaleur de sa bite dans sa main, attisaient tous ses sens. Sabine mouillait, elle se sentait trempée, elle avait très envie de se caresser mais pour le moment, elle avait d’autre chat à fouetter. L’idée de prendre le fruit de cette fellation à pleine bouche, l’excita encore un peu plus et déchaîna sa passion. Elle enfonça alors cette grosse queue le plus profondément possible et se mit à le pomper en cadence.
Afin de faire durer le plaisir, Jérôme désirant se concentrer sur autre chose commença à caresser sa partenaire qui coulait de l’intérieur, sa petite chatte était toute mouillée. De voir glisser sa longue queue parfaitement à l’intérieur de sa bouche jusqu'à l'étouffement, tout en sentant les doigts lui pénétrer le vagin, elle aussi était dans tous ses états. Elle s'excitait, ça la rendait folle. Sabine pompait et pompait encore comme les shadoks. Jérôme gémissait mais ne jouissait toujours pas : « Il faut que je le branle activement pour le faire gicler avant que les autres n’arrivent. »
Elle prit ses deux mains, l'une branlant sur toute la longueur de la hampe, l'autre par mouvements circulaires sur le gland, tout en conservant le bout de sa queue entre lèvres. Sans était trop pour Jérôme, il ne voulait pas exploser tout de suite. Il lui demanda de s’arrêter et se leva :— Viens maintenant, j’ai vraiment envie de toi.
— Mais Jérôme ! Je les ai entendus, ils sont revenus. Je ne peux pas tant que j’en n’aurai pas parlé à Aurélien.
— Ce serait peut-être le bon moment de lui dire. Dit-il en se rallongeant sur le transat.
Ce que ne savait pas Sabine, c’était que cela faisait déjà plus de dix minutes que Blandine et Aurélien étaient au domaine, ils avaient juste fait un aller-retour en voiture, le temps que tout se mette en place. Placés derrière les carreaux de la grande baie vitrée, ils regardaient le couple adultère en pleine action. Aurélien fut un peu surpris que son épouse ait franchit le pas, toutefois sachant par sa meilleure amie Véronique, que le fantasme de Sabine était d’être prise en double pénétration mais avec son mari comme partenaire principal, le moment était sans doute venu pour elle de vivre à fond ce fantasme.
En regardant sa femme faire une fellation à autre homme que lui, Aurélien était quelque peu gêné, il ne savait plus quoi penser car au départ, il croyait que cela ne lui ferait rien. Néanmoins, s’apercevant de son mal être, Blandine passa derrière lui et passa ses mains sur son sexe afin de le faire réagir dans le bon sens. Avec ses caresses intimes à l’intérieur de son slip de bain, l’érection fut inévitable : « Veux-tu que je te suce ? » Demanda la maîtresse de maison :— Putain, non, ça m’a excité à mort de la voir sucer ton homme.
Jérôme et Sabine se retrouvaient tous les deux entièrement nus sur les transats. Blandine enleva donc sont deux pièces en disant : « Vous avez raison, personne ne nous voit ici. Allez qu’attends-tu pour te mettre à poil Aurel ? » Dit-elle en s’agenouillant à côté de son mari, avant de venir l’embrasser à pleine bouche. Tout en passant sa main sous le roman avec lequel Jérôme essayait de dissimuler son érection, celle-ci s’exclama assez fortement, sans aucune pudeur :— Putain Jérôme, c’est Sabine qui t’a mise dans un état pareil ? Je vois qu’elle te fait de l’effet.
Aurel qui avait fait la même chose en venant embrasser sa femme, il en profita pour lui dire : « J’ai cru entendre que tu voulais me dire quelque chose ma chérie, qu’en est-il ? C’est Jérôme, c’est ça ? » Sabine ne savait plus où se mettre, elle était devenue rouge et regardait l’intéressé qui lui souriait, croyant que celui-ci allait venir à son secours. Ne répondant toujours pas, Blandine rajouta : « Qu’avez-vous fait, tous les deux ? Il bande comme un taureau mon homme. »— J’avoue, nous n’aurions pas dû mais c’est vrai j’ai embrassé Sabine et nous nous sommes un peu égarés, nous nous sommes caressés mais pas plus, je vous le jure.
— C’est vrai Aurel, rien de plus…— Ce n’est pas grave ma chérie, ça peut arriver, je ne t’en veux pas.
— Allons tous à l’eau cria Blandine pour détendre l’atmosphère.
Un grand pas était fait, maintenant il fallait conclure. Dans la piscine, Blandine prit Sabine à part et lui demanda si elle voulait vraiment coucher avec Jérôme : « Si c’est le cas, je suis partante pour m’occuper d’Aurélien en même temps. »— Tu veux dire que l’on fasse de l’échangisme ? Non, je préfèrerais qu’Aurel soit présent. Tu crois qu’il serait d’accord ?
— Je ne veux rien te cacher, sache que nous vous avons vu tout à l’heure, avant que je claque une porte. Bien sûr, qu’il le sera, je m’en charge.
Dès la sortie du bain, Blandine prit la direction des opérations, elle plaça les deux hommes debout côte à côte et d’un ton assez ferme, dit : — Cet après-midi vous ne devez penser qu’à Sabine, je veux la voir heureuse. Allez, viens ma chérie, suce ses messieurs, fais-les bander avec ta bouche et tes mains.
Sabine était bien trop excitée et trop timide pour refuser l’ordre que lui avait donné son amie. Elle était toute heureuse de se retrouver dans cette position, d’autant plus que Blandine s’était couchée et avait désormais son visage entre ses jambes. Pendant que Sabine suçait et malaxait les deux belles queues qu’elle avait devant elle, la maitresse de maison lui léchait le minou. De sa langue elle titillait son clitoris et de ses doigts, elle pénétrait son vagin mais perforait également son petit trou étoilé.
Sabine était en plein extase, les deux hommes face à elle, leur sexe au niveau de sa bouche pour les sucer à tour de rôle, c'était hyper grisant de tenir une verge dans chaque main et d'avoir sa langue qui passait d'un gland à l'autre, pendant que Blandine lui administrait un cunnilingus ou un anulingus de plus en plus torride. Elle mouillait dorénavant comme une folle, pensant à son fantasme, elle avait hâte de se faire prendre et de vivre en direct son rêve le plus secret.
Ce fut Jérôme qui prit l’initiative, il s’allongea à plat dos sur des coussins posés à même le sol de la terrasse et demanda à Sabine de venir s’empaler sur sa queue qu’il maintenait à la verticale dans la main. Ne pouvant plus reculer, elle écarta les jambes les passa de chaque côté de son partenaire et s’accroupit. Jérôme guidant le mouvement, elle descendit et s’enfonçait progressivement sur ce pieu de chair que lui tendait fièrement son amant.
Sabine était couchée en avant, les avant-bras sur le sol, la tête contre la sienne, la croupe en arrière, elle était en plein extase. Elle s’activa sur le gros sexe de Jérôme en remuant énergiquement du bassin, pendant que son mari lui préparait l’anus de sa langue et de ses doigts. Tellement bouillante, elle jouit quelques instants plus tard. Ce fut ce moment qu’Aurélien choisit pour lui dire à son oreille :— Je vais te prendre par derrière ma chérie, je sais que tu le désires.
— Oui Aurel ! Encule-moi, en même temps.
Aurélien se plaça derrière sa femme et commença à caresser son anus, puis y introduit un doigt, très facilement, il savait qu’elle était prête à le recevoir. Il présenta sa verge et l’enfonça lentement dans son petit trou, jusqu’à la garde, Sabine reprit ses gémissements de plus en plus fort. Jérôme et lui s’activaient en elle en accordant leurs va et viens, tout en la pénétrant profondément. Pénétrée par les deux orifices, caressée par quatre mains, l’excitation monta de plus en plus.
Blandine s’était accroupie sur le visage de son homme afin que celui-ci s’occupe, avec sa langue de la chatte de son épouse qui malaxait la poitrine de son amie, alors que les deux hommes continuaient leurs aller-retours dans ses entrailles. Prise entre ces pénétrations et caresses, Sabine gémit de plus en plus fort. À ce rythme, sa jouissance explosa dans une série de cris et des sons inaudibles. Jérôme demanda que l’on le libère de sa position, il ne tenait plus, il devait lui aussi se vider :— Viens dans ma bouche je te dois bien cela Jérôme, s’écria Sabine.
Pendant que le chirurgien expulsait de sa queue, ses jets de sperme en saccade entre lèvres offertes, Aurélien se branla sur les fesses de son épouse. Hormis Blandine, ils avaient tous les trois pris leur pied. Cependant l’après-midi ne faisait que de commencer. La maitresse de maison avait bien l’intention de se rattraper. Ce fut ainsi qu’après un petit bain et une collation bien méritée, Blandine et Sabine échangèrent leur mari et s’occupèrent de leurs verges molles. Très vite, les phallus reprirent vigueur jusqu’à devenir durs et dressés, prêts pour une nouvelle expérience. Et cela se passa ainsi, tous les soirs de la semaine suivante jusqu’à leur départ.
Aurélien et Sabine avaient très apprécié leur séjour de vacance chez le chirurgien-dentiste, toutefois, ils n’avaient pas encore renouvelé cette expérience car il était très difficile de trouver un couple de confiance, avec lequel ils puissent faire l’amour à quatre. Aujourd’hui, si Véronique était prête à se lancer, il restait à convaincre Thomas. Sabine sera sans doute la clé car elle avait comme mission de convaincre son ami le carrossier.
Cette histoire étant terminée, un autre récit sera publié dans quelques jours. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Aurélien vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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